Bon.....

Encore un déménagement imprévu, un nouvelle environnement auquel je vais devoir m'habituer comme un animal dans un cirque, de nouvelle brimades ainsi que des critiques permanente sur mon style vestimentaire, sur le faite que je sois étrangère enfin , pas si étrangère que ça..... Mais j'ai l'habitude de tout cela, des adolescente maquiller comme des pots de peintures et habiller d'une façons indécente, et des jeunes hommes les hormones en feu qui ne cherche qu'à de reproduire avec c'est demoiselles.


J'appelle cette endroit un zoo plutôt qu'un lycée mais ne blâmons pas c'est personnes avec si peu de cervelles , après tout ce n'est pas de leurs fautes si ils sont si impolie et indécent. A chaque pas que je faisait une nouvelle remarque, pourquoi fallait-il qu'il sois si intriguer part les personnes non identique au stéréotype qu'ils se faisaient dans leurs tête c'est à dire :
Mini short en jeans trop serrer, haut très échancré devant et derrière qui laisse paraître un bout de poitrine et un morceau de dos. Je sais qu'ils sont fière de leurs corps mais tout de même, n'y a t'il pas une seule personnes qui soit un minimum pudique ici ?!


Tout le couloirs était remplis de c'est êtres médiocre et sans intérêt quelconque, de plus ils parlaient une langue que je ne connaissait pas se n'était pas du français ni du latin....Une langue "moderne" sans doute, ou même du martien mais j'en doute cependant je ne comprenait pas un mot de ce qu'ils disaient, même un enfant de cinq ans parlais mieux que cela ....... Un exemple ? Non, je retranscrirais jamais c'est choses si...si..Si odieuse! Je hais cette langue, c'est vulgaire et je ne comprend qu'un mots sur deux, c'est horrible ça détruit mes pauvres tympans, mais ce que c'est personnes disaient je le comprenais très bien et je voulais fuir oui fuir le goût amer qu'avait là vérité, pourquoi ? Parce qu'à force d'entendre des injures que prononcer c'est ignorant j'ai fini par les croire je ne suis pourtant pas aussi idiote que cela.


C'est sons finiront par me tuer , les voix aiguë des jeunes filles et celle plus grave des jeunes hommes, hurlant la même rengaine celle que je hais le plus au monde, celle que jamais personnes ne voudrait entendre et qui peut vous rendre fou moi, je l'entendait tout les jours cette mélodie qui finira par brisais ma carapace de glace, je hais cette partie de moi toujours aussi faible mais la faiblesse fait partie de la vie de l'homme...Pour sortir de cette enfers je prit tout de suite un recueil de poème , sans même regarder le titre je me mis à lire et à m'emporter :

"Et vous, femmes, hélas! pâles comme des cierges,Que ronge et que nourrit la débauche."

Il fallu que je tombe sur celui là....Sur Les Fleurs du Mal De Charles Baudelaire , je hais c'est poèmes je trouve cela insultant et sexiste, pourquoi diable ont-ils permit de publier ce bouquin...Je lisait en continuant ma course pour échapper au insulte et autre remarque désobligeante, mais fatigué de fuir je m'arrêter dans un couloir sombre ou personne ne viendrait me chercher, oui je l'espérer de tout mon être mes larmes couler toute seule comme d'habitude j'avais emmagasiner trop de stress, de fatigue et d'angoisse en moi j'avais tout refoulé, au loin je vis tout de même une ombre l'ombre d'un jeune fille de mon âge, n'ayant pas la force de l'affronter je lancer un sur un ton méprisant pour gardait tout de même un minimum de fierté :

-Passe ton chemin, et laisse moi en paix! Je n'est pas besoin que l'on me rabaisse encore!

J'avais peur, oui j'avais peur d'être encore malmener........

Dans ce monde qui va bientôt se détruire et où je me voyais décapitée par les autres, le souvenir de cette amie d’enfance que j’aimais tant, m’est revenu pour que je puisse enfin réaliser que mon esprit était en divorce avec l’amitié pour longtemps…Oui, avoir une amie était atrocement semblable à une joie de yeux mais point à celle du cœur…Et si crédule que je suis, j’avais une amie et je croyais qu’elle serait pour l’éternité à moi, je ne songeais qu’à elle , je ne parlais que d’elle , je ne connaissais qu’elle et je ne lisais que elle avec l’attention de ces heureux agenouillés devant Dieu, pendant qu’elle se vendait au Diable. Maintenant que j’ai pu transcender son jeu mortel des apparences, je sais que je peux continuer à énumérer ses visages sans en finir et cela jusqu’au jour où le destin décidera que j’abandonne mon être à l’éternel, ou du moins assoupir la douleur de cette épine que j’ai eu cœur.

