J'avais l'habitude de chercher les gens, j'avais l'habitude de leur faire chier à un point inimaginable je trouvais l'être humain gredin et ignoble, incompétent et idiot par la même occasion, les humains était vicieux et manipulateur, ils méritaient tous de mourir, ils ne méritaient donc pas de vivre impossible pour moi de concevoir cela d'une autre manière, je détestais la race humaine car à cause de ces imbéciles j'étais devenu ce que je suis aujourd'hui, j'étais devenu un monstre mais par dessus tout un être mauvais dénué de sentiment possédant un cœur de pierre et transgressant les règles et les lois crées par ses mêmes humains, je terrorisais les autres humains et leurs faisait peur à longueur de journée, je me suis dis qu'après avoir fini le lycée et après avoir fini mes comptes avec Malov, j'allais commencer à tuer ceux qui se mettrais en travers de mon chemin.

Je m'étais réveiller dans ma demeure et je ne fis même pas l'effort de faire mon lit pourquoi devrais je le faire vu que j'avais de toute façon des domestiques pour le faire, j'étais riche et cela grâce à l'argent de mes "parents" de ses gens qui ne méritaient même pas que je les appels ainsi, ils m'avaient abandonner plus jeune et je me suis retrouver dans une famille d'accueil, je ne savais pas pourquoi j'étais dans cette famille d'accueil mais bon de toute façon j'y étais et malgré cela je vivais avec eux dans une grande maison mais maintenant que j'étais venu ici à Versailles, j'avais acheter une nouvelle demeure que pour moi et avait engager moi même un domestique, je n'allais tout de même pas dormir dans l'internat pourrit de ce lycée et me retrouver dans la même chambre que mon ennemis, cette pâle copie de moi qui ne méritait pas de vivre non plus, je rejetais l'être humain en générale, j'aurais même préférer être un animal.

je pris mon sac de cour et pris en même temps un sac de sport, je me suis dis qu'aujourd'hui je n'allais pas terroriser les autres et qu'aujourd'hui j'allais m'amuser à faire autre chose, j'aimais beaucoup jouer au basket ball pas parce que ce maudit Malov était aussi un joueur et que je voulais l'humilier mais parce que c'était un sport qui ne me tournait pas le dos grâce à mon oeil de l'empereur je pouvais battre n'importe qui, cet oeil n'était pas magique il était tout simplement divin.

Je suis sortit de ma maison et pris la direction du lycée, je marchais mains en poche à une vitesse assez régulière, arriver au lycée je montais directement en classe en espérant croiser mon ennemis, malheureusement pour moi je ne l'avais pas croiser et les gens dans ma classe était assez bruyant, je ne faisais pas vraiment attention aux imbéciles dans ma classe j'attendais simplement que la sonnerie sonne deux fois, la première pour faire commencer le cour et la deuxième pour montrer que les cours étaient fini.

Dés que les cours fus fini, je me dirigeais cette fois vers le gymnase pour m'amuser comme prévu, je déposa rapidement mon sac sur le banc et pris un ballon de basket pour claquer quelque dunk sur le panier, j'avais beau être petit avec mes 1 mètres 70 je m'étais entrainer comme un dingue pour pouvoir dunker, je fis quelque shoot puis partit faire des alley oop d'un panier à un autre, je m'arrêtais un moment et partit rapidement fermer le gymnase pour que personne ne vienne me déranger, j'allais faire chier personne aujourd'hui donc j’espérais que personne ne vienne m'ennuyer aujourd'hui.

Je partis rapidement vers mon sac et chercha une corde à sauter, je déposa mon ballon à terre et fis quelque saut ou plutôt pour être plus précis je fis 100 saut sans m'arrêter, je déposa ensuite ma corde et je me suis mis à faire de simple lay up mains droite puis je me suis mis à faire des lay up mains gauche au moins maintenant j'étais vraiment échauffer.

Étendue sur mon lit, le regard figé sur mon plafond, j'avais les yeux fermés et n'avait aucune envie de les ouvrir à nouveau. Ça faisait trente minutes que j'étais revenue des cours. Et cette journée ne valait pas la peine que je m'étende davantage dessus, elle était banale et sans aucun intérêt, comme la vie que je vivais en ce moment. En rentrant dans ma chambre, je vis que j'avais reçu un message sur mon répondeur. Je l'avais donc écouté avant de balancer mon téléphone contre le mur qui me faisait face. C'était le kiné qui me suivait depuis l'accident, il avait eu la bonne idée de reprendre les séances de rééducation, alors que lui comme moi savait que les chances pour que je remarche un jour étaient maigres voir inexistantes, et je penchais plus sur la deuxième possibilité. Je m'étais faite à cette idée et ça me faisait encore plus mal de continuer pour quelque chose que je savais inatteignable. Voilà pourquoi je ne voulais pas me relever, j'avais rendez vous avec lui dans quinze minutes au gymnase, car il avait réussit à s'arranger avec la direction pour que ce soit lui qui se déplace et non le contraire. Quelle délicate attention … je m'en serai bien passé !

Un nouveau soupire s'échappa de ma bouche quand je décidais enfin de me lever, ramassant au passage mon téléphone qui avait atterri sur mon lit par chance. J'enfilais un survêtement noire, simple. Puis me hissa sur ma chaise roulante, et sortit de la chambre. J'allais devoir passer devant tout le monde, puis sortir en plein soleil. Subir encore le regard des autres élèves et je n'y échappa pas. Les gens se poussaient à mon passage, baissant la tête pour me regarder, se murmurant des choses à mon sujet. « Regarde celle là, la pauvre … Tu as vu sa maigreur … sa pâleur … » Oui j'étais maigre, oui j'étais pâle, oui j'étais en fauteuil roulant. Mais foutez moi la paix une bonne fois pour toute. Heureusement que je ne pouvais pas parler, parce que sinon je les aurai tous insulté, leur jetant tout ce que j'avais sur le cœur à la figure. Qui étaient-ils pour me juger ? Personne, et ils ne savaient pas, n'imaginaient même pas ce que j'avais pu traverser. J'étais furieuse, déjà que je devais revoir ce kiné de malheur, je devais en plus subir les regards de ces gens pleins de pitié. Qu'ils la gardent leur pitié, je n'en ai rien à faire ! Moi tout ce que je veux, c'est être tranquille, seule, et qu'on me laisse en paix jusqu'à ce que la mort vienne me prendre à mon tour.

Je me demandais parfois si le paradis, la vie après la mort existait. Je n'étais pas du genre à croire en ce genre de chose mais après tout pourquoi pas ? Il ne pouvait pas ne rien y avoir. Alors peut être reverrais-je un jour Arthur, ou peut être vivrais-je une nouvelle vie plus heureuse … J'étais arrivée dehors et le soleil m'aveugla. Je n'avais plus vraiment l'habitude de passer du temps dehors, la pâleur de ma peau en était la preuve. Le soleil me tapait sur la tête et ça faisait mal. Je me dépêchais alors pour arriver au gymnase le plus vite possible. Décidément, rien n'allait aujourd'hui … Et tout ça à cause de ce kiné, lui et ses idées, je les retenaient. Qu'il ne s'attende pas à ce que je fasse des efforts, il pouvait toujours courir. Le sport n'avait jamais été mon fort, et encore moins maintenant que j'avais perdu l'usage de mes jambes. Arrivée devant ce grand bâtiment qui n'avait aucune réelle beauté, je ne vis pas le kiné. Si en plus de ça il était en retard. Je ne l'avais jamais aimé … J'attendis cinq minutes et ne le vit toujours pas. Le soleil tapait de plus en plus, et j'en avais marre. Je décidais alors d'entrer dans le gymnase. Je poussa alors la porte fermée, rentrant sans prêter attention à la personne qu'il y avait à l'intérieur. Je me mis dans un des coins du gymnase pour ne pas déranger la personne qui était déjà là.

Puis mon téléphone sonna, je le décrocha donc, toujours le regard baissé.

« Bonjour Mademoiselle Angely, je suis désolé mais je ne pourrais malheureusement pas venir aujourd'hui, j'ai eu un empêchement de dernière minute. Au revoir, je vous recontacterais. »

Non mais je rêve, pour qui il se prend celui là. Vu qu'il n'attendait pas de réponses de ma part, il raccrocha automatiquement. J'étais de plus en plus énervée, je n'en pouvais plus, je bouillonnais. Je souffla alors longuement, un regard froid sur mon regard. Je me décida enfin à lever la tête, voulant savoir qui se trouvait avec moi dans cette grande salle. Et là, ce fut le vide en moi, mon téléphone m'échappa des mains et un regard plein de stupeur s'afficha sur mon visage, ne réussissant plus à détourner mes yeux de lui.

Ce n'était pas … possible, ça ne pouvait pas être vrai. Non … non.

Les cours était fini et j'étais dans ce gymnase tout seul pour pouvoir m'amuser et m'entrainer tout seul, aucun autre imbécile pour me souler ou pour me dire ce que je dois faire ou même me défier, perdre et aller pleurer ailleurs, il n'y avait vraiment personne, j'étais toujours avec mon ballon entrain de m'échauffer un maximum rien ne valait l'échauffement pour ne pas se faire mal, c'était obligatoire et pas seulement pour ne pas se faire mal mais surtout pour être chaud et pouvoir faire une bonne prestation, pouvoir marquer tous ses paniers comme si de rien n'était, donner le meilleur de soit même juste grâce à cette échauffement.

J'étais entrain de faire un échauffement assez simple 100 petit saut à la corde à sauter, quelque dribble pour que mes mains soit assez chaude pour ne pas perdre le ballon au cas où, je faisais des alley oop de chaque côté du panier pour faire un gros effort puis me suis remis à faire des lay up pour calmer un peu le jeux, je ne devais pas non plus me vider de toute mon énergie pour seulement ce genre de chose, j'allais devoir me vider de mon énergie en me donnant à fond à faire des dunks de toute sorte car les dunk fatiguait énormément le joueur, il devait se donner à fond pour sauter et pour pouvoir déposer le ballon au fond du panier.

Bref j'étais toujours aussi à fond dans mon échauffement, j'avais fermer le gymnase de toute façon donc personne ne devrais venir me déranger, je l'avais surtout fermer de sorte que les gens croient qu'il est réellement fermer, je devrais donc pouvoir être seul pendant un bon moment, je commençais tout doucement à fatiguer, je m'étais arrêter un moment pour souffler déposa le ballon à terre et fis un suicide, je partit de la première ligne jusqu'à la dernière ligne et je fis ce suicide deux fois, juste après ce suicide j'étais fatiguer et je ne pouvais plus rien faire, je souffla et souffla et pris mon ballon pour continuer une série de dribble des deux mains, j'avais enfin pu ravoir tout mon souffle et je me suis remis à courir en dribblant, je fis un dunk sur un panier puis entendis un téléphone sonner, je bloqua mon ballon contre moi et regardais d'où cela venait, je voyais au loin une jeune fille avec des cheveux gris mais surtout en chaise roulante, qu'est ce qu'elle faisait ici celle la, j'avais bien fermer la porte donc pourquoi était-elle rentrer ?

Je la fixais au loin et vu sont téléphone tomber de ses mains, elle me regardait comme si j'étais un fantôme, qu'est ce que j'avais fait, elle voulait quoi celle la sérieux, je m'approcha tout doucement d'elle, je me suis dit que je devrais peut être lui faire peur pour ne pas qu'elle me fasse trop chier ou qu'elle commence à parler pour rien dire qu'elle était en fauteuil roulant ou non je m'en foutais aujourd'hui je voulais m'entrainer et je ne voulais pas qu'on me fasse chier, je m'approchais et fixais toujours la jeune fille mais de plus je m'approchais d'elle de plus je pouvais voir à quel point elle était jolie avec ses cheveux gris et ses yeux d'une couleur rougeâtre, c'est pas comme si les filles m'intéressaient car je ne faisais que m'amuser en leur compagnie leur faire peur, les faire courir jusqu'à ce qu'elles soient trop fatiguée pour pouvoir continuer de courir, dés fois je les insultaient même pour le plaisir comme l'aurai fait un alcoolique, je trouvais en cela une sorte de satisfaction je pouvais même dés fois m'amuser à détruire des biens qui n'étaient pas les miens, je m'amusais réellement à faire cela car je montrais à ses foutus humains ce que ça faisait que d'être différent, je me faisais rejeter mais je m'en foutais royalement car maintenant j'étais devenu un monstre surement modifié génétiquement personne ne voulait me le dire même Malov pensait réellement que nous étions issue d'une mère et d'un père ça ne pouvait être réel il devait y avoir quelque chose de plus, bref je continuais ma marche vers elle et m'arrêta un peu devant elle, je ramassa le téléphone qui était sur le sol et regarda le dernier appel sans même faire attention à la jeune fille je m'en foutais qu'elle réagisse ou non de toute façon je faisais ce que je voulais de ma vie règle ou non, lois ou non je m'en foutais royalement, c'était écrit Kiné, je regardais les jambes de la jeune fille puis regardais le téléphone, je souris légèrement et jeta le téléphone sur les jambes de celle ci pour qu'elle puisse l'avoir sur ses cuisses, je pencha légèrement la tête et activa mon œil de l'empereur pour qu'il se mette à briller, je voulais en sois lui faire peur pour qu'elle déguerpisse mais je ne savais pas si elle allait bouger elle qui était toujours entrain de m'observer comme si j'étais un fantôme.

- Tu n'a rien à faire ici je pense !

Non ce n'est pas possible, pourquoi ? Comment ? Je perdais tous mes moyens, mes mains se mettaient à trembler alors que ma gorge se nouait, sentant les larmes me monter aux yeux. Je les empêchais pourtant de couler et de s'échapper de mes yeux. Il fallait que je me calme, que je respire mais tout ceci n'était pas compréhensif. Arthur … Est ce toi ?

Cet homme qui s'avançait vers moi, m'ayant remarqué, s'approchant de plus en plus, me fixant d'un air froid et dédaigneux … La ressemblance était frappante et très déstabilisante. Mes idées étaient confuses et je ne parvenais pas à détacher de mon regard de lui alors qu'il parvenait presque à ma hauteur. Mon cœur s'emballait et mon souffle saccadait. Pourquoi la vie avait-elle décidé de me torturer à ce point là, en me présentant son sosie. Je voulais partir, fuir aussi loin que je pouvais de cet homme. Mais je n'y arrivais pas, il était comme lui.

