New York , 19h00 quartier riche. Club 21.

Cela fais des semaines que je recherche le derniers contrat , pour pouvoir enfin construire cette satané tour , qui serait un apport énorme en argent. J'avais eu les 5 premiers facilement , chantage , argent , menace, meurtre. Facile vraiment mais le 6ème était comme qui dirait indisponible. Dans les mains d'un homme d'affaire très populaire qui avait de grande chance de devenir sénateur. C'était la grosse merde, il ne voulait pas me donner ce foutu contrat sur la dernière parcelle de terre qu'il me faut qui lui appartient. FORCEMENT ce ne pouvais être que lui. Mais je n'abandonnais pas, je n'abandonne jamais. Cela en allait de mon statut en tant que chef. J'avais après tout pris la place de mon grand père , qui se repose maintenant dans une villa en Italie. Il avait été facile de renfloué les comptes , et payer facilement les dettes. Mais je ne pouvais accepté que mon meilleurs projet soit stoppé par un politiciens a la noix. Son nom ? Euh Shin ou un truc plus long mais tout le monde l'appelle Shin. Shin qu'elle nom bizarre , c'est pas comme si le miens était tout à fait normal , mais dans le milieux je ne porte même plus ce nom. On m'appelle Constantin , même si ce n'est pas mon vrais nom. C'est plus sûr de porter un faux nom.
Ce n'est pas comme si le smoking était le propre du gangster car pour ne mentir a personne je déteste ça. Mais pour paraitre plus... comment dire Sobre ? Professionnel ? Il fallait porter le costume. Noir de préférence. Après tous dans ce monde il fallait être classe jusqu'au bout des ongles , se méfier autant de ses amis que de ses ennemis. Tuer avant de se faire tuer. Dans ce genre de boulot , le fusil est bien le meilleur amis, il est fidèle et ne peut pas mentir lui. Mais même en sortant de la voiture j'étais toujours accompagné de garde du corps. Je ne me baladais pas avec des cigares hors de prix d'une taille outrageante dans la bouche je me contentais d'une cigarette, c'était surtout à cause de mon habituel ennuis dans la voiture. On n'a jamais dit que les limousines était amusante.
Le club 21 est apparemment l'endroit ou monsieur se terre. Je n'ai pas vraiment hâte, surtout que pour le moment je ne sais pas trop quoi lui dire. Je ne m'étais pas mis sur mon 31 pour le club 21 , ok elle est nul mais je n'avais pas envie de l'impressionner j'avais juste mis un costume , et vraiment pas le plus beau , je n'avais pas mis de cache-œil " trop la flemme " même pas de bandage. Ma mèche sur mon œil faisait largement l'affaire. Parce que cette méchante cicatrice ne plaisait pas à tout le monde. Arrivé a l'intérieur une troupe de garde se posta devant moi. Me demandant , un de tout mais je ne répondis pas , mes gardes le firent à ma place. Je vis un visage plutôt fin et au cheveux d'ébène m'observer. Grand , plus grand que moi encore une fois, un peu comme tout les hommes de cette terre! Je n'aimais pas vraiment son regard il était louche, il était entouré de plusieurs jeune et jolie fille a la poitrine débordante , à la chevelure dense et au maquillage de pétasse. Le genre de fille que je n'aime pas quoi. Lui il était vraiment sur son 31, Il avait les jambes croisait et feignais le désintéressement au vue des gloussements insupportable des " catins " l'accompagnant. Je n'aime pas les filles superficiels qui prennent des poses outrageuse et agaçante , qui se maquille tel des putes et qui sont terriblement conne. Mon dieu que je les déteste.
Il ne prit même pas la peine de se lever pour me saluer , il resta là à me dévisager. Quoi , mais qu'est ce qu'il regardait comme ça ?!

- Arrêtez de me dévisager comme ça , c'est désagréable. Je restais dans la limite du raisonnable je n'avais vraiment pas envie de m'énerver pour si peu. Il avait un regard arrogant. Je n'aimais vraiment pas ça.

