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Entre dans la gueule du loup [Shin] - Yaoi (-50ans interdit)

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Entre dans la gueule du loup [Shin] - Yaoi (-50ans interdit) Vide
MessageSujet: Entre dans la gueule du loup [Shin] - Yaoi (-50ans interdit) Entre dans la gueule du loup [Shin] - Yaoi (-50ans interdit) Icon_minitimeJeu 22 Mai - 12:51


Les gamins de nos jours ça vaut plus rien. Tous des branleurs nés. Je regardais les élèves devant moi alors que je m'étais posé sur mon bureau, assis à les regarder essayer de dessiner quelque chose de potable. Sincèrement quelle idée j'avais eu de devenir prof quand c'est gamin qui allait me rendre des torchons dégueulasses m'horripilait ? Au fond je savais ma réponse : des petits jeunes a coucher dans mon lit et l'interdit...c'était bandant non ? Je souriais discrètement, restait plus qu'a trouvé une première cible. De toute façon j'avais que ça à faire.

Vaguement je passais dans les rangs, la plupart étaient des filles. Génial. A quoi cela sert une fille sincèrement ? C'est pas baisable tout le temps à cause de ses règles et quand ça les a c'est juste insupportable. Et fallait se l'avouer, elles n'étaient pas meilleures au lit qu'un mec. Au contraire, un mec parfois cela peu vous surprendre. Distraitement, je regardais un peu les garçons présents. Rien d'incroyable, d'un petit maigrichon ou des intellos quelconque. Mais alors que mon regard passait sur un garçon à moitié couché sur sa table je remarquais une chose. Il était en train de regarder un film porno sur son téléphone. Il me plaisait. Je faisais pareille à son âge.

Discrètement je vins me placer dans son dos et m'appuyais finalement sur le bord de sa table, espérant bien lui faire peur et le faire ranger son téléphone précipitamment. Tout le monde se tourna vers nous mais je leur ordonnais simplement de retourner à leurs feuilles. Je me penchais un peu vers le garçon aux cheveux noirs très amusé par la suite des événements.

- Vous sembliez bien occupé, souris-je malgré moi. Si vous êtes si désireux de faire gonfler votre entrejambe, vous n'avez qu'a me faire un dessin érotique. Donné moi votre portable.

Sans vraiment lui demander son avis je récupérais son téléphone dans sa poche et allais le déposer sur mon bureau en lui soufflant que s'il voulait le revoir il resterait à la fin du cours. Durant toute l'heure je le regardais en biais. Plutôt mignon. Pour le comparer à un chien...je dirais éventuellement un labrador. Oui c'est ça. Il m'inspirait un gentil petit chien qui allait remuer la queue. Amusé par ma propre pensée je souriais alors que je fus heureux d'entendre la fin de l'heure sonné.

Rapidement les autres élèves quittèrent la pièce et le garçon s’avança vers moi, je rangeais vaguement mes affaires, toujours assis sur mon bureau. Comment arranger ça. Il n'était pas question de louper une telle occasion de me le faire. Je le regardais plus attentivement, plutôt mignon, il ferait un bon quatre heures même si sans doute pas un plat principal. J'étais exigeant sur la viande. Finalement je pris son téléphone dans mes mains et le débloquais, montant le volume à fond pour faire raisonner la voie de deux mecs entrain de se rentrer dedans.

- Plutôt hard, soufflais-je en regardant vaguement la vidéo. Ce serait dommage qu'un œil plus chaste que le mien tombe sur ce genre de vidéo dans votre portable.

Je redressais les yeux dans les siens avant de couper le téléphone et de le lui tendre. Mais quand il chercherait à le reprendre, je retirerais ma main. Il allait falloir que tu me proposes quelque chose de plus intéressant, si tu veux le récupérer, mon petit.


Dernière édition par Makaio Dan le Ven 23 Mai - 12:32, édité 1 fois
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Shin
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MessageSujet: Re: Entre dans la gueule du loup [Shin] - Yaoi (-50ans interdit) Entre dans la gueule du loup [Shin] - Yaoi (-50ans interdit) Icon_minitimeJeu 22 Mai - 15:09

Entre dans la gueule du loup


L’excitation partit laissant sa place à ennui, sa sœur.