Un ballon de basket dans les mains, un basketteur, exactement comme lui, je me souviens des matches que j'allais voir les week ends, son équipe était la meilleure et ils remportaient tous leurs matches. Roux, c'étaient cette couleur qui m'avait le plus attiré chez lui, ses cheveux indisciplinés, je les adorais, il avait l'habitude, à chaque fois que quelque chose l'embêtait de passer sa main nerveusement dedans, et ça me faisait rire. J'aimais passer mes doigts dans cette chevelure de feu, ils étaient fins et doux. Et puis dissimulé sous ses cheveux, juste au dessus de son arcade, ce tatouage, était ce vraiment possible, que deux personnes se ressemblent autant jusqu'à avoir pratiquement le même tatouage ? Ce n'était pas le même signe, mais Arthur avait aussi un tatouage ici, il se l'était fait peu de temps après qu'on se soit connu, il s'était fait inscrire « feu » en japonais sur le front, symbole de la flamme de notre amour. J'avais d'ailleurs le même à l'emplacement de mon coeur. Nous l'avions fait ensemble, convaincus que notre amour durerait éternellement. Et il aurait duré aussi longtemps si cette tragédie n'était pas survenue. Dans sa démarche, je reconnaissais aussi celle d'Arthur, une démarche assurée, un peu arrogante. J'aimais tout chez lui, j'étais vite devenu accroc à lui, tout me faisait vibrer. Nous nous étions vite rendu compte de notre attirance mutuelle, c'est pour ça que ça avait collé aussi bien et aussi vite entre nous.

La seule chose qui changeait était leurs yeux, celui qui se tenait juste devant moi avaient les yeux vairons, exactement comme ceux de Malov d'ailleurs, étrange. Arthur lui avait les deux yeux rouges/ oranges, un peu comme son œil gauche. Mais c'était la seule chose qui m'aidait à pouvoir les différencier. Arthur, mon amour, tu me manques tellement ! L'inconnu avait ramassé mon téléphone tombé à terre et me l'avait balançait sur les jambes après avoir prit soin de fouiller dedans. Mais je bloquais tellement sur sa ressemblance avec Arthur que je n'y fis même pas attention. Il devait me prendre pour une folle à le fixer de la sorte, déjà que j'étais là en fauteuil roulant dans un survêtement que je trouvais tout moche, en plus avec une tête d'ahurie … Je tombais bien bas. Moi qui autrefois faisait attention à ma tenue, veillant à tout le temps être irréprochable, je me faisais honte … Que quelqu'un me vienne en aide, que quelqu'un vienne pousser mon fauteuil pour que je m'en aille d'ici. Ou faites que je me réveille de ce cauchemar, je vous en prie. Cauchemar que je n'arrivais malheureusement pas à quitter.

Puis il parla, d'un ton froid, me disant en quelque sorte que je n'avais rien à faire ici. Et ce fut une nouvelle flèche qui vint se planter en plein dans mon cœur, sa voix, non, non … Ce n'était définitivement pas possible, là c'était forcément mon imagination qui me jouait des tours, mais pourtant sa voix ressemblait à celle d'Arthur bien que dans celle de cet inconnu il y avait beaucoup plus de mépris. Jamais je n'avais entendu Arthur hausser le ton, ou mal parler à qui que ce soit. Il n'était tout de même pas gêné de me parler comme ça, le gymnase n'était pas réserver à son nom il me semble … Et bien évidemment je ne pouvais pas lui répondre, sinon il s'en serait pris plein la figure. Contrairement à Arthur moi j'étais assez sanguine, et je réagissais au quart de tour, je fronça alors les yeux cette fois en le regardant, rangeant mon téléphone dans ma poche. J'étais désormais tiraillée entre la colère et le souvenir malheureux de l'être aimé. Je n'arrivais malheureusement pas à bouger, pas à parler, j'étais comme pétrifiée devant cet homme. Non pas pétrifiée de peur, mais plutôt d'étonnement, j'étais … désarmée.

Aujourd'hui je ne voulais faire qu'une seule chose, jouer m'amuser un maximum mais pas jouer à n'importe quoi, je voulais m’exercer au basket ball, ce sport que j'aimais temps mais la tout de suite il y avait cette fille qui me dérangeais, ce n'ai pas par sont bruit qu'elle me dérangeais mais par sa propre présence, les humains en eux mêmes je les haïssaient, tout ce qu'ils étaient, tous autant qu'ils sont, elle y comprit, elle avait beau être en fauteuil roulant je m'en foutais carrément, je n'aimais pas lorsque l'on me regardais jouer au basket peut être parce que je jouais assez violemment et que dans mes mouvements on pouvait distinguer ma haine, c'est comme si de par le ballon je montrais à quel point j'étais énerver, à quel point je haïssais tout ce qu'il y avait autours de moi, de par le ballon que je réussissais à m'évacuer, à trouver un chemin de sortit et enfin à me calmer pour la journée mais la je ne pouvais plus le faire cette jeune fille handicapé me bloquais le passage, elle me bloquait cette accès qui me servait à me vider complétement elle qui était toujours entrain de me dévisager, de me fixer comme si j'étais un fantôme, comme si j'étais revenu d'entre les morts, une seule explication me vint en tête surement que je devais ressembler à quelqu'un qu'elle avait connu ou qu'elle connait encore mais je m'en foutais, elle me dérangeait de toute façon pourquoi était-elle ici ? Elle ne pouvait simplement pas me laisser tranquille au lieu de m'observer ainsi, on m'avait souvent traiter de monstre mais bon là me regarder ainsi me gênait plus qu'autre chose bien que normalement ça ne devrait pas le faire, cette gêne ne devrait pas s'emparer de moi comme elle le faisait auparavant, normalement j'avais l'habitude c'était peut être ses yeux rougeâtres qui me dérangeais d'une certaine manière.

j'avais ramasser sont téléphone et avait regarder vite fait ce qu'il y avait dans sont répertoire, au moment où je l'avais ramasser je me suis demander si j'allais faire une petite blague au téléphone un petit canulars pour me marrer mais bon là j'étais en quelque sorte dans mon monde, dans le monde du basket ball et là elle venait de m'en faire sortir de par sa présence, j'avais donc jeter sont téléphone sur ses jambes mais elle ne fit aucun geste, tout ce que je pouvais voir c'était qu'elle tremblait légèrement, j'avais réussi à lui faire peur ? J'avais arrêter de faire briller mon oeil de l'empereur il était revenu à sa couleur initiale, ça ne servait à rien de le faire briller si là déjà elle était entrain de trembler comme si il faisait -40 degré, elle était toujours entrain de m'observer, ses yeux commençaient tout doucement à m’agacer, je ne pouvais plus supporter ses yeux sur moi, je ne savais pas quoi faire, je lui avais demander de quitter la salle mais allait-elle le faire ?

- Tu n'a rien à faire ici je pense !

J'avais dis cela avec un ton assez menaçant assez méchant donc normalement elle devrait bouger mais non, la seule chose qu'elle fit c'était de mettre sont téléphone dans sa poche non mais elle se foutait de moi ou quoi, elle voulait que je la pousse moi même dehors, elle me bloquait là, je voulais jouer moi pas faire le babysitteur, je pus constater qu'elle avait froncer les yeux, comme si je l'avais énerver, je souris en voyant cela et ne pu m'empêcher de rigoler.

-Tu crois que tu me faire peur avec ses yeux la ?

J'approchais ma tête vraiment très proche de la sienne, comme avec un air de défie, pourquoi est ce qu'elle me regardait ainsi alors qu'elle ne pourrait rien me faire, si j'étais mauvais ah non que dis-je j'étais réellement mauvais donc pourquoi pas le faire, la faire tomber de sa chaise et la laisser se débrouiller pour se relever, c'était méchant certe mais au moins elle comprendrait qu'il ne faut pas me regarder avec cette air et qu'il ne faut pas me défier ainsi, je gardais ma tête proche de la sienne et gardais un sourire mesquin, je voulais qu'elle réagisse pour qu'elle puisse quitter la salle mais peut être qu'elle allait surement jouer avec moi et me faire comprendre que ce n'était pas ma salle mais de toute façon elle ne le pouvait pas j'étais de toute évidence plus fort qu'elle, mais surtout sans aucune pitié.

-Si tu ne bouge pas, je vais te faire bouger moi même, je n'ai aucune pitié pour toi que tu sois en fauteuil roulant ou non...

Ma tête était toujours aussi proche de la sienne et à ce même moment je pensais à quelque chose, je pensais au moment où je m'étais battu avec Malov, cet imbécile ne savais rien de ma situation mais essayait de me prendre ne sympathie pourquoi est ce qu'il faisait cela alors que moi au contraire je le détestais et lui crachais pratiquement dessus, je ne voulais pas être gentil ça ne servait à rien de l'être, mes yeux était plongé dans les siens, elle avait de beau yeux rouge presque aussi intense que les miens mais ce n'était pas le temps ni le moment pour la complimenter ou même lui trouver du charme elle me dérangeait et devait partir tout de suite d'ici, mais je me demandais ce que j'allais faire si elle insisterait, j'allais la laisser là à me regarder jouer ? où j'allais discuter avec elle pour lui faire comprendre que je suis un mauvais garçon et qu'elle ne devrait pas parler avec moi.

Il n'était vraiment pas gêné de me parler comme ça, il se prenait pour qui pour me parler comme ça ? Comment étais-je censé réagir face à ça ? D'un air mesquin et supérieur il rapprocha son visage à quelques centimètres seulement du mien. Dans ses yeux un air de défi, et dans le mien, de la surprise, de l'étonnement. Mes sourcils n'étaient plus froncés pour laisser place à deux grands yeux écarquillés. Jamais, même avant mon accident, on m'avait traité de la sorte. Ce jeune homme était vraiment particulier, malgré sa ressemblance physique avec Arthur, son caractère était totalement différent voir opposé. Arthur était quelqu'un de très gentil qui n'aurait jamais fait de mal à une mouche, respectant son prochain et veillant sur les êtres qui lui étaient chers. Par contre, celui que j'avais juste en face de moi, penchait sur moi, avait le regard empli de haine et d'amertume. Comment des gens pareils pouvaient exister, je savais que moi non plus je n'étais pas un crème surtout en ce moment, mais là c'était exagéré. Je n'avais rien fait de mal, j'étais juste là. Détestait-il autant la présence des autres personnes ? C'était un caractère bien étrange que je tentais là de décrypter.

Je continuais pourtant à soutenir son regard, n'étant pas du genre à me laisser faire de la sorte. Malgré mon état physique, je n'aimais pas me laisser marcher sur les pieds, je ne voulais pas me montrer plus faible que je ne l'étais déjà. Mon intention n'était pas de rester à tout prix, je n'avais aucune envie de communiquer avec lui, je ne voulais juste pas partir juste parce qu'il me le demandait. J'avais trop de fierté pour ça. Malgré ses avertissements et ses menaces je ne faiblissait pas, soutenant son regard d'un air résigné. Mais j'avais de plus en plus de mal, car à chaque fois que je me perdais dans mes pensées, la ressemblance avec Arthur me revenait en pleine face, j'oubliais que c'était cet être malveillant qui était en face de moi, et me plaisais à imaginer que ça pouvait être Arthur, comme si il n'était jamais parti. Les multiples souvenirs resurgissaient alors et je me revoyais dans ses bras, couvert par sa tendresse.

J'allais devenir folle, je n'arrivais pas à stopper tous ces souvenirs, mon cœur se nouait dans ma poitrine, ma gorge se serrait, les larmes remontaient à nouveau. Je commençais à transpirer, l'angoisse montait. Je détourna alors mon regard d'un air fébrile, reculant légèrement mon fauteuil pour ne plus être aussi prêt de lui. Je tentais de reprendre une respiration calme mais je n'y parvenais pas. Je fouilla alors nerveusement mes poches. Mais malheureusement je ne trouvais pas mes cachets, je les avais oublié dans ma chambre. Mon souffle était de plus en plus court et la panique s'empara de moi, mes mains tremblaient, je ne savais plus quoi faire. Je regarda la porte du gymnase, il me faut de l'air, il faut de l'air frais que je respire à fond, j'étouffe ! Je me dirigea alors vers la porte rapidement et l'ouvrit avant de prendre une grande inspiration, restant dans l'encadrement. En raison de la chaleur extérieure il n'y avait pas beaucoup d'air frais, mais je pus sentir aisément le peu d'air emplir mes poumons et caresser mon visage plein de sueur. La tête baissée, les yeux fermés et la main serrée sur ma poitrine à l'emplacement de mon cœur je tentais de reprendre une respiration régulière afin de calmer la pulsation de mon cœur.

Le fait d'être venu ici n'était sans doute pas une bonne idée, c'était même encore plus dure qu'avant. Obligée de croiser des gens, d'entendre leurs questions et remarques sans pouvoir leur répondre. Je serais bien mieux dans un lit à attendre que le temps passe. Et puis, en ne venant pas ici je n'aurais jamais croisé ce jeune homme, la copie parfaite d'Arthur. Quelle conne je suis, pourquoi étais-je resté là à le défier du regard au lieu de partir tant que je le pouvais encore, avant de refaire une crise d'angoisse. Bon sang. Il devait décidément me trouver de plus en plus bizarre. Je me sentais horriblement mal, mal dans ma peau et dans ma tête. Je n'avais pas les idées claires. Je détestais ma situation. Je déteste ce fauteuil, je me déteste. Je restais donc là, dans l'encadrement de la porte, tiraillée par mes démons intérieurs et tentant de faire passer cette crise d'angoisse.

Je me foutais ce que cette fille pouvait penser de moi de toute façon les humains étaient tous pareils à me regarder avec leur yeux dégouter de me voir et même dés fois avec des yeux pleins de peur comme si j'allais les tuer mais de toute façon ils n'avaient pas tord, j'attendais seulement de finir le lycée et de finir mes comptes avec Malov en attendant j'avais ma tête très proche de la sienne, je la défiais simplement du regard et elle, ouvrit ses yeux comme si elle était étonner voir surprise de ce que je faisais, je gardais mon sourire mesquin et lui souffla légèrement dessus, malgré mes avertissements elle ne bougeait pas j'avais beau lui dire de partir et qu'elle n'avait rien à faire ici elle ne m'écoutait pas, je ne comprenais pas pourquoi est ce qu'elle faisait cela peut être voulait-elle réellement me défier moi Light Eiji !

