Je me suis lever de mon lit et je regardais quel heure il était, il était déjà 8h00 j'étais donc en retard pour mon premier cour, je pris tout de même une douche rapide pus je m'habilla rapidement avec le même style vestimentaire que d'habitude, chemise de couleur bleu cette fois, et un pantalon classique noir et des chaussures classique de couleur noir aussi, je me coiffa rapidement les cheveux de sorte qu'il ne soit pas en bataille n'importe comment puis sortit de la chambre Toshiki devait surement être en cour.

J'arriva donc à la deuxième heure de mon cour, le prof me vu entrer mais ne dit rien, je pris simplement place à côté de ma voisine elle me fixa quelque seconde puis se remit à suivre le cour, c'était comme si elle voulait me dire quelque chose mais je ne savais pas quoi, je ne fis pas attention et essaya de comprendre ce que le professeur disait, il essayait simplement de faire comprendre à ses élèves une chose qui s'était passé en 40-45 quelque chose que tout le monde savait déjà, quelque chose d'ancien.

Je souffla doucement pour ne pas que l'on m'entend c'est incroyable comment les cours peut être aussi rasoir au début, je priais pour qu'il se passerait quelque chose d'intéressant, je ne pouvais pas rester dans cette classe.

Pitié qu'on me fasse passer un examen et que je passe encore d'une classe j'en ai marre je veux apprendre quelque chose d'intéressant

Heureusement l'heure était passé, il fallait maintenant laisser place au cour de math, des théorème déjà connu, des fonctions déjà apprise tout cela était déjà incruster dans ma tête déjà tout petit je m'étais dit que j'aurai besoin de se genre de chose, j'étudiais déjà au collège plus des choses de lycéen, je ne savais pas d'où me venais cette intelligence mais en tout cas mes parents ne voulait pas que je crève en étant bête, ils me forçaient à étudier d arrache pied même ce que je n'avais pas au collège des matières qui me dépassait complétement.

J'étais tellement dans mes pensés que le cour était fini, la sonnette retentit et c'était là l'heure de la récréation, je me leva rapidement de ma place et sortit de la pièce en allant rapidement dans la cour de récré, la bas je cherchait désespérément un banc de libre, je ne voulais pas qu'il soit non plus au soleil car je ne voulais pas vraiment bronzer et ressentir la chaleur de celui ci, malheureusement pour moi aucun banc n'était libre, je me suis dit qu'il devait y avoir surement trop d'élève qui avait penser comme moi et donc maintenant toute les places sont libre.

Je regardais alors autours de moi et vu prêt d'un arbre qu'il n y avais personne, je marcha rapidement pour aller vers cette endroit et heureusement personne y était arriver avant moi, je pris place sur l'herbe je ne pouvais pas me salir car j'étais habiller de sorte que l'on ne vois pas de saleté, en bleu et en noir, je ferma les yeux et attendit juste qu'il puisse résonner pour que l'on puisse finir les cours et rentrer à la maison.

J'avais l'impression que le temps était figer, je pouvais sentir une brise sur ma peau et je pouvais sentir la nature, évidement il y avait un arbre à côté de moi, je repensais soudain à mon passer si douloureux que je l'avais presque oublier, j'étais tellement presser qu'on soit à la moitié de l'année pour que je me dise enfin "Bon une moitié déjà passé" que j'avais oublier cette douleur au fond de moi, cette douleur d'avoir perdu ses parents que je n'aimais pas forcément mais surtout d'avoir perdu ma chère petite sœur...

Quand je repense à la fille que je pouvais être, je ne trouve rien : ni de passé , ni de parents , ni de famille, juste une amnésie qui continue à me torturer…Maintenant, je n’attends qu’une chose, que ces jours cauchemardesques se transforment en soirées de rêves , que ma vague roule et ne rencontre pas une qui est égale. Oui, je ne souhaite que deux choses : trouver le reflet de mon âme et être auguste mais surtout libre…Je savais que pour y arriver toute seule, il fallait grimper jusqu’au point le plus culminant de mon être mais j’ai quelque tristesse dans le cœur qui foule au pied tous mes rêves et désirs : Je suis dénué de mémoires et de souvenirs...

