Avait en fait posé un clone de lui même et du pot de nutella (les gens y a 10 000 ans avaient ce pouvoir là) et est déjà parti ce faire réchauffer la peau des fesses à Madagascar.

Aujourd'hui mon père est venu me voir pour me dire qu'on partait en vacance à Madagascar, je n'ai pas compris pourquoi il voulait m'y conduire avec lui d'habitude il m'évite comme la peste enfin il doit sans doute essayer de faire bonne impression chez une famille de riche avec qui il veut faire affaire. Je ne rechigne donc pas à l'accompagner de toute manière même si j'aurais refusé, je sais très que j'aurais été obligé d'y aller et de plus cela me fera un peu des vacances loin de mes pensées les plus sombres. Je me promenais dans les rues de cette île quand je croisa un garçon roux avec un pot de nutella, j'avais déjà perdu le mien à plusieurs reprise, alors je le fis trébucher et je ramassa le pot de chocolat me sauvant dans l'hôtel pour le manger sur des tartines de pain

La mine déconfite pour avoir obtenu un clone de l'autre roux et de son pot de nutella, je pleure.
Pour me réconforter, Stalone mon ami me propose d'aller boire un verre dans son hôtel 5 étoiles.
Mais qui vois-je assise au comptoir? La jolie brune aux cheveux longs à qui je pique TOUJOURS son pot de nutella.
Est-ce le destin?
Je viens nonchalamment vers la demoiselle et subtilise avec des gestes de prestidigitateur son pot de nutella...et ses tartines. Puis toujours avec mes talents de prestidigitateur, je m'éclipse discretos et fonce me cacher dans une baignoire au fin fond d'une chambre au dernier étage de l’hôtel.
Cette fois je boufferais ce pot de nutella!

Crétin de roux qui pue la carotte moisi, je me mets à courir après lui pour le voir rentrer dans une chambre du dernier étage, je rentre à l'intérieur et je le trouve dans une baignoire pour détourner son attention je lui montre ma jolie paire de seins et je lui reprend mon peau de nutella pour finir par me sauver ou personne me trouvera en dessous de mon lit dans ma chambre d'hôtel, très bien fermer à clé

Je me baladais tout à fait innoncentement avec mon bazooka dans les couloirs comme une personne normal quand soudai. Une mouche cru malin de venir m'embêter avec ses bruits incessant.
Bien sur, je ne comprenais pas son language mais vu qu'elle essayait toujours de se rapprocher de moi, j'en jugeai que c'était une de ces mouches chargé de faire passer des prospectus. Je tenta alors de l'en dissuader en le menaçant avec mon arme mais la mouche montré un courage incroyable en continuant à insister. Je tira un coup dans le vide mais rien n'y faisait, elle n'avait pas peur et continuait.
Vite, je commençais à en avoir marre et je me décida alors de passer au concret. Je me mis alors en tête de lui faire un trou dans la tête, ce qui s'avérer difficile vu mon arme et sa taille, mais j'étais pris par l'euphorie. Les bruits d'explosion à chaque impact produsait un bruit sourd alors que je tirai un peu partout, surpris par l'habilité de cette mouche pour éviter mes projectiles.
Le reste des évènements me sont un peu flou. Je me rappel d'avoir entendu des cries de désespoirs un peu partout et des gens crié qu'il y avait un type fou dans les couloirs, sûrement fautif des cries que j'entendais. Puis là, l'habile mouche me fit tirer sur le plafond au dessus de moi et avant même que je puisse mon rendre compte, j'étais assomé par les débris tombé sur moi. À mon réveil, je cru voir un véritable champ de bataille tant le couloir auparavant soigné de l'hôtel ne ressemblait plus à rien, des murs explosé, du feu partout et des cadavres en masse. J'ai surement éviter ce massacre de justesse en étant assomé mais je remarqua alors une brochure dans ma poche déposé par la mouche, me rappelant mes problèmes.
Elle m'avait eu, cette satané mouche et me voilà avec ses brochures pour le festival des trois moustiquaires.

Je soupira... Que faire ? Je sentit mon ventre gargouiller. Je ne pouvais réfléchir le ventre vide. Il me fallait manger. Je regarda autour de moi et par le plus grand des hasards, je voyais un mur complètement explosé, et plus loin derrière, un lit retourné et brûlé, une brune sonné à côté et un pot de nutella intact. J'en profita alors pour récuperer ce pot, et je quitta l'hôtel en sautant par la fenêtre, atterissant dans les poubelles. J'avais mal calculé le coup, et alors que je reprenais mes esprits siite à cette chute, je ne vis pas mon pot commencer à rouler ź terre et s'approcher dangereusement de la route, comme s"il tentait de profiter de l'occassion pour mettre fin à ses jours..

Je ne sais pas ce qui c'est passé, mais je me suis retrouvée assommer par des gravats de murs. Enfin j'ai eu de la chance, je suis toujours vivante. Mais cela n'est pas le pire, je ne vois plus mon pot de nutella, je relève donc ma tête pour m'apercevoir qu'un idiot a fait tomber mon bébé sur la route. Je vais pour le remasser quand une voiture l'écrase et le casse en milles morceaux. Je pleure, j'avais tellement fait de chemins pour avoir ce chocolat que je le considérais comme quelque chose de précieux, alors pour me consoler de cette perte, je vais dans une boutique pour m'en racheter un nouveau et cette fois je mets directement une cuillère dedans et je suis prête pour le manger.