Elle recula légèrement sont fauteuil pour ne plus être trop proche de moi, je vu aussi qu'elle avait détourner le regard, je me disais bien que cette jeune fille n'étais qu'une gamine qui voulait juste faire genre "je te tiens tête" mais en fin de compte elle n'était plus la même, elle était entrain de fouiller nerveusement dans ses poches, je ne savais pas pourquoi elle faisait cela mais bon peut être qu'elle devait être malade et qu'elle cherchait des médicaments en tout cas elle commençait à trembler et je pouvais même voir la panique qui s'était emparer d'elle juste en la regardant dans les yeux, elle pris la direction de la sortie du gymnase je me suis dis qu'elle allait enfin quitter les lieux et que j'allais enfin être seul, je ne la suivais pas du regard et souffla un bon coup, je me retourna et pris mon ballon de basket que j'avais déposer à terre, je fis quelque dribble rapide puis couru vers le panier pour effectuer un dunk arrière sur le panier, en étant retourner et accrocher au panier je vu la jeune fille toujours dans le gymnase, elle avait l'air d'étouffer mais surtout de chercher de l'air,

Je pris le ballon qui était tomber du panier et le jeta en direction de la jeune fille.

-Mais allez va t'en qu'est ce que tu reste encore ici alors que tu n'es pas bien tu es folle où quoi ?

Je l'avais malheureusement pour moi raté, je voulais la toucher pour qu'elle sois surprise et qu'elle s'en aille en roulant très rapidement mais bon vu que je l'avais raté elle n'allait surement pas le faire, je marchais calmement vers elle, je pouvais voir de l'endroit où j'étais qu'elle tremblait toujours elle devait être réellement malade et elle était encore ici à chercher de l'air elle devait aller se chercher des médicaments oui pas de l'air, j'étais assez proche d'elle et secoua un peu sa chaise roulante.

-Tu va bouger oui, tu ne devrais pas rester ici va te soigner !

J'avais dis cela avec un ton assez directe et assez méchant, ce n'est pas que je m'inquiétais pour sa santé mais je ne voulais pas qu'elle meurt ici, je ne voulais pas avoir une mort sur la conscience c'était encore beaucoup trop tôt j'avais dis qu'avant de tuer j'allais d'abord attendre la fin de mes études et d'avoir régler mes comptes avec Malov je me demandais à ce moment même comment lui aurais réagi à cette situation, il l'aurais surement sortit de la salle pour l'aider à chercher ce dont elle avait besoin c'est à dire de l'air, moi je ne savais pas quoi faire dans cette situation, je pris les manches de sa chaise roulante et commença à courir avec comme si c'était une voiture, au moins ça allait surement lui donné de l'air, je roulais à une vitesse assez rapide et elle qui se tenait bien à sa chaise je ne savais pas si sa l'aidait ou pas mais bon premièrement je ne voulais pas l'aider deuxièmement je me suis dis que c'était marrant de rouler la chaise roulante d'un handicapé, c'était comme si j'étais encore un gamin, mais de toute façon vu que j'étais le mal incarné tout ce que je faisais était mal ahahahah !

Je l'avais arrêter devant le gymnase comme si elle devait reprendre sont souffle mais c'était surtout moi qui devait reprendre le mien, je tournais mon regard vers la jeune fille et lui souris encore d'un air assez mesquin.

-Alors mademoiselle tu va mieux ? ahahahahah !

Je ne pouvais m'empêcher de rire, elle voulait surement retrouver de l'air pour pouvoir respirer ect,... Et moi je trouvais du temps pour m'amuser et profiter donc de la situation pour parvenir à mes fins c'est à dire lui faire peur pour qu'elle s'en aille.

Alors que je commençais à peine à reprendre une respiration calme et régulière, son ballon de basket vint passer à quelques centimètres de ma tête, rebondissant contre le mur violemment. J'ouvris alors de grands yeux, il avait eu l'intention de me viser ou je rêve ? Suis-je folle ? Non mais il se fout de moi ou quoi ? Pour l'instant le fou c'était plutôt celui qui envoyait des ballons de basket sur des gens en pleine crise d'angoisse. Je me considérais moi même comme folle, mais là ça dépassait largement ma folie à moi. Qu'est ce que ça pouvait lui faire si je restais ici ou non, peut être que je n'avais pas envie de me soigner. Quel odieux personnage, je bouillonnais de l'intérieur, sans toutefois oser le regarder, était-ce de la peur ? Je dirais plutôt de la crainte. Il avait eu l'intention de me balancer un ballon en pleine face, alors je ne savais pas vraiment de quoi il était capable envers moi. Il s'avançait vers moi et je gardais mon regard figé devant moi, qu'allait-il me faire ?

C'est alors que, ne m'y attendant pas, il prit les poignets de ma chaise roulante et se mit à courir me poussant. Mais il était malade ma parole ! Je n'osais même pas poser mes mains sur mes roues pour le bloquer par peur de me les faire brûler, il allait vraiment très vite. Et moi, je me cramponnais comme je pouvais, fermant les yeux et priant que ça s'arrête rapidement. Cet être qui me poussait et jouait avec mes nerfs était quelqu'un de malveillant et malsain, semblant se réjouir du malheur des autres et jouer avec. Moi je ne lui avais absolument rien dit, ni rien fait. Je l'avais juste regardé. Je vous en prie, faites qu'il s'arrête. J'avais peur oui. Mais au moins j'oubliais mon angoisse, emprise désormais avec la colère et la haine.

Finalement, il finit par s'arrêter, semblant vouloir reprendre son souffle. Ca l'avait peut être calmé, maintenant qu'il avait pu se défouler, profitant de mes faiblesses. Quant à moi je rouvris les yeux, j'étais furieuse et une lueur malveillante traversée mon regard. J'aurai eu mes jambes, je me serais levé et l'aurait étranglé sans aucune forme de pitié. Et lui était mort de rire en attendant, pendant que je bouillonnais de colère. Il n'avait aucun respect. Bien que je ne recherchais pas la pitié des gens, je ne voulais pas non plus être traitée comme une moins que rien. Cette rencontre, j'aurais aimé ne jamais l'avoir faite, elle ne m'avait attiré que des ennuis, de la colère, de la tristesse et de la déception.

Le pire c'est qu'il continuait encore plus dans l'humiliation, me demandant si ça allait mieux … Il se foutait vraiment de moi. J'avais les points et les dents serrés, croyant exploser à tout moment. Je lui jeta alors un regard plein de haine, des larmes de rages coulant sur mes joues, et me mit à crier sans même m'en rendre vraiment compte.

« -IMBECILE ! »

Après quoi je partis, sortant du gymnase, toujours aussi furieuse. Le point positif dans tout ça c'est qu'il avait réussi à me faire parler, et même crier. C'était un exploit mais j'aurai préféré rester muette, plutôt que d'être autant poussé à bout. Il avait réussi à me faire sortir de mes gonds. C'était vraiment la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. C'était définitivement une journée pourrie. Plus pourrie que ça tu meurs ! Je roulais donc doucement, perdue dans mes pensées et dans ma rage, le laissant finalement avec ce qu'il souhaitait tant apprécier, sa solitude et sa petite personne.

La jeune fille aux cheveux gris essayait de reprendre sa réspiration et sont calme, moi je voulais qu'elle sorte d'ici et qu'elle me lâche un peu, je n'avais pas que ça à faire jouer les babysitteurs, j'avais jeter mon ballon de basket qui venait de passer à quelques centimètres de sa tête rebondissant un peu partout, je voulais la visé mais j'avais rater pas de chance moi qui normalement devait la toucher zut alors ! Je me précipitais alors jusqu'à elle et vu qu'elle avait ouvert grand les yeux, elle n'avais pas le temps de faire quoi que ça soit que j'avais pris les poignets de sa chaise roulante et que je me suis mis à courire un peu partout la poussant avec moi à une grande vitesse, moi je n'arrêtais pas de rire alors qu'elle était bien cramponner là où elle le pouvait encore j'étais réellement entrain de m'amuser, je ne m'étais pas amuser autant depuis longtemps ça battait presque le fait de jouer au basket, rouler à toute vitesse une chaise roulante en plus avec une fille dessus c'était vraiment trop délirant et vraiment trop marrant j'aurais voulu ne jamais m'arrêter, elle avait les yeux fermer et priais surement pour que ça s'arrêta mais moi je ne voulais pas je continuais de courir très vite mais le problème c'est que j'étais humain et donc que j'allais me fatiguer à un moment où un autre.

Je me suis arrêter et reprenait mon souffle, j'étais fatiguer après avoir autant couru mais je m'étais bien marrer je me suis surement dis qu'elle allait me crier dessus et qu'elle allait avoir la haine voir me détester mais bon je m'en foutais un peu, cette jeune fille était belle avec ses jolies cheveux gris et ses yeux rougeâtre qui était presque aussi rouge que les miens mais ça m'était égal je n'avais jamais connu l'amour donc je ne savais pas pourquoi est ce que j'allais la prendre en sympathie de toute façon, moi je voulais seulement m'amuser, elle avait ouvert ses yeux et je pouvais voir qu'elle était furieuse avec une lueur malveillante je pouvais voir cela juste en l'observant c'était vraiment trop marrant la façon dont elle me regardait mais peut être avais-je dépasser les bornes.

Je continuais de rire et lui avait demander si elle allait mieux, peut être que d'un côté ce que je voulais c'était l'aider à être mieux montrer que j'étais malveillant mais au moins l'avoir aider à se sentir mieux ou alors c'était parce que je ne voulais pas l'avoir morte à côté de moi, elle me regardais avec plein de haine et je vu des larmes couler de ses joues, j'ouvris grand mes yeux un peu l'air étonner je ne savais pas pourquoi j'étais aussi étonné peut être parce qu'elle était vraiment très mignonne avec des larmes aux joues et ce regard plein de haine, ses joues était même rosé tellement qu'elle avait la rage, je me demandais quand est ce qu'elle allait parler, quelqu'un de normal m'aurais déjà traiter de tout les noms mais je n'entendis qu'une seule chose venant d'elle.

« -IMBECILE ! »

Elle était partit en sortant du gymnase avec sont air furieuse, elle avait crier cela comme si j'étais un monstre et comme si je n'étais qu'un moins que rien, c'est sur que j'ai été très méchant avec elle mais je n'avais encore jamais vu cela une fille pleurer ainsi, lorsque je faisais peur aux gens ils s'enfuyaient très vite et ne cherchait pas à comprendre, je n'avais jamais fait pleurer quelqu'un et encore moins une fille, je me suis dis que lorsque j'aurais fini mes études j'allais tuer et donc que j'allais souvent voir ce genre de chose mais là je ne pouvais pas, je me sentais comme désoler de l'avoir traiter ainsi mais ce n'était pas dans mes habitudes d'être désoler je n'allais tout de même pas m'excuser, ce n'était pas moi ça, je la regardais quitter le gymnanse mais couru tout de même jusqu'à elle, je me mis devant elle pour lui bloquer la route et la regardais elle qui avait toujours les larmes aux yeux.

-Je ......... Je ne voulais pas .......

Je ne voulais pas m'excuser, je n'allais pas le faire tout ce que je pouvais lui dire c'est que je ne voulais pas la faire pleurer, je voulais être méchant avec elle ça c'est sur car je suis ainsi et pas autrement, j'approchais tout de même une mains sur sa joue pour lui essuyer les larmes puis sortis un mouchoir de ma poche et le lui présenta.

-Je ne voulais vraiment pas ... Je voulais simplement m'amuser ...

C'était vrai je voulais simplement m'amuser mais le plus choquant dans tous ça c'est que j'étais tout de même désoler pour elle, cette petite tête toute mignonne avait réussi à me sensibiliser, comment était ce possible ? Je n'avais pas compris comment elle avait réussi mais en tout cas je ne pouvais plus la laisser ainsi, j'avais l'habitude de faire peur aux gens mais pas de les faire pleurer en plus elle ne méritait surement pas de pleurer j'étais sans pitié c'est sur mais je pensais qu'elle ne le méritait surement pas, je ne savais même pas si elle allait accepter le mouchoir que je lui avais tendu ou non.

-Prend le ... s'il te plait ...

je lui avais dis s'il te plait, dans ma tête je me disais mais qu'est ce qu'il te prend imbécile depuis quand tu dis s'il te plait depuis quand tu es aussi polie tu es entrain de faire n'importe quoi, ses humains ne mérite pas ta sympathie, il mérite tous de mourir et rien d'autre, tu ne dois pas être gentil avec eux haïe les, détestes les, craches leur dessus, ils ne méritent que cela.

Je n'avais qu'une envie en cet instant présent, c'était de retourner dans ma chambre, et y rester. J'avais besoin de me retrouver seule, enfermée. Et surtout, le plus loin que je pouvais être de lui. Je ruminais, bouillonnant intérieurement, les larmes continuant de couler le long de mes joues et tombant sur mes genoux. Il avait finalement eu ce qu'il voulait, il m'avait mit à bout et semblait s'en réjouir vu la manière dont il rigolais après avoir fait son petit manège avec moi.

Mais contre toute attente, il réapparut devant moi, me bloquant le passage. Je baissa alors les yeux, ne voulant pas le regarder, je ne voulais pas voir son air hautain et malveillant. Il voulait sans doute encore s'amuser avec moi, s'amuser à me faire souffrir. Il avait vu que j'étais quelqu'un de faible alors il devait avoir envie d'en profiter. Mais étrangement, contrairement à ce que je m'attendais, il semblait s'en vouloir. Il avait l'air hésitant, allait-il s'excuser ? Ce serait la meilleure. Peut être ne s'attendait-il pas à ce que je me mette dans un état pareil. Je ne comprenais pas vraiment son changement de caractère.

Alors que je gardais ma tête baissée, je sentis sa main sur ma joue, il essuyait les larmes qui étaient coulées par sa faute. Surprise, je releva les yeux pour le regarder, il avait vraiment l'air de s'en vouloir. Mais il semblait aussi perdu, il ne devait pas avoir l'habitude de perdre autant le contrôle ou de se faire dépasser par la situation. Puis il me tendit un mouchoir que je ne pris pas, j'étais tellement intrigué par sa réaction. Il voulait juste … s'amuser ? C'est ce qu'il venait de dire. C'était étonnant, il s'amusait donc du malheur des autres. C'était une réaction tellement enfantine, immature même mais on aurait dit qu'il se rendait peu à peu compte que ce n'était pas la meilleure façon pour « s'amuser ». Mais je n'étais pas bête et me doutait bien que si il agissait de la sorte c'était à cause de quelque chose de précis. J'étais moi même assez apte à le comprendre.

Il me demanda de prendre le mouchoir, me disant même s'il te plaît. Il semblait ne pas avoir l'habitude de supplier autant les gens. Je regardais tour à tour le mouchoir et ce jeune homme. Et je ne pus m'empêcher de ressentir une certaine compassion envers lui. Il avait vraiment l'air déstabilisé. Je me saisis donc du mouchoir tout en ne cessant de le regarder. Ce n'était plus exactement le même regard dans ses yeux, il devait sans doute être tiraillé de l'intérieur. Tiraillé entre ce qu'il avait fait et ce qu'il faisait maintenant.

