La bibliothèque, lieu où un calme règne. Je me dirige d'un pas lent vers la bibliothèque. Je m'étais un peu reposé dans ma chambre, mais je devrais me remettre à étudier quoi de mieux qu'un endroit rempli de livres pour le faire ? J'avais besoin de lire et d'apprendre des nouvelles informations sur ce pays qui est la France. J'en ai vraiment envie, j'aime trop savoir pleins de choses sur tout sauf sur les autres personnes, les humains ne m'intéresse pas, il a que la culture, le sport et moi qui m'apporte le reste est inutil dans ma vie. Il n'a aucun sentiment dans ma vie, il n'a rien que du plaisir charnel avec homme comme femme. Pas d'amour, pas d'amitié, je n'ai aucunement besoin de cela, en plus c'est que des émotions qui s'extompent un jour, alors que avoir un organsme est présent à chaque fois qu'on à un rapport sexuel. Bref ce n'est vraiment pas le moment de penser au sexe déjà que mon colocataire m'avait donné une envie folle de le faire, il ne fallait pas que j'y repense ou bien je vais sauter sur quelqu'un et non merci, je n'avais pas envie de le faire là, mais de pouvoir étudier la socièté du pays où je vais vivre jusqu'au moment où mes géniteurs soient dans une prison d'Australie. J'entre dans la bibliothèque, elle est immense, remplit de livres en tout genre. Je vais vers le rayon de géographie, prend un livre entièrement dédié à la France. Je regarde les tables, ils n'en restent aucune de libres. Je devais aller à une table occupé, mais laquelle ? Je me souviens qu'une personne ne c'est pas retourné quand je suis arrivé, oui j'avais fait sensation, on m'avait reluqué comme pas possible sauf un garçon. Je vais donc à sa table, je sais que comme ça je ne vais pas être gêné. Mon estomat se tord quand j'arrive à sa hauteur. Il est beau, des cheveux blancs comme la neige, des yeux chocolat qui me donne envie de m'y plonger. Il n'a pas l'air d'être grand, mais bon je ne peux pas juger tant qu'il ne se lève pas. Il est habillé d'une chemise avec une cravatte, ça ne doit pas être un élève. Je veux m'enfuir, mais je suis trop fière pour ça.

-Puis-je ?

Je n'attends pas de réponse et je m'assoie enface de lui. Je commence à lire mon livre qui ne m'intèresse plus tant que ça, mais bon je suis venu pour étudier ce pays, non pour matter une personne. Je soupire tellement que je change d'avis vite, mais il faut que je me concentre sur ce fichu bouquin si je veux pouvoir retenir quelque information. Je m'y replonge en me forcant, ça marche plutôt bien, mais je sens que ça va être pour d'une courte durée. Je ne sais pas ce qu'il va m'arrêter, mais ça ne va pas être bon pour moi, j'aurais du resté dans ma chambre. Bon dans ma chambre, il avait l'autre, alors quesqu'il aurait été mieux ? Je ne sais pas peut-être que j'aurais mieux fait de me trouver un endroit calme ? Mais c'est un endroit calme la bibliothèque, alors pourquoi j'ai peur que quelque chose arrive ? La douleur dans mon ventre ? Non ça ne peut pas être ça vu qu'elle était là quand je suis arrivé près de lui. Oui c'est lui, qui va me brisser ma lecture, et merde j'ai mal choisi ma table.

Je n’avais dormi que deux heures cette nuit. Les élèves avaient décidé de faire du chahut, du coup ma ronde avait duré jusque 5 heures du matin. Puis je m’étais endormi, et réveillé à 7 heures par un autre surveillant. Ce que je pouvais détester ce job…

Comme je ne surveillais que le pensionnat, j’avais ma journée de libre. Je me décidais d’aller à la bibliothèque. J’avais enfilé une chemise et une cravate, les premiers trucs qui sortaient de ma valise. Et je m’étais assis à une table pour lire un livre sur la mythologie.

Étrangement, je n’avais aucune envie de sexe. Non. J’avais couché avec un homme la veille, et encore avec un autre deux jours auparavant. Donc mes pulsions étaient plus ou moins calmées, ce qui ne m’empêchait pas de reluquer les gens qui passaient devant moi. Je m’assis à une table déserte, pour mieux me concentrer. Après tout, je devrais me relancer dans des études si je voulais un meilleur travail. Et je comptais bien devenir professeur de latin, ou d’histoire peut-être…..

- Puis-je ?

La voix me fit sursauter, et je regardais l’adolescent aux cheveux noirs qui venait de s’assoir devant moi. Et ce mec est sexy. Hyper sexy. Je ne pus m’empêcher de le fixer longuement, mes pensées perverses commençant à reprendre le dessus. Il voulait me séduire en s’asseyant là ? Et bien il allait avoir ce qu’il voulait.

Non, une minute. Je l’avais déjà aperçu. C’était un élève. Je ne pouvais pas me permettre de le toucher. Mais il était tellement bandant… Mes pensées, entre perversion et raisonnements, s’entrechoquaient dans ma tête. Putain. Que faire ? Je me replongeais dans ma lecture, le visage en feu. C’était qui ce mec, sérieux… Je ne rougissais jamais, ou alors, je faisais semblant d’être gêné. Mais là….

J’essayais de me concentrer sur ma lecture, mais j’étais déjà trop occupé à l’imaginer en train de me sauter violemment. Ce qui m’excita au plus haut point. Merde, merde, merde !!!

Mon pied obéit soudainement à mes pensées, et il s’aventura vers lui, touchant sa cuisse et sa jambe, tandis que j’étais tout rouge en train de faire mine de lire.

Je lui demande si je peux, mais de toute façon je n'attend pas de réponse de sa part. La place n'a aucun nom écrit dessus, alors si je veux me mettre là, je me mets là, il n'a pas son mot à dire. Je ne suis pas d'humeur sympathique, je ne le suis déjà pas, mais là je dois battre mes records, mon fichu colocataire m'a mit en rogne à faire comme-ci que je suis un violeur, mais je dois bien avouer qu'il est beau, alors j'ai envie de baiser, mais je ne dois pas me laisser distraire par le sexe. J'ai mon livre qui m'attend. Je commence ma lecture, mais je sens le regard de l'autre homme sur moi. Je ne dis rien, je l'avais aussi regardé, alors ça ne me gêne pas qui me matte et maintenant j'ai l'habitude d'avoir tous les regards sur moi et j'adore ça. Je continue à lire le contenu du livre sans grande concentration, mais je retiens quand même des brides de ce que je lie.

Je stoppe net ma lecture quand je sens son pied sur ma cuisse, je lâche un grognement, s'il voulait m'allumer il pouvait faire ça dans les règles non ? On drague une personne avant de l'allumer et de la mettre dans son lit, mais lui on dirait qu'il veut passer ue étape et moi ça ne me convient pas du tout et il faut que je lui dis.

-Voyons, vous ne consonnez pas la drague ? On allume une personne après avoir fait ample connaissance avec elle.

