Tu es plutôt étrange comme personne physiquement parlant. Tes muscles ne sont peut-être pas développés au maximum comme les messieurs muscles, mais tu as tout de même quelque chose qui ressemble à cela et ceci est tout de même visible sans trop l'être. Tu es doté d'une petite taille qui ne dépasse pas les un mètre soixante.  Que l'on se moque de ta taille, ça, tu t'en fous car tu le sais que tu n'es pas vraiment grand alors bon. Tes cheveux sont blonds de façon purement naturelle et il sont ''levés'' en l'air grâce à ce que l'on appelle du fixatif. Tu prends bien soin de tes cheveux, trouvant qu'une apparence devrais être bien entretenue. Bref, outre ce fait, tes cheveux sont d'un bleu ciel et à cause de ta vision contrainte à la myopie, tu te dois de porter des lunettes la grande majorité du temps.

Tu portes deux grands piercings sur chacune de tes oreilles. Ceux-ci sont généralement des anneaux noirs avec des billes vertes. Ton style vestimentaire est plutôt changeant.  Autant tu peux porter quelque chose de simple comme un chandail, une veste et des jeans troués, autant tu peux te mettre en habit-cravate sans aucune raison vraiment valable.

Autre: Tu as des cicatrices aux poignets que tu caches avec des bracelets ou des chandails longs.

Tu n'es pas une personne que l'on peut appeler ''social'', mais tu n'es pas non plus l'exacte opposé de ce mot. En d'autres termes, tu n'es pas la personne qui va aller se présenter en premier, non, tu es la personne qui attend que l'autre aille te voir que ce soit un ami ou bien un simple inconnu. Certes, tes discussions ne doivent certainement pas être très intéressantes, mais tu peux converser au moins un petit peu avec les autres sans que ceux-ci ne soient ahuris de ta stupidité ou de ton manque de paroles.

Malgré tes apparences plutôt froide, tu es capable de rire et si un proche va mal, tu vas tenter de lui changer les idées car tu ne supportes pas que quelqu'un de ton entourage aille mal, tu ne veux pas qu'ils se sentent comme toi avec eux-même. Tu es d'un naturel gentil – tu ne vas pas voler des sucette aux enfants-, mais tu sembles détaché de la société actuelle. Tu marches dans ton propre univers, laissant parfois les gens s'y incruster, mais jamais assez profond pour entrer complètement dans cet univers.

Tu es plutôt solitaire dans un sens, mais tu n'aimes pas être toujours seul dans ton coin. Tu as besoin de quelqu'un à tes côtés parfois, les jours de pluie comme on dit. Tu ne t'ouvres pas vraiment aux autres, du moins, jamais complètement, gardant tout cette douleur en toi, toute cette haine que tu as à l'intérieur et ne la laissant pas s'échapper, sauf en frappant dans un mur.

N'étant pas non plus d'un naturel violent, tu n'aimes pas les bagarres que ce soit en voir ou en faire partie. Le fait de voir du sang te répugne au plus au point et il te paralyse même quelque secondes. Voir ton sang ne ta dérange pas, mais le sang des autres est une toute autre histoire.

Comment tu te vois? Tu n'es qu'on homme stupide qui a appris à servir des client et jouer de la guitare. Tu peux bien dire des propos intelligent, lire, écrire des paroles touchantes qui font réfléchir, ce n'est jamais assez pour toi. Tu es magnanime, mais tu ne peux pas t'aimer peut importe comment tu es bon. Tu souhaites souvent de ne plus exister et tu hais tes parents de t'avoir gardé alors que tu n'étais pas un enfant désiré. Tu ne fais jamais entrer quelqu'un dans ton monde, de peur qu'il te fuit, qu'il t'abandonne comme tout les autres avant ont fait. Tu as peur de ton ombre, tu te considères comme un véritable monstre sans aucune raison vraiment valable. Tu souffres comme tout le monde lorsqu'un proche part, mais la différence entre eux et toi c'est que physiquement, tu ne le montres pas. Tu ne ressembles qu'à un robot extérieurement, ton intonation souvent neutre, mais à l'intérieur toutes ces émotions que tu caches à tous bouillonnent en dedans et te font terriblement mal. Pourtant, après tes nombreuses tentatives raté d'en finir, tu as décidé de ne plus tenté de mettre fin à la vie et la continuer jusqu'à ce que la mort viennes elle-même à toi. Tu es faible en fait, tu ne peux pas fuir, tu ne veux pas surtout, mais n'était-ce pas ce que tu avais fait durant toutes ces années? Bien que tu décides de vivre, tu fuis la réalité qui t'entoure. Tu te crées une sorte de bulle qui éloigne à peu près tout le monde.