Même si il ne l'avait pas dit clairement, je sentais bien qu'il s'en voulait, mais sa fierté ou ses principes devaient être trop forts pour qu'il le dise sincèrement. Mais je le sentais au fond de lui. Après, devrais-je vraiment le pardonner pour ça ? C'était ça le problème avec moi, je peux être en colère contre quelqu'un, mais je ne lui en voudrais jamais longtemps, surtout quand cette personne semble s'en vouloir. En plus de quoi, il avait la même apparence qu'Arthur et je n'ai jamais pu lui en vouloir, j'étais influencé par son visage, par sa ressemblance avec mon défunt amour. Mon cœur se serrait à nouveau, et je détourna le regard, séchant les larmes qui coulaient de nouveau sur mes joues. C'était vraiment dur d'être face à lui sans penser à Arthur. Mais je savais qu'au fond de moi je ne pourrais pas partir sans avoir envie de le revoir, même si ça me faisait mal de le regarder, ça me faisait en même temps du bien.

« M...merci. » dis-je dans un souffle.

J'avais crié tout à l'heure et n'ayant pas l'habitude de parler, ça m'avait cassé la voix, j'avais donc déjà la voix fatiguée. Je serrais le mouchoir qu'il m'avait donné. Je ne pleurais plus et le regardais donc à nouveau. Je le sentais, je savais qu'au fond de lui il n'était pas aussi méchant qu'il voulait bien le montrer. Il était là, me bloquant toujours le passage, me regardant, nous échangions donc un regard, lui semblait perdu et moi, et bien je tentais de percer son âme. Me perdant aussi dans la contemplation de ce visage que j'avais aimé autrefois.

Elle était entrain de s'éloigner de moi, elle était en colère mais surtout triste, je ne savais pas pourquoi mais je l'avais fait pleurer, elle versait des larmes sans que je ne comprenne le pourquoi du comment, j'étais surement aller trop loin mais de toute façon je ne voulais pas la faire pleurer, je ne voulais qu'une chose m'amuser mais dans un premier temps la faire sortir de la salle pour que je puisse jouer au basket, je n'aimais pas que l'on me regardais jouer, la plus part du temps je terrorisais les gens car je les haïssaient tous autant qu'ils sont, ils étaient tous des monstres, des menteurs, des charlatans, des destructeurs de ce monde si pur, elle aussi était l'une d'entre eux, mais elle était belle et innocente, je savais que je ne devais pas faire attention à ce genre de chose car c'est justement dans ce genre de regard, dans ce genre d'innocence que le vrai mal se cache on vous montre ce que vous voulez voir d'eux et ensuite ils montrent leur vrai nature, leur vrai visage.

Je lui avais bloquer le passage car je pensais que je devais m'excuser, je n'allais pas le faire mais mon coeur m'avais forcé en quelque sorte à ne pas la laisser rentrer ainsi chez elle, j'étais méchant c'était sur de cela tout ça à cause des humains et de leur regard envers moi tous autant qu'ils sont, ils me regardaient tous de la même façon sauf Malov qui avait pratiquement les mêmes yeux que moi mais qui n'était pas du tout méchant et je ne comprenais pas pourquoi, je lui avait essuyer les larmes qui coulait sur sont visage avec mes doigts, je lui avais même présenter un mouchoir qu'elle ne pris pas au début, bien sur qu'elle n'allait pas le prendre après ce que je lui avais fait mais elle me regardait et regardait en même temps le mouchoir.

Elle gardais sa tête baisser et pris le mouchoir pour essuyer ce qui lui restait de larme, elle me fixait en même temps mais pas avec le même regard que ces gens idiots et gredin mais avec un regard de compassion, je ne voulais pas que l'on me prenne en pitié et je ne voulais pas non plus la prendre en pitié je ne faisais cela que pour une seule raison, l'empêcher de partir triste je faisais peur aux gens c'est vrai mais je ne leur retirais point leur bonheur cela était réserver au moment ou je sortirais du lycée et que je me mettrais à tuer les gens qui ose me regarder d'une autre manière qu'ils devraient.

En plus je ne savais pas pourquoi je lui avais supplier d'une certaine manière de prendre le mouchoir normalement ce n'était pas dans mes habitudes ni de dire "s'il te plait" ni de dire "Merci" ni de dire "Je t'aime" ou encore de dire désolé, ce n'était vraiment pas dans mes habitudes et je n'allais pas me forcer à m'excuser auprès d'elle juste parce qu'elle à craquer plus tôt, ce n'était pas ma faute, c'était sont mentale qui ne tenait pas mais si je continuais de penser ainsi c'était sur que j'étais malveillant et c'est ce que je voulais de toute façon.

Je continuais de regarder cette jeune et belle fille, je ne la connaissais pas enfaite je ne voulais pas la connaître parce que je venais de la blesser d'une certaine manière dans mon entourage je ne connaissais pratiquement personne, mes beau parents, Malov, Reina avec qui je n'avais même pas fait connaissance juste de vue et des dire de Malov, je n'arrivais cepandant pas à détourner mon regard de ses yeux, je n'avais jamais ressentit ce genre de sentiment, c'était un sentiment que je n'arrivais pas à exprimer j'étais entrain de compatir à sa douleur ou alors j'étais entrain de rêver que j'étais devenu gentil, ça n'était pas possible en tout cas que cette fille parvienne à me changer, je n'avais pas changer depuis tout petit et là cette fille handicapé venu de nul part avec qui je m'étais trop bien amusé allait me changer ? Non c'était impossible, j'étais quelque peu désemparer, je ne savais plus comment réagir, qu'est ce qu'il me prenait ?

« M...merci. »

Elle venait de me dire merci, non mais c'est la total celle la, d'abord je lui présentais un mouchoir, j'essuyais ses larmes et LE PIRE c'est qu'elle m'avait dit MERCI, je pensais que j'allais m'évanouir à ce moment là mais c'est alors que je m'étais souvenu de la sensation que j'avais lorsque je lui avais toucher ses joues pour essuyer ses larmes, je n'avais jamais toucher de peau féminine, jamais encore je n'avais ressentit l'amour d'une personne ou encore même le toucher de celle ci, même mes parents lorsqu’ils essayaient de me prendre dans leur bras je grognais et les menaçaient, la j'avais toucher les joues de cette jeune fille au visage pâle et triste, je lui bloquais toujours le passage et continuais de la fixer mais cette fois avec un regard d'étonnement, j'étais un peu perdu dans mes pensées et cela se voyait, je devais récapitulé ce qu'il s'était passer et pour cela j'avais besoin de temps mais je prenais aussi le temps de la jeune fille qui voulait surement passé, la jeune fille fille ne pleurais plus, je me recula légèrement avec un regard toujours aussi étonné, je ne savais pas ce qu'il venait de se passé, je me mis à genoux sur le sol puis mis mes mains à terre.

-Je ... je propose un mouchoir ... j’essuie les larmes d'une ... fille... Je touche sa peau ... Je suis remercier ... non mais où va le monde ? ...

Je ne savais vraiment pas ce qu'il se passait et je venais de repasser en revue ce qu'ils s'étaient passer la tout de suite c'était le seul souvenir que j'avais, je ne me rappelais même plus lui avoir jeter un ballon ou alors lui avoir crier dessus pour qu'elle quitte la salle ou encore m'être amusé avec sa chaise et elle, je me leva légèrement et retourna mon regard vers la jeune fille.

-Qu'est ce que tu m'a fait ...

Je semblait envouté par sont regard, elle n'avait plus de larme mais continuais de me fixer je ne savais pas comment réagir j'étais perdu dans une obscurité qui devenait une lumière brillante, je me voyais perdu dans cette obscurité qui s'illuminait d'une lumière ou je pouvais voir à travers cette jeune fille.

Je ne m'étais pas trompé, il était vraiment perdu et il le confirma par ses actes. A genoux et les mains à terre il semblait effectivement perdu. Il marmonnait des choses, comme si il ne revenait lui même pas de ce qu'il avait fait, du peu d'attention qu'il m'avait donné. J'aurai aimé lui dire que c'était normal, que ça s'appelait de la compassion, que c'était ça être humain, vouloir se faire pardonner. Ce n'était pas humain de vouloir maltraiter les autres, de vouloir s'amuser en les malmenant.

Il devait vraiment avoir du mal avec les relations humaines qu'il entretenait avec ses pairs. C'était sans doute dû à un manque d'amour ou je ne sais quoi, quelque chose du genre. Je ne savais pas si le fait d'avoir des yeux aussi étranges que les siens lui avait apporté du malheur ou un rejet envers les gens. Le fait était que tout ce qu'il avait vécu, tout le mal qu'il avait emmagasiné, il le rejeté maintenant sur les autres.

En le voyant comme ça, écroué sous ses interrogations, j'avais envie de l'aider. Il ne fallait pas confondre la compassion et la pitié. La pitié, je n'en voulais pas de la part des autres, je n'en donnerais donc pas aux autres. La compassion, c'est autre chose. La compassion, c'est ressentir la détresse des autres, être apte à les aider. La compassion, c'est plus sincère et moins hypocrite que la pitié. Enfin, c'était ma vision des choses. Après tout il n'avait peut être pas besoin de moi, et si il me montrait qu'il n'avait pas besoin d'aide et bien je n'insisterais pas.

Il n'avait clairement pas l'habitude de se montrer « gentil » envers les autres, ni de recevoir quelconque gentillesse en retour. Même si je paraissais froide et que je n'étais pas très facile à vivre, dans le fond, je n'étais pas bien méchante. Si les gens étaient gentil avec moi, je n'avais aucune raison de me montrer méchante avec eux. J'étais juste distante.

Puis ce qu'il dit m'étonna beaucoup, il s'était redressé et me regardait. Qu'est ce que je lui ai fait ? Pourquoi est ce qu'il me mettait là dedans. Je n'avais rien fait … Qu'est ce que je devais comprendre à ça ? Que j'étais la cause de ce soupçon de gentillesse ? Mais pourquoi moi, je n'avais rien fait. N'importe qui à ma place aurait réagit comme je l'avais fait. Mais lui, il n'en avait pas l'air aussi sûr. Selon lui c'était moi, qui lui avait fait quelque chose. Mais je ne savais pas moi même ce que j'avais pu faire. J'étais naturelle … Enfin non. Je ne pouvais pas dire qu'en ce moment j'étais naturelle, pas depuis mon accident. Avant, je l'aurais insulté de tous les noms, j'aurais crié et serait partie rapidement, sans qu'il ait eu le temps de voir mes larmes. Mais forcément, avec ce fichu fauteuil, j'étais moins libre de mes mouvements, et ce n'était pas évident de bouger rapidement et de cacher ce que l'on voulait cacher.

Je le regardais alors, fronçant légèrement les sourcils d'incompréhension. Je ne savais pas si j'étais censé lui répondre ou si même il attendait une réponse. Le fait étant, que je n'avais pas la solution à ses interrogations. Je n'allais pas lui dire « Écoutes, c'est ça d'être humain ! » Là c'est sûr qu'il allait mal le prendre et puis qui étais-je pour juger de ce qui était humain ou non ? Car ce n'était pas humain de se laisser à la dépression comme je le faisais.

Mais je ne pouvais pas le laisser dans cet état là, surtout maintenant qu'il pensait que c'était ma faute si il était comme ça, complètement perdu face à moi. Je lui fis donc un petit sourire timide avant de hausser les épaules, pour lui montrer que je ne savais pas.

Je ne pouvais lui répondre rien d'autre, ne pouvais rien faire d'autre à part lui faire un sourire qui se voulait sincère. Puis je regarda autour de nous avant de rajouter :

« Je m'appelle … Violette … Angely. »

j'étais réellement perdu dans mes pensées, je ne savais pas quoi faire, ce que je venais de faire là tout de suite allait surement rester dans ma tête, ils allaient surement être encrée au plus profond de mon esprit, je venais de reçevoir des compliments mais surtout je venais de lui essuyer ses larmes et je venais aussi de lui toucher les joues et encore je venais de lui donner un mouchoir, j'étais réellement devenu gentil en une journée comme ça, comme si c'était normal non ce n'était pas possible, plus perdu que moi je pensais que ça n'existait pas, c'était impossible de trouver quelque de plus perdu que moi, je ne savais même plus où nous étions, j'étais sur le sol entrain de réfléchir au pourquoi j'avais cela et comment je me suis retrouver à aider quelqu'un alors que dans mon quotidien je ne faisais qu'une chose c'était détruire et faire peur !

Je n'arrivais pas à me calmer, j'avais toujours eu du mal à avoir des amis, à voir ne serais ce qu'un petit peu d'amour de la part de mes parents, je ne savais pas pourquoi mais c'était comme cela, mes yeux hétéro-chromique était aussi du au faite que je n'avais pas d'ami ni de réel famille, ma mère et mon père n'était qu'une famille adoptif mes réel parents m'avais lâcher parce que j'étais une sorte de copie à Malov et je les haïssais pour cela.

Je me suis dit que je devais me lever, que j'allais devoir arrêter de lui montrer cette facette de moi ou plutôt je ne savais pas si c'était vraiment une facette vu que ça ne m'étais jamais encore arriver, je n'avais pas eu, je n'étais jamais tomber sur ce genre de situation, je me dégoutais moi même d'une certaine façon, je ne savais pas si c'était un bon début pour devenir gentil ou si je voulais réellement rester méchant et montrer à l’humanité entière qu'ils étaient tous des monstres, leur montrer la haine qui était en moi, qu'ils étaient tous pourrit du premier au dernier, combattre la haine par la haine mais lorsque je regardais cette fille tout partait en fumer comme si elle était une sorte de catalyseur, quand je la regardais j'oubliais la haine qui était en moi, c'est comme si mon cœur s’emballait mais je ne comprenais rien il y avais deux seconde je lui voulais du mal et maintenant c'était autre chose, juste parce qu'elle m'avait montré une once de gentillesse ?

C'était obligé de sa faute, je ne trouvais rien d'autre ça devait être de sa faute si j'étais comme cela c'est elle qui m'avais rendu ainsi, je ne savais plus quoi faire ni comment réagir pourquoi est ce qu'elle avait fait cela, elle n'avait fait qu'une chose lorsque je lui avais demander, elle haussa les épaules mines de dire qu'elle n'en savais rien elle avait tout de même froncer les sourcils comme signe d'incompréhension, surement que je devais être con devant elle à lui avoir montrer de la méchanceté et maintenant de la gentillesse.

Elle m'avais sourie elle qui était entrain de pleurer il n'y avais pas si longtemps, elle était vraiment très belle ainsi avec ce jolie sourire, je ne savais pas quoi faire j'avais ouvert mes yeux mine d'étonnement puis la vis regarder un peu autours de nous comme si elle cherchait quelque chose ou plutôt comme si elle vérifiait qu'il n'y avait bien personne avec nous.

