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I can't escape myself [pv Edan] [en pause]

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Andrew J. Peterson
Andrew J. Peterson
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Date d'inscription : 01/06/2014
I can't escape myself [pv Edan] [en pause]  Vide
MessageSujet: I can't escape myself [pv Edan] [en pause] I can't escape myself [pv Edan] [en pause]  Icon_minitimeMer 13 Aoû - 6:51

Les écouteurs sur mes oreilles, je n'entendait le sons que de ma musique, avant de me rendre compte de quel heure il était lorsque j'ai ouvert les yeux pour la première fois. 8:35, le tout alors que j'avais cours depuis cinq minutes maintenant. Je criais presque en me précipitant dans la douche en vitesse mettant mes habits habituels qui consistait d'un chandail blanc et d'une paire de jeans, je courrais dans les couloirs pour arriver juste avant que la cloche ne sonne pour la pause. Je me fis réprimander par le prof aussi peu sympathique qu'à l'habitude, me disant que ça ne se faisait pas d'être en retard comme ça, que j'aurais dû entendre la sonnerie de mon cadran. Parfois je me demande s'il y a des personnes divines sur cette planète ou bien si je suis aussi prévisible que ça. Il me spécifiait que si j'arrêtais de m'endormir sur ma musique, peut-être que je pourrais entendre autre chose que du grabuge. Ce que cet idiot ne savait pas était que la musique m'apaisait et me permettait de dormir calmement, et ne penser à rien, pas de problème, pas d'existence, je me laissais tout simplement bercé par la mélodie, par la parole aussi triste que réelle. Ça je ne lui dirais pas, car je sais très bien ce qui me répondrais. Il me dirais que je devrais lâcher l'ordinateur et la technologie avant de dormir ou bien me dire de trouver un autre moyen pour dormir comme prendre des somnifères, mais non, c'était dangereux pour moi et je le sais très bien. De plus, ne déteste prendre des pilules et je trouve que c'est une simple perte d'argent pour quelque chose qui ne marche pas du tout.  Enfin, je le laissais penser ce qu'il voulait,car à la limite, je m'en fichais complètement. Je baissais la tête en m'excusant, détestant me faire réprimandé pour que tout. C'est vraiment pas ma journée! Putain!

Je m'en vais à mon deuxième cours, Maths. Je hais les maths comme la majorité des gens sur cette planète! Ce prof est tout simplement ennuyeux et détestable. La matière aurait été intéressante si ce n'était pas de cet homme méprisable. Il me hais et c'est réciproque. Je ne le dérange pas pourtant et au moindre sons que je prononce, même si tout le monde parle, il va me nomme et me demander de m'excuser devant la classe. Ce misérable! Aujourd'hui, je me suis encore excusé en lui donnant un regard mortel, oui, j'aimerais bien qu'il se fasse happer par une voiture ou mieux, qu'il se suicide! Bon, j'exagère un peu et je ne veux pas qu'il meurt, parce que je le connais et je ne veux la mort de personne, mais, je n'aime pas sa manière d'agir avec moi. Je trouve ¸a grotesque que ce soit toujours moi qui doit me lever alors que je suis ultra mal à l'aise et je dois faire ça. Je suis toujours rouge de honte et une fois sortie de la salle avec mes copains, je le traitais de pleins de nom pas très gentil en japonais pour qu'il ne me comprenne pas. J'allais au réfectoire en leur décrivant une scène d'horreur avec comme personnage principal, ce satané prof. Mes amis rigolèrent et un de ceux-ci s'énervaient comme moi, trouvant aussi que ça n'avait aucun bon sang qu'il me martyrise autant tandis qu'un autre m'avertis de ne pas être dans la même pièce que lui, tout seul, en retenue, parce que ça pourrait devenir chaud. J'ai faillit cracher se que je venais d'ingurgiter en criant mon dégoût pour ce qu'il venait de dire. Non, c'est complètement dégoûtant.

Enfin, dans mon cours d'anglais je dessinais des croix inversés, alors que nous regardions un film que j'avais vu une dizaine de fois maintenant tout en écrivant des paroles décrivant mon humeur exécrable par la faute d'un adulte. Sans m'en rende compte, j'avais marmonné un ''connard'' et mon pote m'a dessiner des personnes en train de s'embrasser marquant sur un mon nom et sur l'autre le nom qu'on ne devait pas prononcer. J'avais envie de lui faire avaler son papier qui était maintenant en boule et le mis en le bac avant de retourné à ma place. Allant maintenant à mon dernier cours lorsque la cloche fut sonnée.

