Je sortis de ma chambre en petit robe de jour, complètement HS, un sac en bandoulière. Je ne voulais pas rester là, dans cette chambre. J’avais besoin de voir des gens. Aussi décidais-je de m’assoir sur un des nombreux canapés du salon commun. Il n’y avait que peu de monde, normal pour un mercredi après-midi. Tout le monde devait être en ville, à la piscine, ou dans sa chambre. Je m’affalais avec une grâce peu féminine sur un des divans. Je soupirais. J’étais fatiguée…

Soudainement, j’entendis des pas. Quelqu’un. Je me figeais, je n’avais pas envie qu’on vienne m’embêter maintenant. Je regardais par-dessus la bosse du canapé qui venait d’arriver, pour lui adresser un petit signe de main discret, avant de me rassoir un peu plus convenablement que précédemment. Pas question de faire mauvaise figure devant quelqu’un que je ne connaissais après, sinon j’allais passer pour une vraie dégoutante. Je me perdis dans mes pensées lorsque mon portable se mit à émettre l’opening de Pokémon, me faisant rougir comme une tomate mûre. Je décrochais immédiatement, tandis que mon visage prenait une teinte de plus en plus rouge. Je fouillais dans mon petit sac, en jetant des regards furtifs et désolés à mon l’autre personne. Finalement, l’opening s’arrêta, me laissant seule, moi et ma rougeur. Je consultai l’écran, c’était ma mère. Évidemment. J’éteignis mon téléphone pour plus de sûreté, car je savais qu’elle allait rappeler dans quelques minutes. Puis je regardais l’autre personne en souriant.

- Vraiment désolée. Comment tu t’appelles ?? Moi c’est Chika !

Je passer le mercredi après-midi seule comme d'habitude, aucune amies à qui parlait d'ailleurs je n'en avait jamais eu "d'amie" enfin bon, tout le monde aller dans leur club respectif, je soupirais vainement, recherchant un endroit calme ou me détendre enfin, certe mon look ne passerais pas inaperçu mais pour le moment je m'en ficher. Je flanais de si, de là regardant parfois part la fenêtre avec nostalgie...

Et Encore une fois je me baladais seule dans les couloirs du lycée, vêtue de l'une de mes nombreuses robe une violette cette fois, je marcher sans but et j'arrivais devant le salon commun regardant de tout les côtés, et j'apperçus une fille, blonde bien fournie bref, la fille parfaite, elle ne me semblait pas aggressive donc je décidait de m'asseoir à proximité d'elle, elle était vraiment jolie, elle me fit un signe de main, auquel bien sur je répondais faiblement
elle ne bougeas plus pendant quelque minute elle semblait rêvasser et d'ailleurs je profiter de cela pour faire de même, une sonnerie retentit, il me semble que ça venait d'un anime assez connu, je ne me souvient plus vraiment du quel mais elle semblait gêné elle virait au rouge écrevisse ce qui me fit sourire, elle me lançait des regard désolée, qui me faisait encore plus sourire, et elle se décida enfin à me parlait...

- Vraiment désolée. Comment tu t’appelles ?? Moi c’est Chika !

Je me sentait mal je me devais de lui dire mon prénom, je rougit légèrement en baragouinant mon prénom

-J-je m'appelle Ayu-mi....

je sourit faiblement me demandant ensuite ce que je me devais de faire...Mais rien ne me vint à l'esprit.

- J-je m'appelle Ayu-mi....

Elle est un peu rouge et je lui souris légèrement. Elle a l’air sympa, malgré son style hors du commun. Un bruit attire mon attention, et je détourne le regard d’Ayumi pour tomber sur un garçon aux cheveux argentés attachés. Il a fait tomber son sac de sport, qu’il ramasse avant de venir s’assoir en face de nous. Il boit un peu du liquide contenu dans sa gourde avant de détacher son chignon ce qui laisse ses cheveux libres comme l’air. Il est plutôt sexy, en fait. Le genre de mec avec qui j’aimerais bien passer une nuit torride de temps en temps.