Sentiment d’ennui, vide d’être, manque de sensations. C’était ce qu’il détestait le plus, c’était les sentiments qu’il craignait et qui pourtant s’attachaient à lui telle une midinette amoureuse. « C’est sûr, je l’ai sous la peau » à croire qu’il est destiné à s’ennuyer pour le restant de sa vie. C’est assez absurde, assez attristant de ne plus avoir aucune passion dans sa vie. L’asiatique aimait certes dessiner, mais il l’avait fait à s’en tordre la main, à s’ennuyer des traits à ne plus y voir qu’un visage. Il aimait certes, écrire, mais il l’avait tellement fait, tellement de fois qu’il se lassait des lignes entre lesquelles elle se cachait. Il aimait, encore et beaucoup, le sexe, mais parfois, il lui arrivait de perdre cette sensation d’autre fois, la sensation de crever de désir pour quelqu’un. Et il la cherchait, encore et encore attendant quelqu’un qui arrivera à faire exploser cet ennui là, cette lassitude. Une sensation assez forte, assez durable. Mais c’était perdu, ou du moins c’est ce qu’il croyait. C’est ce qu’il continuait à croire. Le souvenir d’un sentiment, pouvait il nous garder en vie ? Sûrement pas, mais ce qui est sûr c’est qu’il est capable de nous pousser à garder espoir, c’était la seule raison pour laquelle il espérait, même s’il ne niait, il espérait muettement. Des journées qui coulent lentement, des journées chacune pareille à l’autre. C’est ce qui l’énervait le plus. Il se contentait donc, de se traîner en cour, de mater un ou deux cul, de s’envoyer en l’air, une, peut être deux fois, de ressentir cette chaleur, mais de l’oublier le moment suivant. Oublier, voilà, sa vie est emplie de trous, trous qu’il cherche à combler. Trou du derrière, trou du cœur, trous de mémoires.

Aujourd’hui encore il se traîne en cour d’art, un pas en avant dix en arrières. Sa seule motivation est celle de mater discrètement le prof d’art, oui, discrètement. Généralement les profs, les adultes, les gens ayant cette putain d’autorité sur lui. Il déteste qu’on regarde de haut, ce qu’il déteste encore plus, c’est qu’on se croit permis de lui imposer des règles. C’est pour cette unique raison qu’il n’aimait pas spécialement balader son regard le long du corps du professeur. Même si les filles, elles, n’hésitaient pas à lui vouer un culte. C’était un nouveau prof, normal se disait il, sinon, il l’aurait repéré plutôt. On ne pouvait mentir sur l’effet qu’il faisait sur le brun, mais celui-ci préférait sortir lentement son téléphone à la place. Il est dur à croire que Shin avait des principes, mais oui, pour lui, plus de trente ans c’est déjà très vieux. Même si tout du blond le poussait à raviser cette stupide pensée et à la barrer de sa tête. Après avoir gribouillé rapidement sur sa feuille il rechercha rapidement une vidéo dans ses derniers téléchargements. Quoi de mieux que de mater du porno en classe quand on a rien à foutre ? En tout cas c’était déjà mieux que suivre ce stupide cour qui lui donnait surtout envie de suicide.

La vidéo démarra et il regarda tout d’un air totalement désabusé. A force de regarder ce genre de vidéos ça ne l’amusait même plus, même si l’effet était là, mais il était très infime. Soudain, il sentit une présence dans son dos. « Putain, on peut même pas regarder du porno tranquille de nos jours ?! » c’est ce qu’il aurait pu dire, si ce n’était pas le prof qui était dans son dos. D’accord, calme toi Shin, ce n’est pas la première fois que ça arrive. Sa voix le fit frissonner discrètement,

- Vous sembliez bien occupé. Si vous êtes si désireux de faire gonfler votre entrejambe, vous n'avez qu’à me faire un dessin érotique. Donnez-moi votre portable.


Sans qu’il ne put protester il lui prit son téléphone, Shin jura intérieurement, journée de merde. Il n’eut pas le temps d’en placer une, il voyait déjà la fin de l’heur arrivait. Elle s’était passée en une lenteur horrifiante et l’asiatique ne pouvait que dessiner pour se distraire un peu. Il avait dessiné l’entre jambe de sa dernière conquête, quelques garçons ainsi qu’un autre qu’il avait jeté. Il avait trop de données « personnelles » sur son téléphone, il fallait qu’il le reprenne.

A voir la tête du professeur et le regard brûlant qu’il lui lançait Shin commençait à douter des réelles intentions de son professeur. Ceci le fit sourire légèrement, bien qu’il n’en avait pas envie. Une fois tout le monde sortit de la classe, le jeune homme s’approcha lentement du bureau du professeur qui lui s’était levé, maintenant face à lui. Lentement et le geste pareil à une provocation il prit le téléphone dans sa main le débloquant, puis mit le volume à fond. Je vous laisse imaginer l’ambiance, les gémissements de deux hommes comblèrent le vide et plus les secondes ne coulaient plus ils s’intensifiaient. Une bouffée de chaleur le parcouru, il était là, devant son prof foutrement bien foutu avec ce bruit sonore peu catholique. Shin ne se laissa point déstabiliser, plantant son regard carmin dans celui de son professeur avec grande insolence. Il était beau, mais il avait quelque chose d’hautain, une vanité et orgueil qui tout deux lui donnaient envie de les briser.