Je courrais le plus que je pouvais en ces quelque minutes et donnais mon résultat à mon enseignant. Je fis les flexions, les redressement assis, bref, tout ce que l'on me demandait comme à mon habitude et je partis dans ma chambre, chercher mon carnet et je me dirigeais vers le toit. C'était paisible et le vent et j'étais toujours tout seul. Je retroussais ma manches et regardait les dégâts. J'y étais vraiment allé fort hier. J'ai encore vachement mal, puis ragh... Il faut pas y penser, mais ils sont cons ceux qui me tiennent par les poignets! Je déteste avoir des crise de panique, je me questionne sur tout ce que je suis et ça ressasse des souvenir que je ne peux oublier, ça m'empêche de dormir et ça fait ce genre de marque. J'ai mal en les regardant et j'ai vraiment envie de pleurer. Quelque larmes tombent. Merde. Je m'essuie rapidement les gouttes sur mes joues et cachent les traces de mon malheur. Je commence à écrire tranquillement, ma musique à fond et mes mains tremblantes, écrire ma rage sur le prof et les différentes façon qu'il pourrait mourir. Étrangement, ça me calme un peu et mes tremblement cesse.

Puis, je commence à chantonner, comme ça m'arrive très souvent. Je suis seul de toute façon et je me fiche bien que quelqu'un en bas m'écoute ou rit de ma gueule puisque je ne le vois pas. Je regarde le ciel, dégagé, bleu avec quelque nuages blanc qui formes des silhouettes étranges, comme un mouton à gauche et un poing au milieu, enfin, mon milieu parce que la terre est ronde. Enfin, le milieu serait le centre de la terre, mais je me comprend à la fin!



Dernière édition par Andrew J. Peterson le Dim 14 Déc - 3:27, édité 1 fois
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Edan Czentovic
Edan Czentovic
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MessageSujet: Re: I can't escape myself [pv Edan] [en pause] I can't escape myself [pv Edan] [en pause]  Icon_minitimeVen 15 Aoû - 0:54

I can't escape myself ♫

   
Andrew & Edan ♪





  • My chest was filled with loneliness and despair
    My heart felt like it would break
    But your smiling face remains in my memories
    Always encouraging me



Deuxième journée à Suki Gakuen.

Au final, ce lycée n'était aussi médiocre qu'il pouvait le laisser croire. Il était même beaucoup mieux que ce que je m'étais tout d'abord imaginé. Le pire était passé, le plus embarrassant était mis de côté. Ma mère avait passé un coup de fil à la direction du lycée, expliquant ma situation actuelle tout en leur priant d'en tenir au courant les surveillants afin de me tirer hors de risques dans les dortoirs. Mieux, le directeur avait simplement informé les surveillants que pour cas unique, une fille avait été redistribuée au dortoir des garçons. Tout était réglé et contre toute attente, le directeur tout comme les surveillants ne nous avaient opposés. Aucun d'entre eux n'avaient, ou tout du moins pas ouvertement, fait de remarques quant à ce sujet. Rien que pour cela, ils méritaient tout mon respect et ma reconnaissance. Je pouvais donc mieux respirer, retirer un poids de cette chaîne à mon pied qui me suit quotidiennement. Ce nouvel établissement scolaire ne représentait donc plus pour moi un fardeau, comme je le percevais auparavant. Quelques curieux étaient venus me voir, me questionnant sur mon ancien lycée, mon ancienne ville, de l'origine de Czentovic... Rien de bien embêtant, en somme. Aucune brimade, aucun regard dédaigneux. Les gens me voyait simplement comme étant une fille normale et je ne pouvais demander mieux. J'étais comblé, heureux, soulagé. On m'avait retiré un poids énorme. Bien sûr, ça ne sera jamais exactement comme ça l'était dans mon ancien lycée - je ne retrouverai pas les mêmes amis, je ne croiserai pas les mêmes visages. Mais un peu de changement ne faisait de mal à personne, n'est-ce pas? C'est ainsi que je préférais voir les choses. Après tout, je n'arrivais pas à être pessimiste bien longtemps (même si je l'étais souvent, simplement de courte durée.)

La journée, en somme, avait donc été plutôt agréable. Les cours avaient débutés en matinée avec Français et Physique par après. La pause déjeuner m'avait parue un peu longue, puisque je n'avais pas encore d'amis ou de connaissances au lycée. J'en avais profité pour griffonner quelques paroles dans mon éternel cahier qui ne me quittait que très rarement. L'après-midi fut plus pénible, dévoilant un cours de mathématiques et de géo par la suite. Ce dernier fut pour le moins... inattendu. En effet, la professeure n'enseignait pas réellement la matière que l'on était supposés d'étudier. Dans la soixantaine, cette dame dégageait encore plus d'énergie qu'un bambin hyperactif à qui on aurait donné trop de sucre. Elle racontait ses mille et un voyages dont la plupart de la classe (moi y comprit) n'éprouvait aucun intérêt pour. Le problème, c'est qu'elle parlait si fort et qu'elle articulait si mal que déceler ne serait-ce qu'un seul mot dans sa phrase relevait du miracle.