- Bonjour ... Je suis désolé, je suis nouveau, je me perds encore un peu ici vous pourriez me dire où se trouve le dortoir...

Un nouveau, hein ? Je ne sais pas trop comment aborder la chose avec lui, il a l’air assez spécial. Je me contente juste d’un petit sourire.

- Quel est le numéro de ta chambre ?

Puis je reporte mon attention sur la personne sur le même canapé que moi. Son style est certes particulier, mais il n’en reste pas moins poétique et joli… Sans être discret pour autant.

- J’aime bien tes vêtements Ayumi…

Je lui lance la remarque avec un sourire joyeux, parce que ce que je viens de dire est sincère et que je ne la drague pas. Non, niveau sexe j’ai une préférence pour les hommes, Lilly étant la seule exception.

Je me perdit un moment dans mes pensée, et soudain j'entendit une nouvelle voix, une voix de garçons, je sursauté et me caler dans mon siège, se sont souvent les hommes les plus méchant avec moi, et avec mon apparence, je fermer donc les yeux et tenté de l'oublier, mais il à une voix plutôt sympatique je ne pensais pas qu'il devait être méchant, donc j'écouter les deux personnes à côté de moi se parler...


- Bonjour ... Je suis désolé, je suis nouveau, je me perds encore un peu ici vous pourriez me dire où se trouve le dortoir...


-Quel est le numéro de ta chambre ?

je les regardé avec de grand yeux à vrai dire je suis timide quand il s'agit de tenir une conversation, enfin Chika se tournas vers moi pour me dire avec un grand sourire

-J’aime bien tes vêtements Ayumi…


Je rester muette devant la simplicité avec laquelle elle me disais ça, je me mis à articulait tant bien que mal une phrase..

-euh, je....Merci Chika, et euh..n-non rien...

je tremblais....J'avais un peu peur de leurs réaction, et je reprit..

-Et, heu , en fait, je ....Tu...non rien désolée..

Je me pris la tête dans les mains, quesque je peut être cruche parfois.

- Euh, je....Merci Chika, et euh..n-non rien...

Je lui jette un petit sourire encourageant, la pauvre ne doit pas avoir l’habitude des compliments. Ou du contact social. Ou des deux, le second cas entraînant le premier.

- Et, heu, en fait, je ....Tu...non rien désolée..

Je la regarde encore quelques instants en pensant qu’elle a sérieusement besoin de se décoincer. Elle a l’air super sympa, et il faut avouer qu’elle est plutôt mignonne. Mais en bafouillant tout le temps comme ça, elle ne va pas arriver à grand-chose dans ce pensionnat. Ici, c’est une terre de vautours hostiles, qui n’hésite pas à soit vous ignorer, vous détester, vous briser ou vous séduire. Je fais à présent partie de la dernière catégorie. Et oui, cet endroit m’a changée en véritable pétasse, prête à tout pour un plan d’un soir. Mais pas plus.

- Je suis dans la A9 si vous pouviez m'indiquer le chemin assez vite, j'ai des trucs à faire.

Il a parlé d’une voix rapide et sèche, que je n’ai pas appréciée du tout. Mais j’ai décidé que ce mec serait mon prochain plan. Et s’il était trop compliqué à séduire et bien…. Je jetterais l’éponge, les mecs trop compliqués ce n’est pas trop mon truc. Je me lève et lance un sourire à Ayumi.

- Je reviens !

Puis je m’approche du garçon et lui prend délicatement le poignet, pour le tirer doucement vers moi, et je l’emmène vers la porte du dortoir des garçons, que j’ouvre avant de me glisser à l’intérieur. Je cherche la chambre A9, puis arrivée devant celle-ci, qui me paraît vide, je l’ouvre. Effectivement elle est vide, et ouverte de surcroit. Je souris à l’autre et lui indique l’intérieur tout en détachant ma main de son poignet.

- Voilà !

Je lui souris en attendant qu’il rentre à l’intérieur, puis je m’adosse contre la chambranle de la porte.