Je lui dis ma phrase sur un ton taquin, mais merde, je voulais être agressif pas gentil, pff mais forcément il faut que mes habitudes me faut rester courtois malgrès mon énèrvement. Pourquoi il faut que je ne sois jamais méchant en public ? Car sinon ça donne une mauvaise image de moi. Putain pourquoi je suis trop fière pour casser mon image du gentil petit garçon ? Peut-être, car j'ai tout ce que je veux grâce à cela ? Oui c'est ça, j'aime trop qu'on fait tous mes caprices seulement, car j'ai l'air d'être si mignon qu'on ne peut rien me refuser, il a seulement une personne qui arrive à résister à mon charme et c'est mon mamanger. Ah ben voilà une autre personne qui m'a énervé aujourd'hui. C'est la fête ? On dirait oui, mais bon je n'y peux rien et pourquoi je n'enlève pas son pied de ma cuisse ? Euh, car j'ai envie de baiser ? Exact, mais je ne veux pas le faire sans le connaître, oui je sais que j'ai des règles débiles, mais je ne fais rien avec une personne sans avoir une conversation avant avec lui. Bon maintenant il a une autre personne qui sait que je ne suis pas un hétéro, bon je ne cache à personne que je suis bisexuelle, mais bon en 1 journée, il aura déjà deux personnes au courante, ça va vite faire le tour comme quoi que je n'aime pas que les filles, mais bon je laisse planer les on dit.

Mon pied était comme détaché du reste de mon corps, je ne voulais pas faire ça, je ne voulais pas le toucher putain. C’était un étudiant. Mineur ou majeur, c’était un étudiant. Je n’avais pas le droit de faire ça, et je n’en avais même pas la moindre envie. Mon visage rouge de honte se cache dans mon livre sur la mythologie, alors que mon pied, incontrôlable, s’aventurait toujours sur sa cuisse. Il n’allait pas tarder à me le faire remarquer, et j’allais avoir des problèmes. Mais merde, pourquoi j’étais rouge ? Et pourquoi je ne pouvais pas me contrôler ???

- Voyons, vous ne connaissez pas la drague ? On allume une personne après avoir fait ample connaissance avec elle.

Je murmure un « excusez-moi » à peine audible. Et je rajoute :

- De toute façon je ne peux pas te toucher, tu es un élève…

Mais mon pied ne veut toujours pas m’obéir, s’aventurant plus haut, toujours plus haut, jusqu’à atteindre… Gloups. Je deviens encore et toujours plus rouge. Je ne voulais pas l’atteindre là, et d’un coup sec j’enlève mon pied, plus que mort de honte. Ce genre de choses ne m’était jamais arrivé. Pourquoi mon corps ne m’avait plus obéi pendant ces quelques secondes ? S’il venait à le rapporter à la directrice, je me ferais renvoyer. Et j’avais besoin de ce job, moi. Pour me repayer des études stables, pour trouver un poste de professeur. Et si je me faisais renvoyer à cause de ça… Ma vie était foutue.

Je me décidai à partir, mort de honte. Je me levais, prenant mon livre au passage et le remettais sur son étagère avant de me diriger vers la porte de la bibliothèque, tête baissée.

Mais merde.

Il pose son pied sur ma cuisse, mais merde il me fait quoi ? Il veut m'allumer en pleine bibliothèque ? Non, mais ça ne va pas se passer comme ça. Je veux un minimum de respect pour mon corps. Il est tellement parfait que je ne vais pas lui donner sur un plateau d'argent quand même. Il ne faut pas rêver, je ne suis pas un garçon facile, ah oui, alors pourquoi je n'enlève pas son pied de ma cuisse ? Euh je sais, car j'ai envie de le faire ? Oui peut-être, mais ce n'est pas de ma faute s'il a fallu qu'avant je tombe sur un mec super sexy dans ma chambre, ah oui et ce mec sexy qui est dans ma chambre est mon colocataire, il m'a énervé, alors je ne suis pas d'humeur à rigoler. Je vais dans un endroit qui est la bibliothèque et il faut encore que je tombe sur un garçon super mignon et qu'il me met son pied sur ma cuisse. Comment voulez-vous que je me retiens de ne pas lui sauter dessus ? Avec un grand contrôle de malade qui pourrait s'envoler à n'importe quel moment, bon en espérant pour lui que j'arrive à me contrôler jusqu'au bout, mais c'est mal parti, je vous jure, je vais lui sauter dessus s'il continue à me caresser la cuisse. Il faut que j'agis, je ne peux pas le sauter dans une bibliothèque quand même.

-Voyons, vous ne connaissez pas la drague ? On allume une personne après avoir fait ample connaissance avec elle.

Il me demande pardon, mais je m'en fous de son excusez-moi, je veux seulement qu'il enlève son pied de ma cuisse ou je ne réponds plus de mes actes et après il se démerde si je le baise sur le sol, mais je dis quoi moi. Je ne peux pas faire cela ces contraire à mes étiquettes. Je ne baisse pas une personne sans la connaître un minimum et encore moins dans un endroit public ou tout le monde pourrait nous mater, ce n'est pas que je me trouve laid, loin de là, mais j'aime que mes activités restent secrètes aux yeux des personnes que ça ne concerne pas.

- De toute façon je ne peux pas te toucher, tu es un élève…

Bien sûr que je suis un élève, mais je suis en âge de faire ce que je veux de ma vie, alors ce n'est pas parce qu'il travaille ici que je ne vais pas lui sauter dessus. Il me dit ça, mais pourquoi son pied remonte encore plus haut ? Il arrive sur mon sexe. Mon sexe commence a bandé et merde je suis dans un lieu public. Pourquoi il faut que m'excite avec des idées comme le baiser sur l'une des étagères remplient de livres ? Son pied s'enlève d'un coup sec de mon entre jambe, je déglutis. Il me donne envie et il arrête, ce n'est pas du jeu. Il se lève, non c'est impossible qu'il me laisse comme ça. Personne ne me l'a jamais fait et ce n'est pas maintenant que ça va commencer. Je le laisse reposer son livre sur l'étagère, mais je me lève quand il se dirige vers la porte. Je lui tire le bras. On est caché par les étagères de livres, alors je pose mes lèvres doucement sur les siennes et je lui dis:

-Ne me laisse pas après m'avoir touché. Tu dois assumer tes actes.

Sur ses paroles je glisse ma main en dessous de son maillot. Je le caresse au bord de son pantalon et parfois je laisse ma main glisser à l'intérieur. Je ne sais pas comment il va régir, mais bon tant pis, il m'a excité et je dois me venger un petit peu même si je sais qu'après je vais être frustré de ne pas avoir plus que quelques caresses, mais bon qui sait peut-être qu'on partira de la bibliothèque pour faire plus que des caresses.