Hélas, hélas. Je n'avais pas pu sauver ce pauvre et valeureux pot de nutella. Je le connaissais à peine, mais je sentais déjà que c'était un grand qui avait quitter ce monde, un peu trop tôt. Je ressenti comme une sensation de vide, en moi. Comme si, sans ce pot, la vie n'était plus pareil. Comme si je n'avais plus aucune envie de poursuivre dans ce monde. Quel injustice ! Pourquoi ? Pourquoi ce sont toujours les meilleurs qui nous quitte les premier ? J'étais abattu, à genoux à terre. Je frappais du poings, de rage, à terre; gueulant sur les passants "Pourquoi ?! ". Ils me regardèrent l'air effrayés. Voyait-il, eux aussi, à quel point le monde est désormais vide de sens ? Comme je les comprend. A quoi bon ? Désormais, l'avenir se présentait bien grise et bien terne. Je comprenais le désespoir qui les embarrait. Je le ressentais aussi, ce vide en moi. Je me tenais d'ailleurs le ventre, en ressentant ce vide se manifester.... J'avais faim. Terriblement faim. Il fallait manger. La vie n'avait aucun sens si je ne mangeais pas. Alors, je me relevais et remarquer qu'une foule de monde me regardait, interrogateur. J'étais touché de voir qu'autant de monde se sentait concerné à propos de ma santé et je les rassurai en leur disant que je trouverai bien de quoi mangeait, avant de les quitter là.
Alors, je m'en allais, loin. Du moins, c'est ce que je comptais faire, avant de m'écrouler 5 mètres plus loin, mort de faim. Alors, je me mis à ramper héroïquement jusqu'à la première boutique, non loin de la rue. Je poussais, avec tout ce qu'il me restait de force, la porte de la boutique. Tin ton, la cloche sonnait pour signifier qu'un nouveau client était rentré. Je me mis assit, au milieu du rayon frais, pour commencer à réfléchir sur la situation. Pourquoi mettre une cloche ? A quoi ça sert ? Puis ce n'est même pas une cloche; j'ai bien regardé, il n'y en a pas. Je sais bien que c'est un bruit fait par ordinateur. Une cloche ne fait pas ce genre de bruit. Alors pourquoi un stratagème aussi élaboré ? Pourquoi mon ventre gargouille ? Y a-t-il un rapport avec la cloche qui n'en est pas une car il y en a pas ? Alors que je me torturai l'esprit avec des questions sans réponse, une vision d'horreur s'offrit devant mes pauvres yeux. Je voyais, là, au milieu de la boutique, une jeune fille brune tenant un pot de nutella. Si cela pouvait paraître une situation banale à premier regard; elle s'avéra être rapidement un crime qui se déroulait devant moi. Elle l'avait déshabillé, à la vue de tous, en retirant son couvercle. Et elle s'apprêtait à faire l'irréparable. Tenant une cuillère dans la main, elle était bien décidé à le planter là, sans aucune forme de pitié et de procès. Fébrile, je me relevais. La mort de l'autre pot de nutella me revenait immédiatement en tête. Je ne pouvais laisser un autre pot de nutella mourir sans rien faire. Le temps commençait à s'écouler au ralenti tandis que je criais non et courait au ralentie. Enfin, c'est ce que je pensais jusqu'à que je remarque que tout le monde continuait à se déplacer normalement et que la jeune fille avait déjà pris deux bouchés de nutella. Alors, je décidais d'emmerder les conventions cinématographique et reprit la vitesse réelle pour foncer vers la brune et lui prendre le pot de nutella des mains, dans un saut périlleux, bien qu'inutile en réalité, qui me fit passer quelques secondes plus tard à travers la vitrine de la boutique.
Ensanglanté, je ne perdais pas de temps et me relevais, bien qu'encore légèrement sonné, tenant fébrilement le nutella entre mes mains. "Ne me lâche pas. On va te sauver. Je te le promets" lui disais-je, alors que je voyais qu'il avait déjà beaucoup souffert, et écoutant que mon courage (ainsi que les menaces de mort du vendeur), je me précipitais en courant, sans m'arrêter, vers je ne sais où. Faut dire que j'avais encore plein de bout de verre planté dans ma peau, donc j'avais trop mal pour réfléchir. Puis, au bout de longues minutes de courses furieuse, je me retrouvais sur un pont, qui enjambait une belle et douce rivière. Là, je me rappelais que cela faisait longtemps que je n'étais pas aller à la piscine et une folle envie de me baigner me pris. Je remarquais que mon ami le pot de nutella m'accompagnait toujours et d'un air complice, je lui fis un sourire. Je savais qu'il pensait comme moi, et sans hésiter, nous nous élancions tout deux du haut du pont, afin d'exécuter une bombe parfaite *.* L'eau était bonne, honnêtement. C'était un pure plaisir. Je riais, m'amusait dans l'eau, tout heureux. Puis je me tournais vers mon ami le pot de nutella, pour échanger un mot de franche camaraderie. C'est alors là que je l'aperçu, luttait contre le courant, m'implorant de l'aider alors qu'il s'éloigner, petit à petit, loin de moi. Je mis du temps à comprendre ce qui passait, puis j'hurlais non, à nouveau. C'est alors que je me mis à nager, avec la ferme intention de sauver mon bon vieil ami le pot de nutella !