- Je sais que les filles ne peuvent pas venir ici, mais tu m’invites à rentrer dans ta chambre ?

Je suis dans la A9 si vous pouviez m'indiquer le chemin assez vite, j'ai des trucs à faire.


Bon...Je croit que je vais vraiment avoir du mal ici, Chika me sourit pour m'encourageait à dire quelque chose mais je n'y arrive pas, après le coup d'hier je suis trop faible pour parler, et encore, j'ai du mal à regarder le garçons dans les yeux, il est vraiment beau, et il semble gentil , mais il se donne une image différente de lui même...C'est dommage... Mais je n'est pas le temps de placé un mot que Chika c'est lever et à empoigné le bras du garçons pour aller lui montré ça chambre.

-Je reviens !

J'ai du mal à la croire, elle le regarde comme c'est femelles en mal d'amour, que j'ai croisé auparavant dans les couloirs. Ca me dégoute, encore une fille en chaleurs, beurk, j'appelle c'est filles là des animaux personnellement elle ont juste envie de satisfaire leurs besoin personnelle... Donc je me lève tout de même et hésite longuement à les suivre tant pis je me lance...Je me suis donc avançais dans le dortoir des garçons, je n'aime pas forcément cette endroit mais je me remémore le numéro de la porte, je suis assez discrète et personnes ne me vois passer, je les regardes du coin des yeux, je croit que j'ai reprit de l'assurance, mais je m'amuse à regarder cette fille, qui je n'en doute pas vas se faire renvoyer balader...

- Si tu veux.

Il hausse les épaules et commence à enlever son kimono qu’il portait. Je ne peux m’empêcher de mater, évidemment. Je m’assois entre temps sur le lit, tout en admirant son tatouage en forme d’ailes d’anges. Ça contraste joliment avec ses cheveux, et ça le rend… Beau en fait. Je le regarde se changer puis j’attarde mon regard sur le sol. Il ne va sûrement rien tenter, et je n’ai pas vraiment d’idée pour nous amener à coucher ensemble… Peut-être que je pourrais tenter d’autres choses dans le futur… Enfin on verra.

- Ton nom c'est bien Chika c'est ça? ... Enfin tu comptes rester là ? Ou on retourne avec l'autre demoiselle?

Sa voix me tire de mes pensées pour m’amener à le fixer avec des yeux ronds pendant quelques instants. Mon regard le suit lorsqu’il farfouille dans son bureau pour prendre quelques objets que j’identifie facilement. Puis je me lève.

- Oui, c’est ça. Retournons avec Ayumi, ce n’est pas cool de la laisser seule.

Je lui saisis une nouvelle fois par le poignet, l’invitant à sortir de la chambre. Une fois dehors, j’attends qu’il ait fermé la porte en lui souriant.

- Et toi, c’est quoi ton nom ?

Je suis encore dans le couloirs, et avec mes airs de fille innocente je pourrait facilement expliqué pourquoi je suis là...Je suis méchante parfois mais je hais ce genre de fille ça me donne envie de vomir, je les attendait donc dehors ce garçons n'avait pas l'air d'être stupide, loin de là enfin bon j'entend la voix de Chika, et je me positionne à l'entré du dortoir des garçons... Faisant mine de les attendre je soupir et les regardes, elle le tient encore part le poignet, elle tient vraiment à ce type ou quoi ? Pff laisser moi rire...

-Et toi, c’est quoi ton nom ?

Enfin, ils sont sortit de la chambre, évidemment j'hésite à sortir ce que je veut à Chika..Mais je me lance..Tant pis les remords ce n'est pas pour moi.

-Dit, Chika-chan pourquoi tu le tient part le poignet ? Tu veut vraiment le séduire à tout pris ? Tu sais j'ai l'habitude du genre de fille que tu es, et franchement ça se voit dans t'es yeux, tu es en mal d'amour ou tu as juste envie d'accomplir t'es besoin personnelle ? Pff, ne répond même pas c'est inutile...J'ai tout compris...