- Plutôt hard. Ce serait dommage qu'un œil plus chaste que le mien tombe sur ce genre de vidéo dans votre portable.


« Pardon ? C’était quoi ça ? Il croyait qu’il allait me faire peur ? » Il se retint de répondre, ayant comme seule envie celle de récupérer son portable. Lorsqu’il tendit la main pour le saisir le prof retira la sienne. Il haussa un sourcil « à quoi jouait-il ? » il ne pouvait le savoir mais cela l’embêtait pas mal. L’asiatique soupira légèrement, se passant une main dans les cheveux, il haussa ensuite les épaules ;

-J’ai pas peur, que crois-tu que je suis ? Tapette peut être ? Je m’en branle carrément que l’on « découvre » ce que je mate, c’est pas comme si c’était un grand secret ou que les autres ne le font pas.


Oui, ce professeur était nouveau et il fallait le lui faire comprendre. Le jeune garçon faisait honneur à sa réputation de Play boy.

-Ils feraient quoi ? Me donnerons quelque heurs de colle peut être ? Ou..un avertissement ? C’est ce que tu es censé faire d’ailleurs, non ? à moins que tu attends autre chose de moi…


Sa voix se fit plus basse, plus sensuelle. C’était presque un soupir, un murmure. Il soutint le regard du blond encore, il n’aimait pas le vouvoiement alors il ne le vouvoyait pas. Bien qu’il aurait du ne pas se montrer insolant, il ne voulait pas avoir de problèmes, cette année là était bien importante dans son parcours scolaire et n’avait pas réellement la rater.

-Si c’est le cas, sache que je vaux bien plus que cela…


Et pour la première fois de la journée, un sourire fendit ses lèvres. Un de ses sourires qui vous font un peu froid dans le dos, ce genre de sourire qui dit « J’ai les couilles de le faire. » Ses mains ôtèrent lentement son propre T shirt, laissant paraître un torse finement musclé et tatoué. Son haut tomba à terre, et il s’approcha d’un pas lent vers son professeur.

-Finissons en vite, j’ai d’autres queues à fouetter.


Excitation refit face.



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MessageSujet: Re: Entre dans la gueule du loup [Shin] - Yaoi (-50ans interdit) Entre dans la gueule du loup [Shin] - Yaoi (-50ans interdit) Icon_minitimeJeu 22 Mai - 21:05

-J’ai pas peur, que crois-tu que je suis ? Tapette peut être ? Je m’en branle carrément que l’on « découvre » ce que je mate, c’est pas comme si c’était un grand secret ou que les autres ne le font pas. 

Surpris. Ah le labrador était en fait un berger allemand ? Je pouffais. Tu me fais rire. Tu es qu'un gamin qui pète plus haut que son derrière. Je n'aimais pas ce genre de type, j'avais l'intuition qu'il allait beaucoup me faire rire ce môme. J'affrontais son regard serein, sans me sentir mal à l'aise face à son arrogance, ce n'était pas parce qu'il avait une grande gueule qu'il avait les couilles qui allaient avec. Tout était encore à prouver.

Cependant il me plaisait bien, cela n'aurait pas été amusant s'il faisait la carpette directement. C'était beaucoup plus plaisant de le soumettre petit à petit. Et puis visiblement il se sentait puissant à être un coureur de jupons. Cela me faisait bien rire, il ne savait pas à qui il parlait et ce petit gamin pré-pubère aux hormones qui le titillaient visiblement n'était qu'un petit joueur, il n'avait rien d'assez attrayant pour que je me batte réellement avec lui, je voulais juste me le taper.

-Ils feraient quoi ? Me donnerons quelque heurs de colle peut être ? Ou..un avertissement ? C’est ce que tu es censé faire d’ailleurs, non ? à moins que tu attends autre chose de moi…

Je suppose que je m'étais faits cramé dès le départ. Je cherchais de toutes les manières pas à ce qu'il pense autre chose, c'était pas mon genre de cacher que j'ai envie de le sauter. Mais s'il pensait mené le jeu il se trompait. Il était hors de question que je laisse ce type avoir une quelconque sensation de puissance sur moi.

- Quoi ? Tu te sens puissant à jouer les rebelles ? C'est ça qui t'excite ? Braver les interdits et jouer les grands garçons ? Je faisais quand j'avais la moitié de ton âge, un peu pathétique aux tiens. Mais tu as de la chance, tu as un physique plutôt agréable.