Je dois me casser, et au plus vite. Si ça continue, je vais vraiment me faire virer, et j’ai plus que besoin de ce job. Je remets rapidement le livre sur l’étagère, je ne sais même pas si c’est la bonne, à vrai dire je m’en fous. Tout ce que je veux, c’est partir au plus vite, en espérant que l’étudiant n’ira pas me dénoncer auprès d’un de mes supérieurs. S’il le faisait, j’aurais du mal à me démentir ses propos. Et je me ferais virer. Et je ne pouvais pas me faire virer pour ça. Non, le mieux était de partir sans demander son reste.

J’entendis le bruit de chaise qu’on repousse pour se lever, et j’accélérais le pas en espérant que ce n’était pas lui. Même si je savais, au fond de moi, que c’était ce type qui venait de se lever pour me rattraper. J’étais foutu, foutu, foutu. Son bras me tira vers une étagère d’où on ne pouvait pas nous voir, et ses lèvres se posèrent doucement sur les miennes, me faisant devenir plus rouge qu’un chili con carne. Putain, mais c’était qui ce mec ?

- Ne me laisse pas après m'avoir touché. Tu dois assumer tes actes.

J’aurais voulu lui murmurer que c’était complétement involontaire, mais sa main ne me laissa pas continuer, se glissant simplement sous ma chemise, me faisant gémir malgré moi. L’autre s’aventura près de mon pantalon, rentrant quelques fois dedans, m’arrachant des soupirs de bonheur. Attendez. Non, non, je ne pouvais définitivement pas faire ça.

- A-Arrête.. Si tu continues, je vais me faire virer.. Je suis désolé…

Je posais mes mains sur son torse pour le forcer à reculer, mais malgré qu’il soit étudiant, il était quand même lourd à déplacer. C’était la première fois que je refusais du sexe, mais avec lui je ne pouvais tout simplement pas. Je n’en avais pas l’air, mais j’avais quand même quelques valeurs.

- Je l’ai fait inconsciemment, lâche-moi… Je ne veux pas perdre mon travail.

Les larmes perlaient au coin de mes yeux. Merde, je ne pouvais pas pleurer pour ça, même si j’allais sans doute le faire. Pourquoi mon pied avait-il eu besoin de dévier du sol et d’aller toucher la cuisse et l’entrejambe de ce type ? Ou même, pourquoi avait-il eu besoin de s’assoir à ma table, hein ? Je n’avais rien, non rien demandé pour ça. Il était en un sens aussi coupable que moi. Mais devant la directrice, ce serait certainement moi le coupable. Et lui l’innocent.

Mon membre commençait de plus en plus à se réveiller au fil de ses caresses et je sentais peu à peu que je n’allais plus tenir très longtemps. Il fallait qu’il me laisse partir maintenant, vu que je n’arriverais sans doute pas à m’échapper par mes propres moyens. Je lui jetais un dernier regard suppliant. S’il s’obstinait après ça, il serait seul responsable de ce qui allait arriver.

Autrement, ce serait de sa faute si je venais à le laisser me sauter.

Il se lève pour partir. Je me pose encore des questions sur pourquoi il m'a allumé et surtout sur le pourquoi il veut s'enfuir après m'avoir fait ça. Je ne suis pas une personne moche, bien au contraire, alors c'était quoi le problème ? Me pensait-il mineur ? Peut-être bien, mais je ne le suis pas, je peux faire tout ce que je veux avec qui je veux et là c'est lui avec qui j'ai envie de faire. J'avais déjà eu envie un peu avant d'arriver dans la bibliothèque, mais j'étais venu pour me calmer en lisant un livre sur la géographie. Enfin mon idée est tombée à l'eau quand sa jambe est venue sur ma cuisse, ça ne me gêne pas tant que ça il est vraiment très mignon dans son genre et il a l'air d'être une personne si fragile en apparence que j'ai envie de pouvoir le protéger. Ce n'est pas dans mon genre de vouloir protéger quelqu'un, mais bon il m'a troublé, alors on va mettre ça sur mon trouble. Quand je vois qu'il marche vers la porte de bibliothèque, je me lève instinctivement, mon corps ne veut pas le laisser partir, alors je l'écoute.

Je le pousse dans un coin de la bibliothèque, nous sommes cachés par les livres, alors je peux lui faire ce que je veux, personne viendra nous déranger. Je sais très bien que s'il me demande de le lâcher je le ferais, mais il faut que je me venge au moins un petit peu. Je l'embrasse doucement, mais j'arrête vite le baiser. Je lui dis que ce n'est pas bien de me laisser après m'avoir allumé et qu'il faut qu'il assume ses actes. Je sais qu'il va vouloir répliquer, alors pour pas qu'il le fait je glisse l'une de mes mains dans son maillot pour qu'elle caresse l'un de ses tétons et l'autre je le place au-dessus de son pantalon en la rentrant quelques fois à l'intérieur. Il gémissait, ça voulait dire que j'avais réussi à l'avoir non ?

- A-Arrête.. Si tu continues, je vais me faire virer.. Je suis désolé…

Je n'ai rien réussi du tout, il me demande d'arrêter à cause de son travail. Pourquoi a-t'il peure qu'il se fait virer ? Il ne me force pas à ce que je sache et c'est moi qui à décidé de le retenir. Pourquoi j'ai fait ça ? Car personne ne me rejette, on ne peut pas le faire, c'est injuste si on me fait ça. Il essaye de pousser, je suis mince, mais bon pour lui qui est plus petit que moi en carrure, il n'y arrivera pas. Je me demande si je le fais ou pas, je sais très bien que je ne pourais pas le baiser s'il ne le veut pas. Je suis peut-être un salopard, mais j'ai des principes. Enfin avec lui j'en avais déjà brulé un "ne pas toucher une personne sans la connaître".

- Je l’ai fait inconsciemment, lâche-moi… Je ne veux pas perdre mon travail.

Inconsciemment peut-être, mais on ne dit pas que l'inconscience fait ce qu'on veut vraiment faire, mais qu'on a peur de le faire ? Son travail encore, mais il a quoi de si important son travail ? Et il n'a pas de danger de le perdre son fichu travail si on nous surprend j'aurais seulement à demander à mon manager qui fait aller ses connaissances pour que monsieur reste surveillant et on en parle plus. Il a des larmes au coin de ses yeux, je m'arrête de toute façon j'ai à lui parler et je ne vais pas faire cela en le touchant.

-Calme toi s'il te plaît et laisse-moi parler avant de t'enfuir. Premièrement j'ai l'âge pour faire des choses sexuelles avec qui j'ai envie et si la personne a envie. Deuxièmement tu n'as pas à t'en faire pour ton boulot, je n'irais le dire à personne et si on nous surprend je connais une personne qui connaît des personnes, alors tu ne le perdras pas.

Je me décale de lui. Je lui laisse le choix de rentrer dans un jeu de sexe ou de partir. Enfin normal j'avais du le chauffé avec mes caresses, alors j'espère que je lui ai donné envie comme ça il restera avec moi et on pourra parler un peu pour que je ne saute pas ma règle numéro 1.