- Pourquoi ? Je ne fais qu'admirer vos yeux.

Il fit signe a ses gardes du corps de partir et au fille aussi , me fit signe à moi de m'asseoir sur la chaise en face de lui , alors lui il avait le droit au fauteuil et moi à la chaise de merde c'est ça ? Mes gardes firent de même et on se retrouva en tête a tête.

- Je sais que vous êtes ici , pour le contrat sur les quelques hectares qui m'appartienne mais ils ne se vendent pas. Alors je ne vous les donnerai pas. C'est en tout cas ce que je pensais avant de vous voir. Maintenant je veux bien le vendre.

- Mais ?

- Mais à une seule conditions.

- Laquelle ?

- Vous et moi toute la nuit , ensemble sans vêtement si possible.

J'étais plus ou moins choqué je n'allais tout de même pas me prostituer pour quelques hectares! Mais après mûre réflexion ce n'était pas pour quelques hectares mais pour plusieurs millions de dollars. Avait-je vraiment le choix , je pourrais le construire avec les 5 mais le 6 est au beau milieu des terrains que j'ai déjà, en faite je n'avais pas du tout le choix. Mais je me leva , têtu comme je l'étais je ne pouvais vraiment pas accepter , et pour lui faire payer sa perversité je posa discrètement mais assez fort mon pied sur ces bijoux de famille. Il fait une grimace plutôt amusante je l'attrapa alors par la cravate le fusillant du regard:
- Je l’achèterai avec de l'argent et non avec mon corps.

- L'argent ne peut ... pas tous acheter, dit t-il en grimaçant de douleur. De toute manière ou tu couche avec moi , ou tu pars bredouille et adieu ton beau projet.

Il avait malheureusement raison , j’appuyai une dernière fois pour lui faire encore un peu mal et retourna m'asseoir. Il soupira , content de ne plus subir tant de violence et me fixa. Me dévorant des yeux comme une vulgaire pute faisant le trottoir. J'étais dégouté je m'avouer alors vaincu.

- Très bien , une seul et unique soirée , une seule.

- Alors allons y.

- Quoi là maintenant ?!

- Oui là maintenant.

J'allais donc passer à la casserole , là , tout de suite.

Je me sentais vraiment mal à l'aise dans l'ascenseur, surement parce que je ne l'avais jamais fait avec une homme. Je m'attendais pas à le faire à vrais dire. Surtout parce que je ne l'avais jamais fait , je n'aimais pas me faire décontenancer par les événements , et là je ne savais vraiment pas à quoi m'attendre. Son sourire était vraiment, indescriptible , je ne savais même pas pourquoi il souriait. Il ne pipa mot pendant tout le trajet jusqu'à ça chambre, quand il ouvrit la porte je sentis que la force qui m'avais fait avancer jusque là avait fui comme un lâche. J'aurai pu entrer prendre le contrat sur la table , me barrer en courant mais les gardes posté devant l'ascenseur et l'escalier m'aurait choper et il est hors de question que je passe par la fenêtre du 50ème étages. Et dés qu'il m'aurait attrapé , après m'avoir frappé il m'aurai violé. Si c'est pour passer a la moulinette autant que je soit consentant.

Quand il ferma la porte et qu'il me plaqua contre le mur je me rendis compte à qu'elle point j'étais petit. De sa hauteur il me dominait facilement puis sans prévenir pressa son genoux assez fort entre mes deux jambes. Je grimaça de douleur et lui tout sourire fière de sa vengeance, passa sa langue dans mon cou caressant ma nuque avec ces longs et fins doigts. Mon smoking n'avait pas l'air d'être une rempart assez conséquente pour lui résister. A moitié nue en quelque seconde il s'arrêta, m'observant sous tous les angles. Mon torse assez musclé , ma peau laiteuse.
L'objet d'une trop grande attention moi je dit. Il me balança presque sur le lit , et se mit torse nu à son tour.