Je lui souris le plus gentiment possible. C'était une réplique plutôt facile et sûrement un peu trop « professeur » cela m'énervait un peu. Tu perds de ta répartie Makaio, il va falloir te bouger le cul surtout avec un môme des plus chiants. Mais je le regardais toujours sans ciller, affrontant son regard assez impassible devant ses tentatives d'allumages un peu pourris : sa voie sensuelle était carrément à revoir. J'avais connu des hommes bien plus sensuels que ça.

-Si c’est le cas, sache que je vaux bien plus que cela…

Il retira son haut alors que je me redressais un peu en me rendant compte que je m'étais avachis sur le bureau. Tu vaux bien plus mais tu y vas quand même hein ? Je souris. Vraiment pathétique en un sens, si tu vaux mieux, sors de cette classe et te désapes pas devant moi comme un chien en rûte qui n'attendait en réalité que la première occasion pour provoqué. Je le laissais s'approcher de moi sans bouger, le laissant totalement faire, il m'en fallait beaucoup plus que ça pour me faire réagir, un torse nu d'adolescent n'avait rien d'intéressant en soi. Il était bien foutu, mais c'était le cas de la majorité des mecs que j'ai baisé. Ce n'était pas ça qui ferait la différence.

-Finissons en vite, j’ai d’autres queues à fouetter. 

Bien. D'un coup sec je tirais sur son poignet et le plaquais contre le bureau, m'installant dans son dos mes parties appuyant contre ses fesses. Je tenais fermement ses bras dans son dos et ma langue vint appuyer sur le bord de son épaule en s'écrasant sensuellement, mon souffle se rependait sur sa peau. Je vais te faire prendre ton pied comme tu l'as jamais pris. Je vais te remettre à ta place.

- Tu as une grande gueule pas vrai ? Mais voyons voir si tu vaux vraiment mieux qu'un petit coup de queue rapide sans saveur. J'aime pas les mecs qui parlent pour ne rien dire. Mais tu as raison, j'ai autre chose à faire que passer ma journée à m'occuper de toi.

Rapidement je descendis son pantalon à mis cuisse pour le laisser en boxer et me penchais à peine sur lui, je passais ma langue contre ses testicules que je léchais pour humidifier le tissu en appuyant à peine ma langue contre son trou. Je lui suçais les testicules un instant pour le faire gémir toujours bien appuyer contre mon bureau et totalement soumis à ce que je désirais lui faire ou non, frottant mes doigts finalement contre son trou qui se dessinait sur son boxer humide désormais. Je les poussais un peu en lui et les remuais pour appuyer contre ses parois. Il semblait étroit, cela promettait d'être agréable.

Mais je n'avais aucune envie de le satisfaire de cette manière. Il était bien plus plaisant de le faire bander pour ne le faire jouir que quand je l'aurais bien pénétré. Je l'écartais du bureau en retirant vaguement mon haut pour le poser sur le bureau très calmement, ma queue ayant à peine commencé à durcir.

- Mets-toi à genoux et défait ma braguette. Voyons voir si tu es capable ne serait-ce que de me faire bander. Puisque tu es si sûr de toi tu ne devrais pas avoir de mal à me faire jouir dans ta bouche non ?
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MessageSujet: Re: Entre dans la gueule du loup [Shin] - Yaoi (-50ans interdit) Entre dans la gueule du loup [Shin] - Yaoi (-50ans interdit) Icon_minitimeVen 23 Mai - 13:12