- Calme-toi s'il te plaît et laisse-moi parler avant de t'enfuir. Premièrement j'ai l'âge pour faire des choses sexuelles avec qui j'ai envie et si la personne a envie. Deuxièmement tu n'as pas à t'en faire pour ton boulot, je n'irais le dire à personne et si on nous surprend je connais une personne qui connaît des personnes, alors tu ne le perdras pas.

J’essaye d’interpréter tout ce qu’il me dit, mais je n’arrive à en tirer que le strict principal. D’abord il est majeur, certes, mais ça n’en reste pas moins un élève. Ensuite il n’est pas du genre à cafter, donc ça va, et si on nous surprend, il a des relations… Je ne sais pas quoi faire, la bosse dans mon jean m’intimant de me faire sauter au plus vite et mon cerveau me disant de me casser au plus vite. Je réfléchis à toute allure tandis qu’il s’éloigne de moi, me laissant visiblement le choix entre rester et me faire sauter entre ces étagères ou partir et faire comme si rien de tout ça n’était arrivé. Mon regard se promène sur lui, sur la bosse qui dépasse de son jean et sur son visage irrésistible…

Je soupire, j’ai fait mon choix. Peut-être que je le regretterais à un moment, mais ce n’est pas si grave. Je m’approche quelque peu, le plaquant à son tour contre l’étagère, quand on sait que c’est moi le plus petit des deux, c’est marrant que j’ai soudainement le dessus… Je plaque délicatement ma bouche contre la sienne et j’accroche mes mains à ses épaules. Je me sens bien en cet instant, presque aux anges. Quand soudain une pensée me frappe.

J’ai le dessus. J’ai pris moi-même la règle de l’embrasser. Et je ne fais jamais ça d’habitude. Je suis toujours un gros passif, c’est dans mon jeu, dans mon rôle. Alors pourquoi l’ai-je embrassé comme ça ?

Je me détache, plus que rouge, en le regardant droit dans les yeux.

- Désolé, je fais jamais ce genre d’initiative d’habitude.

Mais merde ! Je viens clairement de lui avouer que je suis un mec à hommes, une pute au masculin. Alors que je viens de le rencontrer. Et puis ce n’est pas ma faute, il me fait avoir des comportements que je n’aurais jamais en temps normal. Je repense à ce qu’il m’a dit plus tôt, comme quoi on doit faire connaissance avant de coucher ensemble. Peut-être que si je veux le faire avec lui, je dois d’abord me présenter normalement ?

Allons bon, voilà que maintenant je veux coucher avec lui. Non mais n’importe quoi. Je soupire et lui lance un petit sourire qui, pour une fois, n’a rien de factice ou de joué. Il est sincère. Tout du moins, en partie.

- Je m’appelle Hajime au fait. Et j’ai 22 ans, je suis surveillant du pensionnat.

Ça ne me ressemble pas du tout de perdre mes moyens comme ça et de sourire sincèrement, mais que voulez-vous ? Ce gars me trouble..

Je lui demande de se calmer bon je ne suis pas très calme non plus, mais j'ai une réaction moins possesive que lui à cause de simples caresses et bon je suis désolé, mais s'il voulait pas que je le touche, il ne fallait pas qu'il se retrouve sur mon chemin et encore moins son pied sur ma cuisse, mais comme il l'a dit c'était de l'inconscience, mais pour moi ça veut dire que c'est un désir enfuie au plus profond de lui qui est ressorti. Je lui explique que je suis majeur et que je connais des personnes au cas où on se ferait surprendre. D'habitude je m'en fiche de faire perdre un emploi à quelqu'un, mais lui je n'ai pas envie qu'il le perd, je veux surement pouvoir le revoir et faire des choses sexuelles encore et encore, mais bon déjà faudrait qu'il accepte de rester avec moi pour le moment ce qu'il n'avait pas l'air de vouloir avant que je me mets à parler, mais a t'il changer d'avis ? Je me recule de lui, je lui laisse le choix de partir ou d'apprendre à me connaître et peut-être de découvrir mon lit, mais pour le moment je veux seulemet pouvoir parler.

Mon dos claque contre l'étagère, il m'a poussé et comme je pensais, je n'ai pas pu rester à ma place d'origine. Il doit surement penser qu'il a le dessus et je dois bien avouer que je suis soumis à lui en ce moment. Il m'embrasse délicatement, ses mains passent dans ma nuque, j'approfondis notre baiser, mais sans le pousser trop loin, je brûle déjà mes règles, alors il ne faut pas trop m'en demander pour le moment. Pour le moment ? Bon oui je vais me l'avouer, je veux coucher avec lui, mais je ne peux pas faire ça. Pourquoi ? Car j'ai envie de pouvoir le connaître, mais pas seulement des informations comme son prénom et son âge, je voudrais bien savoir pourquoi il tient tant à son travail. Je ne sais pas le pourquoi, mais quand il a refusé de coucher avec moi à cause de son boulot ça ma fait comme une giffle que l'on se prend en plein visage.

Il se détache de moi, la chaleur de ses bras qui m'entouraient me manque. Pourquoi sa chaleur me manque-t-elle ? Nous sommes restès si peu en contact que c'est impossible que son corps me fait un quelquonque effet, alors pourquoi donc ? N'ai je pas reçu ce que je voulais ? M'a-t-il ensorcelè avec son charme ? Commencerais-je à avoir des sentiments autres que l'envie de m'amuser ? Pourquoi me pose-je ses questions, alors qu'il me regarde dans les yeux ? Des yeux chocolats qui me donne une envie de nourriture, mais surtout de les regarder pendant chaques secondes qui passent. Mes mains voyageraient sur ses cheveux blancs comme de la craie. Ma peau se collerait contre la sienne pour l'animer d'un désir ardant qu'on ne pourrait contrôler. Mon corps ne ferait plus qu'un avec le sien. Mon âme ne lui appartiendrait rien qu'à lui pour toujours. Quesque je dis moi ? Je ne veux pas être à lui, je ne suis à personne, le trouble qu'il a posé dans mon esprit tantôt est encore là ? Je ne penserais pas à cela sinon ? Je ne peux me donner à quelqu'un, je suis mon libre arbitre, je vole au grès de mes envies, alors que lui il est attaché à ce métier pour pouvoir avancer dans la vie ? Beaucoup de questions , mais si peu de réponses.

-Désolé, je fais jamais ce genre d’initiative d’habitude

Il ne prend pas ce genre d'initiative d'habitude ? En gros il n'embrasse pas par lui même, mais les autres le font pour lui. Je m'énerve, je râge contre tous ses personnes qui l'on touchait et qu'il n'a pas rejetté, alors que moi il m'a envoyé un peu sur les roses. J'ai du argumenter pour qu'il se laisse venir entre mes bras. Ne suis-je pas bien pour lui ? J'ai fait quelque chose de mal ? Suis-je si repoussant que cela ? On m'a toujours dit que j'étais beau, m'a-t-on menti ? J'aurais vécu dans l'ignorance total ? Le monde c'est-il mit contre moi ? Pourrait-il que c'est seulement de la jalousie ? Mais si je ressens ce genre de chose, ça voudrait dire que j'ai des sentiments ? C'est impossible, je n'en ai jamais eu avant, alors en même pas 1 heure pourquoi en aurais-je ? Le coup de foudre n'existe pas, c'est une invention que l'on a faite pour faire croire en l'amour avec un grand a. Tout le monde veux trouver la perle rare, mais il n'en a pas, ça n'existe pas, les âmes soeurs sont des conneries qui nous font devenir des personnes romantiques, alors que le plus important c'est ce que tu peux avoir d'une relation avec quelqu'un.

