Tout, tout me paraissait flou dès à présent. Je venais d'arriver chez moi que des garçons m'avaient invités à aller dans un bar. Bien sûr, j'avais accepté et avait bu des verres et des verres de bières, de vin. D'alcool. L'ambiance était chaude, je supportais l'alcool jusqu'à un certain degré et là, je l'avais dépassé de peu. J'étais à moitié saoul mais j'étais encore conscient de bien des choses. Dans tous les cas, je m'énervais facilement alors que je sois comme ça ou non, je m'énervais toujours autant. La colère, l'envie. Tout me passait dans la tête à une vitesse folle. En faite, j'étais vraiment saoul. Je voulais baiser. Oui, faire l'amour. Tout, je voulais tout faire. La première personne m'en empêchant se retrouverait collée au mur, tapée par mon manque de patience. Tout le monde, je voulais juste me faire tout le monde. Je m'approcha doucement d'un garçon en hoquetant légèrement et alla rapidement dans son dos. Vu les regards qui tramaient sur lui et les rumeurs que j'avais entendu, c'était un prostitué. J'esquissa un sourire léger en étant content de le voir. J'avais bien besoin de me soulager. Etait-il au moins bien ? J'en croquais d'avance, n'importe quoi me suffirait du moment que son physique m'était bien. Et si je le connaissais ? Impossible. A moins qu'il soit aller dans le même orphelinat que moi, c'était impossible. Oh oui.
Je toussa faiblement en gâchant tout effet de surprise et grogna légèrement. Prenant par le menton le garçon. Peut-être étais-je trop direct ? Je m'en foutais royalement. En tout cas, Dieu qu'il était attirant. Sa peau pâle me donnait envie de la toucher, de lui faire connaître mille sensations. Seigneur que l'alcool me rendait fou et étrange. Ses yeux .. cela devait peut-être être la première fois que je voyais des yeux de la sorte, des yeux de deux couleurs différentes. Un gris. Gris ? Je fronça les sourcils en me rendant compte que je le tenais toujours et poussa un très long soupir. Juste une partie de baise n'est-ce pas ?

« Il paraît que tu vends ton corps, puis-je demander de tes services ? »

Rester un minimum poli, pourquoi ? Je ne le savais pas. C'était une habitude que je venais de me prendre. En tout cas, je voulais vraiment de la baise. Voir son corps se cambrer sous mes caresses tout. Je voulais vraiment tout voir. Ce fus à ce moment là où je me rendis compte de cette même taille qu'on nous avait donné. C'était assez comique et ça ne l'était pas. J'aurais préféré être plus petit ou bien plus grand mais de la même taille hein. Sans patience, je n'attendis même pas sa réponse pour l'entraîner dans un lieu à l'abris des regards. Les toilettes. Mes cheveux bruns étaient légèrement décoiffés mais cela me donnait encore plus de charme. Ma chemise noire était toujours déboutonnée sur les deux premiers boutons et je portais en même temps un pantalon noir simple. Pendant que je marchais, je sentit le regard de femelles en chaleur se tourner vers moi et ce prostitué et les laissa faire. Au moins, si il ne me plaisait pas je pouvais toujours le remplacer par une de ces gonzesses. L'argent, si il me demandait de l'argent, le paierai-je ? Cela dépendra. J'étais pris par l'alcool ce qui me donnait un esprit encore plus flou qu'à l'habitude. Mon tatouage sur le cou ne me rendait que plus attirant, ce tatouage qui m'avait coûté cher. Je devais bien travailler après le collège en tant qu'occupant même de ce bar de vingt-et-une heures jusqu'à trois heures du matin les jours de la semaine. Heureusement pour moi, on était un samedi. La paye augmentait à partir de minuit, c'était encourageant. Même si ce salaire m'était assez petit, je vivais très bien avec. Je me rappelle très peu de mon enfance avec mon père mais je sais que je vivais de très peu. Même moins que là, maintenant.
Arrivés aux toilettes, je pris soin sur le fait que personne ne se trouvait dans les alentours et me lava rapidement les mains encore couvertes d'alcool. Plus le temps passait et plus mon esprit s'embuait. Ca allait être drôle dit-donc.