« Je m'appelle … Violette … Angely. »

Elle s'était présenter mais pourquoi est ce qu'elle avait fait.... cela ... Angely quel beau nom sont prénom était encore plus ravissant Violette, c'était le nom d'une couleur mais qui lui portait sont charme grâce à sont nom de famille, je me leva et m'essuya légèrement le pantalon, je montrais désormais mon dos à la jeune fille et mis mes mains sur mon visage, je ne savais pas ce que j'allais faire, je ne savais pas comment je devais réagir j'étais toujours aussi perdu dans cette obscurité, je me suis tourner vers elle et vu une nouvelle fois la lumière qui me dégageait de cette obscurité, mes yeux était toujours grand ouvert comme si j'avais vu une divinité en face de moi, je pris quelque pas en arrière.

-Arrête, ... ne ... ne sois pas ainsi avec moi ! Je ne suis pas gentil !!! Je te veux du mal alors hors de mon chemin !!!

Je ne savais pas comment réagir j'avais dit cela sans réellement le penser, je voulais qu'elle reste, je voulais continuer de la regarder dans les yeux, ses yeux qui m'envoutais comme rien ne m'a envouter dans ce monde.

Je ferma les yeux quelque seconde puis les ouvrit avec un air assez froid tout de même, je m'approcha légèrement de la jeune fille et mis mon genoux droit sur le sol et ma main gauche sur mon genoux gauche, je la regardais cependant toujours dans les yeux.

-Light Eiji ...

Je ne savais pas pourquoi je m'étais mis ainsi, pourquoi est ce que je m'étais aussi présenter alors que je venais de lui dire que je lui voulais du mal en tout cas sur ce moment là j'avais changé, je n'étais plus le même à partir de maintenant elle m'avais changer comme par enchantement, comme par magie je n'étais plus le même ou peut être simplement que lorsqu'elle partira je redeviendrais méchant ? Je ne voulais pas de cela je voulais qu'elle reste à mes côtés.

-Reste à mes côtés Violette, s'il te plait ... Pour l'éternité ...

Je ne savais pas pourquoi je lui avais dit cela, mais malgré que je ne savais pas pourquoi je n'étais plus du tout confus, c'était comme une déclaration mais ce n'en était pas une non plus, je rougis légèrement et sentit mon coeur battre la chamade, je n'étais pas amoureux, ça ne pouvais être cela je ne pouvais pas être amoureux d'elle alors que je venais de la rencontrer mais encore pire à qui je venais de faire du mal et à qui je venais de montrer des facettes incompréhensible de moi même.

Lorsque je m'étais présentée à lui, il s'était relevé et mit dos à moi. Je ne savais pas vraiment pourquoi je lui avais donné mon nom et mon prénom comme ça. C'était la seule chose à dire que j'avais trouvé. Après tout ça ne lui ferait pas de mal de connaître mon identité, c'était plus de la politesse qu'autre chose. Il se retourna, il semblait toujours aussi étonné, puis me dit en quelque sorte de partir, qu'il voulait me faire du mal. Ca m'étonnait beaucoup, il semblait vouloir se persuader d'une chose. Mais laquelle ? Il était tellement habitué à être méchant que c'était dans cette attitude là qu'il devait se sentir le plus à l'aise. Il souhaitait donc machinalement retrouver ce confort.

Je décidais donc de ne pas insister et de finalement partir. Cette situation me gênait beaucoup, je ne comprenais vraiment pas tout. Alors que je m'apprêtais à partir, il vint se poster devant moi, un genoux à terre. Nous étions donc désormais à la même hauteur pratiquement. Et je le regardais, pendant qu'il en faisait autant et qu'il se présenta à son tour. Light Eiji. Light … un très beau prénom. Un prénom qui toutefois semblait à l'opposé du personnage qui semblait si sombre, mais peut être qu'au fond de lui brille cette petite lumière. Je lui souriais, contente qu'il se soit présenté.

Il semblait vraiment pas penser ce qu'il avait dit un peu avant, me disant qu'il voulait me faire du mal. Même si ça avait pu être vrai au tout début de notre rencontre, désormais ça se voyait qu'il n'en avait plus envie. Il semblait changé, il semblait plus gentil et plus attentionné. Ce n'était quand même pas moi qui était à l'origine de ce changement ? J'avais un peu du mal à y croire.

Puis lorsqu'il me demanda de rester avec lui, j'écarquillais les yeux, étonnée. Pour l'éternité ? Qu'est ce qu'il lui arrive ? Ca ressemblait en tout point à une déclaration, mais pourquoi ? Je n'osais pas vraiment y croire, c'était tellement soudain et précipité. Je ne comprenais définitivement plus rien. Ce jeune roux qui semblait tout à l'heure me haïr, était là à mes pieds, me demandant ça … Et puis c'était pas comme si il s'agissait de n'importe qui. Le jeune homme qui se tenait devant moi, si près de moi, ressemblait trait pour trait à Arthur. Celui que j'avais aimé, le seul pour qui mon cœur et mon corps aient jamais vibré. La ressemblance était tellement frappante que je n'avais qu'une envie en ce moment présent, c'était de me jeter dans ses bras. Mais ce n'était pas décent et encore moins approprié. En pensant à ça je ne pus m'empêcher de sourire, pensant à la tête qu'il ferait si je le faisais vraiment.

Je ne devais pas confondre le vrai Arthur et Light. Bien que très ressemblants ils n'étaient pas les mêmes. Mais rien que de le regarder ça me faisait du bien. Et puis serait-ce vu comme une sorte de trahison si … Non, non, il ne faut pas que je pense à ça. Violette, ressaisit toi un peu ! Mais je ne pouvais définitivement pas rester insensible à ce visage, puis à cet homme tout court.

Il n'empêche que ses mots et aussi de le voir rougir ainsi, eurent pour résultat de ma faire rougir fortement à mon tour. Mais je n'arrivais pas à me détourner de son regard, regardant un œil puis l'autre nerveusement. Je ne savais vraiment plus quoi faire face à ça. J'étais comme pétrifiée. Je toussota alors gênée, détournant le regard et passant nerveusement ma main dans mes cheveux. Puis, je finis par bégayer ce seul mot, maladroitement.

« P... Pourquoi ? »

Je voulais en savoir plus sur son changement de comportement envers moi, je voulais qu'il m'explique pourquoi il venait de me dire tout ça. Mais en même temps je redoutais un peu sa réponse. Je ne le regardais plus, j'étais trop gênée.

Elle s'était présenter et moi je ne savais pas quoi faire, je m'étais relever et j'avais tourner mon regard vers elle, je ne comprenais pas pourquoi elle s'était présenter, que voulait-elle qu'avais je fais pour mériter cela, Dieu pouvait s'en doute me punir pour tout le mal que j'avais fais d'avoir ce sentiment au fond de moi, je ne comprenais rien de ce qu'il se passait je ne savais pas comment réagir, je lui avais dit que j'allais lui faire du mal et qu'elle devait partir, je voulais me persuader de quelque chose mais je ne savais pas de quoi, elle était entrain de partir et je me mit rapidement devant elle, je déposais un genoux à terre et ma main sur l'autre genoux, je m'étais présenter comme elle l'avait fait, je ne pouvais pas concevoir le faite que j'étais devenu gentil c'était tout bonnement impossible.

Elle avait l'air vraiment étonner lorsque je lui avais dit que je voulais qu'elle reste avec moi pour l'éternité, je sentais que lorsqu'elle était prés de moi je n'étais plus du tout le même peut être que c'était le réel moi, peut être que non je n'en savais rien en tout cas elle était étonner et bon c'était un peu sur d'être ainsi qui ne le serais pas après une sorte de déclaration, je venais de lui demander quelque chose d'incroyable, quelque chose que je n'aurai jamais demander à quelqu'un d'autre elle m'avait ouvert les yeux ? Elle cette fille handicapé à qui j'allais presque arracher la tête ? Je ne pouvais m'empêcher de la regarder sans savoir pourquoi je la regardais sont regard m'avais surement envouté en tout cas je ne bougeais pas et sentait aussi sont regard sur moi elle s'était presque plongé dans mes yeux mais je pouvais remarquer que sont regard était plutôt nerveux, elle regardait mon oeil de l'empereur puis l'autre, elle détourna enfin le regard, elle avait même rougis, qu'est ce qu'elle était belle ainsi, je n'avais jamais vu de visage aussi beau surement parce que la seul chose que je voyais de ces visage c'était de la peur et rien d'autre, elle mit une mains dans ses cheveux et bégaya quelque chose.

« P... Pourquoi ? »

Elle voulait surement savoir pourquoi est ce que je me comportais ainsi moi même je n'en savais rien, je lui avais dit cela en pensant surement à quelque chose mais j'étais peut être pas sur de ce que je pensais en tout cas c'était dit et je ne savais pas quoi lui répondre, elle ne me regardait plus et avait l'air assez gêner, je ne savais pas comment réagir devais-je la laisser ainsi en plan alors que je venais de lui dire de rester à mes côtés ou lui expliquer la situation.

-Je ... Je ne suis plus le même lorsque je suis avec toi ... Tu m'a envouté en quelque sorte, je ne sais pas ce que tu m'a fais mais voilà ! Je ne sais pas pourquoi j'ai soudain changer de comportement ...

Je continuais de la fixer et me leva légèrement pour poser ma main sur ma tête, je me sentais aussi gêner par ce que je lui avais dit je n'en savais rien mais ce que je savais c'est que je n'étais plus le même, de l'amour ? Je ne sais pas je ne savais de toute façon pas ce que c'était que de l'amour donc je n'aurais pas pu dire que c'était cela, je ne savais pas pourquoi cette idée me vint en tête pourquoi cette idée d'amour était la dans ce crâne plein de haine.

-Je ... Violette Angely ... Ce n'est pas comme si j'allais te faire une déclaration d'amour car je ne sais pas ce que c'est que l'amour .. Mais j'ai quelque chose sur le cœur que je n'arrive pas à exprimer ...

A cette phrase je savais qu'elle allait étonner et moi même j'étais étonner de ce que j'avais dit, je tournais mon regard à nouveau vers elle en soufflant légèrement et en chuchotant des trucs comme "Imbéciles" je mis mes mains dans mes poches et réfléchi à ce qu'elle allait faire je me suis dis qu'elle allait peut être partir d'ici, qu'elle allait m'insulter ou simplement me gifler pour avoir dit ce genre de chose si con.

Je repensais à mon passé, je me suis demander pourquoi est ce que cela arrivait la tout de suite je me suis jamais dit dans ma vie qu'un jour je tomberais amoureux, je me suis jamais dit qu'un jour j'allais avoir ce sentiment à l'intérieur de mon corps, que j'allais un jour sentir mon coeur battre très fort, qu'un jour je me retrouverais devant cette fille impuissant, il y avait deux seconde pourtant j'avais failli lui exploser le crâne avec un ballon peut être que c'était ses larmes qui m'avais calmer je n'en savais rien.

Nous étions l'un face à l'autre comme ça, moi sur ma chaise roulante, et lui agenouillé devant moi. Il me regardait tandis que moi, je regardais un peu partout, tellement j'étais gênée par la situation. Encore plus lorsqu'il me confirma que c'était moi qui lui faisait cet effet là, que c'était à cause, ou grâce, à moi qu'il connaissait ce changement de caractère. Enfin, sur la cause précise, il n'en savait pas plus que moi apparemment. Nous semblions tous les deux aussi gênés par la situation, je ne pouvais m'empêcher de réagir, plus il parlait et plus le rouge se faisait plus présent sur mes joues. Je n'arrivais pas à le cacher. D'autant plus qu'il avait déjà du l'apercevoir vu qu'il me regardait tout le temps.

Il ne connaissait donc pas l'amour ? Tout commençait à s'éclaircir et je commençais doucement à comprendre pourquoi il était ainsi. Si personne ne lui avait jamais apporté d'amour, comment est ce que ça pouvait être possible. Tout le monde a besoin d'amour dans ce bas monde, surtout lorsqu'on est enfant. Tout enfant est censé recevoir un temps soit peu de l'amour de ses parents. C'était triste, quel pauvre garçon. Bien qu'aujourd'hui j'avais tout perdu, j'avais tout le temps était entourée de beaucoup d'amours.

Il avait quelque chose sur le cœur, et il ne savait pas ce que c'était. Il ne savait pas non plus ce qu'était l'amour. Est ce que ces deux choses pouvaient être liées ? Se pourrait-il que inconsciemment il soit tombé amoureux de moi ? Est ce que c'était possible ? Aussi vite ? De nouveaux, pleins de questions se bousculaient dans mon esprit. Pourquoi est ce que ça m'arrivait à moi ? Et puis, même, je ne savais pas si j'étais capable de m'engager à nouveau dans une relation. Le deuil d'Arthur n'était pas entièrement fait. J'aurai l'impression de le trahir en quelques sortes. Mais en même temps si ce jeune roux qui se tenait face à moi se mettait à faire sa réaction, je ne serais sans doute pas capable de résister. Il était très beau, ses yeux étaient d'une intensité pénétrante, et puis dans le fond il n'avait vraiment pas l'air méchant. Et puis aussi, j'avais l'occasion, je dirais même le privilège de découvrir une autre facette de sa personnalité. Le risque était et restait que je le confonde trop avec Arthur et que j'en oublie ce qu'il est vraiment.

Je ne pouvais en aucune manière le laissait dans un état pareil, surtout si c'était de ma faute. Je ne pouvais pas non plus rester là sans rien faire, ni rien dire. Il était tellement perdu, je me devais de le rassurer, mais j'étais dans l'incapacité de lui parler clairement. Je ne voulais pas le rejeter, mais je n'étais pas non plus totalement sûr de vouloir lui montrer quelque chose quant à ce que je pouvais ressentir envers lui. Mes sentiments étaient vagues et confus, il m'attirait, c'était indéniable, mais j'avais peur, très peur. D'un autre côté sa détresse me touchait profondément, en cet instant précis il semblait tellement fragile. En même temps, c'était assez touchant et mignon à regarder. Lui qui, quand je l'avais vu s'approcher de moi dans le gymnase, avait l'air si sûr de lui.