- Je m’appelle Hajime au fait. Et j’ai 22 ans, je suis surveillant du pensionnat.

Hajime, ça sonne si bien sur ma langue Ha-ji-me. J'ai envie de pouvoir crier son prénom encore et encore dans une létanie sans fin. Dans un monde que personne ne peut me voler qui est le pays de mes rêves. Je penserais à nous dans un lit et moi entrain de me faire chevaucher par ce magnifique corps qui gémisserait à chaque fois qui rentrerait en moi, car je suis étroit. Je secoue la tête, il ne faut pas que je commence à penser à cela avant de connaître encore plus d'informations sur lui. Nous avons 3 ans de différences, garde-je cette information pour moi ou il va réussir à faire abstraction de 3 petites malheureuse années ? Je me doutais très bien qu'il était un surveillant, je l'ai vu à mon arriver entrain de mettre des heures de retenues à une jeune fille de 16 ans. Enfin je voudrais plutôt savoir s'il a un(e) copain ou copine et s'il est bisexuel ou seulement homosexuel. Ce n'est pas que ça me dérange en quoi que ce soit qu'il aime les deux sexes, mais ça me fait plus de personne à éliminer pour pouvoir l'avoir plusieurs fois dans mon lit.

-Alors moi c'est Sam. J'ai 19 ans et je suis étudiant en 2éme année de prépra. Je viens d'Australie pour certaines raison. Je suis celibataire et j'aime bien homme comme femme. Je pense que c'est tout pour une présentation vite faite, mais je voudrais bien pouvoir te connaître plus avant d'aller plus loin.

Je l'embrasse doucement sur la joue et je lui caresse de ma main droite ses cheveux de couleur neige. Je lui sourie à mon tour d'un sourire sincère, alors que d'habitude il cache des mauvaises attentions, mais pour une fois je n'ai rien derrière la tête.

Je lui ai clairement avoué que je couchais avec des tas d’hommes, généralement plus âgés. Pour faire diversion, je me présente aussi rapidement que je peux, mes joues en feu. Je n’ai pas envie de faire mauvaise impression face à lui. D’habitude je ne discute jamais avant de coucher. Mais non, pas avec lui. Avec lui, j’ai envie d’être la personne parfaite, sous tous les angles, d’être le genre de personne qui ne pourra jamais le décevoir. Pourtant je viens tout juste de le rencontrer, et, jusqu’à preuve du contraire, il reste un plan cul. Un flirt au pire. Mais c’est tout, et je ne pense pas que ça ira vraiment plus loin.

Le fait de lui dire mon âge peut installer une barrière entre nous deux. Il a peut-être tout juste 18 piges et se croit déjà adulte. Mais à priori je ne risque rien. Et je veux à tout prix sentir une nouvelle fois ses mains sur ma peau, et ses lèvres contre les miennes. Ça fait terriblement romantique guimauve, mais que voulez-vous, cette sensation qu’il m’a procuré, mélangeant gêne et plaisir, m’a enflammé au plus haut point. Et dieu sait ce que je donnerais pour ressentir une nouvelle fois ce sentiment dans lequel je sens que je pourrais me perdre facilement…

- Alors moi c'est Sam. J'ai 19 ans et je suis étudiant en 2éme année de prépa. Je viens d'Australie pour certaines raisons. Je suis célibataire et j'aime bien homme comme femme. Je pense que c'est tout pour une présentation vite faite, mais je voudrais bien pouvoir te connaître plus avant d'aller plus loin.


Alors il n’est pas si jeune que ça en fait, nous n’avons que 3 ans de différence. Bon, d’habitude je préfère être le plus jeune dans des plans sexuels, mais je peux bien contourner la règle non ? Juste une fois. Et puis, on doit tester avant de dire qu’on n’aime pas. Le fait qu’il est célibataire me paraît assez logique, s’il avait eu quelqu’un il m’aurait giflé ou tabassé sur le champ. Et il préfère les hommes comme les femmes. Ça ne me dérange pas nécessairement. En fait, j’ai déjà essayé avec une femme. C’est bon, certes. Mais pas autant qu’avec un homme, brutal et doux à la fois. Je me perds dans mes pensées les plus obscènes. Je suis un vrai pervers, je le sais, mais ça ne me dérange pas. J’assouvis ma soif d’affection et de sexe comme je peux, et ça ne dérange pas non plus les autres. Donc tout va bien non ?

Son baiser sur ma joue me ramène à la réalité, tandis que sa main droite caresse mes cheveux. Je réponds à son sourire qui me parait assez vrai pour mériter quelque chose en retour. Puis je me blottis contre son torse, par simple envie de ressentir de nouveau son toucher.

- Je suis également célibataire, mais je n’aime que les hommes. Je…

Je me demande si je dois lui dire. Lui dire que je couche facilement, très facilement. J’hésite. Incroyablement. J’installe un silence presque gêné entre nous deux. Je respire discrètement son odeur à travers son T-Shirt, puis je me décide à continuer.

- Je suis frivole. On me met facilement dans son lit, et ça ne me déplait pas pour autant. J’aime qu’on me domine en fait.

Je ressers mon étreinte, avant de me rendre compte que le serrer comme ça est stupide. Il ne va pas partir. Je peux bien le garder auprès de moi sans pour autant le coller ainsi. Je me détache pour lui donner un baiser sur ses lèvres, baiser étrangement doux. J’ai dû me hisser sur la pointe de mes pieds pour le lui donner, en plus. J’espère qu’il pourra donc… Me faire tout ce à quoi je pense en ce moment.

Nous avons 3 ans de différences, ce n'est pas beaucoup pour moi, j'ai déjà couché avec plus âgé, alors ça ne me gêne aucunement et j'aime bien coucher avec des personnes qui ont de l'espériene. Les vierges m'attire physiquement parfois, mais je ne vais pas plus loin qu'une attirance physique. Je laisse les autres s'occupaient de leur apprendre les bases du sexe. J'adore les hommes qui aime essayer de nouvelles choses pour les filles je suis plutôt pour elles qui sont timides devant un public, mais quand elles arrivent dans mon lit sont de vraies déesses. Enfin bref pour le moment je suis avec lui. Lui qui me donne des envies de lui faire l'amour sur ses étagères pleines de poussières. Stop j'ai dit faire l'amour, mon cerveau doit merder, je veux dire le baiser comme une chienne en manque d'affection.

