Ce midi, je n’avais rien avalé….Mon estomac était resté vide tout au long de la journée. Je n’ai pas mangé de sucrerie, ni de sandwiches. Je ne suis même pas allée en ville pour commander un plat. Je ne savais pas quoi faire…C’était la première fois que je n’avais pas faim. Je suis restée dans ma chambre, en train de lire des mangas de cuisine. J’adorais lire ce genre de mangas, mais aussi j’aime lire les mangas d’amour, de basket, de challenge, de magie…Eh bien ils étaient varié. Mais mes préférés étaient ceux d’amour. En lisant mon mangas, il y avait de bels images…De gâteaux, de sucreries…Yam, ça me donnais l’eau à la bouche de les voir. C’est vrai que l’auteur les dessiner hyper bien. On dirait qu’ils étaient vrais.

Tout à coup, j’entendis un bruit bizarre…C’était la première fois que je l’entendais…Il venait de mon estomac. Alors je me suis dit que je commençais à avoir faim. Et bien, oui c’était ç,. Il ne fallait pas deux pour en discuter. Toutes ses images m’ont donné faim. Le problème, c’était la nuit et je ne pouvais pas aller en ville, car dehors, la nuit…Toute seule…Sa ne marchera pas. J’ai bien peur d’aller seule surtout la nuit.  Je commençais à réfléchir…Où aller?  Je ne le savais pas. Alors j’ai décidé d’aller me promener dans les couloirs, voir si je ne trouve pas un endroit où manger. Je posai mon livre fermé sur ma commode puis commença à marcher. La lune éclairait l’obscurité de la nuit. Je marchais sans rien dire. Soudain, je sentis que j’avais faim…Je voulais manger quelque chose. Une barre de chocolat m’aura suffit.  

Et si j’aller en cuisine ? Il y aura au moins là-bas quelques choses pour faire au moins un sandwiche.

Voilà ce que je me suis dite. J’ouvris la porte de la cuisine. Même si c’est en cachette, je voulais manger. Je savais cuisiner, mais puisque je voulais dormir après je devrais mieux manger quelque chose de léger. Alors, je commence à voir où se trouver les ingrédients et les ustensiles utiles dans ce genre de situation. Mais pour l’instant je ne trouvais rien….

Ce n’est pas facile de chercher des objets dans un endroit où on ne connaît rien. Des bruits se firent entendre dans le couloir à cause des grincements des placards. Je commençais à perdre patience et mon pauvre estomac avait faim.

J’avais enfin trouvé ce qui me manquait comme ingrédients et ustensiles de cuisines. Je pouvais me mettre donc au travail. Je commençais à couper les concombres, les tomates, mettre le fromage sur les tranches de pain…J’étais à fond dans ma recette, lorsque j’entendis le bruit de la porte qui s’ouvrait. J’avais sursauté, de peur, que la directrice me prenne la main dans le sac. Mais, lorsque je me retournai, je vis une jeune fille devant moi qui ne ressemblait pas à la directrice. Je la vis sourire de toutes ses dents. Je la trouver un peu bizarre mais je ne dit rien. Après quelques minutes elle parla et me dit :

« Hum .. T – Tu cherches quoi toi ? »

Tu cherche quoi toi? Ce n’est pas une manière de parler. Puis, de son accent j’ai remarqué qu’elle était étrangère. Je lui sourit, ricanna un peu puis dit :

Tu es surement étrangère.

J’avais arrêté ce que je faisais pour parler avec cette jeune fille que je ne connais même pas. C’était aussi l’occasion ou jamais de faire une nouvelle rencontre.

Ce n’était pas dans mon habitude rire des fautes des autres. Mais d’après son accent, elle était surement Anglaise. Eh oui, j’ai rencontré bien des Anglais en Amérique et j’adorai leur accent. Puis lorsqu’elle me hocha la tête, j’ai su qu’elle était étrangère. Voici un point de gagner. Je le vis regardait autour d’elle. Elle trouva une tablette de chocolat et commença à la manger. Je lui souris. Elle avait, on dirait, aussi faim que moi. Mais du chocolat n’adoucira pas sa faim. Puis, elle me dit qu’elle était Anglaise, alors j’avais raison sur toute la ligne.

Soudain, j’entendis des bruits de pas venant des couloirs. J’étais paniquée mais elle mit son doigt sur sa bouche pour me faire un signe de me taire. Puis elle alla doucement éteindre la lumière. Je trouvais se geste noble car si elle, elle avait vu la lumière de la cuisine, alors pourquoi pas la directrice. Puis, j’entendis les bruits de pas s’accélérer puis se dissiper pour atteindre un autre couloir. La personne était déjà loin. Alors, elle ralluma la lumière et me souris à pleine dents. Je lui souris à mon retour et lui dit en Anglais pour qu’elle me comprenne :

Thank you. You saved me.