J'aurai aimé me sentir un peu plus libre de mes mouvements, cette chaise roulante m' handicapait vraiment. C'était très énervant, vraiment rageant. Je ne savais pas quoi lui dire, et puis même je ne pensais pas en être capable. Je lui saisis donc la manche son pull que je tira doucement pour qu'il se rapproche un peu plus de moi. Vu que je ne pouvais venir à lui, je devais bien l'attirer à moi. Ainsi plus proche de moi, je pouvais aisément passer ma main dans ses mèches rousses tout en lui souriant dans un sourire sincère qui se voulait tendre et rassurant. Je ne calculais pas vraiment ce que je faisais, ni quelles conséquences ça pourrait avoir par la suite. Je me laissais envahir par une tendresse naissante. Je faisais ce geste pour le rassurer, j'aurais aimé lui dire tant de choses mais j'en étais incapable. Je voulais lui dire qu'il devait se calmer, essayer de réfléchir calmement à la situation et prendre son temps … Ses cheveux étaient doux et soyeux, ça me rappelait tellement de souvenirs.

Nous nous regardions l'un l'autre, j'étais toujours sur mes genoux car surement je n'avais pas l'énergie nécessaire pour me relever, j'avais de l'énergie à déposer pour jouer au basket mais la j'étais vide, complétement vide comme si on m'avait aspirer toute mon énergie, c'était comme si un aspirateur était passer par la et m'avait tout pris sans me laisser une once d'énergie, la situation était vraiment gênante je ne savais pas quoi faire, j'étais perdu et inconscient, ses joues devenaient de plus en plus rouge, je l'avais remarquer car à chaque fois que je parlais ils devenaient de plus en plus intense, c'était vraiment mignon à voir, elle était vraiment belle ça c'était sur, je ne savais pas ce que je ressentais à l'intérieur de moi mais bon c'était là de toute façon.

Je n'étais pas sur de ce que j'avais dans le coeur ni même de ce que c'était, j'avais beau avoir regarder des films d'amour, des films d'action, d'aventure, rien de ce que j'avais n'étais décris dans ce genre de film, comme quoi c'était vraiment useless ce genre de chose, tout ce que je savais c'était que mon coeur battait vraiment vite et que je ne savais pas comment arrêter cela, mon oeil de l'empereur me faisais mal, comme si il allait commencer à briller moi qui depuis très longtemps j'avais toujours réussi à le contrôler mais là il allait surement se mettre à briller, je souffla un grand coup pour reprendre mes esprit et je gardais mon regard vers elle.

Est ce que j'étais tomber amoureux d'elle ? C'était réellement possible ? Moi qui depuis toujours faisait le mal et créait la zizanie, moi qui détruisais tout sur mon passage qui faisait peur au gens et qui ne voulait que détruire l'humanité, moi qui haïssais ses humains ignoble et incompétent, moi qui était réellement accro à cette envie de tuer, j'étais tomber amoureux d'une humaine, une handicapé qui plus est mais très très jolie, je n'en croyais pas mon esprit, je n'en croyais pas mon coeur je ne comprenais rien de rien perdu dans un vortex, perdu dans une autre dimension où je me suis dis retour impossible, j'étais perdu mais cette fois ce n'était plus l'obscurité, c'était une lumière intense, une chaleur incroyable, je ne savais pas ce qu'il m'arrivait et je cherchais en quelque sorte de l'aide, mon regard était devenu comme signe d'appel à l'aide, je ne savais pas quoi faire et je me le répétais des millions de fois dans ma tête "Quoi faire ?"

Je ne pensais pas que j'étais ainsi, je ne me reconnaissais pas je n'étais pas ainsi ce n'était pas possible d'être ainsi, j'ai toujours été méchant et ignoble avec les gens et là tout de suite je ressentais de la gentillesse à sont égard, j'avais un sentiment comme si je voulais la protéger de ma vie, de mon corps, comme si j'aurais voulu être à ses côtés et c'est pour cela que je lui avais dit de rester avec moi pour l'éternité, simplement et sûrement parce que sans elle je me suis dit que j'allais redevenir méchant et ignoble, Malov ... Je comprenais maintenant ce qu'il ressentais, il avait beau être rejeter comme moi lui il était gentil et devait surement avoir des connaissances Reina en quelque sorte.

Elle me tira doucement mon pull et je me penchais vers elle, j'étais très proche d'elle elle passa sa main dans mes mèches et tout cela en gardant le sourire, qu'est ce que ce sourire voulait dire ? Pourquoi est ce qu'elle souriait comme cela ? Est ce qu'elle avait accepter d'être avec moi pour l'éternité, est ce qu'elle avait accepté ce que je lui avais demander ? Je n'en savais rien et je ne comprenais pas pourquoi elle souriait ainsi, mon coeur battait encore plus vite que tout à l'heure, il n'avait jamais battu ainsi même lorsque je jouais un match de basket pendant 45 minute sans descendre sur le banc une seul fois mon coeur n'avait jamais battu ainsi, je ressentais une chaleur dans mon corps, je la regardais dans les yeux puis dirigea mon regard vers ses lèvres, c'était presque instinctif, je ne savais pas ce que je faisais réellement, mon regard se tourna une nouvelle fois vers elle puis ensuite encore une fois sur ses lèvres, je m'approchais légèrement, tout doucement mais sûrement, je ne savais pas ce que je faisais mais mon instinct me disais de faire comme cela, mes lèvres était très proche des siennes je me suis dit pendant une seconde que je devais peut être lui demander avant de l'embrasser mais je n'en savais rien, mon corps bougeait tout seul, mes lèvres avait toucher les siennes presque effleurer et ensuite partis embrasser les siennes, je ne savais pas si elle allait répondre à ce baiser mais le simple contact de ses mains sur ma chevelure me donnait du bien être et la sentir mes lèvres sur les siennes avait accru de bien être qui était au fond de moi, je ne savais pas si j'étais entrain de rêver ou si c'était la réalité, je me décolla ensuite rapidement de ses lèvres sans savoir si elle avait répondu au baiser ou non car c'était bien la première fois que j'avais embrasser, je ne savais pas si c'était comme cela que je devais faire ou non.

-Je suis vraiment ......... ..D.....é..soler.......

J'étais entrain de bégayer, je n'arrivais pas à m'excuser, je ne m'étais jamais excuser et pourtant c'était entrain d'essayer de sortir, je l'avais sortit sans même savoir si elle m'avait compris ou non .

Je l'avais rapproché de moi sans vraiment calculer, sans vraiment penser aux conséquences que ça pourrait avoir. Tout ce que je voulais, c'était le rassurer, qu'il arrête de s'inquiéter et puis aussi, sans doute inconsciemment voulais-je me rapprocher de lui. J'avais décidé en quelques sortes de fermer mon esprit et d'agir pour une fois sans réfléchir.

La scène qui suivit semblait passer au ralentis. Alors que je l'avais approché de moi pour passer mes doigts fins dans ses doux cheveux, nos regards se captèrent pour ne plus se lâcher. Au fur et à mesure que nos visages se rapprochaient, mes joues s'empourpraient à nouveau. Je le voyais regarder mes lèvres par moment, et je savais tout de suite ce qui allait suivre. Mon cœur commençait à s'emballer, battant de plus en plus vite à chaque millimètres que nos lèvres se rapprochaient. Violette, que fais tu ? Ce n'est pas Arthur, ce n'est pas … Trop tard. Ses lèvres s'étaient déjà collées aux miennes.

Cette sensation, ça faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas ressentit, celle de sentir d'autres lèvres sur les miennes. Je ne pouvais plus réagir, je ne pensais même plus à respirer, je gardais les yeux grands ouverts. J'étais surprise et légèrement déstabilisée. Je le laissais pourtant faire. Son baiser était doux et agréable quoique quelque peu maladroit, ça se voyait qu'il n'avait pas l'habitude d'embrasser. Mais il l'avait fait, sans doute instinctivement, guidé par ses sentiments. Sa maladresse me touchait. Décidément, tout ce qu'il faisait commençait à me faire craquer. Et maintenant ce baiser. Je retrouvais des sensations perdues, ses lèvres n'avaient pas exactement le même goût que celles d'Arthur mais c'était tout de même proche.

Quand il se retira, il semblait toujours aussi perdu, j'aurai plutôt cru que ça allait l'aider, l'aider à faire le point sur ses sentiments. Il bégayait en s'excusant et je lui souris, ne le quittant pas des yeux. Il était si touchant, si mignon. Selon moi, il n'avait pas à s'excuser, surtout après ce qu'il avait fait. D'accord c'était assez précipité mais tellement touchant, et tellement … bon.

Je baissais les yeux, rougissante à nouveau quand quelque chose me traversa l'esprit. Je voulais recommencer, j'en voulais encore. Il n'allait sans doute pas m'en vouloir si j'osais. Je releva alors les yeux vers lui timidement. J'attrapais le col de son pull pour l'attirer de nouveau contre moi, et recolla par la même occasion mes lèvres aux siennes, fermant cette fois mes yeux. Je voulais de nouveau sentir cette sensation si agréable. Je me détachais toutefois de lui pour le regarder, tout en continuant de passer mes doigts dans ses cheveux. Oui je vouais une réelle adoration pour ses cheveux roux. C'était automatique.

Jusqu'où irait t-on tous les deux ? Lui ne connaissait rien à ce sentiment qui semblait tout nouveau pour lui, il ne savait donc sans doute pas comment il fallait s'y prendre. Et moi, et bien je bloquais totalement face à lui, mélangé entre les souvenirs d'un être perdu et les sentiments nouveaux. Je n'arrivais même pas à discerner si ce que je ressentais, je le ressentais parce que j'étais influencée par sa ressemblance avec Arthur ou si c'était vraiment quelque chose de sincère et de nouveau. Tout ce que je savais c'est que je n'avais pas envie de me torturer l'esprit sur toutes ses interrogations, je voulais juste profiter.

Mes yeux toujours plongés dans les siens, mes mains dans ses cheveux, je ne pouvais plus détourner mon regard.

« Ce … n'est rien. »

J'étais vraiment rapprocher d'elle, je ne savais pas ce que je faisais mais je le voulais, mon corps le voulait, mes lèvres le voulait, je n'avais jamais ressentit ce genre de chose, ce besoin de vouloir un contact avec la personne en face de soit, lorsque je regardais ses lèvres je ne pouvais m'empêcher de continuer mon approche, elle qui avait ses mains dans mes cheveux, je pensais qu'on ne voudrais qu'une chose tous les deux, juste profiter du moment présent, profiter de ce qu'il était entrain de se passer.

Mon coeur battait vraiment vite, j'avais envie de l'arrêter, de le ralentir de lui dire de ne pas se précipiter que je ne connaissais pas ce genre de chose et que lui non plus et que c'était pour cette raison que l'on devait se calmer et ne pas faire ce que nous étions entrain de faire et pourtant je continuais de m'approcher, ce moment allait surement être mémorable, surement que ce moment allait être inoubliable le début d'une nouvelle vie, de quelque chose de nouveau j'allais découvrir des sensations que je n'avais jamais connu avant, mes lèvres était désormais sur les siennes et j'essayais tant bien que mal de m'appliquer dans mon baiser, elle devait surement être choquer ou quelque chose ainsi mais je ne pouvais pas faire marche arrière c'était beaucoup trop tard alors je continuais de l'embrasser avec toute la passion que j'avais dans le cœur.

j'avais retirer mes lèvres des siennes, elle avait toujours ses mains dans mes cheveux malgré que je pensais qu'elle allait les retirer, c'était vraiment un sentiment que je n'allais pas oublier, cette sensation de lui avoir toucher les lèvres après lui avoir toucher les joues tout à l'heure, le contact avec le corps humain était vraiment incroyable, ces êtres que je détestais temps au début, ces être que je voulais tous tuer, ils avaient des sensations incroyable, l'idée de haine envers eux avait disparu ou plutôt je ne pouvais haïr la fille qui était en face de moi, Violette ne pouvais être haïs par ma stupidité.

J'étais toujours aussi perdu malgré que je l'avais embrasser sûr que j'avais aimer ce que j'avais fait, d'un côté j'avais envie de recommencer je ne savais pas pourquoi mais je ne voulais plus m'arrêter, je voulais continuer je sentais une sorte d'excitation presque la même que lorsque j'avais envie d'embêter quelqu'un ou de faire peur à quelque, presque la même excitation qui me poussais à détruire tout ce que j'avais en face de moi mais d'un autre côté ce n'était pas la même excitation, celle ci avait l'air plus douce et plus animal d'une certaine façon, je voulais l'embrasser à nouveau mais je ne savais pas si je pouvais le faire, je m'étais déjà excuser et elle avait baisser ses yeux, elle était toujours aussi rouge et toujours aussi belle.

Elle releva ensuite ses yeux vers les miens, elle m'attrapa le col de mon pull pour m'attirer à nouveau vers elle, elle colla à nouveau ses lèvres sur les miennes et je la vis fermer ses yeux, je ferma mes yeux à mon tour et profita un maximum de ce moment tant demander, je voulais tellement l'embrasser à nouveau que c'était entrain de se repasser, elle avait surement l'envie de recommencer et ce n'était pas un rêve c'était vraiment cela, je ne voulais plus décoller mes lèvres des siennes mais malheureusement on n'était bien obligé d'une certaine façon, on avait besoin de respirer un minimum si cela ne tenais qu'à j'aurais voulu mourir dans ce baiser.

Mes yeux était tout de même illuminé, je savais maintenant ce que mon coeur voulait, je savais réellement ce qu'il voulait, c'était quelque chose qu'il voulait depuis le début ... de l'amour mais pas n'importe quel amour, quelque chose qu'il voulait mais qu'avec une personne Violette Angely, il n'y avait qu'elle qui lui faisais cette effet, qu'avec elle qu'il avait eu cette sensation et surement qu'elle restera inoubliable à jamais, même un lavage de cerveau ne pourrait pas lui faire oublier ce qu'il s'était passer aujourd'hui.

Ses yeux était toujours plongés dans les miens et les miens dans les siens, sa mains dans mes cheveux, elle ne détournais pas sont regard et moi non plus, je déposa légèrement mais surtout doucement ma main dans ses cheveux pour pouvoir la caresser.

« Ce … n'est rien. »

Je lui caressais les cheveux, ce n'était rien à voir avec les miens lorsque je touchais mes cheveux et que je touchais les siens je sentais une grosse différence, pas parce que les miens était roux ou parce que les siens était gris, c'était surtout parce que j'étais amoureux d'elle, oui je l'étais ... Ce sentiment qui autre fois était incompréhensible pour moi l'était à présent, j'étais bien amoureux d'elle, je voulais la protéger, je voulais être là pour elle, je voulais être avec elle pour l'éternité comme demander tantôt, je voulais l'avoir à mes côtés et ne la donner à personne, rien qu'à moi.

-Violette Angely ... Je ...