La soirée avait été longue, j’avais eu droit à un vieux riche en client, j’étais exténuer, et encore excité. En sortant du lieu de rendez vus, j’avais l’envie et le besoin de prendre une cuite. Etre bien bourre pour oublier les choses dégoutante que l’on venait de me faire. J’allais donc dans un bar ou j’étais un habituer. Je péchais pas mal de client là-bas, tout le monde me connaissais comme le plus renommer prostituer de la ville. J’entrais et alla m’assoir, en serrant les jambes pour essayer e calmer ma légère érection. Il ne fallait pas me chauffer ce soir, ça aurais été fatale. Le barman était un de mes amis, on se tapait souvent la causette.
« Du Whisky s’il te plait Philipe.
- Oui oui, et le boulot, ça a été ce soir ?
- Un vieux … M’a pas laissé jouir complètement ce salaud, suis encore excité, faut que je me calme.
- Ah bah, on y loupe pas à ça hein »

Il me donna mon verre que je bus cul sec, en mettant la tête dans mes bras, réfléchissant à la journée de demain… A quoi allais-je encore avoir droit ? Une fille à papa ? Ce métier était CHIANT tout comme mes clients. Au moment où je commençais à me calmer et me détendre le plus, un homme vint me faire royalement chier. Il me prit le menton et me tourna vers lui. Le regard méprisant, je le regardais de mon seul œil fonctionnel, mon œil dorée comme le soleil. Hm ? J’avais l’air de lui plaire à ce petit…

« Il paraît que tu vends ton corps, puis-je demander de tes services ? »

Au moins, il était poli, je cherchais une réponse approprier … Je ne voulais pas qu’il se foute de ma gueule en voyant que j’étais déjà excité. Mais … Je le trouvais beau gosse. Même charmeur … Il n’attendit même pas ma réponse et me prit par le bras pour me tirer dans les toilettes … Bon tant pis, j’y aurais encore droit. Je sentais couler entre mes fesses le liquide produit par l’autre homme qui était passé par là une heure plus tôt. Salaud. J’en crispais le visage et serrais les points. Là, il n’aurait aucun mal à me préparer. A la lumière, je pus encore plus l’admirer … Mon cœur cessa se battre pendant quelques secondes, il était beau, bien trop beau. Tout en noir, classe … Moi, j’avais préféré la chemise rouge flashy et le pantalon marron. Bien que les chaines de ma ceinture me donnent un côté rebelle aussi…

Il me lâcha pour se laver les mains, je pris le temps de reprendre mon souffle et verrouiller la porte de la pièce.

« Je ne suis plus censé être en service, je viens de lâcher un client, je suis fatigué. Mais je veux bien faire une exception si tu te bouges le cul et que tu te grouille un peu. »

Tout ce que je voulais, c’était jouir pour me calmer. Je voulais qu’il se grouille pour que je puisse rentrer chez moi.

« Il paraît que tu vends ton corps, puis-je demander de tes services ? »

A peine l'avais-je demandé que je l'entraîna jusqu'aux toilettes. Je m'en foutais qu'il ne le veuille pas, du moment qu'il allait assouvir mon cruel manque de baise. Une fois la lumière des toilettes allumée, j'en profita pour me laver les mains et sentit son regard se poser sur moi. Je m'assit sur le lavabo en attendant qu'il finisse. Il avait bien l'air de l'avoir fait un peu plus tôt. Ca se voyait facilement. Le con. Il était bien foutu en tout cas, ça donnait envie de le baiser. Au moins, l'apparence m'allait. Si il partait, je le forcerait. Dans tous les cas, vu l'apparence qu'il avait, on aurait à peu près la même force. Moi peut-être moins, lui peut-être moins. Tout dépendra hein. Mais je setais d'hors et déjà qu'on allait s'amuser. Je voulais juste une partie de baise. La suite m'importait peu. Je m'en léchais déjà les doigts.

« Je ne suis plus censé être en service, je viens de lâcher un client, je suis fatigué. Mais je veux bien faire une exception si tu te bouges le cul et que tu te grouille un peu. »
« Woh calme putain. C'est moi qui donne les ordres donc ta gueule tu veux ? »

Je me leva très calmement en passant une main dans mes cheveux. J'allais prendre tout mon temps oui. On ne me donnait pas d'ordre ici. En tout cas, je ne laisserai jamais quelqu'un me prendre le dessus. Je le plaqua tranquillement au mur et laissa l'une de mes mains aller sous sa chemise rouge pétante pendant que je passais mon genoux entre ses cuisses à caresser son entre-jambe encore en érection. Eh bien eh bien. Avec moi, il apprendra à patienter avant que j'aille plus loin. J'aimais me faire attendre. C'était encore plus excitant quand cette personne était à bout. Je remonta très lentement ma main jusqu'à l'un de ses tétons que je coinça entre mon index et mon majeur en le faisant doucement rouler.