Puis elle me dit son prénom et son nom. Amber Chelsy. C’était un joli prénom pour une jolie fille comme elle. Je lui souris puis lui dit :

Celeste Moon.

Puis, elle croqua à pleine dent son chocolat. Je lui souris et hocha de la tête pour sa question : « C’est trop bon !T’aimes ? »
Puis, je lui tandis mes sandwich. Rien de tel pour un plat de nuit. Ils étaient léger et devraient surement la rassasié. C’était pour l’instant, la première fille que je rencontre. Et au lieu de se moquer de moi, elle m'a au contraire aidé. Je la trouvé une fille chic. Je pensais qu’on allait devenir de bonnes amies. Enfin..Si elle voulait bien…

- Thank you. You saved me

Tant que ça ? Je lui sourit faiblement en secouant la tête pour dire que c'était faux et me présenta gentiment. Je lui demanda en retour son prénom qu'elle me donna aussitôt :

- Celeste Moon.

Un prénom qui lui allait bien. Qu'est-ce qu'elle avait de la chance ! Je croqua une nouvelle fois dans ma tablette de chocolat en trouvant cela vraiment bon et lui demanda si elle aimait. J'étais du genre à faire des questions simples et à parler sur un ton enjoué malgré l'ambiance de la soirée. J'avais toujours été comme ça et j'espérais ne jamais changer. Non pas que ce serait nul mais parce-que je passerai mon temps à déprimer assez longuement.
Mon regard se dévia rapidement sur les sandwich avec gourmandise et je déposa en vitesse la tablette de chocolat sur la table. Je les prit en étant émerveillée et lui sourit à pleines dents en guise de remerciement. Elle savait cuisiner ! Moi, je cuisinais comme un pied. Je savais faire les sandwichs mais très très simplement. Alors quand quelqu'un cuisinait ou quand on m'offrait quelque chose, je ne pouvais pas m'empêcher d'être émerveillée :

« Thank you ! »

C'était bien la première fille que je voyais et elle me paraîssait déjà gentille. Je l'aimais bien. Elle m'était si sympathique ! Depuis toute petite, j'avais eu l'habitude de me faire rejeter. J'étais un rejet pour les filles à cause de ma bonne humeur et de ma simplicité. Toutes, elles me disaient toutes que je devais m'habiller noblement, faire fière allure à mes parents, avoir de bonnes manières. Mais j'avais beau les écouter, elles continuaient et continuaient. C'était donc comme ça que je me retrouvais toujours seule, à être au fond de la classe et à essayer de suivre les cours. Je n'avais pas le droit de parler aux garçons pour ne pas avoir de mauvaises réputations et les filles me rejetaient. J'étais comme ça et je m'y étais habituée.

« Oh ! Hum .. hum .. tu .. quelle classe ? »

Je ne savais pas si ce que je disais étais bien dit mais elle me pardonnerait sûrement en sachant que j'étais étrangère. Je fabriquais mes propres excuses .. ah, je commençais à me trouver de plus en plus banale en mon genre. Peut-être que je devenais comme ces filles. Oui, sûrement.

J’étais contente de l’avoir rencontré. Elle sembla être une fille gentille avec laquelle je pourrais me lier d’amitié. C’est vrai que je n’avais pas beaucoup d’amis, alors ma chance était peut être arrivée. Elle semblait être contente car elle souriait à pleine dent. Mais elle semblait être fatiguée et couru toute la journée. Du moins c’est ce que j’ai conclu de ses habits et de ses cheveux. Mais je n’y prêtais pas beaucoup d’attention car l’important ce n’était pas l’apparence de la personne mais ces sentiments et son caractère.

Elle semblait apprécier la friandise, tout comme moi. Lorsque je lui ai montré mes sandwichs elle mit sa tablette de chocolat de coté et fonça pour en manger. Sa se voyait qu’elle était gourmande. Au moins, on avait une chose en commun : La gourmandise. Mais, je ne pensais pas qu’elle les aurait appréciés surtout que j’avais la tête ailleurs. Mais j’avais l’habitude de cuisiner des sandwich lorsque j’avais faim, quand j’était petite. Mais d’après l’expression de son visage elle semblait les aimer. Mais vu que moi aussi j’avais faim, alors j’attaquai les sandwichs avec elle. Je me suis assise sur une chaise et lui avait montré une deuxième pour qu’elle puisse s’installer.