Je détourna mon regard une seconde d'elle, je ferma les yeux et repensais rapidement à ce que j'allais dire, j'allais lui dire quoi au juste que j'étais amoureux d'elle, elle n'allait surement pas le croire surtout après tout ce que je lui avait fait aujourd'hui, j'avais failli lui casser le visage et je l'avais blesser, je l'avais fait pleurer, mais je saisis tout de même mon courage à deux main, je me suis dis que de toute façon je n'avais rien à perdre mais c'était faux BIEN sur que j'avais quelque chose à perdre, ce sentiment qui était en moi, je repris conscience et la regarda à nouveau dans ses yeux rougeâtre d'une beauté unique et incommensurable.

-Je t'aime ... Je suis amoureux de toi ... Je te veux ... Toi et personne d'autre ...

J'avais rougis légèrement, je n'avais vraiment pas l'habitude de rougir c'était vraiment très rare mais la je l'avais fait, là j'avais les joues toute rouge c'était un sentiment nouveau, je n'avais fait que cela aujourd'hui, je n'avais fait que découvrir de nouveau sentiment, je ne comprenais rien à rien au début mais maintenant tout s’éclaire grâce à la lumière qui se trouve en face de moi, cette lumière dont je n'arrivais plus à détourner le regard.

Il avait lui aussi posé ses mains dans mes cheveux, caressant mes mèches de cheveux. J'aimais sentir ses doigts dans mes cheveux, comme j'avais aimé quand il avait passé ses doigts sur mes joues pour sécher mes larmes tout à l'heure. Il était doux et ne faisait pas les choses au hasard. Il commença à me dire quelque chose mais s'interrompit en détournant son regard quelques temps. Tu quoi ? Qu'allais tu me dire ? Je redoutais ce qu'il allait me dire, car j'imaginais très bien ce que ça allait être. Mais c'était trop rapide pour moi, les choses se passaient vraiment trop vite. Mais il le dit quand même, il m'avoua être tombé amoureux de moi. Je n'avais pas à le juger sur ce qu'il pouvait ressentir, car j'étais très bien placé pour savoir que ça ne se contrôle pas et que des fois ça se manifeste au premier coup d'oeil. C'était ça le coup de foudre. Mais pour moi, je n'étais sûr de rien. Je ne pouvais pas lui dire que moi aussi, car je savais très bien que ça ne serait pas vrai. Enfin, ce n'est pas que c'est vrai ou faux, juste que je n'en savais rien, et que j'avais besoin de temps pour faire le point. Bien sûr que je ressentais quelque chose pour lui, sinon je ne l'aurais pas laissé m'embrasser et je ne lui aurais pas rendu son baiser.

Mais c'était compliqué, c'était affreusement compliqué. En plus il m'avait dit ça dans les yeux, avec une sincérité touchante et déconcertante. Je ne pouvais pas ne rien répondre, ne rien faire. Je détournais mon regard tellement j'étais gênée. Comment pouvais-je bien lui expliquer tout ce que j'avais sur le cœur, encore une fois je n'allais pas être capable de lui tout dire tout ce que j'avais envie de dire. Je pourrais essayer, mais jamais je n'arriverais à tout dire. Il y avait trop de chose qui devaient sortir. Et pour quelqu'un qui ne parle pratiquement pas, ce n'est pas évident de tout déballer comme ça. Il fallait que je lui dise que je n'avais pas encore fait le deuil de mon ancien amour, qu'il me faudrait du temps mais que en même temps je ne veux pas le quitter non plus. Sa présence me faisait tellement de bien, je raffolais déjà de ses baisers.

Mais comprendrait-il tout ça ? C'était tout de même peut être un peu égoiste de ma part. Je voulais qu'il me laisse du temps pour lui répondre et pour faire le point sur mes sentiments, tout en lui demandant de rester avec moi. Serait-il patient ? Accepterait-il de rester quand même avec moi ? Il allait sans doute m'en vouloir. Il m''en voudrait de l'avoir embrassé alors que je n'étais pas sûr de mes sentiments. Il allait peut être devenir furieux et perdrait toute la gentillesse qui était venue l'habiter. J'avais peur. Mais je ne pouvais pas non plus lui mentir, lui dire que moi aussi j'étais amoureuse de lui alors que moi même je n'en étais pas sûr.

Quel était le mieux ? Lui dire la vérité quitte à prendre le risque de le faire souffrir ou lui mentir et prendre le risque de m'engager dans quelque chose dont je ne suis pas sûr. Je n'aimais vraiment pas le mensonge, surtout quand il s'agit de mentir aux personnes que j'apprécie. Ce jeune Light qui se tenait devant moi méritait que je sois franche avec lui. Après tout, peut être qu'il accepterait de rester avec moi tout en étant patient et attendre que je fasse le point sur mes sentiments. Dans une relation, les sentiments ne se réveillent pas tout de suite immédiatement. Mais est ce qu'il comprendrait ?

Je reposa mes yeux sur lui, lui caressant tendrement la joue à l'aide du dos de ma main. Il était si beau, d'autant plus maintenant qu'il n'avait plus cet air froid et méchant. Il fallait absolument que j'arrive à le lui dire, à dire tout ce que j'avais sur le cœur. Je me lança donc tant bien que mal, alors que plus j'essayais de parler, plus ma gorge me brûlait.

« J...je suis en deuil … mais … j...je veux rester avec toi … s'il te plait … »

J'aurai aimé dire plus, j'aurai voulu mais ma gorge me faisait très mal. Je le regardais donc d'un air désolé. Attendant sa réaction.

Nos mains était tout deux posé sur les cheveux de l'autre se caressant mutuellement, c'était une sensation vraiment agréable que de toucher et d'être toucher, une sensation que je n'avais jamais ressentit, même étant petit mes beau parents n'avaient pas le droit de me toucher ou je les menaçaient, ils n'avaient pas le droit de me donner de l'affection car déjà tout jeune je savais que ce n'était pas mes parents mais d'un côté je ne pouvais pas leur en vouloir, je ne pouvais pas leur dire que c'était de leur faute alors que non, ils n'avaient vraiment rien à voir la dedans au contraire, ils m'avaient pris sous leur toit, sous leurs ailes, je savais que je devais les remercier mais cette idée ne me vint que maintenant, c'est comme si d'un coup grâce à cette amour que j'avais pour Violette Angely, tout les sentiments gentil qui était au fond de moi avait immerger, c'était comme si au fond de moi cette gentillesse voulait sortir et voulais montrer que je n'étais plus le même grâce à elle, peut être que je m'emballais trop vite ou peut être pas en tout cas ce qui me vint en tête c'était surtout de demander pardon à mes parents, pardon à Malov de m'être comporter de la sorte, je voulais leur montrer qu'il y avais désormais une part de gentillesse en moi, que je n'étais plus le monstre qui autre fois voulait détruire l'humanité, qui haïssais l'humanité, c'est sur que les humains sont comme je l'ai toujours dit mais elle n'était pas comme cela enfin je le pensais sincèrement, mon coeur voulait le croire de toute ses force.

Je lui avais avouer ce que j'avais sur le cœur, quelque chose que normalement je n'aurais jamais fait, j'avais le droit d'aimer et d'être aimer en retour ? Très probablement, sinon Violette ne m'aurais pas embrasser, cette fille si jolie, si belle que j'en était amoureux, elle n'avait pas l'air de pouvoir parler surement suite à sont accident mais je voulais être la pour l'assister et l'aider à faire tout ce dont j'étais capable, je pouvais désormais déplacer des montagnes pour elle si elle me le demandait, elle n'avait qu'a m'en donner l'ordre, mon cœur battait très vite alors que je lui avais dit la vérité au début je n'avais pas réussi à lui dire mais en fin de compte voilà c'était déballer

Mes yeux n'arrivait pas à la quitter, on pourrait me lancer un ballon en pleine face, il pourrait y avoir des bombardements partout que mon regard n'allait surement pas changer d'horizon, ils étaient braquer sur elle, mes yeux vairons qui m'avait temps donner de malheur, ses yeux qui m'avaient fait souffrir jusqu'à maintenant, ses yeux aux mystère encore peu résolu, j'étais renier de tout endroit à cause de cette différence, les gens ne m’appréciait pas et c'est cela plus la haine que j'avais envers mes vrai parents qui m'avaient amener à haïr l'humanité, si cela ne tenais qu'à moi j'aurais voulu encore l'embrasser mais la j'attendais surtout sa réponse à ce que je lui avais demander, allait-elle m'accepter ou me renier comme tous ces humains qui l'ont fait jusqu'à maintenant, allait-elle me rassurer et me dire qu'elle ressentait la même chose ou non, elle m'avait embrasser et c'était disons le seul espoir que j'avais qu'elle me réponde oui.

Elle avait détourner le regard, elle était surement entrain de réfléchir à ce qu'elle allait me dire, je me suis dis à ce moment là que c'était peut être perdu puis elle me regarda à nouveau caressant tendrement ma joue à l'aide du dos de sa main, mes yeux ne pouvait pas se détourner de sont regard rougeâtre, mes yeux ne pouvaient pas détourner les yeux de Violette, j'avais aperçu ses lèvres bouger, elle allait donc rendre le verdict, allais je mourir ou vivre ? Allais-je pouvoir connaître ce que c'est que l'amour ou rester dans les ténèbres et continuer de terroriser les gens et de détester la race humaine.

« J...je suis en deuil … mais … j...je veux rester avec toi … s'il te plait … »

Elle avait l'air de souffrir, elle avait l'air d'avoir tout de même mal à la gorge chaque mot qu'elle prononçait j'essayais de les assimiler mais je n'y arrivais pas, c'était beaucoup trop dur, je ne comprenais pas ce qu'elle essayait de me dire, elle était en deuil mais elle voulait rester avec moi ? Qu'est ce que cela signifiait, je ne comprenais vraiment pas, mon regard se baissa vers le sol, j'étais entrain d'essayer de décrypter tout cela, mon regard était comme si j'essayais de comprendre, c'était un regard 'incompréhension, elle m'avait même dit "s'il te plait", je ne comprenais rien mon cœur battait extrêmement vite bien plus vite encore que lorsque l'on s'était embrasser, mon regard était toujours au niveau du sol avec cet air incompréhensible, ma main se décolla de ses cheveux, elle était comme sans vie, mon corps entier était comme sans vie, j'avais surement mal compris, je ne pouvais pas lui demander de redire ce qu'elle venait de dire, elle avait l'air vraiment d'avoir mal mais surtout lorsque je tourna mon regard vers elle, elle avait l'air désoler, ses yeux avait un air de dire désoler comme si elle voulait m'en dire plus ou plutôt comme si elle était désoler de m'aimer ou pas alors qu'elle était en deuil, désoler de .... Je ne comprenais rien qu'est ce que cela voulait dire, qu'est ce qu'elle voulait dire sont regard ? Ses mots ? J'avais l'impression d'être muet, j'avais l'impression que le traumatisme qu'avait abattu la jeune fille s'était abattu cette fois sur moi, je n'arrivais pas à trouver les mots qu'est ce que je devais lui dire ? Elle voulait rester avec moi et me suppliait alors qu'elle était en deuil ...

Je me suis retrouver comme au moment où je pensais l'aimer, je me suis retrouver au moment où je me demandais pourquoi est ce que mon coeur bat-il autant pour elle pourquoi est ce que mon coeur la veux, j'étais avec la même expression qu'à ce moment là, je devais accepter d'être avec elle alors qu'elle était en deuil ? Je ne comprenais pas vraiment ce que cela signifiait vu que je n'avais jamais connu l'amour, un deuil ... qu'est ce que c'était au juste ? Je n'en savais presque rien, j'avais seulement une idée de ce que cela était et donc je me suis dis que je devais saisir ma chance, elle voulait être avec moi c'est tout ce qui m'importait, mon regard se redirigea vers elle, je la regardais d'un air déçu mais je lui dit tout de même.

-Bien ... Non ! ... Je ne veux pas ... Je ne peux pas ... J'attendrais à ce que tu finisse ton deuil ...

Mais qu'est ce qui m'avait pris de dire cela, j'étais con ou quoi ? Vraiment j'avais l'impression que mon intelligence, l'intelligence de la famille Shiffer avait disparu ... J'avais l'impression d'être devenu vraiment con à un point inimaginable, pourquoi est ce que j'avais dis cela, j'ouvris de grand yeux comme si j'étais moi même étonné de ce que je venais de lui dire, je me tapa le visage avec ma main droite puis retira celle ci pour lui dire d'un ton assez hâté.

-Non non, je retire ce que j'ai dis, je ne suis qu'un imbécile, bien sur que je veux être avec toi même si tu es en deuil, j'attendrais que tu ne le sois plus mais je veux être avec toi .. Rester près de toi ... T'aimer en attendant que tu commence à m'aimer ... Nous serons ensemble malgré tout !!

Voilà imbécile c'était ça que tu devais dire, bravo félicitation, j'étais vraiment content de lui avoir dit cela, mes yeux était entrain de s'illuminer, j'étais réellement heureux de lui avoir dit cela car c'était vraiment ce que j'avais dans le coeur mais à ce moment là je ne savais pas quoi faire, devais-je la prendre dans mes bras, devais-je l'embrasser alors qu'elle était encore en deuil ? Devais-je ... Devais-je ... Je n'en savais rien, je préférais ne pas bouger au cas où je ferais une connerie.

Voilà, j'avais bien raison. Comme je l'avais imaginé, il n'a aucune envie de céder à mon caprice. C'est normal après tout, qui accepterait quelqu'un qui lui demande d'attendre. Enfin, j'aurai tout de même espéré qu'il m'accepte quand même. Il semblait vraiment déçu et ça me fit mal au cœur. Je n'avais aucune envie de le faire souffrir, mais je ne pouvais pas lui en vouloir. Par contre je m'en voulais à moi, de ne pas pouvoir lui donner une réponse claire et précise. C'était très égoïste de ma part de lui avoir demandé de rester avec moi malgré tout.

Les yeux baissés, je ne voulais plus le regarder, j'avais trop honte de moi. Je m'apprêtais à partir pour de bon, afin qu'il n'ait plus à me voir, que je sorte de son champ de vision et de sa vie quand il reparla, mais cette fois d'un autre ton. Je releva alors la tête vers lui étonnée, il venait de changer d'avis. Il voulait quand même rester avec moi finalement. Je soufflais alors de soulagement, il m'avait fait si peur. Mon cœur semblait lui aussi réagir à la bonne nouvelle, reprenant un rythme fort et régulier. Une douche chaleur circulait dans tout mon corps alors que je l'écoutais parler. J'étais si triste qu'il ne m'accepte pas, que maintenant qu'il a changé d'avis, j'éprouve une profonde joie.