« Je prends tout mon temps quand j'en ai envie. Retiens bien ça ok ? »

Je commença à caresser son membre à l'aide de mon genoux et lui mordilla lentement la lèvre inférieure. J'allais en prendre du temps. Il ne fallait pas croire. Comme si j'allais lui obéir. J'avais une fierté à garder. Mes mains encore trempées, je passa finalement ma seconde main sous sa chemise et l'écrasa un peu plus contre le mur. Je me baissa très calmement en déboutonnant sa chemise, lécha son cou pour ensuite y déposer un suçon. Comme si je n'allais pas laisser de trace de mon passage. Je le regarda dans les yeux d'un air pervers avec un léger sourire aux lèvres. Je n'allais pas non plus le laisser fuir. Si je le voulais, je pouvais le laisser rester ici toute la nuit. D'une manière ou d'une autre, il restera jusqu'à la fin. Jusqu'à ce qu'il jouisse, le mieux était les positions où celui d'en dessous était contraint de montrer son visage alors que celui qui d'au-dessus pouvait le cacher, soit moi. Mais cette position je la faisais bien souvent. N'avais-je donc pas d'autres positions à faire là ? Dans les toilettes, il y avait bien du choix. Et j'avais une bonne idée derrière la tête. Je passa une nouvelle fois ma main dans mes cheveux et remplaça la main occupant son téton par ma langue, le léchant puis le mordillant très doucement. Mon genoux continua de caresser son membre mes mains descendirent à leur tour en lenteur pour griffonner son bas ventre.

« Pour info, je tiens bien à préciser que tu ne pourras pas fuir avant que j'aie fini et que tu aies jouis. Compris ? Je refuse qu'on me donne des ordres ou bien je risque de frapper. Case ça dans ta tête si un jour on se revoie. »

Enfin, j'espérais et je ne l'espérais pas. Imaginez quand même que, au beau milieu de tout le monde, vous voyez le mec que vous avez baiser. Vous comprenez ? Tout dépendra ensuite de la soirée passée. Si il réussit à me satisfaire, je voudrais bien recommencer. Pf. Comme si c'était possible. Il avait certes le physique mais je ne pense pas qu'il puisse aller jusqu'à me rendre fou. Ce n'était que des coups d'un soir qui servaient à calmer mes pultions, jamais ça allait jusqu'à en prendre un plaisir fou. Oh non. Du moins, je voulais surtout ne pas m'en rappeler. Me prendre un coup en sachant qu'on me rendre désireux jusque là. Non.
Et puis, on avait tout notre temps. On était samedi soir, c'est pas comme si j'avais cours le lendemain. Et puis le travail était après les cours. Je m'en foutais royalement de passer ou pas, un boulot me suffisait non ?

« Je ne suis plus censé être en service, je viens de lâcher un client, je suis fatigué. Mais je veux bien faire une exception si tu te bouges le cul et que tu te grouille un peu. »
« Woh calme putain. C'est moi qui donne les ordres donc ta gueule tu veux ? »

J’étais fatigué. Ma voix commencer à être caser et l’alcool que j’avais bu commençais à faire effet, tout ce que je ne voulais pas, c’est qu’il me frappe. Il se leva en repassant sa main dans ces cheveux, se simple geste m’énervais. Il était à moitié bourré … Il me plaqua au mur, et comme un gentil chien, je le laissais faire… Sa main froide passa sous ma chemise rouge et me fit frémir, j’étais déjà bien trop excité pour lui résister. Son genoux vint caresser mon entre jambe, j’allai directement m’agripper à ses bras et fini par en gémir, rouge de passion. Je recommençais à durcir, moi qui m’étais à moitié calmer en restant sage assit au bar … Tous des salauds juste bon à baiser. Il titillait mon téton, j’en frémissais, il pointait, montrant encore plus mon impatience. J’avais pris ma tête naturel d’exciter sur le point de craquer, bien que j’avais de la retenu.

« Je prends tout mon temps quand j'en ai envie. Retiens bien ça ok ? »
« Ok… ! »

Ses caresses me faisaient encore plus gémir, au secours, j’étouffais, il faisait trop chaud et la chaleur de la lumière me tapait sur le visage. Il s’attaquait à ma lèvre inférieure en la mordillant, j’essayais de retenir mes gémissements pour ne pas trop la bouger. Il m’écrasait contre le mur, j’avais du mal à respirer. Ma chemise déboutonné, il eut tout loisir d’admirer mn torse, une fine perle. Sa langue passa dans mon cou et y fis un… suçon. Mon cœur s’affola à cette idée, ça me rappelait trop mon enfance, les choses que me faisais cette … homme. Je me retenais de le rejeter. Il me regardait de la même façon que cette homme … Je commençais à partir, la tête me tournais, j’en avais les larmes aux yeux, mais j’avais envie de le faire, peu importe si il me rappelait de mauvais souvenir. Il remplaçait sa ma main par sa langue et je n’en fis que plus gémir encore, j’étais sensible des tétons quand j’étais saoul, et son genoux qui continuais …. La chaleur était intenable...