J’impute ma tentation de suicide qui m'a fait perdre la plus pure des joies : celle de se sentir aimée et d'avoir des mémoires.

La sonnette retentit avec force.Je relevai les yeux de mon livre, survolai la salle du regard pour constater que nous étions entrain d'apprendre quelques formules de mathématiques que je connaissais déjà. Bizarrement, J'avais fait suicider mes mémoires mais point mes connaissances et mon savoir. Ezil avait raison, j'étais probablement une fille très intelligente. Tout le prouve.

J'arpentai un long couloir qui s'étendait devant moi pendant que tout était familier pour moi tout en n'ayant qu'une envie : j’allais et revenais entre les grands espaces du lycée sans pouvoir trouver une place en abandon, où j’agirai en déesse de lieux pendant que tout le monde n’avait des yeux que pour moi comme si j'étais la fille la plus ensorcelante dans la ville. Oui, moi la fille si fétiche, que Ezil appelait depuis qu'il me connaissait « beauté désespérante » et qui vient de surgir de nulle part...La colère s'empara de moi et décidai d'aller ailleurs.

Arrivée , je me figeai dans ma place. Une nuée de lycées étaient dans la cour et aucun banc n'était libre ce qui me rendit encore ivre de colère. Je voulais être seule tant que personne ne voulait faire ma connaissance. Votre grâce Dieu ! Faîtes que mes yeux tombèrent sur une place vide. J'en avais absolument besoin vu que la lecture et la rêverie étaient pour moi des préoccupations qui réclamaient une inviolable solitude. En effet , je ne savais que trois choses sur moi : j'étais belle avec mes cheveux flamboyants, j'étais intelligente et J'aimais lire.

Ce fut le dénouement.
Un jeune homme très beau à voir passa devant moi à pas hâteux , comme si il essayait d'atteindre quelque chose de saillant et de précieux. Je le suivis des yeux jusqu'à reconnaître qu'il avait trouvé une place calme près d'un arbre. Cela m'indigna; il avait trouvé son repos en s'allongeant pendant que moi je suis restée là seule avec mon vœu stérile. Je me dirigeai vers lui et sans qu'il remarque ma présence, je m'assis un peu loin de lui , scrutant ses beaux traits singuliers pour une dizaine de minutes. Il avait les pensées ailleurs et puis je rétorquai tout en ayant un regard et un sourire malins :

- Je m'excuse mais j'avais vu cette place avant toi , c'est juste que mes pas me trahirent , tu voudras me faire une place à tes côtés ?

La honte. Qui aurait cru que j'utiliserai ces moyens si bas pour trouver le repos ?

J'étais réellement dans mes pensés, que je pensais que j'étais entrain de rêver, je pensais que ce qui se passait la tout de suite n'était qu'un rêve dont je ne voulais m'en réveiller, pourquoi ? Tout simplement parce que dans ce rêve là je pouvais être seul, je pouvais voir le ciel bleu avec ses nuages clairement blanc, d'un blanc si pur que le soleil ne pouvais s'empêcher de les illuminer, je ne pouvais rêver mieux, j'étais seul sur le toit d'un immeuble, personne n'était à mes côtés, rien que la solitude et les rayons du soleil qui touchait et venait réchauffer ma peau.

Tout à coup, je sentis quelque chose vibrer, c'était mon téléphone, je le sortis de ma poche et d'un coup le décore changea, je pouvais apercevoir au loin une voiture entrain de cramer et de fumer, je pouvais voir des lumières bleu et blanche illuminé la rue, j'étais désormais entrain de m'approcher et lorsque j'étais assez proche, je voyais le visage de mes parents ensuite je ne pouvais comprendre pourquoi mais le décors avait de nouveau changer, cette fois je vu le corps de ma petite soeur sur le sol, cette fois mon rêve se transformait en cauchemar, étais-je simplement dans mes pensés, ou alors est ce que je rêvais réellement, tout ce que je voulais moi c'était me réveiller désormais je n'avais qu'une envie, me réveiller et me lever pour voir que tout ceci n'est que le fruit de mon imagination, que tout ceci était du passé et que tout le monde était déjà mort que tout ceci c'était passé il y a 5 ans.

