Cupidon Un jour, un homme croisa cette femme et son cœur battra
Ce joyeux marin amoureux, pour elle tombera
Et suivra les pas jusqu'à son cœur avec détermination
Il lui vouera une belle et dévoué adoration
Qui lui fera perdre la raison
Elle est si belle pourquoi ne pas craquer
Devant une si grande et louable beauté
Impossible même de penser
A l'idée même de ne plus la regarder
Il sera alors atteint de folie
Respirera et sentira le désir monter en lui
Pourquoi ne pas la rejoindre dans son lit
Elle semble le vouloir aussi
« Mon beau marin vient ici, Cupidon à touché mon cœur
vient , vient seul toi pourra apaisé la plupart de mes malheurs
Laisse moi enlacer ton âme et guérir toute tes douleurs
Mon beau marin laisse moi devenir ta compagne dans toute tes humeurs »
L'opium des lèvres de la belle l'attendent
Il plonge à corps perdu dans l'abysse, il se détend
Et demain à la fin de la tempête
Son cadavre noyé caressera les rives de la Crète
VenusNoir abysse secrète m'appelle depuis mon sommeil
Vague d'un bleu roi d'écume réveille
Ceci est le calme avant la tempête
Sur le rivage doux et mousseux de Crète
Une dame au yeux cristallin
Attendait un homme chaque matin
Ce vaillant garçon était marin
Et partait bientôt pour la belle Santorin
Lui portait les yeux vert d'algues profonde
D'une opacité flagrante tel le monde
Et l'horizon orangé qui plaisait à leur amour
Les accompagné de rose et de douceurs chaque jours
Rouge est le danger mais aucun ne le voyaient
Car leur amour était loin d'être accepté
Et le père dans sa grande méchanceté
Envoya son beau fils à son décès.
La violette muse de l'océan l'en avait privé
Et laissait la bien aimé sans son chevalier
Et dans son désarroi la pauvre sauta
A la gorge du géniteur et lui en retira les droits
Jaune le cercle solaire se couchait
Sur ce sombre parricide dont ces mains coulait
Et la mer dans son infini bonté
Lui proposa ces bras et ces pieds
Pour faire d'elle un de ces enfants
Une sirène qui pourra chanté en dansant
La gloire de celle qui avant lui avait pris son amant
ZeusPour ce père inquiet pour son enfant
Une mère décédé l'attendait patiemment
Glorifié la beauté de son aimée descendant
Une antique colère le dévorait
Et sa fille à qui la vue lui manquait
Restait dans la dangereuse ville et jamais ne rentrait
Quand enfin il la retrouva dans les ruelles sombres
Elle était liée au bras d'un marin peu respecté et il gronde
Impossible que cela soit il devint ombre
Machinant de mauvais dessin, il conseilla avec bonté un nouveau chemin
Qui conduisit alors le marin vers les rives de Saturin
Et il périt alors en ayant perdu son seul destin
Qu'elle fut sa joie quand il l'apprit
Mais ce ne fut pas le cas pour celle-ci
Qui dramatiquement ce jour la lui ôta la vie
Vidé de son oxygène et de sa gaieté
Marqué par les mains de son meurtrier
Son quotidien s'effaçait comme un rien
Le fil des minutes et le fil de sa vie devint brun
Son cadavre durcit dans ces bras
Amena l'enfant dans ceux de la mer et son aura
A la mort qui enfin les réunira
Eros Ce marin, Hélios était son nom
Arriva sur son bateau
Avec quelque matelots
Une nouvelle vie pour lui changea de ton
Il prit pied a Théra, la ville incliné
Port dans la haute falaise figé
Couverte de lierre et de pierre blanche
Elle gouverne son rivage couverte de branche
Puis au crépuscule il croisa au détroit d'une ruelle
Les yeux cristallins de la brune et belle
Fille du commissaire de la ville de tous les rêves
Père et roi de sa bien aimée il s'éprit de ces lèvres
Il les toucha et les désira plus encore.
Avec ces caresses elle le voit, et l'adore
Malgré une cécité naissante elle regarde pour la première fois
Et croit de tous sont cœur en cette passion hors-la-loi.
Son père, alors qu'il croyait digne de confiance cette homme
Lui demanda d'aller vers l'île de Saturin puis de se diriger vers Rome
Il croisa là une tempête, une sombre dame triton
Qui le charma par son regards et de nombreuse chansons
Il tomba dans l'abysse pour caresser ces chaires
Puis avant que l'eau n'emplisse ces poumons sans airs
Le gantelet noir de l'amour réveilla son cœur
Qui écrouler sur les rives de la Crète aperçu son sauveur
Elle le mena vers sa bien aimée
Qui c'était donné la mort sans l'avoir touché
Et qui avait ôter la vie de son père détesté
Elle dit alors: «Je suis la veuve noir, celle qui vous pleure tous,
Son âme fera partis de la mer mon enfant ,
car son corps est devenu pierre
et réside maintenant dans l'abysse de l'océan.
Ne pleure pas, Hélios tu régnera avec elle
Car je te fixerai dans le ciel pour observait ces ailes
Parcourant le monde et le temps,
vous serez le couple qui nous porte en tous moment »