« Pour info, je tiens bien à préciser que tu ne pourras pas fuir avant que j'aie fini et que tu aies jouis. Compris ? Je refuse qu'on me donne des ordres ou bien je risque de frapper. Case ça dans ta tête si un jour on se revoie. »
« D’accord … ! »

Je ne pouvais qu’accepter des conditions, au moins lui, il me laisserait jouir… Bien que je commençais déjà à avoir mal tellement je me retenais. J’allai de moi-même posé ma main dans ses cheveux, il aurait au moins put se présenter… J’étais doucement en train de glisser, j’étais crever et mes jambes ne me portait plus. Le mec qui était passé avant lui m’avait bien vidé, et sa semence continuait de couler lentement de ma raie. Ça m’excitait encore plus, mais s’était désagréable, j’aurais au moins voulu essuyer ça. Je tombais d’un coup, sans le vouloir, le regard complètement dans le vague mais la main sur un de ses jambe. S’il voulait que je bouge, il faudrait qu’il me porte, mes jambes venaient de me lâcher.
« Désolé, je peux plus marcher … ni tenir debout... »

Et maintenant ? Que me ferait-il ?

« Woh calme putain. C'est moi qui donne les ordres donc ta gueule tu veux ? »

L'alcool avait l'air de le prendre. C'était parfait pour moi qui ne voulait que en profiter un maximum. Ma main glaciale passa très lentement sur son torse en titillant rapidement son téton et mon genoux caressa très rapidement son membre qui durcissait déjà. Je le laissa s'aggriper à moi en soupirant faiblement et recommença à parler. J'étais du genre à donner des ordres. Autant que je le voulais. Il fallait bien qu'il le comprenne ou j'allais en chier le reste de la soirée avec lui.

« Je prends tout mon temps quand j'en ai envie. Retiens bien ça ok ? »
« Ok… ! »

Woh. En tout cas il était sous l'effet. Ses gémissements me faisaient de plus en plus d'effet, mon membre commençant à son tour à être en érection. Il faisait vraiment chaud dans les chiottes. D'où on mets un radiateur hein ? Je lui mordilla très rapidement la lèvre inférieure tout en lui déboutonnant la chemise. Ca allait être bien plus simple pour en profiter. Je passa ma langue le long de son cou et y déposa un suçon, il fallait qu'il retienne que pour cette soirée là, il avait été mien. Personne d'autre ne pourrait y toucher durant cette soirée. Plus personne. Oh non. J'allais le vider entièrement. De tout ce qu'il avait. Au moins, j'avais trouvé un point sensible à ce moment là, peut-être était-ce parce-qu'il était saoul. Je ne pouvais pas le savoir. En tout cas, c'était un point sensible de plus. Je passa ma langue sur son téton en griffonant son bas ventre, le laissant gémir de plus en plus fortement.

« Pour info, je tiens bien à préciser que tu ne pourras pas fuir avant que j'aie fini et que tu aies jouis. Compris ? Je refuse qu'on me donne des ordres ou bien je risque de frapper. Case ça dans ta tête si un jour on se revoie. »
« D’accord … ! »

Un chien. J'avais l'impression d'avoir affaire à un chien. Sa main se posant dans mes cheveux, je commença à titiller l'autre téton de ma main gauche et le sentit assez violemment glisser. Je fronça les sourcils de mécontentement. Je m'apprêta à le relever en le tenant par le bras avant de me faire couper par sa voix. Woh. Pris pas l'alcool, oui.

« Désolé, je peux plus marcher … ni tenir debout... »

Je soupira longuement de lassitude et le prit par la taille. Je regarda autour de moi et eut une soudaine idée. Toilettes. Je m'assit paisiblement sur la cuvette des toilettes en le posant sur mes genoux et déboucla sa ceinture. Titillant une nouvelle fois ses tétons et mes dents mordillant la lobe de son oreille. Ce n'allait pas être poru cette raison que j'allais me presser.
Je laissa ma main droite glisser le long de son torse et joua avec la bordure de son boxer. Tu parles. Je laissa mes doigts titiller son gland par dessus le boxer en soupirant faiblement :

« Va pas croire que je vais me grouiller. »

Je continua de titiller et son gland et son téton et déposa un nouveau téton dans son cou. Ah franchement. Au moins ça réveillait bien. L'alcool présent dans mon sang ne faisait à peine effet. Ma verge se durcissait de très peu et mes mains jouaient habilement. Si il jouissait maintenant, il allait en souffrir après. Le fait qu'il jouisse était l'une des conditions, la deuxième était que je finisse. Non, franchement, c'était amusant que de toucher un mec déjà à bout. C'était lui qui l'avait voulu, à être prostitué. Il se démerdait maintenant. Tout ce que j'avais à faire pour le moment c'était de le chauffer. Je fis glisser son pantalon par terre et le regarda calmement.