Sous l’éclairage mortel de cette destinée, le temps a estompé son visage de ma mémoire…Et dans ce couloir où j’ai tant trainé depuis mon arrivée, je continue à me presser vers je ne sais quel espoir, peut être celui de trouver quelqu'une de ces personnes fidèles qui exercent sur l'esprit une heureuse influence…Après tout, c’est irréalisable, je ne suis point semblable à toute cette nuée de lycéens, alors jamais , ils ne pourront apercevoir ma présence, certes je ne suis qu’un être qui plane au dessus cette terre poussiéreuse et pas plus…Je souris alors, de me comparer à eux, de comparer ma bonne volonté efficace à la cruauté paresseuse de leur négligence. De toute évidence, ils ne sont que des types au désir de faire le mal, des types qui ont maintes indigènes à leur disposition croyant que le sexe anoblissait leurs êtres, ce qui était sans aucun doute une donnée erronée. Et sous ces faits si communs partout dans cet établissement, et ces cris si courants de ces filles nées pour vivre sans chemise, je sentais comme une accentuation étrange qui m’étranglait.
Dans un autre plan, je vis une belle demoiselle si unique, aux yeux si verts et captivants, arpentant le même couloir que moi, un livre à la main ce qui curieusement rendit mon âme heureuse… Elle aimait lire, juste comme eux, comme moi…Et comme à chaque fois, l’histoire que je la regardais avec insistance,- je devenais toujours addictive à toutes les choses qui me plaisaient- lui déplaisait comme le fait que j’étais entrain de barrer sa voie royale, alors sa figure prit une expression de colère.

-Passe ton chemin, et laisse-moi en paix ! Je n’ai pas besoin que l’on me rabaisse encore !

Ses paroles prononcées et sa façon de réagir, ne pouvaient suggérer que la folie, il devait se cacher derrière elle et derrière son style quelque cause plus secrète. Alors je n’avais point une autre solution que je puisse faire pour adoucir son destin et sa rage que celle de rester en silence pour un bout de temps. Non, je n’avais point peur d’elle et il n’y a rien de risible dans cette situation.

- Si seulement on pouvait vivre une histoire digne des romans, celle ou on ne sera pas obligés de se cacher à grands pas derrière des personnalités qui laissent une forte monstruosité chez les autres…Tu sais , ces personnalités que nous n’incarnons point…Car ça ne te va pas du tout, à cause de ton apparence où il n’y a rien d’insolite…Ne le penses-tu pas ? Finis-je par rétorquer en lui adressant un de mes plus beaux sourires.

J’avais toujours eu d’excellentes manières, et dans la simplicité de mes attitudes, je voulais finir par être un ange afin que Dieu puisse pardonner mes pêchés bien que je sois une victime…Je voulais finir par trouver une amie où sur son visage ne se peignait pas la méchanceté atténuée par l’hypocrisie. Oui , je ne voulais pas d’amie qui ressemblait à mon amie d’enfance.

- Si seulement on pouvait vivre une histoire digne des romans, celle ou on ne sera pas obligés de se cacher à grands pas derrière des personnalités qui laissent une forte monstruosité chez les autres…Tu sais , ces personnalités que nous n’incarnons point…Car ça ne te va pas du tout, à cause de ton apparence où il n’y a rien d’insolite…Ne le penses-tu pas ?

Une histoire comme dans les romans....Elle voulais dire que je n'est pas un visage fait pour exprimé de la colère ? Et pourtant...c'est vrai que je ne met pas souvent en colère c'est souvent de la peur plus qu'autre choses...Mais elle n'as pas l'air comme les autres..Pas de méchanceté et pourtant elle à l'air torturé de l'intérieur.
Oui mon apparence me paraît normal mais à ce que j'ai comprît c'est le contraire pour d'autre, je n'est guère l'impression qu'elle pense à mal en me disant cela où du moins ce n'est pas ce que je ressent, et ce n'est pas le cas j'ai fermé les yeux et j'ai esquissé un sourire en serrant mon livre contre le moi, ensuite je ré-ouvrit c'est yeux vert viride qui font ma fierté je me redressais à peut près en lui faisant face pour mieux voir mon interlocutrice, premièrement elle avais une voix plutôt douce qu'y étrangement m'as apaisée..