Entre dans la gueule du loup
Sa putain de façon de me regarder. Son ego à deux balles qui me les gonflaient. Son orgueil de grand gamin. Sa manière de me regarder. Me prendre de haut comme si je n’étais qu’un vulgaire chien, comme si je ne valais pas la peine, comme si j’étais à peine assez bien pour qu’il m’adresse la parole. Comme si je ne l’impressionnais pas, comme s’il était tout et que je n’étais rien. Rien à ses yeux, rien devant lui, pas plus qu’un adolescent vaguement intéressant, une proie à sauter. Cette pensée me fit froncer les sourcils, je n’étais pas habitué à perdre mon sang froid pour si peu, mais une chose est sûre, j’ai toujours, toujours détesté les adultes. Toujours détesté leurs monde et toujours eu un peu peur de rejoindre ce monde là, de devenir comme eux, de ne plus devenir qu’un vieillard sans passion à la vie fade et grise, grise comme leurs cheveux, comme mes propres yeux, poussiéreuse, ennuyeuse. On dit que les yeux sont la fenêtre de l’âme, mon âme est elle donc aussi grise que les miens ? Poussiéreuse et ennuyeuse ? Cette pensée me dégoûta autant que l’individu face à moi ne le fit. Il y’avait quelque chose, quelque chose chez lui qui provoquait ce coté là de moi, sa propre aura, son odeur à lui, ou peut être, tout est le fruit de mon caractère lunatique. Tout cela m’énervait, tout cela me mettait hors de moi, et étrangement, tous ces cotés là de lui me plaisaient bien, bien que ça m’énervait au plus haut point. D’habitude, je n’ai jamais aimé les gens qui s’effaçaient face à moi-même si j’ai toujours trouvé ça marrant. J’ai souvent ce genre de caractère là, ou plutôt, d’aura, imposante voire même intimidante et cela me distrait de regarder les autres dans cet état là à cause de moi. Même si à la longue, c’était assez ennuyeux. Je préfère les gens capables de dire non ou de tout simplement dire ce qu’ils pensent avec franchise. Je n’ai jamais su saquer ceux qui se contentaient de se plier aux désirs des autres tout en aimant ceux qui le fassent pour moi. En bref, c’est un peu complexe et je suis assez contradictoire en ce qui concerne ces choses là. Ce coté de là était assez effrayant, le fait d’être contradictoire est assez perturbant, on ne sait jamais ce que l’on veut vraiment. Pour une fois, je ne savais pas si je devais le laisser planté là car il m’énervait ou le laisser me prendre sur une des tables de cette classe car j’en mourrais d’envie. Dilemme. Pour un instant je ne savais que faire, et pour une fois, ses paroles me firent affreusement mal et je ne sus même pas pourquoi. Jamais les paroles de quelqu’un ne m’ont fait mal et pourtant, des insultes j’en ai reçu des milliers, et on m’a parlé mille fois plus durement, et jamais, jamais ça ne m’a effleuré, jamais ça ne m’a fait un quelconque effet, et là, j’avais cet affreux pincement ici et ça m’énervait. Pourquoi ? Si j’étais une fille, j’aurai surement dit que j’avais des règles, mais je n’ai nulle excuse.

J’avais bien raison, c’est donc ça, ce qu’il pense de moi.


Il m’agace, il m’agace, il m’agace. Et putain, j’ai envie de me le faire. C’est inhumain de ressentir deux sentiments tout à fait opposés à un même moment. D’habitude, j’aurai plus été indifférent mais là je ne pouvais pas, j’avais passé une matinée de merde et maintenant lui, apparait comme une fleur, comme la cerise sur le gâteau dans le simple but de me pourrir l’après midi en plus. Et je le savais que même si je fais quoi que ce soit, je le regretterai et amèrement. Pourquoi ? Pour mon honneur perdu. Je lui soufflai d’en finir au plus vite, car j’avais plus important à faire. Non, non, en vrai, je n’avais rien à branler d’autre à part prendre et me faire prendre. Ridicule.

Aussitôt dit, il me prit par le poigné, ou plutôt, me tira vers lui et une fois contre le bureau, il s’installa derrière moi, pressant son corps contre le mien. Je pouvais sentir son souffle chaud contre ma peau, sa voix trainante dans mes oreilles et cela ne fit que monter ma température. Colère, envie.

- Tu as une grande gueule pas vrai ? Mais voyons voir si tu vaux vraiment mieux qu'un petit coup de queue rapide sans saveur. J'aime pas les mecs qui parlent pour ne rien dire. Mais tu as raison, j'ai autre chose à faire que passer ma journée à m'occuper de toi.


Essayait-il de me défier là ? De me provoquer peut être ? à quel jeu jouait-il ? Je n’avais même pas envie de savoir, mais plus il ouvrait sa gueule plus il me mettait hors de moi et plus je me surprenais à le désirer. Quelque chose tourne pas rond chez moi, sérieux. Je n’eus pas le temps de répondre. Je sentais sa langue contre le tissu de mon boxer. Je me mordis la lèvre inférieur me retenant de réagir. Je me retenais aussi de gémir, mes je tremblais légèrement, j’en avais envie, bordel, une semaine sans avoir rien fait c’était quand même grandiose pour moi. Je devais me retenir, je ne dois pas lui montrer que…Bordel. A peine eu il inséré le bout d’un doigt en moi que je me crispais déjà, j’avais oublié à quel point cela fait mal de se faire prendre. Bien que je ne me suis fait « baisé » qu’une seule fois durant toute ma vie. Il s’était relevé ensuite, retirant son haut. Le connard, il me provoquait, c’est ça ?

Bordel.
J’ai honte.
J’ai honte.
Foutrement, littéralement honte de moi.

Je bandais déjà, et lui, rien qu’un peu. Sérieux, j’avais honte de m’exciter ainsi, tout seul en premier. Il m’énervait, vraiment.

- Mets-toi à genoux et défait ma braguette. Voyons voir si tu es capable ne serait-ce que de me faire bander. Puisque tu es si sûr de toi tu ne devrais pas avoir de mal à me faire jouir dans ta bouche non ?