« Franchement. Jamais eu un mec aussi facile à chauffer. »

« Désolé, je peux plus marcher … ni tenir debout... »
J’avais une mine ailleurs et désolé. Il me prit soudain par la taille pour se diriger vers une cabine de toilette et s’y assoir avant de m’assoir sur ces genoux, mes jambes tremblaient. Je n’étais pas bien lourd, nee ? Il pouvait me porter ou me bouger assez facilement. Ma ceinture fus déboucler et mes tétons à nouveau titiller, je m’appuyais sur la porte des cabinets, fermer pour ne pas tomber en avant et risquer de me cogner la tête pour me faire passer pour une imbécile de première. Ses dents mordillait mon lobe d’oreille, ça me donnais encore plus chaud…
Sa main maintenant tiède glissa le long de mon torse pour aller s’amuser avec mon gland, par-dessus mon sous-vêtement, je ne pus qu’en avoir plus chaud, et gémir d’avantage, j’étais déjà dur à n mourir, et il fallait que je me retienne…

« Va pas croire que je vais me grouiller. »

Il était comme lui, pareil à lui, ce monstre qui m’avait violé trois voire quatre fois par jour pendant si longtemps… Horrible … Mais l’alcool m’empêchait de me concentrer sur quoi que ce soit. Il continuait de jouer avec le bout de mon membre, surement le sourire aux lèvres… Il me fit un nouveau suçon, je détester ça, mais je n’avais pas la force de le repousser. J’avais envie de sexe, et tant pis s’il me rappelait de mauvais souvenir... Serrant les dents pour étouffer mes gémissements, j’étais un pro et je me devais de me retenir un maximum quand même. Je savais très bien que si je me relâchais maintenant, il me forcerait pour la suite pendant que moi, j’aurais mal, je ne l’avais que trop vécu, alors je me forçais à me mordre les lèvres jusqu’au sang pour freiner mes envies et me concentrer sur la douleur.
Mon métiers, je l’avais choisi parce que j’avais pas la joie, et j’avais envie de lui crier à la figure, de lui pleurer au visage … Qui aurais pris un apprenti sans diplôme ni argent ? Je ne savais faire que baiser de toute façon…
Mon pantalon glissa doucement sur le sol, je n’étais plus qu’en chemise détacher, torse nu et caleçon, il le ferait surement voler en éclat après m’avoir soutiré quelque cri de plus…

« Franchement. Jamais eu un mec aussi facile à chauffer. »

Une larme coula sur ma joue, il avait oublié que je sortais du boulot ? C’est sur un ton suppliant que je lui répondis :

« Un vieux m’est passé dessus avant ! Il m’a pas laissé finir de jouir ! Tu comprends ça ? J’en ai super mal ! T’es comme lui … Vous êtes tous pareil, tous des monstres ! J’ai pas eu le choix quand j’ai choisit ce métier la ! »

Je ne gueulais pas, au contraire, ma voix était de plus en plus aigüe. Je m’en voulais un peu de lui avoir balancé ça, j’étais vraiment sous l’effet de l’alcool… Je savais qu’il ne me prendrait pas en pitié, mais au moins, il me laisserait pleurer si j’en ai besoin. C’est tout une vie qui retombait sur moi à présent, j’en avais besoin. Je regardais le sol, les yeux à demi fermer, la vue trouble. Je ferma mon seul œil fonctionnel pour ne rien voir. Que du noir, parfois encore, je voyais trouble de cette œil, mais ce soir, rien.

« Pardon ... Haru … fis-je d’une toute petite voix, appelle moi Haru… »

« Va pas croire que je vais me grouiller. »

Je resta à le tenir à califourchon sur moi, jouant toujours autant avec mes doigts à titiller son gland. Un suçon apparaissant à côté de l'autre. Si il croyait franchement que j'allais déjà le pénétrer, il se mettait le doigt dans l'oeil. Je me décida finalement par retirer son pantalon de mon autre main et appuya longuement sur son gland. Tout, j'aimais arracher les cris, arracher les gémissements. Je n'étais pas non plus un idiot de première ou un gros pervers, je cherchais juste à m'exciter. Mon sang rempli d'alcool, contrairement aux autres personnes, ralentissait mon niveau d'excitation.