Heureusement, le cours prit fin et tous les élèves furent délivrés par le son de la cloche qui retentit dans l'ensemble du lycée. Je ramassai donc mes livres, me dirigeai à ma case et rangea tout ce dont je n'avais pas besoin. J'aurais sûrement pu aller au dortoir tout de suite, mais l'envie y manquait. J'avais besoin d'un peu de tranquillité après cette journée qui bien qu'elle fut agréable, n'avait pas été moins épuisante. Je pris mon cahier, regardai un peu autour de moi et décidai d'aller découvrir le lycée par mes propres soins. Je m'assurai que mes cheveux étaient toujours en ordre - coiffés en queue haute aujourd'hui - et me mis  en route. Je longeai plusieurs couloirs, découvrant des endroits que je n'avais pas encore vus et tombai finalement face à des escaliers. Je me souvins alors avoir entendu quelques élèves dire qu'il était possible d'aller au toit un peu plus tôt dans la journée et un sourire retroussa mes lèvres. Là, je pouvais être sûr d'être tranquille. Je montai les escaliers deux à deux et arrivai enfin à bon port. J'ouvris la porte et fut accueilli par le vent, visiblement plus fort ici qu'au sol. J'avançai silencieusement et sursautai lorsque j'aperçu un autre élève, visiblement en train d'écrire quelque chose dans un calepin. Il ne semblait pas m'avoir remarqué et je devinai qu'il écoutait probablement de la musique, ce qui me semblait être le plus logique. Si je me trompais, dans un tel cas, il devait soit être sourd, soit complètement perdu dans ses pensées. Je me fis le plus silencieux possible alors que je me cherchai un coin ''confortable''. Non loin mais sans être trop proche de lui, je m'assis finalement à même le sol, relisant quelques phrases de manière aléatoire qui figuraient dans mon cahier.

Puis, il se mit à chantonner. Le garçon à mes côtés.

- «That's Heaven's what I seek, but Hell is what I find. And my paw prints are stained with blood,  I follow the moon when I can't trust the sun.»

Je tournai la tête vers lui, le fixant sans pour autant bouger. Ses cheveux étaient roux, comme les miens, et son visage affichait un air que je n'arrivai pas réellement à déchiffrer. Il n'avait pas l'air heureux, mais il semblait plutôt détendu. Quoi qu'il en soit, il possédait une jolie voix et ce genre de talent ne me laissait jamais indifférent. D'abord hésitant, je m'approchai légèrement de cet inconnu, qui ne semblait toujours pas s'être rendu compte de ma présence. Ma main glissa jusqu'à son épaule, que je tapotai quelques fois avant de la retirer.

- Um, pardonne-moi, je dois sans douter te déranger... Mais je n'ai pas pu m'empêcher. Je voulais te dire que tu chantes très bien.

Je me grattai la joue, marquant une pause, puis reprit;

- J'aime beaucoup chanter, du coup lorsque je croise d'autres gens qui le font, je ne peux m'empêcher d'aller vers eux. Les chansons sont jolies de base, mais elles le sont encore plus lorsqu'elles sont chantées par une personne qui en comprend les paroles, ce qui n'arrive pas souvent. J'ai l'impression que c'est ton cas.

Je lui offris le sourire le plus sincère qu'il m'était donné de faire, avant de reculer et de reporter un semblant d'attention à mon cahier.

- Bref, je te laisse tranquille. Désolé encore une fois! finis-je tout en riant un peu.




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Andrew J. Peterson
Andrew J. Peterson
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MessageSujet: Re: I can't escape myself [pv Edan] [en pause] I can't escape myself [pv Edan] [en pause]  Icon_minitimeJeu 21 Aoû - 1:04


J'étais à fond dans ces paroles si belles, si vrais pour moi.  Parfois, c'est comme si tout ce que je faisais, tout ce que je visais, finissait par échouer, mes espoirs perdus dans une mare nacre où même le meilleur nageur se noierait. Parfois, je suis complètement perdu, comme si j'allais dans la mauvaise direction par choix, comme si je voulais me perdre moi-même, pour tenter de plaire aux autres et peut-être pouvoir être accepté ou tout simplement ne pas être jugé. Je le suis par mes propres amis, dans mon dos, enfin, dans mon dos parce qu'ils m'insultent parfois lorsque je suis loin, mais j'entends tout. Je fais comme si de rien n'était pour ne pas les perdre, mais c'est ce qui me détruit le plus. À croire que je suis un masochiste dans l'âme.