J'avais vraiment peur que le garçons prenne ça défense, je ne sais pas pourquoi, mais il n'avait qu'à regarder mes yeux pour comprendre que je disais la vérité.

Je ne veut pas que tu le prenne mal, au contraire mais évite de te jouer des nouveau, ce n'est pas parce qu'il te plait que tu dois jouer avec lui, et je suis désolée de te le dire, enfin bref... Et merci pour les compliments sur m'as tenue c'est la première fois qu'on m'en fait .

Sur ce je m'avançais en direction du Salon commun, et je sais que j'aurais le droit à un retour de bâton, quand on veut être franche avec les gens ça arrive forcément .

Nous sortons de la chambre, enfin, je le tire plutôt. Ce geste était plus spontané qu’autre chose, ce n’était pas en lui saisissant le poignet que j’allais l’amener à coucher avec moi. Je lui demande son nom, et au moment où il semble qu’il va me répondre, Ayumi apparaît. Comme un de ces Pokémon sauvage qu’on trouve dans les hautes herbes. Je la regarde étonnée, tandis que l’autre se détache de mon étreinte. Elle nous espionnait tout ce temps ou quoi ?

- Dis, Chika-chan pourquoi tu le tiens part le poignet ? Tu veux vraiment le séduire à tout prix ? Tu sais j'ai l'habitude du genre de fille que tu es, et franchement ça se voit dans tes yeux, tu es en mal d'amour ou tu as juste envie d'accomplir tes besoin personnelle ? Pff, ne répond même pas c'est inutile...J'ai tout compris...

Je la regarde estomaquée. Qu’est-ce qu’elle vient de…

- Je ne veux pas que tu le prennes mal, au contraire mais évite de te jouer des nouveaux, ce n'est pas parce qu'il te plait que tu dois jouer avec lui, et je suis désolée de te le dire, enfin bref... Et merci pour les compliments sur m'as tenue c'est la première fois qu'on m'en fait.

Sur ce elle se retourne pour s’en aller, sans doute vers le salon commun. J’entends l’autre me dire quelque chose, sûrement son prénom, mais je ne prends même pas la peine de le mémoriser. Tout ce qui m’importe, c’est ce que vient de dire cette fille. Elle a raison, je le sais. Mais elle ne sait pas tout. Je sens quelque chose se briser en moi. Je ne sais pas identifier ce que c’est, mais toujours est-il que la seconde d’après j’éclate en sanglots. Bruyants, intensifs qui remplissent le silence. Je dois avoir l’air d’une gamine idiote en ce moment, mais qu’est-ce que je peux bien en avoir à foutre. Le plan avec ce type ne compte plus. J’essaye vainement de me calmer, mais à chaque fois son visage me revient en tête et je ne cesse de pleurer. Sergueï. Regarde ce que tu m’as fait devenir. Regarde la fille odieuse, vicieuse et manipulatrice que tu as créée. Non en fait, ne regarde même pas, parce que tu te fiches éperdument d’elle, et de ce qu’elle peut bien ressentir. Tout ce qu’y t’intéresse, c’était qu’elle t’aime. Elle a tenté de résister, mais elle a craqué, et tu es parti. Et elle n’a plus que le sexe pour cacher son chagrin.

Et là, une petite peste qui n’a rien à voir avec tout ça se permet de tout lui rappeler, quand elle pensait enfin tout oublier. Mais non. Tout est revenu vers elle. Et elle sent que son cœur et son humanité se brise. Comme si la peste avait tout simplement tiré dans ces derniers pour les faire exploser. Et qu’est-ce que ça va lui apporter de détruire encore plus une personne à moitié fichue ? Rien.

- …

Mes sanglots se sont enfin calmés. Mais ma rancœur demeure, et je veux à tout prix détruire cette fille, bien que je ne connaisse rien d’elle. Je me dirige d’un pas lourd, mes larmes silencieuses encore fraîches coulant le long de mes joues, vers le salon commun, où je m’assois sur un divan. Et puis je ne bouge pas. Je me contente de me tourner vers la peste. Et je la regarde. Sans expression particulière. Je veux juste essayer de trouver une faille dans son allure, juste pour la blesser encore plus qu’elle ne m’a blessée, bien que ça ne soit sans doute impossible.