L'affection que je lui porte ne cesse de croître de minute en minute. Mon cœur bat pour lui, il bat quand je le regarde et quand je suis avec lui. Mais tout au fond de moi, il persiste une petite parcelle de mon cœur qui n'ose pas s'abandonner complètement, cette parcelle qui était réservée à Arthur. J'ai comme l'impression de le trahir si jamais je me donne à ce garçon. J'ai beau savoir qu'il est décédé et que jamais il ne reviendra, je me sens coupable vis à vis des sentiments que je commence à éprouver. Qu'en penserait-il ? Aurait-il voulu que je refasse ma vie ?

Je me lançais dans quelque chose que je n'étais même pas sûr de pouvoir assumer jusqu'au bout. Je voulais tellement être avec lui, cette personne qui m'apporterait de l'amour. Cet amour j'en avais besoin, ce serait lui qui me sortirais du brouillard. A ses côtés je me sentirais capable d'accomplir de grandes choses, de renouer avec la vie. Pour lui, je parlerais de nouveau, je recroquerais même sans doute la vie à pleine dent. Je sentais toutes ces possibilités avec lui.

Et puis, à lui qui n'a semble t-il pas connu l'amour véritable, je pourrais le lui montrer, j'avais envie de lui montrer et de partager ça avec lui. Nous avions tous les deux des choses à faire découvrir à l'autre. Le destin, je ne sais pas vraiment si je dois y croire ou pas, mais Light avait été mis sur ma route pour une raison précise, et moi sur la sienne. Notre rencontre n'était pas seulement le fruit du hasard, j'en étais persuadé. Le fait qu'il ressemble comme deux gouttes d'eau à Arthur, ça ne pouvais pas être du hasard. Il était là pour moi et moi j'étais là pour lui, pour lui faire découvrir l'amour. Et lui était là pour me refaire découvrir les joies de la vie. C'était un signe, il n'y a pas de doutes possibles là dessus.

Je le regardais alors avec toute la tendresse qui m'habitait à ce moment présent. Sans détacher mon regard du sien, je lui pris les mains pour entrelacer mes doigts aux siens. Nous étions désormais liés, liés par un grand sentiment naissant qui pourrait bien être l'amour. L'amour, le plus fort sentiment qui puisse exister sur Terre, plus fort que la haine, plus fort que la tristesse. Je devais me saisir de cette opportunité pour sortir des ténèbres. Nous étions tous les deux destinés à être ensemble. Jusqu'où est ce que ça irait ? Est ce que ce sentiment grandirait encore plus ? Je n'en avais aucune idée, je profitais juste de l'instant présent.

Je n'avais rien d'autre à dire, je ne savais pas quoi dire, j'étais heureuse. Ca faisait un long moment que ça ne m'était pas arrivé et j'en profitais. J'approchais ma tête de la sienne pour lui déposer un doux baiser sur les lèvres. Avec lui, je sentais comme des ailes me pousser. Je regardais mes mains toujours enlacées aux siennes, je ne le lâcherais plus, c'est sûr !

Je ne savais pas si je devais lui dire directement oui ou lui demander un temps de réflexion ou même lui demander pourquoi est ce qu'elle voulait attendre ou encore même
lui dire non directement, elle n'avait pas fait sont deuil mais moi en quelque sorte je ne savais pas quoi faire donc je pouvais pas lui en vouloir pour cela, elle voulait rester avec moi et j'ai aimer qu'elle me supplie de rester avec elle car de toute façon c'est ce que je voulais, je me suis dis qu'avant il y avait un mur infranchissable et qu'à cause de ce mur infranchissable je ne pouvais pas devenir gentil ou quelque chose ainsi, mais ça je n'en savais rien enfaite vu que j'ai toujours été méchant, toujours été horrible envers les gens, je détruisais ce qu'il y avait devant moi, tout autours de moi, j'étais le mal incarné je pensais même changer le monde avec ma vision des choses mais maintenant que j'essaie de regarder où est ce que ce mur se trouve, je ne le vois pas, je vois simplement cette fille et des débris du mur cassé à ses pieds, comme si elle m'avait libérer d'un sortilège, comme si c'était un signe du destin qu'elle soit apparu devant moi de toute façon je ne pouvais pas lui dire non je devais être avec elle et cela à tout prix je ne l'aurais laisser pour rien au monde !

Elle avait les yeux baissés, elle ne voulait pas me regarder surement à cause de ce que je lui avais dis la première fois, cette connerie qui était sortit de ma bouche ... je ne savais pas comment l'en empêcher mais de toute façon elle était déjà sortit, c'était comme si elle avait honte de quelque chose, elle s'apprêtait à partir et cela je pouvais le voir, c'est comme si elle n'avait plus envie de me voir, qu'elle était en quelque sorte dégouter mais je lui avais dis ce que j'avais réellement sur le coeur, elle semblait d'un coup soulager, elle souffla même pour exprimer sont soulagement, moi je lui souriais et je ne pu m'empêcher de montrer mon sourire, j'étais vraiment content d'être avec elle, d'être à ses côtés deuil ou non cela ne me regardait pas, c'était à elle de gérer cela.

Cette fille je l'aimais, je l'aime, et je l'aimerais sans doute toujours, c'était en quelque sorte mon premier amour et dans les livres, les films on disaient souvent que le premier amour ne s'oublie jamais, que cette personne est graver dans sont esprit et dans sont coeur malgré les séparations, je voulais que ça soit vrai car vu que c'était mon premier amour je voulais qu'elle soit la première mais surtout la dernière, qu'il n'y ai personne après elle et il n'y avais de toute évidence personne avant, je voulais que cette jolie fille au cheveux gris et aux yeux rougeâtre soit la femme de ma vie, elle avait l'air de m'avoir accepter mais pas à cent pour cent à cause de ce deuil.

Je ne savais pas si mon avenir promettait quelque chose d'heureux, si ça allait réellement changer à mon passé, si ça allait me rendre meilleur mais de toute évidence je n'avais rien à perdre à par elle même, je ne voulais pas la perdre et je ferais tout pour elle ça c'est sur, je ne voulais qu'elle s'en aille ou quoi que ça soit, je voulais qu'elle reste à mes côtés pour l'éternité.

Elle me regardais et je faisais de même, nos regards était vraiment tendre, si tendre qu'elle pouvait fondre de la glace, je ne pouvais la lâcher des yeux, je sentis sa mains s'entrelacer avec mes doigts comme si nous étions lié, lié par un lien qui ne se détruira jamais et surtout que je tiendrais lié par la chose la plus dur qu'il soit...
Elle approcha sa tête de la mienne et déposa un doux baiser sur mes lèvres, je rougis légèrement à cela et remarqua qu'elle regardait désormais ses mains enlacées avec les miennes, je souriais comme un débile, je ne pouvais m'empêcher de sourire j'étais amoureux après tout moi qui pensais que ça ne m'arriverais jamais, moi qui pensais que je n'étais fait que pour détruire et faire le mal voilà maintenant que j'étais amoureux d'une fille et que j'étais pratiquement devenu gentil avec elle c'était un sentiment vraiment incroyable que je n'aurais jamais envie d'oublier pour tout l'or du monde.

Moi je la regardais sans vraiment quoi faire, nous étions surement amoureux l'un de l'autre et on ne voulais surement pas lâcher l'autre mais il allait arriver un moment où on devra le faire de toute façon, j'étais arriver ici pour jouer au basket et rien d'autre mais voilà que j'étais tomber amoureux d'elle pour une bonne raison fin je n'en savais rien

Je lui fis un bisous sur sont front et essaya de lui faire lâcher ma main en douceur, je partis dans le gymnase prendre mes affaires et déposer le ballon dans le bac à ballon, je me dirigea une nouvelle fois vers elle et lui sourie.

-Je suis tout de même fatiguer parce que j'ai jouer et tout ses nouvelles émotions incroyable sont encore présente, je propose que l'on se repose un peu car toi aussi tu devrai être fatiguer parce que ... Je t'ai fais pleurer plus tôt ...

Je ne savais pas si elle voulait partir mais j'allais accepter sont choix de toute façon, je n'allais pas lui dire non si elle aurai voulu rester, je lui pris à nouveau sa main et attendis sa réponse en la regardant avec amour et passions.

Ses doigts commencèrent à bouger entre les miens, et finirent pas quitter mon étreinte. Après m'avoir déposé un baiser sur le front il se redressa et repartit à l'intérieur du gymnase, sans doute pour récupérer ses affaires. C'est vrai que dans l'histoire je l'avais un peu interrompu dans son entraînement, j'espérais qu'il ne m'en veuille pas pour ça. Il revint ensuite près de moi, souriant toujours. Je le lui rendis alors et l'écouta parler.

Je ne savais pas depuis combien de temps il s'entraînait quand je suis arrivé, mais il semblait fatiguer. Et moi ? A vrai dire, depuis que j'étais en fauteuil roulant je n'avais pas vraiment eu l'occasion de me sentir fatigué après un effort quelconque. Si le kiné était venu, alors là oui, peut être aurais-je été fatigué. La fatigue que je ressentais ces derniers temps était plus de la fatigue mentale. Je me torturais l'esprit en permanence et la lassitude jouait aussi beaucoup là dessus. Mais là, maintenant, je ne me sentais plus fatigué, j'étais comme sur un petit nuage. Je me sentais bien.

Mais bon, il fallait peut être aussi que je me retrouve un peu seule, au calme pour faire le point sur tout ce qui s'était passé et faire le point sur mes sentiments. Il m'avait permis de rester avec lui en attendant que je termine de faire mon deuil, il s'agissait donc maintenant de ne pas trop le faire attendre. Avec lui à mes côtés je me sentais capable d'avancer, de faire mon deuil d'Arthur et de mes parents. Je suis sûr que c'est ce qu'ils voudraient. Après tout, même si ils me manquent horriblement et que je donnerais n'importe quoi pour les revoir, il fallait que je refasse ma vie et que je cesse de vivre dans le passé. Ca allait être compliqué mais désormais j'avais des gens autour de moi qui m'aideront. Et puis surtout, maintenant il y avait Light.

Quand je serais avec lui, il est hors de question que je me laisse envahir par le passé ou qu'il subisse mes dépressions. Il était là et avait accepté de m'attendre, il ne devait donc pas subir, je devais l'épargner de tout ça. Une nouvelle vie commençait maintenant, je devais donc m'en montrer digne et faire tout ce qui est possible pour ne pas tout détruire. Je me sentais regonflé à bloc désormais.

Je me mis alors à fouiller dans mes poches à la recherche de quoi noter, il fallait que je fixe avec lui un nouveau rendez vous. Je n'allais pas le retenir si il était fatigué et qu'il désirait se reposer. Mais forcément, vu que j'étais en tenue de sport, je n'avais rien pris avec moi. J'allais donc devoir parler, mais ma gorge me faisait toujours mal. Il allait vraiment falloir que je m'entraîne … Je réfléchis alors à ce que je pouvais bien lui dire. Un rendez vous … Il fallait qu'on se revoit, et ce serait bien en dehors de l'école. Ce serait l'occasion pour moi de sortir aussi d'ici. Mais que lui proposer, je n'en avais aucune idée. Je ne savais même pas ce qu'il y avait bien à faire ici. Je me sentais gênée tout d'un coup, je ne savais pas quoi faire, quoi lui proposer. Pour être sincère je ne savais rien de lui, je n'avais donc aucune idée de ce qu'il aimait faire ou ce qu'il n'aimait pas faire. Il valait peut être mieux alors le laisser choisir.

Il reprit ma main et je le regardais avant de lui parler.

« D'accord. Je … Tu … Où veux tu qu'on se revoit ? »

Je bégayais en parlant, j'avais vraiment du mal. Je n'avais pas l'habitude et il fallait que je m'exerce, surtout pour la première fois qu'on se verrait. C'était vraiment embêtant en fait de pas pouvoir parler. Surtout en couple …

J'avais mes doigts entre les siens puis je la quitta pour aller chercher mon sac, je commençais réellement à fatiguer mais je voulais rester avec elle d'un côté, elle allait terriblement me manquer dés que j'allais la laisser et ça je le savais, j'étais déjà revenu et je lui souriais parce qu'elle était vraiment ravissante, vraiment trop belle, d'une beauté éblouissante, je pourrais passer mes journées à le lui dire tellement qu'elle est belle, elle ne parlait pas souvent surement du à cause de sont traumatisme, mais dés que j'entendais sa voix j'étais transporter dans les airs, ça voix malgré qu'elle bégayais était trop belle à entendre.

Elle se mit à fouiller dans sa poche à la recherche de quelque chose mais de quoi, ça je n'en savais rien qu'est ce qu'elle cherchait, je ne pouvais m'empêcher de la regarder chercher, je devrais surement l'aider mais bon je ne savais pas qu'est ce qu'elle cherchait de toute façon, je lui souriais en attendant qu'elle trouve son bonheur mais bon c'était en vain car elle était avec des habits de sport et donc sans feuille de papier ni rien, je lui repris la main et l'entendit alors dire quelque chose, sa voix était toujours aussi magnifique que d'habitude, je n'arrivais pas à me lasser de l'entende le problème était qu'elle devait surement souffrir ou quelque chose comme cela.

« D'accord. Je … Tu … Où veux tu qu'on se revoit ? »

Elle bégayais mais sa voix était tout de même magnifique, pour moi ce n'était pas réellement un problème, d'un côté si car sa voix me manquais à chaque fois qu'elle arrêtait de parler mais d'un autre côté non parce qu'elle ne devait pas souffrir à ce point pour parler, fallait que ça sorte tout seul de sa bouche, sans qu'elle ai d'effort à faire et un jour peut être en tout cas je ferais tout pour que cela soit rapide, pour qu'elle ai plus facile à s'exprimer.

Je continuais de la fixer et réfléchi tout de même rapidement à l'endroit et surtout quand est ce qu'on allait se revoir, elle m'avait laisser le choix surement car elle n'avait pas trouver de feuille de papier pour discuter, je ne savais pas vraiment ce qu'elle aimait et surement qu'elle non plus elle ne me connaissait pas surtout après tout ce que je lui avais fait subir aujourd'hui, elle voulait me revoir et cela me fit vraiment chaud au coeur, je m'approcha légèrement d'elle et déposa un baiser sur ses lèvres, je lui souris et sortis un bout de papier de mon sac de sport heureusement il y avait un bic à l'intérieur, j'écris rapidement dessus mon numéro de téléphone ainsi que l'endroit, l'heure et quand est ce qu'on pourra se voir, je déposa un baiser sur son front.

-Voici donc mon ange, mon numéro de téléphone, je te propose cette date à toi de me dire si cela te convient, le 26 mai à 16 heure ... Si cela ne te convient pas tu peut m'appeler. Je t'aime... !

Je savais bien qu'elle n'allait pas me répondre, je lui fis un rapide baiser sur le front puis sur les lèvres et partit avec mon sac en lui faisant un grand coucou avec mes mains.