Pour l’instant je ne dit rien. C’était la première fois que je parlais à une fille et qu’elle ne me rejette pas. Je ne disais rien. Mais comme je l’ai déjà dit, elle paraissait gentille. Et le simple fait qu’elle a éteint la lumière pour qu’on ne nous voie pas en cuisine me la confirmer. J’étais contente de l’avoir connu. Je lui souriais. Je mangeais avec elle. Elle aussi me souriait. Je la trouver belle. C’est vrai, elle était mignonne. D’habitude les filles que je connaisse paraissaient pour joli mais en fait, elles ont un caractère de cochon. Mais elle, c’était différent. Après quelque minute, elle me dit :

Oh ! Hum .. hum .. tu .. quelle classe ?


Elle avait formulé la phrase incorrectement, mais je ne pouvais la plaindre puisqu’elle était étrangère. Et puis sa ne serai pas gentille de se moquer d’elle. Et puis je ne moquerai jamais de ce genre de situation vu que ça m’était arrivé, car lorsque j’étais en Amérique, je ne savais pas très bien parler l’anglais. Sa ma pris du temps…Les autres se moquaient de moi à chaque fois que je formulais une phrase incorrecte. Mais après quelques mois je me suis habitué à la langue et j’ai enfin réussis à la parler correctement. Puis je lui réponds en souriant :

Je suis en première année. Je suis nouvelle. Et toi?

comme je l'avais déjà dit, je ne me suis pas moqué de son mauvais français car avec l'anglais tout le monde avait rit de moi, et ça je ne pouvais le tolérer. Donc rire de quelqu'un d'autre qui a le même problème que moi serait d'une méchanceté incomparable. Au contraire, j'étais stupéfaite par son courage d'aprendre le français car être englaise et apprendre le français est bien plus difficile qu'être français et apprendre l'anglais. J'aimais bien son courage de continuer. Moi, j'avais mis des jours et des jours à ne pas parler. J'avais peur qu'ils ne se moquent à nouveau de moi. Mais heureusement que les profs étaient là car sans eux je ne saurai quoi faire.

Je finis enfin mes sandwichs. J'étais rassasiée et je ne pouvais rien avaler. Je lui souris puis je me leva pour faire la vaisselle et remettre tout en ordre puisqu'Ambe
r aussi avait fini et en plus semblait bien heureuse de m'avoir rencontré. Mais moi aussi j'étais heureuse car c'était la première fille que je rencontrais. Aprés avoir fini la vaisselle en quelques minutes (car j'avais l'habitude de faire la vaisselle), je vis que la jeune fille attacha ses cheveux qui semblai la gêné et pourtant je ne savais pas pourquoi. Elle était bien plus belle avec des cheveux ondulé sur son cou et qui arrivaient sur la moitier de son dos. Moi j'aimait bien démeler mes cheveux mais ils étaient trop long... Ils arrivaient jusqu'à derriére mon dos. Je les garde donc coiffé en queue de cheval sauf pour les cérémonies et réceptions. Je ne lui dit rien. Je ne voulais pas la gênée.

Aprés lui avoir dit ma réponse, je la vis penché sa tête comme si elle pensait à quelque chose, ou plutot comme si elle réfléchissait. Et aprés un moment, je la vis rire nerveusement. Mais pourquoi riait-elle? J'étais à mon tour gênée et mes joues prirent une faible couleur rosée.

Il s'était écoulé bien des minutes et pour l'instant je n'entendis pas sa réponse... A croire qu'elle était plongée vaguement dans ses souvenirs. Mais je ne dit rien et continuais à l'attendre. Aprés quelques minutes, elle se décida enfin à me répondre. Au moins, elle s'est excusée.

Après avoir entendu sa réponse, je la vis prendre sa tablette, me souriait à pleine dents, puis croqua dans celle ci. Je lui souris à nouveau. Je vis des sucettes sur la table. J'en pris une. Yammmm c'était au gout de fraise et vanille. Mon parfum de sucette préféré. Puis je la vis réeteindre la lumière. On dirait que la personne était revenu dans le couloir.C'était le noir complet....aie....j'avais peur du noir. Je mettais accroché à la chemise d'amber comme effrayée. Puis j'entendis les bruits de pas se dissiper. Je ralluma la porte et dit:

Ouff.... J'ai eu peur... Je crois que le mieux c'es de partir...

je lui souris puis dit:

Ravis d'avoir fait ta connaissance Amber