Je n'étais pas obligé de lui dire que j'étais célibataire, mais bon maintenant il a tellement de personne qui trompe la personne avec qui elle sort que je préfère le lui dire pour pas qu'il croit que je me joue de lui. Bon oui je joue avec lui, mais ce n'est pas un jeu ou je trompe la personne avec qui je suis en couple. Je suis libre de tous sentiments, je n'aime pas, alors il n'a aucun danger que je sois infidèle à quelqu'un et je ne suis pas une personne qui s'engage avec une autre. Après si je trouve chaussure à mon pied peut-être que j'accepterais d'avoir une relation suivi, mais pour le moment ce n'est pas le cas, je vais d'une personne en une autre et ça me convient très bien comme ça.

Je lui ai aussi parlé de mon côté bisexuel. Bon il devait se douter que les hommes me plaisent vu que je n'ai la pas tapé quand son pied était sur ma cuisse et pendant un court moment sur mon entre-jambe. Pourquoi avait-il mit son pied au lieu de sa main ? Euh, question idiote, il était en face de moi ça main n'aurait pas pu venir me caresser. J'ai envie que l'une de ses mains parcoures mon sexe de haut en bas et que je gémis pour les sensations qu'il me fait ressentir. Il ne pouvait pas savoir que j'étais attiré aussi par les filles, mais je préfère être honnête avec lui sur mes orientations. C'est quand même soulant que j'ai envie de lui dire toute la vérité sur moi. Il a besoin de savoir seulement le stricte minimum, mais non moi j'ai envie de lui parler de mes parents, alors qu'on se connait depuis moins de 30 minutes, quesqu'il m'arrive ?

Je dépose un baiser sur sa joue. Il est seulement là, car j'ai besoin de contacte physique avec lui, je ne sais le pourquoi, mais je suis mes envies qui est de le toucher et d'être doux avec lui. Ma main passe dans ses cheveux, je les trouve si beaux. Enfin plutôt devrais-je dire que la personne qu'il les a, est une personne très charmante. Je lui sourie sans mes pensées mauvaises que j'ai d'habitude. Bon façon ça fait déjà plusieurs de trucs que je fais avec lui, alors que je ne le fais jamais en tant normal et ça a l'air d'être le même de son côté. Il rend un sourire sincère. J'ai mon coeur qui a battu plus vite quand il a fait ce sourire, j'ai été comme hypnotiser, j'avais eu l'envie de le prendre dans mes bras et ne plus le laisser partir. Il se blottit contre moi et je l'entourre de mes bras. Je souffle, car pour moi c'est une situation gênante. Je ne vois pas l'intérêt de faire des câlins à une personne qu'on veut baiser, mais non avec lui il faut que je le câline, c'est si incompréhensible que j'ai envie de me claquer la tête contre un mur, mais ça présence m'empêche de le faire.

- Je suis également célibataire, mais je n’aime que les hommes. Je…

Bon il aime que les hommes ça fait les filles en moins comme adversairs, mes adversaire en quoi ? En amour ? N'importe quoi, je n'aime personne, c'est seulement qu'il est mignon, alors j'ai peur qu'une fille essaye de me le voler quand j'aurais réussi à pouvoir l'avoir une fois dans mon lit. Me le voler comment ? Ben en le fesant amoureux d'elle, s'il aime quelqu'un, alors on ne pourra plus faire des choses que j'ai envie de faire et re faire avec lui. Je sais que l'on n'a encore rien fait pour le moment, mais il hante déjà mes pensées, alors ça veut dire qu'il doit être bon au lit. Je sais que je pourrais être dèçu de sa performance enfin j'ai le préssentiment que ça va être génial et qu'on va en redemender tous les deux. Il quoi ? Un silence gêné s'installe. Que faire pour détendre l'ambience ? Je me remets à caresser ses cheveux pour lui montrer qu'il peut continuer à parler.

- Je suis frivole. On me met facilement dans son lit, et ça ne me déplait pas pour autant. J’aime qu’on me domine en fait.

Pourquoi est-il frivole ? Une personne n'arrive-t-il pas à le satisfaire ? Et quesque ça peut me faire si je suis un mec de plus dans son tableau de chasse ? Je ne suis pas un saint non plus, alors pourquoi je le juge sur le fait que c'est un homme facile ? Le fait qu'il est soumis dans une relation ne me gêne pas trop enfin j'aime bien que parfois mon partenaire prends les devant quand même, mais bon on ne peut pas tout avoir dans la vie. Enfin et pourquoi il me dit ça ? Pense t-il à une autre personne que moi ? Non, il a pas le droit de penser à un autre, alors qu'il me regarde. Je ne suis pas là pour renplacer quelqu'un, mais pour être vraiment moi.

- Je m'en fous que tu es frivole, là tu es à moi, alors ne pense à aucun autre homme.

Merde, je lui ai dit qu'il était à moi, il pourrait avoir des erreurs dans la compréhension. Je ne voulais pas dire ça, mais j'étais si énervé qu'il parle d'être frivole, je voulais être le seul pour lui en se moment comme lui il est le seul pour moi là, mais non il fallait que monsieur pense à une autre personne. Quesque je disais plutôt, ah oui ne suis-je pas bien pour lui ? On dirait franchement que je ne lui intèresse pas, mais pourtant il est quand même resté avec moi. Les apparences sont si tronpeuse qu'on ne peut pas leur faire confiance, mais bon voilà on va voir ce qu'il va dire à ma phrase d'avant.

Pendant le temps que je pense il avait serré son étreintre, mais il se détache un peu de moi. Je ne dis rien, de toute façon que dire ? Il se hisse sur la pointe des pieds pour pouvoir m'embrasser. J'abaisse ma tête pour pouvoir le laisser faire. Ses lèvres contre les miennes son si douces qu'on dirait qu'il a peur de me briser. Moi je ne fais rien pour rendre ce baiser plus brusque, alors que d'habitude je ne fais pas dans la douceur, mais avec lui tout ce que je fais avec les autres changent. Il me change en bien ou en mal ?

-Oh fait pourquoi tiens-tu tant à ton travail ?

Je sais que c'est une question personnelle, mais je veux vraiment savoir pourquoi j'ai eu un refus au départ. Il ne va pas me répondre s'il n'a rien en retour nesse pas ?

-Tu peux me poser une question aussi si tu veux.

J’étais gêné, j’hésitais à lui avouer que j’étais ce genre de personne. Pourquoi j’hésitais d’ailleurs ? Parce qu’il m’avait quelque peu troublé ? Pff, c’était n’importe quoi. Mais j’avais quand même peur de sa réaction. Je n’avais pas envie qu’il me rejette… Je me concentre sur son cœur qui bat, en réfléchissant à ce que je devrais dire, et si je devrais le dire ou non. Sa main caresse mes cheveux, et ça me convainc étrangement à continuer.

- Je suis frivole. On me met facilement dans son lit, et ça ne me déplait pas pour autant. J’aime qu’on me domine en fait.

