Pendant mes longues heures de libre je partais fuir le lycée à la recherche de nouvelles choses à apprendre, j'allais souvent au centre commercial et je choisissais une des nombreuses boutique, en évitant celles de fringues. Et j'allais découvrir des nouvelles choses, me cultiver sur l'inconnu, la nourriture, les boissons, les styles les goûts. Non en fait je vend du rêve là je cherche juste un boulot potable pour me payer des tickets, histoire de passer des vacances à la capitale, dans mon appartement bien vide et froid en ce moment.
J'avais donc pris l’initiative de trouver un job, cherchant des yeux un magasin plutôt sympa pas trop compliqué non plus, le restaurent chinois? Non on y mangeait des choses bizarre, les magasins de prêt à porter? Non plus je ne supporterai jamais de devoir conseiller une femme qui prendra quand même le haut ou la bas qui ne l'ira pas avec ou sans mon opinion. Je passai dans la galerie éclairé, je montais encore un escalator, voulant aller juste aux toilettes, il y avait un petite boutique, mais vraiment petite. Dans le coin un peu plus à l'ombre, j'entrais donc, une petite sonnette retentit mais personne n'était là.
J'observais les lieux, des grands étagères était rempli de disques, des années 70 à nos jours, soigneusement rangé dans un autre précis par artiste par date de parution. Un peu plus loin des instruments, une guitare posait contre le mur, une batterie qui prenait la poussière, des basses, des hauts parleurs, tout ranger correctement mais il y avait un grand vide. Tout près de la porte en revenant sur mes pas, il y avait une table et dessus était poser une caisse en métal et une calculatrice, qui servait sûrement de caisse. J'allais poser ma main dessus pour voir si quelqu'un d'aussi imprudemment sera capable de laisser de l'argent à porter de tous, mais alors que je sentis à peine mes doigts sur le froid de l'objet, quelqu'un apparut de l'arrière de la boutique.
"BAS LES PATTES VOLEUR!" Il se posta devant moi, des baguettes de batteries en guise de menace, je relevai la main, et fit signe de baisser ses choses qui allaient me crever un oeil si il s'approchait de trop.
"Zeeeeen"