Je sais que je n'aurais pas du , mais ma franchise me perdra mais je suis aussi trop gentille au risque de me retrouver défigurer je lui dirait, je lui dirait pourquoi j'ai fait ça , une giffle ?une baffe ? Ce genre de chose ne me font rien ressentir j'ai trop l'habitude des mauvais traitement rien qu'à cause de ma franchise je me suis retrouvé plus d'une fois hospitalisé...Et alors les coups ne change pas une personne ça la renforce, c'est la psychologie qui fait quelque choses dire la vérité peu brisais une personne et j'en est conscience j'ai moi même était brisais psychologiquement et j'ai hais ça ......
Je la regarde, les yeux baigner de larmes je m'en veut, je m'en veut terriblement mais il faut savoir dire la vérité et l'assumer je croit qu'elle ne comprend pas cela je m'assoit à côté d'elle et me met à raconter a raconter ce que j'ai vécu ce pourquoi elle ne pourras pas ce vengeais ni me détruire psychologiquement parce que c'est déjà le cas .

- Ecoute moi bien, tu doit voir la vérité en face l'assumé prendre la responsabilité de t'es actes, tu peut me frapper autant que tu le souhaite m'insultait si cela te calme, mais tu ne pourra jamais me détruire...Car moi j'assume mes actes et je prend conscience que ça peut faire du mal à certaine personne, comme à toi ... Comprend moi je suis obliger de dire la vérité, je ne sais mentir, je ne sais pas faire tout cela ni même jouer la comédie, donc regarde moi et fait moi ce que tu souhaite..

Si cela pouvait la calmer tant mieux , sinon j'aurais dit tout cela pour rien je crois qu'elle m'en voudras jusqu'à ça mort, bien j'assume mais il faut tout de même se reconstruire une vie après les drames c'est ce que j'ai fait et dieu seul sais ce que j'ai enduré...

Elle vient s’assoir à côté de moi, et mon regard chargé de haine la suit. Je la regarde encore et encore, et je me mets à penser qu’elle n’a même pas de faille, en fait.

- Ecoute moi bien, tu dois voir la vérité en face l'assumer prendre la responsabilité de tes actes, tu peux me frapper autant que tu le souhaite m'insulter si cela te calme, mais tu ne pourras jamais me détruire...Car moi j'assume mes actes et je prends conscience que ça peut faire du mal à certaine personne, comme à toi ... Comprend moi je suis obligée de dire la vérité, je ne sais mentir, je ne sais pas faire tout cela ni même jouer la comédie, donc regarde-moi et fait moi ce que tu souhaites..

Je soupire et ne prête même pas attention à ce que fait le garçon, qui vient de nous rejoindre dans le salon. Il s’assoit sans doute plus loin. Je me contente de planter discrètement, afin que personne ne voit mon geste, mes ongles dans son bras, et d’appuyer encore et encore, jusqu’à percer sa peau.

- Qu’est-ce qui peut bien te faire dire que je n’assume pas ? Il n’y a rien à assumer de toute façon… Je ne t’insulterai pas, voir ton sang couler me suffit pour l’instant.

Je souris légèrement en retirant mes doigts tachés de son sang et je les essuies sur le canapé, avant de lui lancer un petit sourire et de reporter mon attention sur le garçon, qui n’a pas pu voir ce que j’ai fait, à moins de voir à travers les corps. Ce qui en ferait un pervers.

- Désolée de t’avoir dragué au fait, tu ne dois pas avoir l’habitude.

Je retiens le « vu ta tête » entre mes dents. J’ai envie d’être désagréable. Et je vais sûrement l’être si je ne me calme pas.