Voilà, je l’ai dit. Maintenant, il va sans doute partir. Je le serre plus fort, je n’ai vraiment pas envie qu’il s’en aille, je veux rester avec lui, pour au moins une nuit. Et surtout, j’aime bien son contact, sa peau… Ça me rend toute chose.

- Je m'en fous que tu es frivole, là tu es à moi, alors ne pense à aucun autre homme.

Je rougis, on dirait vraiment qu’il essaie de le faire exprès. Mais au moins ça veut dire qu’il ne partira pas, et qu’il restera avec moi pour m’embrasser encore et encore… Ou plus dans le futur. Enfin, pour l’instant on est dans ce coin de bibliothèque à deux. Je me détache un peu et je me hisse sur la pointe de mes pieds pour déposer un doux baiser sur ses lèvres. J’aime le contact, bien que ma position soit légèrement inconfortable. Il baisse sa tête pour mieux me donner accès à ses lèvres, et je pense que c’est sûrement le baiser le plus romantique que j’ai jamais échangé. Attendez, romantique ? N’importe quoi…

- Au fait pourquoi tiens-tu tant à ton travail ?

Je rougis et me remets dans ma position initiale, c’est-à-dire face à lui. Je le regarde droit dans les yeux puis je détourne légèrement le regard, en faisant semblant de m’intéresser aux livres qui se trouvent sur les étagères. Oui, pourquoi je tiens tant à mon travail ? Je n’ai pas vraiment envie de lui expliquer, mais bon… Comme il me l’a demandé, je suppose que je dois lui répondre.

- J’ai besoin d’argent pour refaire mes études… Et pour avoir un travail en tant que professeur d’histoire… Ça parait stupide mais c-c’est important pour moi.

Ça c’est dit.

- Tu peux me poser une question aussi si tu veux.

Je souris, je sais exactement ce que je veux lui demander. Je me plante devant lui, mais comme il est plus grand que moi, j’arrive à peine à son cou. Je lui souris et mon regard défie le sien.

- Quand est-ce que tu vas me prendre ?

Oui c’est court, clair et concis. Mais c’est la chose que je veux le plus en ce moment. Son contact, qu’il me touche encore et encore, jusqu’à m’amener à l’orgasme un nombre incalculable de fois. Je dépose un nouveau baiser sur sa peau, mais pas sur ses lèvres. Je le dépose sur son cou, je fais même un petit suçon possessif. Je ne sais même pas pourquoi je fais ça, tout ce que je sais c’est que j’ai envie de le faire.

- Tu peux être agressif si tu veux…

Qu'il me dit qu'il est frivole m'emmerde, mais ce n'est pas qu'il m'intèresse, c'est seulement que je n'aime pas qu'on pense à une autre personne qu'à moi, alors que j'essaye d'être symphatique. Je sais que je montre mon côté gentil bizarrement, mais c'est comme ça, on ne m'a jamais appris à aimer et je ne pense pas que j'arriverais à tout comprendre entièrement si quelqu'un me fait ressentir des sentiments d'amour, je ne serais même pas les identifiès pour moi se seront seulement des sensations étranges. Dans les livres, on dit que tu es jaloux, mais c'est quoi la jalousie ? Ne pas vouloir qu'une personne touche à ce que tu aimes ? Mais c'est du n'importe quoi, je ne veux pas qu'on touche à mes affaires et je ne suis pas amoureux d'eux pour autant. Ils parlent aussi de bonheur, mais es-tu vraiment heureux quand tu aimes ? L'amour attache deux personnes, mais il a toujours le risque de trahison et quand une personne qu'on aime nous trahis ça doit faire mal. Je n'ai jamais ressenti la trahison, car je n'ai jamais aimé et je n'ai pas envie d'aimer pour que ça me détruit après ça servirait à quoi ? Je ne veux pas être heureux pour que l'on me le retire après. Pour moi c'est tout ou rien, alors si on veut un minimum de bonheur il ne faut pas me le demander, car je ne le donnerais pas.

- Je m'en fous que tu es frivole, là tu es à moi, alors ne pense à aucun autre homme.

Je sais que ça peut donner à confusion qu'une personne qui attend cette phrase penserait que je lui fais une sorte de déclaration, mais ce n'est pas le cas. Oui il est à moi, mais seulement pour aujourd'hui s'il veut partir après qu'on fait ce que j'ai envie de faire avec lui ben il pourra, mais après s'il veut rester pour qu'on met en place un jeu où on aura des rapports sexuels ensemble ça ne me dérangerait pas. Il est vraiment très beau quand il a des vêtements sur lui, alors quand il va les enlever je risque de baver sur son corps enfin je pense que je pourrais me contenir si je n'attends pas trop avant de coucher avec lui. Il rougit et se colle à moi, mais il se rend très vite compte de ce qu'il a fait et se détache de moi. Il se met sur la pointe des pieds, je sais très bien ce qu'il veut faire, alors j'abaisse ma tête pour lui donner un accès plus facile à mes lèvres. Le baiser est doux, on dirait qu'on n'échange des sentiments, mais ce n'est pas le cas ? C'est seulement que je ne veux pas être brusque avec lui, j'ai envie d'y aller doucement et de lui montrer que pour certaines personnes il n'est pas un mec à homme. Pour lui montrer que je vais pas lui sauter dessus comme un bête sauvage je lui demande:

- Au fait pourquoi tiens-tu tant à ton travail ?

Il rougit, j'aime bien ce trait de personnalité chez lui. Il est si adorable quand des rougeurs est sûr ses joues, ça me donne l'envie de les embrasser pour le voir encore plus rouge, mais bon il faut savoir se contenir dans la vie, alors je ne le fais pas. Il regarde les livres de l'étagère qui se trouve en face de nous. Je sais qu'il ne s'y intéresse pas vraiment, mais qu'il pense plutôt à s'il va me répondre ou non. C'est personnel, mais j'ai vraiment envie de savoir pourquoi il avait peur de perdre son travail, ça doit être vraiment important pour lui pour refuser du sexe, alors qu'il avait l'air dans avoir très envie, mais bon je sais être argumentatif pour pouvoir avoir ce que je veux, alors il avait fini par s'aider enfin pour le moment nous avons toujours rien fait, mais je sais que ça ne tarderait pas à arriver.

- J’ai besoin d’argent pour refaire mes études… Et pour avoir un travail en tant que professeur d’histoire… Ça parait stupide mais c-c’est important pour moi.

Il a besoin d'argent pour faire ses études ? J'ai envie de pouvoir l'aider, je le peux, j'ai de l'argent avec mon statut de joueur de tennis, mais lui le voudrais-t-il ? Je ne sais pas, mais il faut que je lui demande, car si c'est important pour lui, alors ce l'ai pour moi aussi. Je ne me pense pas plus de question pour le moment et je commence à parler:

-Tu veux que je t'aide pour tes études ?