Tu aimes la musique et tu joues de la guitare depuis que tu es jeune.  Tu préfères nettement le punk, le rock et ses semblables. Tu aimes composer des paroles, mais tu te trouves nul en chant, n'ayant jamais pris de cours et chantant seulement sous la douche en faussant beaucoup. Ton rêve, la chose que tu désires le plus est de faire partie d'un groupe de musique, mais cela ne se réalisera probablement jamais. Ce n'est vraiment pas rare que l'on te voit avec ta guitare en dehors de cours. Peut-être le seul moyen de t'énerver réellement c'est de toucher à ta guitare car c'est ton précieux objet que personne ne devrait touché excepté ta personne. L'exacte opposé de cette action serait de t'offrir un contrat ou bien de te donner des sucreries, les short-cake aux fraises en particulier. Tu adores les pâtisseries ou le bonbons et tu ne peux pas vraiment te passer de ce goût sucré.

Alexis Adel Lambert. Tu n'es pas vraiment quelqu'un qui a été désiré, étant créé d'une union d'un soir d'une fille d'à peine 18 ans qui a tout laissé tombée pour t'avoir toi, mais qui a pris sa décision à la dernière minute, pleurant comme une folle dans la salle d'avortement. Elle t'a gardé car elle se sentais sûrement mal d'abandonner un fœtus par sa faute, d'enlever la vie à une personne pour ses erreurs. Pourtant, elle allait tout perdre car sa famille ne voudrais plus d'elle, ses amies la traiterais de prostitué et la personne avec qui elle t'avait conçu, il n'était déjà plus là. Cette jeune femme dut à la fois supporter les représailles, mais aussi le fait de vivre seul avec un enfant. C'est ainsi que tu es né, vivant dans un petit appartement et devant supporter tout jeune avec les pleures, le grand chagrin de ta mère.

Lorsque tu étais jeune, tu voyais sens cesse des hommes différent, peut-être à chaque mois et cela ne te faisait pas plaisir. Tu t'amusais à les appeler ''papa'' puisque tous en avait un sauf toi, mais ta mère n'appréciait guère cela et elle te criait souvent dessus pour te le faire comprendre. Évidemment, ce n'était pas rare que tu pleurais, mais tu versais souvent les larmes à l'école devant tout le monde. Tes amis te demandaient souvent pourquoi tant de tristesse et ne sachant pas comment expliquer ça sans mettre ta très chère mère dans le pétrin, tu disais simplement qu'ils ne pouvaient pas comprendre car c'était véridique dans un sens. Tu commençais à t'éloigner des autres, étant souvent dans ton coin et ceux-ci commençait aussi à te délaisser ce qui était plutôt compréhensible.

Plus les années s'écoulaient, plus les crise de ta mère devenait violente. Ce n'était pas vraiment rare de te voir avec quelques bleus, mais étant sportif dans ce temps, personne ne se posait de question. Tu sympathisais de plus en plus, gardant tout de même tes problèmes pour toi. Le plus tard que tu rentrais chez toi, ou même le moins souvent que tu rentrais était pour le mieux. Chez tes amis, oui tu les utilisais, mais eux, ils te donnaient de la nourriture et tu étais au chaud. Tu n'invitais jamais tes potes chez toi et ce à n'importe quelle âge car tu savais qu'ils allaient rire et t'éviter pas la suite. Peut-être à tes 12 ans, tu avais des pensées suicidaires. Tu passas à l'acte, du moins tentas, lorsque tu revenais du collège. Il y avait ce point, ces grilles pour éviter le suicide. Alors que tu avais essayé de les passer, un homme te pris et t'engueula, te disant que tu ne devrais pas faire ça. Il te raccompagna chez toi et expliqua la situation à  ta très chère mère qui te cria dessus en tremblant. D'autres bleus s'ajoutèrent à la collection et elle te dit pour la centième fois qu'elle ne savait pas pourquoi elle t'avait gardé, qu'elle avait sacrifié tout pour toi et qu'elle l'humiliait terriblement. Pris d'une certaine colère Tu lui crias aussi dessus à ton tour en lui demandant pourquoi elle t'avait laissé la vie si c'était que pour la pourrir comme elle le faisait. Étrangement, elle se tue et elle quitta les lieux les larmes aux yeux.