Je sent un légère douleur dans mon bras et je sourit, je croit qu'elle n'as pas comprit que même mourir ne me faisait pas peur, qu'elle me tue je m'en fiche, que mon sang coule à flots si elle le souhaite, plus rien en m'atteint plus aucune douleurs physique ou moral.


-Qu’est-ce qui peut bien te faire dire que je n’assume pas ? Il n’y a rien à assumer de toute façon… Je ne t’insulterai pas, voir ton sang couler me suffit pour l’instant.

Je me redresse et m'éloigne de façons que Silver vois le sang, quand je suis sadique je ne m'arrête pas en si bon chemin , Bon sang ! je doit reprendre le contrôle...Et j'y arrive je soupir et lui lance une phrase que je n'aime pas particuliérement..


-Tu compte me tuer..? Pourquoi ? Il n'y a qu'à toi que tu doit en vouloir... Je n'y suis peu rien si tu refoule tout....

Mon sang tâche rapidement le sol....je vois toute c'est gouttes rouge tombé de mon bras et encore une fois je soupir, je sais qu'elle m'en veut mais delà a me tuer..il y'a des limites.......

Je me reculais pour qu'au moins quelqu'un vois ma blessure, et ce quelqu'un c'était Silver il m'as bander le bras pour que le sang s'arrête de couler j'était vraiment surprise sur le coup , il c'est mis à regarder Chika méchamment et avant que je ne puisse parler il lui dit une phrase qui m'as faite réfléchir..


- ne parle pas de se que tu ne connait pas Chika


C'est vrai, elle ne connait pas ma vie,et elle veut me voir souffrir je ne lui est pas infliger de blessure physique à ce que je sache, et Psychologique c'était involontaire je dit juste ce que je pense donc j'ai moi même parler :

-Tu compte me tuer..? Pourquoi ? Il n'y a qu'à toi que tu doit en vouloir... Je n'y suis peu rien si tu refoule tout....

ce n'est effectivement pas la premiére fois que quelqu'un veut me voir souffrir et me tuer, mais ça leur rapporterais quoi ? Le seul status de Criminel...c'est tout..
Je reprend ma respiration et je continu

-Je ne fait que dire la vérité, si ça ne te plait pas, tant pis mais je ne t'es pas blessé physiquement....Le sang qui coule ne me fait plus rien...et tu sais pourquoi ? parce que mon sang à beaucoup couler....et je m'en suis remise !

Il accourt pour la soigner avec un bandage, et je me recroqueville sur moi-même. Elle s’est arrangée pour lui montrer ouvertement sa blessure. Je vais passer pour la méchante maintenant. Génial. Il va rapidement se rassoir pour me lancer un regard furieux. Je ne suis pas une bête de foire, je ne suis pas méchante. Alors quoi ?

- Ne parle pas de ce que tu ne connais pas Chika.

Je voudrais lui bondir dessus, le griffer, lui arracher les veines du cou avec mes ongles, mais je ne le ferais pas. D’abord parce que je n’ai pas envie d’aller en prison. Ensuite parce que je n’ai même plus la force de me battre, ou de frapper qui que ce soit.

- Tu comptes me tuer..? Pourquoi ? Il n'y a qu'à toi que tu dois en vouloir... Je n'y suis pour rien si tu refoule tout....


Je serre le cuir du canapé rageusement. Je ne dois pas hurler, crier, et m’enfuir. Non, je dois user dans la fierté qu’il me reste. Je dois me taire. Et dès que je pourrais partir, je partirais. Loin de cet enfer qu’ils me font vivre…

- Je ne fais que dire la vérité, si ça ne te plait pas, tant pis mais je ne t'ai pas blessé physiquement....Le sang qui coule ne me fait plus rien...et tu sais pourquoi ? Parce que mon sang à beaucoup couler....et je m'en suis remise !

La ferme, idiote, la ferme. Je ne veux même plus la frapper, de toute façon maintenant je sais que ça ne servirait à rien de le faire. Elle me dit d’assumer, mais j’assume très bien ce que je fais. Ça ne me pose en aucun cas préjudice. Je me relève rageusement, des larmes silencieuses coulant le long de mes joues, et je me dirige vers ma chambre.