Tout à coup j'entendis une voix douce et féminine.

- Je m'excuse mais j'avais vu cette place avant toi , c'est juste que mes pas me trahirent , tu voudras me faire une place à tes côtés ?

Cette voix je ne l'avais jamais entendu, mais je pouvais sentir la chaleur et la douceur de celle qui avait parler, cela me fis tout de même peur qu'une personne s'approche aussi près de moi, j'ouvris rapidement les yeux et me tourna vers la jeune fille, elle venais de dire que cette place avait été vu par elle avant moi, comment était-ce possible vu qu'il n'y avais personne, elle enchaina ensuite par dire qu'elle avait marcher trop lentement et qu'elle voulais que je lui fis une place.

Je fixa la jeune fille aux yeux dorées, une couleur de yeux que je n'avais jamais vu, elle m'intimidait d'une certaine manière, ses cheveux rosés presque comme celle de Reina sauf que les siens était tout simplement long et magnifique, je ne savais pas ce qu'était ce sentiment de nostalgie qui me parcourait, je ne savais pas ce qui était entrain de m'arriver mais d'un coup, je pensa à une chose, la jeune fille ne m'avais vu qu'avec les yeux fermer donc qu'est ce qu'elle dirais en voyant ses yeux vairons, il se retourna directement dans le sens opposé de la jeune fille.

-Euh... B..ien sur mais pourquoi ici alors qu'il y a d'autre place près d'autre arbre ? ...

Je ne pouvais m'empêcher de me demander ce qu'elle allait dire après avoir vu ses yeux, de toute façon il avait l'habitude qu'on le rejeté et qu'on ai peur de lui, le seul moment où il n'a pas eu peur de montrer ses yeux c'était lorsqu'il avait jouer une partie de basket ball avec Reina car c'était sa cousine et aussi qu'elle l'avait déjà vu étant plus petit donc elle avait déjà vu ses yeux ce n'était pas nouveau pour lui et il n'avait pas eu la sensation de perdre le contrôler car ils s'étaient quitter bien avant que cela se passe.

Je ferma les yeux et me remis dans la position dans laquelle j'étais, je ne pouvais pas regarder la jeune fille à nouveau elle allait surement se faire des idées et croire que je m'intéresse à elle alors que c'est faux, ce sentiment d'amour pour moi est tellement futile, il ne signifie tellement rien qu'il n y pensais même pas.

Il se dit que vu qu'il y avait la jeune fille, il ne devait pas aller dans ses pensés comme tout à l'heure car elle pourrait avoir envie de lui parler bien que lui ne voulait pas trop causer, il ne voulait pas que sont coeur se mette à battre et que sont oeil devienne incontrôlable.

- Je m'excuse mais j'avais vu cette place avant toi , c'est juste que mes pas me trahirent , tu voudras me faire une place à tes côtés ?

La honte. Voilà où m’emmène mes conneries : J’avais violé ses pensées. Une chose était sûre, il ne pourra refuser ma demande.

Nos regards se croisèrent et je ne pus détourner la tête. En effet, Il me dévisagea à toute allure en scrutant mes yeux dorés et en déposant un regard rapide sur mes cheveux flamboyants, pendant que moi-même j’étais devenue l’esclave de ses yeux si beaux à voir. Ils étaient vraiment tout à fait différents et étincelants. En effet, seules ses prunelles, qui se posaient sur moi , paraissaient vivre dans sa face et cela plus que la couleur de ses cheveux . Il avait des yeux vairons et je ne voyais point en lui ce que les autres prendront pour insolite et terrible.

Dans un moment j’aurai cru que sa haine allait prendre toutes les couleurs sombres.

-Euh... B..ien sur mais pourquoi ici alors qu'il y a d'autre place près d'autre arbre ? ...