Bon je ne lui ai pas clairement dit que s'il voulait, je lui passais l'argent, ça ne se fait pas trop de lui proposer cela, mais je lui donnerais mon aide pour les cours. Je suis plutôt intelligeant, alors je pourrais l'aider pour qu'il commence à reprendre l'habitude. Deux seconde, je lui ai proposé mon aide ? Mais je fais quoi moi ? Je deviens serviable ? Non c'est impossible, je ne suis pas une personne qui propose de l'aide, alors pourquoi lui ai-je proposé ? Je sais, je les trouvais si pathètique qu'il fallait que je veux le revoir dans une situation comme celle-ci ? Oui voilà pourquoi je lui propose de lui donner des cours, je n'aurais jamais fait ça si ce n'était pas pour pouvoir me moquer de lui et peut-être par la même occasion de pouvoir ravoir du sexe avec lui enfin bref je lui ai demandé quelque chose, alors il peut aussi le faire.

- Tu peux me poser une question aussi si tu veux.

Il me fait un grand sourire et mon coeur ratte un batement enfin rien de grave heureusement. Il se plante devant, il est si petit qu'il arrive à mon cou, mais sa présence se fait imposante pour moi, on se demande bien pourquoi, mais bon mon corps réagit plutôt beaucoup à son touché. Son regard vient dans le mien et il me défit. Bon si tu veux le vieux on va jouer enfin pose moi ta jolie petite question que j'attends avec impatience.

Quand est-ce que tu vas me prendre ?

Il ne pouvait pas faire plus claires comme phrase, j'aime bien son côté franc enfin il doit surement attendre une réponse. J'ai bien envie de le faire attendre pour qu'il croit que je n'ai pas vraiment l'attention de le prendre, alors que j'en meurs d'envie. Je le laisse miroter, mais monsieur ne doit pas avoir de patience, car il m'embrasse dans mon cou. Je repousse ma tête en arrière en me mordant quand il se retire, je sens comme une marque. Je me demande ce qu'il m'a fait, mais bon je me doute vite que ça doit être un suçon. Pourquoi m'a-t-il fait ça ? Enfin je n'ai pas trop le temps de m'attarder sur ce sujet que je vois qu'il va parler.

- Tu peux être agressif si tu veux…Pourquoi je serais agressif ?

Surtout que mon corps et ma raison veulent plutôt que je sois un ange avec lui, alors je ne peux pas être méchant si j'ai mon enveloppe qui ne veut rien faire de méchant à ce garçon. Je pense que je l'ai laissé miroter pour la réponse suifisament, alors je l'embrasse une dernière fois pour prendre la parole.

-Allons dans un endroit plus privé veux-tu ? Et je ne pense pas que je serais agressif, tu mérites plus de considération pour ton corps.

- Au fait pourquoi tiens-tu tant à ton travail ?

La rougeur me monte aux joues tandis que je me remets face à lui. Pourquoi il me pose cette question d’ailleurs ? Ce n’est pas comme si c’était important pour lui, ou quoi que ce soit… Mais bon, je suppose qu’il veut le savoir parce qu’au début je l’ai un peu repoussé à propos de ça. Je le regarde quelques instants dans les yeux avant de promener mon regard sur les étagères, alors que ces bouquins ne m’intéressent pas du tout. J’hésite tout simplement à lui répondre. Parce que si je lui réponds, il va me considérer autrement que comme un plan cul. Et ça je ne le veux absolument pas. Parce qu’on est l’un pour l’autre qu’un plan cul d’un soir non ? Non ? Je n’en suis même plus très sûr moi-même.. Qui sait, peut-être que plus tard je voudrais recommencer avec lui… Ce que je n’ai jamais fait auparavant. Mais s’il est bon, aussi bon qu’il n’y parait… Alors je pourrais peut-être tenter.

- J’ai besoin d’argent pour refaire mes études… Et pour avoir un travail en tant que professeur d’histoire… Ça parait stupide mais c-c’est important pour moi.

- Tu veux que je t'aide pour tes études ?


Je le regarde comme si il venait de me demander en mariage, ou un truc du genre. Pourquoi est-ce que ce type voudrait aider un surveillant de couloir comme moi à réussir ses études, et surtout… Il me propose de les payer en fait ? Sérieusement ? L’offre est plus que tentante mais… Je secoue la tête vigoureusement. Je n’ai pas envie d’accepter. Déjà que je vais sûrement coucher avec lui, je ne peux pas accepter qu’il m’offre de l’argent. Et puis, je fais tellement pitié qu’il a voulu me payer mes études ? Pff…

- Tu peux me poser une question aussi si tu veux.

Je souris et me plante plus près devant lui. Malheureusement ce Sam n’est pas du genre à être petit. Mon regard défie curieusement le sien, avant que je ne réponde rapidement.

- Quand est-ce que tu vas me prendre ?

Et sans lui laisser le temps de répondre, je dépose des baisers dans son cou, et je dépose même un suçon. Je veux le toucher, encore, et encore. J’adore son odeur, la douceur de sa peau, ses bais… Attendez, je me mets à me transformer en gamine niaise. J’adore son odeur, certes, sa peau et ses baisers aussi, mais j’en ai aimés d’autres. Et ce ne seront pas les derniers que j’aimerais.

- Tu peux être agressif si tu veux…

Je n’ai pas vraiment envie qu’il le soit, mais en tout cas j’ai envie de lui tout de suite. Bien que nous soyons dans une bibliothèque, toutes les pensées les plus cochonnes traversent mon esprit. Je rougis en pensant à tout ce qu’on pourrait faire puis je me reprends. On doit être discrets. Même si il est majeur et qu’il a, comme il dit, « des contacts », c’est assez dangereux. Je me dois donc d’être hyper prudent. Un baiser déposé sur mes lèvres me faisant frissonner me rappelle à la réalité.

- Allons dans un endroit plus privé veux-tu ? Et je ne pense pas que je serais agressif, tu mérites plus de considération pour ton corps.

Je rougis encore plus, pas à cause de mes pensées, mais à cause de ce qu’il vient de me dire. Mon corps… De la considération ? C’est la première fois qu’on me dit ça. D’habitude, on ne me voit que comme un objet sexuel. Pas comme quelqu’un ayant de la considération. Pas comme un être humain…

- Allons dans mon appartement alors…

Je lui prends la main puis la lâche instantanément. Je ne peux pas sortir en public avec lui comme ça.

- J’y vais en premier, suis-moi discrètement.

Je sors des étagères qui nous cachaient et je sors de l’établissement pour marcher dans l’air frais dans l’après-midi de fin février. Finalement, nous arrivons devant mon appartement, et je lui jette un coup d’œil pour voir si il suit bien, avant de l’attirer dans l’ascenseur et d’appuyer sur le bouton pour se rendre au 4ème étage. Là, je me hâte d’ouvrir mon appartement pour qu’on puisse enfin le faire. Une fois à l’intérieur, je l’embrasse à pleine bouche avant de lui jeter un regard plein de sous-entendus.

- Dans la chambre, c’est mieux….