Je croit qu'en réalité, c'est moi suis horrible j'ai le coeur qui bat à mille à l'heure l'impression que je vais mourir ils ont raison je ne suis qu'une goutte d'eau qui peu s'évannouir à tout moment qui peut disparaître en un claquement de doigt, je continu à me souvenir de ce que je voudrait effacer, de cette douleurs au creux de mon âme je me renferme sur moi même je n'entend plus rien je tombe lamentablement au sol, que cette personne que je suis je ne peut pas affronter mes peurs ou du moins je ne peu plus je souffre interieurement, comme beaucoup de fois avant je ne pleure pas, je n'est pas la force, je n'en est plus le courage les moqueries se font de plus en plus proche..Je me fait des films, je ne suis pas forte, j'ai des milliers de point faible mais je ne les laisses pas paraître de peur que l'ont me prenne vraiment pour une simple poupée de porcelaine capable de se briser en tombant d'une armoire.....Et je revient, je suis debout je regarde je m'en veut, je veut l'aider...Et dire que c'est en voulant dire la vériter que tout cela est arrivé.....
Je tombe, et cette fois pour de vrai je tombe au sol, un malaise pourquoi maintenant ?!
Je ne voit plus rien, je n'entends plus rien....Je n'ouvre pas les yeux...Non je ne suis pas morte, ou du moins pas encore..Je pense que j'ai perdu beaucoup de sang..Je croit que c'est ça....Ou sinon c'est que je suis vraiment fragile..

Je m’enfuis, encore une fois, mais je fais encore ce que je veux. Un bruit sourd attire mon attention et je me retourne sans pour autant m’arrêter. Elle est tombée, décidément elle ne rate pas une occasion de s’attirer toutes les attentions elles… Et après c’est moi qui cours après les garçons. Je vous jure. Le garçon m’appelle, mais je n’entends pas bien ce qu’il me dit. Je me suis arrêtée, je le regarde l’emporter jusqu’à sa chambre. Il a oublié son sac, et pendant quelques instants, je me demande si je dois le lui apporter. Après une rapide réflexion, je me dis qu’ils m’ont assez enmerdée pour que je les aides. Au contraire, je dois plus le faire chier qu’autre chose. Je regarde qu’il n’y a personne et je me mets à fouiller dedans. Quand je tombe sur un objet que je permets à identifier grâce à tous ces films que j’ai vu… Une dague.

Je ne suis même pas étonnée, si vous saviez le nombre de fous que j’ai déjà croisé ici. Je mets simplement la dague dans ma poche. Ça pourrait lui porter préjudice un de ces jours, et je pourrais le faire chanter. Je vais vite la mettre dans ma chambre, sous mon matelas, puis je reviens au salon commun en saisissant son sac que je lui apporte dans sa chambre. Je le jette sur son lit, où se trouve Ayumi, avec un sourire désolé.

- Ton sac.

Je me sent soulevé, oui j'ai faite un malaise et c'est rare d'ailleurs je suis décidément trop faible, enfin bon j'arrive à ouvrir les yeux je me demande quoi je suis dans la chambre de Silver et ma tête me fait vraiment mal je souffre le martyre...Quand je redresse ma tête car il commence à me parler...Et m'assoit sur son lit.


- fait attention tu t'es bien cogner la tête sur le sol... tu te sent comment ?

j'ouvre à peine la bouche je suis complètement sonner mais j'articule tout de même une phrase en rougissant légèrement:

Ca peut aller, je te r-remercie..

J'entend des pas à peine inaudible et me met à regarder le porte, elle est la et elle jette le sac de Silver à proximité de mon visage je reste fixe je ne bouge plus...Elle m'en veut vraiment et j'ai peur, elle sourit ce qui me fait froid dans le dos...

- Ton sac.


Je ne bouge strictement plus mes yeux sont vide d'émotion, mais ceux de Chika cache de la tristesse et de la vengeance.