- Ne t’inquiète pas , je ne serai pas trop méchant.

Il m'enleva presque de force mon pantalon et fit un sourire taquin a la vue de mon boxer que je lui défendu de toucher. Me léchant le torse comme si il était nappé de chocolat ou de miel , quand il me mordilla les tétons je me sentis si .... je ne sais pas mais au moment même ou je me sentais perdre la tête , j’attrapai l'oreiller derrière moi et lui mit sur le visage. Cachant tant bien que mal mon embarra.

- Mais qu'est-ce que tu fou ?

- Ne me regarde ... pas.

- T'est adorable en faite.

- Hein? Mais pas du tout.

Il retira l'oreiller avec une facilité déconcertante et m'embrassa ,doucement d'abord puis rapidement et langoureusement après , à la fin de ce si long baiser langoureux il me susurra à l'oreille.

- Enfaite tu me donne envie de te dévorer de la tête au pied.

Je craque , mon visage est vraiment tout rouge. Je ne peut pas m'arrêter de rougir. Au final je cède, je le laisse enlever mon boxer qu'auparavant je lui avait défendu de toucher. Il attrape dans son tiroir ce que je pense être du lubrifiant. En induis ces doigts que je regarde avec méfiance , sa mains droite caresse mes fesses , sa mains gauche caresse mon membre, je gémis faiblement , essayant de retenir tant bien que mal des bruits aussi honteux. Mais en pénétrant un doigt en moi il n'était plus question de les retenir. Je j'aimais tant bien que mal ce qu'il me faisait ,le plaisir que je prenais semblait partageais. Puis il introduit deux doigts qu'il mis en mouvement beaucoup plus rapidement. Mon corps , en feu ne pouvait que répondre à tant de plaisir. Quand il stoppa toute activité et qu'il attrapa un glaçons dans un verre j'étais nue , avec une respiration dansante tout comme mon cœur qui semblait danser un tango . Il passa lentement le glaçons sur mon torse ce qui provoqua en moi des frissons incontrôlés. La chaleur de mon corps fit fondre assez vite le glaçon puis il baissa son pantalon et son boxer pour rendre plus rouges mes joues qu'il l'était déjà. C'était grand droit et dur. Il avait remarqué que j'étais septique vue la taille.

- Oh t’inquiète pas pour sa je vais te faire pleurer comme une pucelle .

- C'est le cas crétin !

Il se mit à sourire attrapa mes deux jambes qu'il écarta doucement et me pénétra. J'avais mal mais moins mal que je le pensais. Je ne pu plus rien contrôler quand celui-ci accéléra le mouvement. Je gémissais si fort que je priais pour que seul lui puisse m'entendre. Je passais peu à peu du stade douleurs au stade plaisir. Plus ces mouvements se faisait rapide plus je jouissais. Il fallait que je serre quelque chose l'oreiller ne faisait plus l'affaire alors je jeta mon dévolu sur mon amant d'un soir qui m'embrassa , jouant avec ma langue comme avec une cuillère. Quand il sépara ces lèvres des miennes il murmura :

- C'est con mais je crois que j'ai eu le coup de foudre.

Je n'eus même pas le temps d'être surpris qu'il accéléra le mouvement repris possession de mes lèvres . Il garda cette même cadence pendant une dizaine de minutes , elle était si long pour moi , qu'au moment ou il céda et qu'il vint en moi je ne pu même pas épuisé ce qu'il me restait de corde vocale. Quand on sent un liquide s'échapper de soi je vous assure que c'est bizarre. Mais j'étais tellement fatigué que je me suis endormis.



Le lendemain , alors que le ciel semblait aussi morose que moi je me rendis compte que Shin celui avec qui j'avais couché hier n'avais pas arrêté de m'observer.

- J'ai vraiment le droit qu'à une seul nuit ?

- ..... Oui

- Dans ce cas les autres je les aurai moi même.

- .....................Fais comme tu veux.