Je fus soulagée, sa réponse ne fut point plus agressive que ce que je croyais. Mais moi, je ne cherchai à être aussi douce. Apparemment, si je m’étais suicidée, ce ne serait qu’à cause de la peste humaine qui m’avait déchiqueté alors je ne chercherai à être amicale avec qui que se soit. Je suis dénuée de sentiments et la seule pensée que j’étais encore dénuée de passé fut une sensation désagréable qui s'immisçait dans mon cœur.

- C’est ce que j’appelle de la vraie connerie…Ben, en tout cas, je resterai ici mon beau et tu n’auras qu’à y aller s’allonger toi-même là-bas si ma présence te dérange tant.

Je m’allongeais à ses côtés. Oui, ce fut complètement vulgaire et dénué de bonté, mais voilà, je me sentais si mélancolique, si dérangée que je voulais crier tout haut que je haïssais le monde, le destin. Oui, je voulais percer le secret de ma perte de mémoire mais Ezil disait que c’était un peu tôt pour chercher ce qui s’est passé avant qu’il prenne soin de moi.

Je ne pourrai nier que je voulais faire une autre connaissance qu’Ezil et connaitre ce jeune homme ayant un charme qui procurait un sentiment qui gênait mais apparemment, il ne faisait pas partie de ce genre qui aimait parler les filles….Je finis par scruter le ciel, c’était tout beau pour enfin ajouter avant qu’il ne rétorque quoi que ce soit.

- T’es nouveau ?

Aucune réponse. Je me retournai : il avait les yeux fermés et il était déjà ailleurs. On aurait dit qu’il avait tranché tout lien avec la vie réelle. J’en fus indignée ; Jamais personne n’a montré autant d’indifférence quand je lui parlais.

Lorsque je regardait cette jeune fille, je voyais en elle Reina mais je ne devais pas pensé cela vu qu'elle n'avais rien à voir avec elle, elle était d'un tout autre niveau, lorsque nos regards s'était croiser, j'étais en quelque sorte gêner car je ne savais pas comment réagir, je ne savais pas si je devait me lever et courir à tout allure pour la fuir pas parce qu'elle était la peste mais parce que je ne voulais pas la blesser, une fille aussi belle qu'elle ne devait connaître que le bonheur et les joies de la vie;

-Euh... B..ien sur mais pourquoi ici alors qu'il y a d'autre place près d'autre arbre ? ...

Je ne savais pas quoi dire d'autre, je n'allais tout de même pas l'éjecter mais de toute façon vu que je lui avait demander pourquoi pas une autre place ça lui aurais surement parler dans sa tête, surement qu'elle allait se demander "mais pourquoi il veux que j'aille ailleurs" je ne cherchais pas à comprendre, j'essayais de ne pas être désagréable mais vu que je ne voulais pas lui faire de mal, je devais d'une certaine manière la chasser ou être gentlemen et partir moi même d'ici.
Lorsque je regardais cette jeune fille, je pouvais sentir un sentiment assez bizarre en moi, un sentiment que je n'avais encore jamais rencontré, je ne savais pas ce que c'était mais c'était incroyablement chaud et doux, je ne devais malheureusement pas être accro à se sentiment.

- C’est ce que j’appelle de la vraie connerie…Ben, en tout cas, je resterai ici mon beau et tu n’auras qu’à y aller s’allonger toi-même là-bas si ma présence te dérange tant.

Elle s'était allonger à mes côtés, moi je ne savais pas comment réagir à ce qu'elle avait dit, c'est ce qu'elle appelait de la vrai connerie, quoi donc ? je n'avais rien compris ce que j'avais compris c'était qu'elle m'avais appeler mon beau et qu'elle voulais être ici, que ça devait être moi qui devait bouger...

Je rougis cependant à ce compliment, je n'avais pas l'habitude que l'on me fasse des compliments vu que de base je paraissait horrible aux yeux de tout le monde, des yeux vairons non mais c'est quoi ça c'est un extraterrestre ou quoi ?