Après cet événement, ce fut ta grand-mère que pris soins de toi et elle t'avait demandé si tu voulais voir un psychologue, mais tu refusais, détestant que l'on t'aide puisque de toute façon, tu étais un monstre de la pire espèce qui ne pouvait rien faire dans sa vie. C'était triste, mais c'était bien la vérité. Les faits étaient là, ta mère était parti voyagé avec tout l'argent de tes études, te laissant à sa propre mère. Le fardeau que tu étais ne pourra jamais être pardonné et tu le sais très bien. Alors que la violence autant psychologique et physique ne se faisait plus par les autres, tu te l'affligeas toi-même. Tu étais en seconde lorsque tu commenças à affliger des blessures personnelles sur ton corps, prenant une lame de rasoir et te mutilant dans la douche à l’insu de tes grands-parents. Tu te détestais, mais tu cachais bien ton jeu. Tu étais d'un naturel souriant avant, dans une bulle, mais pas autant qu'aujourd'hui. Tu allais voir les autres et ceux-ci t'appréciaient pour ce que tu étais, du moins, c'est ce que tu croyais. L'atmosphère était bien à l'école, mais à la maison, ce sourire s'envolait tout comme les paroles qui ne sortaient pas de ta bouche. Les seuls mots qui sortaient de ta bouche était : '' Bien'', '' merci'' , '' J'vais dans ma chambre'' , '' J'ai pas faim''  ou bien '' J'vais me doucher''. Tu ne mangeais pas vraiment et plus le temps avançait moins les  nutriments voulaient se faire digérer. Tu te rendais toi-même malade, dégoûté par ce que tu étais. Ton sourire disparaissait de plus en plus et un jour, c'en était trop pour ton corps en manque et il tomba au sol. On t'amena à l'infirmerie et on t’obligea voir un psychologue à cause de tes cicatrices qui étaient très voyantes sous tes dizaine de bracelets. Pourtant, après toute les séances, ça n'avait pas donné grand chose, du moins, tu mangeais plutôt normalement, aillant encore quelques nausées, mais rien de vraiment grave. On te prescrit des anti-dépresseurs que tu ne pris que très peu de fois, trouvant cela comme une perte de temps et d'argent.

Vers la première, tu commenças à travailler comme employé dans une restauration-rapide et tu appréciais tout de même ce travail. Non, ce n'était pas celui qui était le plus excitant, mais c'était tout de même bien, en particulier car il y avait un joli garçon et celui-ci t'adressait la parole. Ce fut ton premier amour et il fut réciproque. Pourtant, dans ta vie, toutes bonne chose à une fin, alors que tu lui avais donné une totale confiance, ce garçon avait osé te tromper avec une femme. Ce jour là, tu ne sais pas ce qui t'avais pris et encore aujourd'hui tu le regrettes, mais tu l'avais frapper plusieurs fois avant de partir en pleurant. Tu pleurais en public, chose que tu n'avais pas fait depuis des lustres. Tu avais quitté ton emploie et avait supplié tes tuteurs de bien te laisser déménagé à Versailles. Ils acceptèrent et tu commençais ton année de terminal là-bas.

Tu as essayé de te pendre, mais la corde a lâché juste avant de partir. Épuisé que la mort ne veuille pas de toi, tu décidas d'arrêter de fuir la réalité autant soit-elle triste. Enfin, tu pris plutôt la décision de changé la réalité en rêve que tu aimerais que ce soit réaliste.

Durant les années qui avaient suivies, tu avais découvert ta passion; la guitare. Tu travaillais comme serveur et payait une partie de tes frais scolaire ainsi que tu achetais du matériel pour guitare. Tu pris des cours et développas l'habileté de tes doigts qui était tout de même déjà bien au départ. Tu commençais, entre les cours, le club et le travail, à composer tes propre composition,certes sans parole et plutôt de façon très Rock' n' Roll. La musique pris une place important dans ta vie, te faisant presque oublier tes problèmes.