« Franchement. Jamais eu un mec aussi facile à chauffer. »
« Un vieux m’est passé dessus avant ! Il m’a pas laissé finir de jouir ! Tu comprends ça ? J’en ai super mal ! T’es comme lui … Vous êtes tous pareil, tous des monstres ! J’ai pas eu le choix quand j’ai choisit ce métier la ! »

Il .. avait versé une larme ? Je soupira longuement en le regardant d'un air ennuyé. Non, jure, je savais déjà qu'il avait eu quelqu'un avant. Comme si je ne le savais pas. Non mais, j'avais que ça a faire. Cette voix aiguë, elle me donnait envie de rire mais je me ferais certainement insulté et je n'aurais donc pas le droit à ma partie de plaisir. En attendant qu'il recommence à parler, je caressa sa verge à travers le boxer et le serra un peu plus contre mon torse.

« Pardon ... Haru … appelle moi Haru… »
« Euh .. ok. »

Je soupira longuement et passa ma main sous son boxer, caressant tout d'abord sa verge sans toucher au gland. Je cherchais à le frustrer. Oh oui. Ma main serra un peu plus son membre en érection pendant que je commença à retirer sa chemise pour être plus tranquille. Lui, en boxer et moi encore habillé. Je retira très calmement mes mains pour déboutonner ma chemise et remit calmement ce Haru en place. Ses fesses sur mon membre en érection. Je voulais tout lui faire arracher, tout. Ma main repassant sur l'élastique de son boxer, je lui titilla une nouvelle fois l'un de ses tétons et commença lentement à baisser ce tissu qui couvrait sa partie.

« Sasha pour ma part. »

Restons un minimum poli après tout. Si il me l'avait donné, autant le donner en retour hein ? Je laissa le boxer glisser à son tour par terre et écarta les jambes pour écartes celles du beau brun. Mes mains passant sur son membre et le caressant de haut en bas, appuyant un peu sur son gland de temps à autres. L'une des mains quitta le ''balai'' pour mettre faire entrer mon index et mon majeur dans la bouche de Haru. Une fois bien mouillés, je laissa mes doigts glisser le long de son torse, titiller une nouvelle fois ses tétons et finir le chemin en caressant son entrée. Je voulais le rendre dingue, le faire crier de toutes ses forces par le plaisir.
L'alcool me faisait toujours effet au niveau du corps, ce qui faisait que je paraissais moins excité que je ne l'étais en vrai. Jouir jouir. Je venais de me donner ce pari, le faire jouir maintenant pour ensuite le pénétrer. Oh. Ce serait bien drôle.

« Eh mec, j'te laisse finir de jouir alors calme-toi. »

Mon visage était en feu, j'étais excité mentalement et je pensais déjà à faire d'autres chose. Mais c'était encore trop tôt. Déjà fallait que je le fasse jouir avant que moi-même je ne lâche et que je veuille le pénétrer. Mon index pénétra légèrement l'entrée encore chaude du garçon, me laissant légèrement refroidir l'intérieur de mes doigts encore froids.

« Mais combien de temps tu vas tenir hein ? »

« Euh .. ok. »

Il passa sa main en dessous du seul bout de tissus qui me restait sur le corps. Passant sa main sur le long de ma verge. J’en tremblais d’excitation, je ne savais plus quoi penser… Que cherchait-il as faire ? J’avais rarement eu des clients aussi indescriptibles que lui. Il me serrait, je ne comprenais pas sa façon de faire. Mais … ça faisais du bien, le contact me soulageais un peu. Je grognai presque quand il me lâchait pour retirer sa chemise, moi toujours les deux mains sur la porte du cabinet pour ne pas trop glisser en avant… Je me rendais compte à quel point ces endroits était petit, je regardais un peu autour de moi, même le plafond. Il me replaça correctement, je pus sentir sous mes fesse son membre dur lui aussi, je ne pus que rougir à l’idée qu’il le mettrait surement bientôt en moi, quand il aurait fini de jouer. Je commençais lentement à me détendre… Il continuait à jouait avec mes tétons, tout en commençant à baiser mon boxer.

