Il faisait beau et je l’avais invité à prendre une glace ce weekend end. J’avais repéré un bon glacier dans le coin, prix raisonnable et délice assurer. Enfin bon, nous avions donc rendez-vous au centre commercial pour passer l’après-midi ensemble et parler tranquillement. Je n’étais pas en retard, j’étais même partie en avance pour aller visiter un magasin qui me tenais particulièrement à cœur, celui des instruments de musique. J’adorais la Harpe, mais je pratiquais aussi un peu le piano et le violon … Le violon étant un peu le même principe que la Harpe, je n’avais pas de mal à retenir les note sur les cordes. J’avançais doucement en passant ma main sur les touches blanche du piano sur lequel je posais ma vue. J’aimais beaucoup cette endroit, jamais personne ne semblais y venir, même la poussière sur les instruments était une amie bien connue pour moi.
Quelques minutes plus tard, je sortir de la boutique, sans rien acheter, pour aller rejoindre ma cousine. Devinez la surprise que j’ai eue en la voyant plein de sang et bien amochée. Elle avait toujours été comme ça, ça ne m’étonnais même plus … Je lâchais juste un gros soupir de désespoir en la voyant, sorti mon mouchoir et lui essuya le visage avec un petit sourire. Je la saluai d’un baiser sur les lèvres, comme en Amérique … Ah l’Amérique … Forcément un jour, j’irais y vivre ! C’est mon plus chère rêve … Moi qui ne l’ai jamais connu, je voulais voir ou ma mère avait vu le jour… Je voulais lui rendre hommage, et l’Amérique me paraissait si merveilleuse ! Je n’en avais encore parlé à personne, mais dès ma sortie du lycée, je me trouve une bourse et j’y pars… Seul, loin de tout, loin de nous. Juste moi et la musique. Ma seule chance de pouvoir avancer, celle de devenir un harpiste accomplie. Je m’assis à côté d’elle et prit la carte, le choix était impressionnant.
«
Alors As’ ? Qu’est ce qui te ferait plaisir ? »
Je notais rapidement sur une feuille mon propre choix. Crèpes chantilly chocolat avec boule noix de coco, avec chocolat chaud. Comme toujours. Les bonnes habitudes ne se perdent pas.