Depuis ce matin, comme tout les autres me direz-vous et bien non j'ai eu des bons jours. Mais là tout allait mal je me suis lever avec une vraie gueule de bois à cause de la fête d'hier soir, il faut dire que j'avais pas mal bu et fumer quand même, du coup en arrivant au lycée je n'osais même pas imaginer ma tête mais je voyais bien celle des gens du lycée certains rigolaient d'autres en avaient peur, bref le carnaval des têtes d'abrutis. Le pire restait encore à venir je le savais mais là... Tout les profs sortaient la même réplique; vous n'avez pas rendu votre devoir m. Loveless ! Vous serez sanctionné, je m'en lavais un peu les oreilles bien sur j'allais aller faire leur punition mais les écouter m'ennuyait juste, alors ils se sont sentit bien con lorsqu'ils ont vu que j'avais mes écouteurs pendant qu'ils parlaient, qu'est-ce que ça m'amuse de les voir crier dans le vide.
Cours après cours, ennuis total alors je me contentais de regarder par la fenêtre, à vrai dire voir les filles courir et suer au point de rendre leurs hauts transparent est deux fois plus intéressant que ces cours. Je me fis rappeler deux ou trois fois à l'ordre mais mon regard se perdait à nouveau devant les soutiens-gorges roses, rouges, noir, blanc bref le paradis des poitrines quoi, même une qui ne portait pas de soutien-gorge mais vu la planche à pain ça ne m'étonnait pas vraiment. Tête appuyée contre ma main, j'étais à deux doigts de m'endormir lorsque la cloche a sonné pour annoncer l'heure du déjeuner, je soufflais de réconfort à cette idée de dévorer mon bentô, acheté au retour de la fête hier soir à la supérette du coin; miam le bentô idéal. Mais alors que je me levais, plusieurs filles de la classe sont venues vers moi avec leurs sourires de tombeuses et leurs poitrines apparentes de leurs chemises d'uniforme à moitié détachées, elles m'ont presque toutes donner un bentô supplémentaire.
Après avoir remercier ces jolies demoiselles mon sac à l'épaule, je suis sorti de la classe l'air totalement blasé me dirigeant vers un endroit pour manger tout ça, d'un coup je me suis arrêter au milieu du couloir pour réfléchir mieux et j'en vins à choisir le toit comme cantine, alors l'air de rien je suis monter, j'ai ouvert la porte et regarder autour de moi; personne, le vide intersidéral à part le son du vent qui s'apportait à mes oreilles. J'ai déposer mon sac dans un coin et je me suis diriger vers le bord, admirant le paysage du coin qui s'étendait devant mes yeux, ça me rappelait un peu le toit depuis l'endroit où je suis né... Bien sur c'était totalement différent, mais cet air mélancolique qui s'affichait sur mon visage quand je voyais quelques arbres et une colline me choquait légèrement et sans m'en rendre compte je restais là tel un arbre à mater d'un air mélancolique le paysage du Japon.