D’accord, il m’énerve encore plus. Il me prend pour sa chienne ou quoi pour me parler ainsi comme si j’étais une catin. Afin de mettre les choses au clair, je commençai ;

-Tout d’abord me compare pas à toi, ton putain d’orgueil et ego à deux balles tu peux te les foutre là où j’pense.

Même si je disais ça, je me baissai. Putain, je suis vraiment con à faire ce qu’il me dit de faire, et en plus, c’est plus moi qui se fais sucé d’habitude. Sérieux se mec, il se prenait pour qui déjà ? Je défis sa braguette et baissa légèrement son pantalon. Son boxer que je m’empressais de baisser dessinait les formes de son sexe ;

-Arrêtes de me parler comme si j’étais ta pute, et ouai, tu peux rêver aussi, j’avalerai jamais, tu m’prends pour une prostituée ? C’quoi ton problème, sérieusement.

Putain, sa bite était plus grosse que la mienne en plus. La honte. Je ne sus que dire, je la pris en main silencieusement et le branla en attendant qu’il durcisse. Ma main libre vint malaxer ses testicules, puis, je m’approchai légèrement avant de lécher la base de son sexe du bout de la langue lentement. J’humidifiai tout son long avant d’en aspirer le bout l’emprisonnant dans ma bouche. Tous mes gestes étaient lents afin de le rendre impatient, il le méritait après tout. Je n’arrivais juste pas à croire que je faisais ça à sa demande, que j’étais ainsi à sa merci. Mais je n’y pouvais rien, j’en avais plus besoin qu’envie, j’aurai voulu que ce soit un autre moins orgueilleux, surtout. Quelques secondes après je pris son membre plus franchement dans ma bouche, faisant des mouvements de va-et viens. Ralentissant de temps en temps, accélérant la cadence vers d’autres. L’avoir ainsi en bouche me fit durcir davantage. C’était foutrement douloureux. Je continuai donc à la prendre encore plus profondément dans ma bouche. L’enfonçant aussi loin que je ne le pouvais. Même si je n’étais pas un suceur, mon honneur en dépendait.

Bordel. Je suis entrain de tailler une pipe à mon prof en salle de classe.



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MessageSujet: Re: Entre dans la gueule du loup [Shin] - Yaoi (-50ans interdit) Entre dans la gueule du loup [Shin] - Yaoi (-50ans interdit) Icon_minitimeVen 23 Mai - 20:03

Je voyais sa queue raide dans son boxer, il bandait déjà correctement. Cela m'amusait beaucoup quand moi je commençais à peine à réagir. Il était vraiment qu'un marmot sans expérience. Il se vantait d'être une sorte de play-boy non ? Hé bien pour le moment il ne m'en donnait absolument pas l'impression, il me faisait plus penser à un gamin sensible qu'on avait à peine touché de sa vie et chez qui tout restait à faire. Cependant j'admettais qu'avoir glissé mes doigts dans son trou serré m'avait fait bander. Il semblait bien serré, ce serait un plaisir de m'enfoncer dans ce trou, qui me serrera la queue suffisamment pour que j'éjacule. Ce n'était qu'un chiot inoffensif.

Le chiot cependant semblait un peu vexé. Quoi il s'attendait à ce que je le traite comment ? Comme mon égal ? Il pouvait toujours rêver. Il serait pour moi tout au plus un gars que je sauterais quand j'aurais rien de mieux à me mettre sous la dent, une pute sans frais. Alors je le traitais comme tel, cela calmerait un peu son arrogance. Un chiot qui abois trop c'est énervant.

-Tout d’abord me compare pas à toi, ton putain d’orgueil et ego à deux balles tu peux te les foutre là où j’pense. 

Je souriais à pleine dent. J'étais orgueilleux, j'avais aussi un ego pas mal. Mais moi j'étais un adulte, un pitbull avec du mordant. Lui n'était qu'un petit chiot mal dressé et son ego en devenant dérangeant. Mais au fond je me trompais peut-être. Il était peut-être pas si mal dressé puisqu'il obéissait sagement en se mettant à genoux devant moi en défaisant ma braguette. Je le laissais descendre mon pantalon avant de le stopper dans son mouvement pour descendre mon boxer.

- Je t'ai pas demandé de l'ouvrir, le cassais-je aussitôt. Je te demande juste de me satisfaire.

Je frottais un peu ma queue à travers le boxer contre son visage avant de le laisser le descendre et de laisser à l'air libre ma queue qui durcissait légèrement. Je passais ma main dans ses cheveux pour approcher sa tête mais visiblement je crois qu'il n'avait pas compris le principe de « je t'ai pas demandé de l'ouvrir ».

-Arrêtes de me parler comme si j’étais ta pute, et ouai, tu peux rêver aussi, j’avalerai jamais, tu m’prends pour une prostituée ? C’quoi ton problème, sérieusement. 