Une main se pose sur mon épaule et je sursaute avant de retirer rapidement mes écouteurs et tourner ma tête avec frayeur. De quoi j'avais peur? D'un professeur qui passerait par là, d'un psychopathe qui me jetterait en bas du toit sans aucune pitié, un inconnu qui voudrais voler mes écouteurs ou.... Ou mes vêtements qui sait? Je ne suis pas dans la tête de la personne qui s'est approché de moi beaucoup trop furtivement et à cause de mon regard, dans mon front, il doit y avoir les mots ''panique totale'' écrit en gros, jusqu'à ce que je vois la personne, que je remarque son visage fin, ses beaux cheveux. J'ai eu peur pour rien. Je soupire alors et fit un léger sourire à cette demoiselle en face de moi.

- Um, pardonne-moi, je dois sans douter te déranger... Mais je n'ai pas pu m'empêcher. Je voulais te dire que tu chantes très bien. 

Me déranger, non. Tu ne me déranges pas, en fait, tu me sors de ma bulle d'émotions négatives. Je suis un peu rouge parce que, malgré le fait que tu ne ressembles pas à un monstre, que tu es seule et que tu me complimentes même, je suis une personne timide et je ne peux m'empêcher de me demander comment tu me perçois. Tu n'as pas l'air de mentir, de te moquer de moi en me disant ça et je te fais un petit sourire avant que tu ne continues de parler. Tu as une belle voix, j'aimerais bien t'entendre, toi, chanter. Je suis certain que c'est magnifique, mais je ne veux pas te le demander, car je sais que ce serait étrange, en fait, j'ai l'impression que je vais paraître idiot si je te le demande. Tu me dis par la suite que tu aimes ça, toi aussi, chanter et mon sourire s'agrandit sur mon visage. Tu es vraiment sympathique et j'aimerais parler aux inconnus comme tu le fais. Ce serait vraiment magnifique si je pouvais dire ce que je ressens en ce moment. Tu dois penser que je m'ennuie, que ça m'énerve que tu me parles, mais c'est bien le contraire. Je suis content, je n'arrive tout simplement pas à le manifester en mots. Je ne fais que te sourire comme un idiot et hocher la tête.

Tu sais ce que j'aimerais te dire franchement? Que tu es une personne vraiment jolie et que j'aimerais en savoir plus sur toi, mais je suis trop effrayé pour te l'avouer. Je ne te connais même pas, je ne comprend même pas comment tu fais pour avoir autant d'assurance devant une personne que tu ne sais sûrement pas le nom. Tu me complimentes encore en me disant que je ressens les paroles et les manifeste bien. Ça me touche vraiment, mais je ne dis rien, jusqu'à ce que tu me dises que tu t'en vas, que tu ne veux pas me déranger plus longtemps. Pourtant, tu ne me dérange pas du tout, mais ça, tu ne le sais pas parce que je n'ai pas dis un mot depuis que tu es là, à faire malheureusement un monologue. Je suis désolé si tu crois que je suis désintéressé, ce n'est pas ça, c'est juste que je n'aime pas vraiment parler et je ne suis pas le genre de mec à discuter avec une personne que j'accoste tout bonnement, non, je suis plutôt du genre à me faire des amis parce la connaissance d'amis de mes amis. Enfin, je suis désolé, même si tu ne peux pas entendre mes excuses.

Aller Andrew, tu peux lui parler! Je la regarde un instant dans les yeux, les joues toujours aussi enflammé, puis, je prend mon courage à deux mains et je lui dis avec un petit sourire et une timidité qui est bien apparente sans que je ne puisse y changer quoi que ce soit.

- Je... Euh... Merci.... J'aimerais bien t'entendre chanter... Enfin..... Si tu veux, je ne t'oblige pas hein?  C'est juste que tu as vraiment l'air d'aimer chanter et je suis certain que tu chante comme un ange.

J'ai l'air de la draguer, mais ce n'est pas le cas, non, pas du tout. Je suis con merde! Je me hais tellement! En ce moment, j'ai vraiment envie de disparaître, mais je ne veux pas qu'il y ait un malentendu alors je continue mon massacre.

- C'est pas que je te drague hein? Je m'en rend compte, mais c'est pas ça.... Désolé. J'suis con c'est tout. Haha.

Oui, un rire idiot pour arranger ma situation fera peut-être son effet, j'espère qu'elle ne va pas partir à cause de mes conneries. Enfin, ce serait compréhensible. Je regarde le sol. J'ai trop honte pour la confronter dans les yeux. Putain que je suis con.
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MessageSujet: Re: I can't escape myself [pv Edan] [en pause] I can't escape myself [pv Edan] [en pause]  Icon_minitime

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