« Sasha pour ma part. »

Sasha ?... Joli prénom… Je fermais lentement les yeux en acceptant ce qu’il me faisait, bien décider à me laisser aller pour que ce soit plus rapide. Mon boxer glissa par terre, j’avais un peu honte de le faire dans les toilettes, c’était une première… Ses jambes s’écartèrent pour que les miennes suivent, j’en rougis, on aurait dit qu’il me prenait pour une fille que l’on allait pénétrée par derrière … Tsss… Il commençait à appuyais sur mon gland, je ne retenais point mes gémissement… Aigue et bien excitant. Deux de ces doigt vinrent se glisser dans ma bouche d’où la bave commençait à couler, je me plaquai un peu plus le dos contre lui, lui suçotant un peu, je savais bien qu’il les volait humides. Ces doigts humide glissèrent sur mon torse, je les regardais, les suivait des yeux pour voir ce qu’il voulait en faire. Il jouait … Mais je continuai de gémir comme une donzelle. Il passa ses doigts dans mon dos, je savais très bien ce qu’il allait faire, je me préparais mentalement. Il commença a me caresser, encore chaud d’il y a une heure, je gémissais déjà plus fort aux doux contacts de ses doigt. Oh, Sasha, pourquoi me faire tant languir ?...

« Eh mec, j'te laisse finir de jouir alors calme-toi. »

Ah … Au moins, il avait une âme et un cœur, lui. Sn index pénétra doucement et légèrement en moi, c’était un supplice, un couinement de plaisir sortit de ma bouche avant que je ne ferme l’une de mes mains en point pour donner des coups sur la porte. Ma tête à moitié dans le vide, je vu une goutte de ma propre sueur tomber sur le sol, tout en continuant de gémir… ses doigts était froid, ça me faisais un bien pas possible.

« Mais combien de temps tu vas tenir hein ? »

Je lâchais un joli rire cristallin en m’essuyant le front.

« Si tu veux mon avis, pas longtemps… Je serais pas étonné si t’arrive à me faire jouir deux fois… »

Ayé, je disais n’importe quoi, glissant légèrement de ces jambes, son doit bougea donc un peu de lui-même et me fis gémir encore plus, je n’étais pas loin de cri de bonheur. Qu’il bouge son doigt, et je serais conquis, je souillerais la porte de ma semence, et il aurait tout loisir de continuer.

« Eh mec, j'te laisse finir de jouir alors calme-toi. »

Mon regard pervers ne pouvais le quitter des yeux. Il languissait déjà à m'attendre pendant que je caressais doucement son entrée. Qu'il n'allait pas ensuite me dire que je ne savais pas le faire ! J'avais eu cette habitude de le faire et ses gémissements ne m'excitaient que beaucoup plus. Je laissa finalement mon index le pénétrer avec une lenteur sans égale, j'aimais les faire attendre, les laisser à bout. C'était vraiment un régal de les voir de la sorte. Il commença rapidement à couiner et tapa la porte sous mon regard curieux. Pourquoi au juste ? Mes doigts froids qui caressaient les paroies de son entrée ne faisaient que m'exciter encore plus, la bosse se gonflant légèrement plus sous son fessier.

« Mais combien de temps tu vas tenir hein ? »
« Si tu veux mon avis, pas longtemps… Je serais pas étonné si t’arrive à me faire jouir deux fois… »

C'était bien ce que je voulais qu'il fasse. Jouir deux fois. En le voyant légèrement glisser, j'esquissa un sourire plus que provocant. Je le replaça correctement en rigolant légèrement et recommença mes caresses sur sa verge. Je bougea doucement mon doigt se trouvant en lui et enfonça ensuite mon majeur. Oh dieu que j'avais envie de le pénétrer, de le voir se cambrer de délice. J'accéléra finalement les choses en me retirant de lui et le souleva une nouvelle fois en le déposant contre le mur. Je lui sourit à pleines dents, le décoiffa rapidement en rigolant. Ayant espérer qu'il ait jouit entre-temps.
Je me déshabilla complétement en esquissant un sourire encore plus envoûteur qu'à mon habitude. Je le porta très calmement en rigolant faiblement et le pénétra violemment en l'asseyant sur mes genoux. Mes deux mains caressant en de mouvements secs et rapide sa verge. Je me cambra légèrement en sentant ses paroies se resserrer sur mon membre et l'enfonça un peu plus en lui. Moi-même je n'allais pas pouvoir tenir. Des gémissements m'atteignant, si je continuais ainsi, j'allais bien pouvoir jouir dans son oreille. Oh oui. Lui tuer les tympans de mon cri de plaisir. La semence que j'allais laisser en lui en complément de ces suçons. Si on m'avait un jour dit que je me retrouverais avec un si bon parti, je n'y aurais jamais cru. Je voulais bien avouer qu'il était bon pour la baise maintenant. Oui, je voulais l'avouer. Ses cheveux bruns bouclés, ses yeux bicolores, sa peau blâfatre. Tout pouvait charmer. Mais j'étais tout aussi charmant que lui à vrai dire, mon visage rouge par le plaisir contrastant avec ma peau pâle, mes cheveux d'une couleur châtain rouge tombant toujours autant sur mes yeux et des yeux asiatiques avec une couleur rouge sang .. sang pourri. Aha.