Je n'avais pas encore répondu à ce qu'elle avait dit car avant même que je ne n'enchaine quelque chose elle me demanda si j'étais nouveau, cette jeune fille avait l'air charmante au première abord mais je ne savais pas qui elle était, je ne savais rien d'elle était-elle gentille ou méchante, riche ou pauvre, dingue ou juste normal.

- T’es nouveau ?

Malheureusement pour elle j'avais déjà fermer mes yeux et j'étais déjà dans mes pensés mais je ne pouvais la laisser sans réponse, je réfléchi calmement à ce que j'allais dire comme si je voulais tourner sept fois ma langue dans ma bouche, comme si j'avais peur de lui dire quelque chose qui allait mal tourner où quelque chose ainsi.

J'ouvris doucement les yeux et scruta le ciel.

-Je ne bougerais pas d'ici chère demoiselle, je suis désoler que tu ai vu cette place en première et que je me suis assit avant toi mais ce qui est fait est fait et bien entendu tu peut rester ta présence ne me ....... gêne pas du tout...

J'avais dit ça avec un espèce de blanc entre la fin de ma phrase, pourquoi est ce que j'avais bloquer, cela allait lui montrer qu'enfaite si sa présence me gênais je ne voulais pas lui faire de mal et j'avais peur que si elle restait trop prêt de moi, j'allais perdre le contrôler et m'attaquer à elle...

-Oui je suis nouveau, ... Malov Shiffer... Président et capitaine du club de basket élève en première année prépa j'ai 18 ans...

Je m'étais présenter assez rapidement pour éviter toute les questions simpliste et banale du genre tu à quel âge tes en quel année ect,... de toute façon c'était logique de se présenter, je ne savais pas si j'avais donné trop d'information ou si ces informations était pas suffisante du tout, je tourna rapidement mon regarde vers la jeune fille puis détourna ensuite mon regard d'elle rapidement vers le ciel d'un air assez gêner.
Elle était vraiment jolie et ce sentiment à l’intérieur de mon corps et mon cœur me laissait perplexe quand à la façon de réagir face à elle.

Il faisait beau aujourd'hui...Le regard perdu dans la blancheur du ciel, n'exprimaient guère autre chose que ma fatigue et que j'avais pas de passé . Et pendant que les rayons de soleil réchauffaient, comme à leur habitude, mon coeur, J'avais oublié que j'étais à la compagnie de quelq'un jusqu'à ce que sa voix rompe mes pensées.

-Je ne bougerais pas d'ici chère demoiselle, je suis désoler que tu ai vu cette place en première et que je me suis assit avant toi mais ce qui est fait est fait et bien entendu tu peut rester ta présence ne me ....... gêne pas du tout..

Le fait que ma présence torturait l'esprit des autres, ne me gênait plus alors peu importe ce qu'il voulait dire par sa phrase , je m'en fichais ! Ce qui comptait est que je n'étais pas à côté de quelqu'un d'un sale caractère...Je me retournai et je vis qu'il était toujours là, allongée près de moi , les yeux fermés quand brusquement il ouvrit les yeux pour que je détourne les miens aussitôt.

-Oui je suis nouveau, ... Malov Shiffer... Président et capitaine du club de basket élève en première année prépa j'ai 18 ans...

Je fais orienter Les paumes face au ciel pour contempler le monde du dessus avant de rétorquer aussi simplement et me tourner vers lui :

- Ah bon ?...Très bien alors.

Non , je n'allais pas me présenter , à quoi lui servira d'ailleurs de savoir qui étais je ? Je n'étais personne , en ayant de mémoires , de passé , c'était pareil...Mais ce qui était plus intéressant était son jeune âge et la classe où il étudiait. Etais-je à la présence de quelqu'un de très intelligent ? Apparemment oui . Un sourire se dessina sur mes lèvres.

Dans ce pays, il n'était jamais bon de rester au même endroit plusieurs heures. Cela devenait forcément dangereux au cas contraire où l'on aurait décidé de ne pas bouger. Je me décidai de me lever , j'étire mes bras puis le scrutant d'en haut , je pris un moment pour admirer ses yeux vairons. Sans aucun doute, ça le rendait charmant...Un autre sourire se dessina sur mes fines lèvres rosées, laissant entrevoir de petites dents blanches.
J'adorai la façon avec laquelle il devenait timide quand il me regardait à mi oeil ou pour quelques personnes ce qui déclencha chez moi un rire. C'était mignon.