Elle as de beau yeux doré, cette couleurs est extrêmement agréable à regardé, des cheveux noir plutôt court et une peau porcelaine, elle doit être plutôt jeune car elle est plus petite que moi...Autant vous dire que je la trouve mignonne, ne vous faîte pas d'illusion non plus je suis attiré part les garçons..Je serrait mon livre contre ma poitrine virant au rose framboise je voulais parler mais ma voix se bloqué et je ne parvenait pas à sortir le moindre son...Rien le vide je l'observer dans le plus grand calme laissant flotter mes cheveux avec la léger brise qu'il y'avait dans ce couloir et je me suis décider à me présenter..

Désolée....Hm, je me nomme Ayumi enchanté de te rencontré...Tu as certe bien raison, mais les personnes que je croise n'on pas l'air de ton avis Je suis loin d'être un monstre et cela ils ne le comprenne guère ils ont des visière qui les empêchent d'avoir un jugement positif...

Quelle ironie ! Qui aurait pensé que j’avais une sagesse si aiguisée et une réflexion si nourrie par le bons sens jusqu’au point de rappeler aux autres qu’ils n’incarnaient point les personnalités qu’ils montraient…

- Désolée…Hm, je me nomme Ayumi , enchantée de te rencontrer…Tu as certes bien raison , mais les personnes que je croise n’ont pas l’air de ton avis , je suis loin d’être un monstre et cela ils ne le comprennent guère, ils ont des visières qui les empêchent d’avoir un jugement positif…

Elle avait l’air accablé d’une personne qui ne comprenait point ce qu’on lui faisait et tous les critères de beauté qu’on posait, certes seules ses prunelles d’émeraude qui se posaient sur moi affectueusement, paraissaient vivre dans sa face, en effet , je ne voyais point en elle ce que les autres prendront pour insolite et terrible. A mes yeux, elle incarnait la bonhomie en personne, de surcroît, elle était si sublime avec ses longs cheveux bruns et sa taille si fine et séduisante. Et curieusement, elle me mettait à l’aise, juste comme…Alexis.

- Enchantée Ayumi ; t’as vraiment un si joli prénom, sinon moi ; je me nomme Saga…Pourtant, je ne vois pas en quoi ils te trouveront anormale, c’est vrai qu’on ne voit pas souvent des personnes qui portent les mêmes vêtements que toi mais à mon gout, ça fait de toi si unique et si jolie, disais-je en lui offrant un de mes plus beaux sourires.

Et tel, j’étais et je serai pour toujours : une fille qui symbolise la bonté même avec les personnes aux conduites les plus stoïques et saugrenues …De toute évidence, elle est encore nouvelle et à sa place, j’aurai bien souhaité que quelqu’un me parle avec autant de sympathie, en effet, çà me rappelle ma première rencontre avec la seule personne qui a daigné me parler lors de mon arrivée : Aki…

-Vous êtes nouvelle n’est ce pas ?...Tu es en quelle année ? Ben tu sais, juste pour savoir si nous étions dans la même classe ou pas, demandai-je.

Je me retournai et je vis au fond des couloirs de la gente masculine qui posait des regards sur nous, en tout cas, ça ne me fit aucun effet, mais je voulais bien que je change son regard vers les autres…Je suis sûre qu’elle n’était point un personne créait du dégoût pour eux…Alors, j’ajoutais à toute hâte avant de lui donner la chance

- Sinon regarde là bas, tout au fond…Tu vois ces mecs qui nous regardent avec envie ?...Si oui, retiens alors que t’es pas un monstre de foire…Tu ne passeras pas si inaperçue par tout le monde, moi aussi, quand je suis venue, je pensais que je les répugnais mais après, c’est le contraire qui s’était avéré, on ne faisait que de me regarder qu’à cause de ma jolie figure et captivants yeux …