A peine une minute passa que je me cambra assez violemment, mon membre ne pouvant plus tenir, ses gémissements, tout me rendait plus que fou. Je lâcha un long râle de plaisir en donnant un violent cou à la verge de Haru, laissant couler ma semence en lui. Ma semence chaude, rare étaient ceux qui avaient réussi à me lâcher un jouïssement de la sorte. Oh oui. Rare. Quand je finis enfin de pousser ce cri, je le retira très lentement, espérant une nouvelle fois que lui aussi ait joui. Je le posa ensuite à terre le temps de m'habiller et me posta devant lui :

« De l'aide peut-être ? »

Je rigola faiblement, pris ses vêtements et les balança sur sa tête. Léchant mes doigts avec perversité.

« En espérant qu'on se revoie pour une autre partie de baise hein. »

Je passa sa chemise sur ses épaules, lui mit rapidement ses vêtements à la va vite comme un gosse et bailla faiblement. Au moins, j'étais calmé pour un moment. Moi et mes pulsions hein. Je passa une main dans mes cheveux et le porta très calmement. J'allais au moins le porter jusqu'au barman qui allait être mon collègue à partir de lundi hein. Je soupira faiblement en le portant en sac à patates. Comme si j'allais le porter en gonzelle hein. Faut pas croire.
Je sortis des chiottes, l'assit sur la chaise du bar et m'en alla aussitôt en ignorant le regard des autres. Haletant toujours autant.

« Bah putain. »

« Mais combien de temps tu vas tenir hein ? »
« Si tu veux mon avis, pas longtemps… Je serais pas étonné si t’arrive à me faire jouir deux fois… »

Il me replaçait correctement et m’arracha un gémissement de surprise. Il allait peut-être être rapide tout compte fais… Il continua ses caresses qui ne me fit que plus gémir, j’étais aux bords de la jouissance, trop tard, ça commençait même à couler. Son doigts bougea doucement en moins, me faisais crier de plaisir tout en donnant des coups de point sur le mur tellement j’avais honte. Son majeur s’enfonça en moi, je balançais la tête en arrière sous la vague de plaisir et de chaleur. Au bout de quelques minute, la chaleur était impossible ... Je jouis sans demande de retour, haletant quand il retira son doigt d’un coup sec, j’étais à bout et fatigué, mais je recommençais déjà à m’excité et durcir. Il me souleva, j’étais une vraie loque, complètement impossible de bouger. Une vrais poupée, complètement en sueur. Il me déposa contre le mur, je tenu par miracle sur mes jambes tremblante. Il me sourit en me décoiffant, j’en avais les joues en feu, et le cœur battant la chamade !
Il se déshabilla sous mes yeux, il était magnifique d’après ce que je pus voir… Il me portant, me mettant en position ‘assit dans le vide’, la position des soumis … Je senti sa verge me pénétré violement, sur le coup je ressentis une légère douleur qui m’arracha un cri, et fit passer ms bras autour de son cou pour poser mon menton sur son épaule, je lui gémirais dans l’oreille et il ferait de même pour moi… J’étais déjà de nouveau dure.
Au moins, il m’avait rassit sur lui … Je pouvais respirer un peu, j’étais en train de m’étouffer.
Me branlant tout en étant en moi … Oh dieu seul sait ce que j’aimais ça… Sans le vouloir, je me serais sur lui, serrant les dents et fermant les yeux. Je ne pus m’empêcher, en l’entendant gémir, d’aller lui voler des baisés dans le cou. Parfois, je me demandais ce qui attirait vraiment les clients chez moi … J’étais jeune, vif ? Mignon ?...
Une minute venait de s’écouler sous nos ébat, il se cambra et quelque millième de seconde après, je senti un liquide chaud se rependre en moins… Je jouis une seconde et dernière fois en m’agrippant à ses cheveux.

« Sashaaaaaah…. » Gémissais-je.

Il se retira lentement, je serais les fesses… Il me posa ensuite à terre, j’avais une vraie tête de drogué, de shooter, il avait réussi à me mettre dans un état déplorable… Quand je le regardais de nouveau, il était rahbiller.

« De l'aide peut-être ? »
« Hm.. »
Il balança mes vêtements sur ma tête, en rigolant…

« En espérant qu'on se revoie pour une autre partie de baise hein. »
Il me rhabilla même à la va vite, presser de ce débarrasser de moi pour ensuite me porter sur une des chaises du bar, je le regardais parti mon œil foutu fermer. Espérant ne plus le revoir .. Que dis-je ? J’en crevais d’envie …