- T'es mignon Malov...T'es souvent aussi timide ?

Ah bon ?...Très bien alors.

Je pensais que la jeune demoiselle allait se présenter mais elle ne le fit pas, peut être voulait-elle cacher sont identité ou peut être qu'elle ne voulait simplement pas me dire qui elle était, pourtant de base je ne suis pas aussi curieux, je n'aime pas chercher les choses qui ne me regarde pas mais la je voulais la connaitre ou plutôt simplement savoir comment je devais l'appeler.

Moi d'un autre côté j'avais pratiquement tout dit j'avais réellement donner trop d'information, elle avait surement deviner que moi en ayant 18 ans être en 1 année prépa n'était pas normal, que j'étais une sorte de génie, une sorte de personne intelligente qui étudie tout le temps et à tout moment mais pourtant ce n'était pas vraiment le cas j'avais la faculté de retenir rapidement les choses.
Je vu un sourire se dessiner sur ses lèvres, je sourie aussi légèrement.

Elle décida de se lever et de s'étirer les bras tout en me fixant, je n'aimais pas cela pas parce qu'elle me fixais mais parce qu'elle était plonger dans mes yeux, une chose que je n'aimais pas du tout car ça montrait à quel point j'étais différent, elle avait encore sourie, je pu voir ses belles petite dent blanche et se jolie sourire se dessiner encore une fois.

- T'es mignon Malov...T'es souvent aussi timide ?

Moi mignon, je rougis à ce qu'elle venait de dire je ne savais pas pourquoi mes joues devenait rose alors que de base je ne faisait d'habitude jamais attention à ce que l'on me disais mais la j'avais une impression que c'était différent elle m'avait vraiment l'air différente, ou plutôt elle m'avait l'air intimidante, peut être que c'était ce côté calme en elle qui faisait en sorte qu'elle soit intimidante, je n'en savais rien et je n'arrivais pas à deviner ce qu'elle pensait, ce qu'elle voulait, ce qu'elle allait faire.

Je détourna mes yeux encore une fois.

-Non mais... euh ... Je ne suis pas mignon du tout voyons !! ... Je suis euh normal ... et je ne suis pas timide d'habitude....

Je n'avais vraiment pas l'habitude que l'on me fasse des compliments et cela jouait peut être dans le fait que j'avais rougis à ses propos.
Je ne bougea pas de ma place et j'étais toujours coucher, comment est ce que je devais réagir, c'était un sentiment que je trouvais incompréhensible, un sentiment jamais connu jusqu'à maintenant même auprès de Céleste.

-Euhh.. Tu, ..; Tu ne veux pas me dire comment tu t'appelle ? Je me suis présenter donc ... La politesse voudrais que l'on se présente aussi.

Je ne trouvais pas quoi dire d'autre, elle ne s'était toujours pas présenter et je pensais certainement qu'elle ne voudrais pas le faire, qu'elle n'allait pas le faire je pense qu'il fallait un peu insister pour qu'elle le fasse.

En plus d'être intimidante elle était drôlement jolie, ses yeux m'intriguaient vraiment, ils avaient quand même l'air plus bizarre que les miens, c'est sur que les miens était tout autre chose mais dans le sens où je n'avais pas l'habitude de voir et de fixer les yeux d'une personne, je me disais que les siens était à part.

Je me coucha tout à fait sur le sol en m'étant même ma tête au sol, ça pouvait être dégueulasse car j'allais devoir me laver la tête et le corps de toute façon, je regardais le ciel qui n'avait toujours pas changer de couleur, qui était toujours aussi bleu avec de beau nuage blanc.

- Toi tu n'est pas nouvelle ?

Je ne savais pas pourquoi j'avais demander mais en tout cas je l'avais fait, allait-elle me répondre ou l'éviter comme elle l'avait fait avec sa présentation.