J'allais lui répondre quand il me fit lâcher un léger gémissement quand il saisit entre ses doigts ma queue. Il la branla longuement et je réagissais évidemment, je n'avais pas non plus des soucis d'érection. Je bougeais lentement des hanches pour venir frotter mon gland sur sa joue tandis qu'il me branlait d'une main et de l'autre jouait avec mes testicules. Je le laissais faire un instant en le regardant, totalement soumis. Il me branlait pour me faire durcir et me prendre en bouche et il se trompait s'il pensait qu'il n'allait pas avaler. Je ne lui demandais pas son avis, il me ferait juter dans sa bouche et je lui ferai tout bien prendre.

- Tu as pas besoin de parler pour faire ça, alors suce ma queue et ferme là.

Totalement obéissant il vint lécher la base de ma queue et je gémis longuement n'ayant pas du tout honte de prendre du plaisir. Il était plutôt doué pour sucer les queux. Il me le confirma en prenant le bout de mon gland entre ses lèvres et je frottais bien mon gland dans sa bouche étroite. Mon gland passait sur sa langue et son palais tandis que je regardais bien son visage de soumis avec ma queue entre ses lèvres.

Ma main passa dans ses cheveux et je l'incitais à prendre plus franchement mon membre dans sa bouche, je n'avais pas envie qu'il soit lent. Je voulais qu'il me taille une vraie bonne pipe, pas qu'il joue aux gamins langoureux qui essayent de me faire soi-disant perdre la tête cela ne marcherait pas. Je gémis plus fortement quand il fit des vas et vient sur ma queue, je le faisais régulièrement accélérer ma main dans ses cheveux en faisant moi-même de petit mouvement de hanche qui faisait glisser mon membre plus loin dans sa bouche, m'enfonçant tout au fond. J'eut un râle plus rauque alors que mon gland frottait dans le fond de sa bouche.

- Regarde moi ta queue, soufflais-je en souriant voyant son membre bien moulé par son boxer. Tu aimes me sucer la queue visiblement.

Je vins appuyer ma jambe contre sa queue un instant avant de tenir plus fermement sa tête pour l'empêcher de se dégager. Je faisais quelque allez et venu dans sa bouche de façon plus sèche et m'installait au fond de sa bouche pour me libérer. Mon sperme sortit en petite giclée dans sa bouche et je restais enfoncé en laissant bien tout couler avant de me retirer en me mettant à sa hauteur pour lécher le bord de sa lèvre où glissait un peu de salive.

- Avale moi tout ça, souris-je en plantant bien mes yeux dans les siens. Je vais m'occuper un peu de ton trou, il a l'air étroit, je rentrerais pas sans te doigter un peu. C'est dommage pas vrai ?

Sans lui laisser vraiment l'occasion de répondre je le faisais se redresser et le réappuyais sur le bureau en baissant son boxer pour me laisser voir son cul. Plutôt mignon. Je frottais un peu ma queue sur ses fesses pour l'humidité qui la recouvrait. Puis j'appuyais mon torse contre son dos en venant serrer sa queue d'une de mes mains. Je le branlais assez fermement pour le faire gémir et glisser deux doigts contre sa langue pour qu'il les humidifie et vérifié qu'il avait bien avalé.

Je les retirais cependant rapidement satisfait de la salive qui s'y trouvait. D'un petit coup sec je glissais un doigt dans son trou, appuyant bien sur ses parois. Il était vraiment étroit. Je léchais son dos sensuellement alors que mon autre main branlait toujours sa queue en de petits coups secs. J'aimais sentir ses parois serrées mon doigt et je l'agitais longuement en lui, le faisant sortir pour le renfoncer un peu sèchement.
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Shin
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MessageSujet: Re: Entre dans la gueule du loup [Shin] - Yaoi (-50ans interdit) Entre dans la gueule du loup [Shin] - Yaoi (-50ans interdit) Icon_minitimeSam 24 Mai - 17:31

Entre dans la gueule du loup
Jamais je ne pourrai oublier, tout le plaisir et le mal que j'avais du endurer à cause de lui. Plaisir, de le désirer à mort, tellement. De l’avoir dans ma bouche, de sentir ses mains parcourir mon corps. Le mal, le goût amer de mon honneur, de ma fierté perdue. De ses doigts s’incrustant en moi, et de mon esprit, de mon corps soumis au sien. Jamais je n’aurai cru pouvoir être aussi docile. Jamais je n’aurai cru pouvoir me baisser, céder à ses moindres envies comme si je n’étais que la pute qu’il se tapait sans goût et juste par pur manque. Comme si je n’étais et ne serai jamais à la hauteur de ses attentes. Comme s’il était le meilleur pour tout, comme s’il savait tout, comme s’il faisait tout de la meilleure façon qui soit. Comme si devant lui je n’étais  qu’une pucelle attendant qu’on la saute. Ça m’énervait, vraiment, qu’il agisse ainsi m’énervait mais je ne pouvais que me soumettre. Non pas de peur de faire le contraire, mais car j’en avais envie, tout simplement. Car rien n’était vraiment important pour moi en ce moment même. Ni l’honneur, ni les putains d’histoires d’orgueil. Je ne me faisais plus confiance, et il me donnait l’impression d’être là, ici, et à ses pieds, le genre de personne que je n’aurai jamais voulu devenir. Je le maudis maintes fois dans ma tête, mais je ne pouvais que le haïr à l’en aimer, car ça me faisait du bien, ça me faisait juste du bien d’être énervé. Car quand on est aussi impassible, le moindre petit sentiment, même négatif nous fait énormément plaisir. J’étais là, dans une salle de classe, suçant mon prof d’art plastique dans une salle de classe qui lui n’a même pas pris la peine de fermer la porte à clé, putain, les risques que je cours juste pour me faire baisé par un prof. Est-ce que ça en valait réellement la peine ? J’hésitais. Il continuait à me traiter comme un moins que rien et je ne pus rien dire lorsqu’il me dit de la fermer, trop occuper à lui tailler la pipe du siècle. Je faisais ce que j’avais à faire, et entendre ses gémissement me firent durcir davantage. Même lorsque je le suçais, il me dominait, et juste penser à ce qui va se produire plus tard me fit frissonner. Je n’étais pas vraiment un fan de la sodomie, enfin, surtout pas quand c’est moi qui prends tout. De ses mains, il contrôlait la cadence de mes va-et viens à sa guise. Les accélérant tantôt ralentissant d’autre, ça faisait mal, vraiment mal, mais j’étais vraiment à sa merci.


- Regarde moi ta queue, Tu aimes me sucer la queue visiblement.

Je grognai de mécontentement lorsqu’il appuya sa jambe contre mon membre. Sérieux, il avait quoi à me torturer ainsi ? Je durcis sous son toucher alors qu’il me tins violemment par la tête m’empêchant de me dégager. Le moment de la libération vint et je ne pouvais que sentir son sexe gonfler et durcir davantage dans ma bouche. Le jet chaud coula dans ma bouche et je ne pus qu’avaler.

- Avale moi tout ça, Je vais m'occuper un peu de ton trou, il a l'air étroit, je rentrerais pas sans te doigter un peu. C'est dommage pas vrai ?

Je n’avais pas mon mot à dire on dirait, je me redressai et il m’appuya contre le bureau baissant mon boxer. Je sentis sa queue dure contre mes fesses ce qui me fit gémir légèrement. Je tentais de répondre entre deux gémissements, pas résolu à me laisser traiter ainsi si facilement, des efforts et des paroles qui seraient vains sans nulle doute ;

-Tu peux aussi faire ce que t’as à faire sans me décrire ce genre de détails aussi hein.


Je fus coupé par le mouvement de sa main sur ma verge qui me fit gémir de plaisir. C’était assez brusque et je mourrais d’envie qu’il me prenne, là et maintenant. Il me présenta deux doigts que je m’empressai d’humidifier. Je me mordis la lèvre lorsqu’un de ses doigts vint s’introduire en moi, c’était étroit, bordel, et ça faisait foutrement mal. Le contraste du plaisir que me procurait sa main et de la douleur dont mon pauvre cul souffrait était un cocktail assez jouïssif, à croire que je me découvrais un coté maso. Je sentis sa langue glisser le long de mon dos et mes mains appuyaient fermement sur le bureau face à moi.  

Mon corps avait commencé à s’habituer à la présence de ses doigts en moi et le plaisir était donc devenu double, je me retenais de gémir mais je ne le pus. Je me plaquais la main contre ma bouche de crainte que l’on puisse m’entendre au dehors. Soudain, j’entendis des pas au dehors, des pas s’approchant de la porte ;

-Bordel, dis moi que t’as fermé la putain de porte à clé, tu l’as fait n’est ce pas ?


Je ne pus me retenir, mon érection devenait douloureuse et  la sensation de ses doigts en moi me rendait fou de désir. J’étouffai mes gémissements, attendant que les pas s’éloignent. Je soupirai  de soulagement quand le bruit fut lointain. Ça me tuait, ça me tuait l’orgueil de le dire.

- Putain, prends-moi, j’en peux plus.


J’ai foutrement honte.

-Et tu..T’appelles comment déjà toi ?


Rectification; Je me fait baisé par mon prof auquel je connais même pas le nom.




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