Je ne me retrouvé pas encore totalement dans ce grand lycée, a vrai dire j'ai aussi un sens de l'orientation un peu..Défaillant, comme quoi je ne suis pas parfaite, ou non je n'est jamais était parfaite d'après ma famille, des critiques des critiques et encore des critiques je m'égare non ? Bon j'était dans les couloirs légèrement perdu avec mon sac a la main j'avancé sans conviction quand je vis un escalier qui monté plus haut..Vers le toit sans doute, bon j'avançais jusqu'aux toit ou il y'avais une vus magnifique et un vent assez chaud, je me suis assise au sol les cheveux au vent, et ma voix s'élevé dans les airs, la chanson que je chantait avec lui, avec la seule personne qui comptait encore pour moi, celle de Jacky mon cousin et moi..


Guuzen kara hajimaru hitsuzen no WAN SHIIN
Tooku ni mieta no wa nigeru akairo
Fushigi na mori no oku de mitsuketa kuroi kage to
Nanika ga hajimaru yokan, kowakute nigedashita
"Deai" wa owari ni tsudzuku SHINARIO
Dakara waza to toomawari wo shita Aitai, nante
Furetai, nante Hanashitai, nante Omowanai
Kayowai kimi to zurui boku ga
"Deau" sore ga owari sa Zankoku datte nonoshittatte Unmei wa kawaranai
Aa doushite, kimi ga? Doushite, boku ga?
Ookami to akazukin, nanda Kitto kimi wa kyou mo kono michi wo otozureru
Soshite boku wa kyou mo zutto mimamoru shika dekinai
Kimi wa ano ki no saki de itsumodoori, kakureteru
Watashi wa kidzukanu furishita mama toori sugita
Shisen wa karamanai koe wa todokanai
Tameiki dake ga munashiku kasanaru
Aenaku tatte Furenaku tatte Hanasenaku tatte Ii kara


Mes yeux se voilèrent de larmes d'un coup ma gorge se serra, je ne pus sortir que de faible chuchotement pendant que des larmes perlèrent sur mes joues...J'avais du mal, et je me faisait un monologue, seule je suis pathétique n'est ce pas.......Je me trituré les cheveux et je me recroquevillé sur moi même..

- Si les anges existent...Explique moi pourquoi je n'en suis pas un..et pourquoi je ne peut pas finir cette chanson gravé dans mon âme, pourquoi c'est douloureux de me rappelais de toi, pourquoi hein....explique moi....Tu me racontais des histoires..? Je sais que je ne suis pas un ange, je suis plutôt un démon tout comme mes parents le disais je suis bonne a rien, je suis turbulente impulsive..Et je parle seule..Il faut être bien perturbé pour sa non...?

Je commençais à m’habituer au lycée. Ici, au moins, les gens ne faisais pas attention à moi, c’était plus tranquille… Bon nombre me demandait si le rose était ma couleur naturel, je leur répondais affirmativement, ils ne me croyaient pas, je passais mon chemin, tant pis.
Les anges avaient écouté une partie de mes prières : avoir enfin une vie tranquille. J’aimais monter sur ce toit… pour y écouter le chant des oiseaux, j’entendais même, parfois, le battement des cœurs des anges… Mais, bon nombre de désire me traversait encore, et en regardant le fin mur qui me séparais du vide, j’avais de plus en plus envie de prendre mon envole. Un envole que personne n’oublierais celui de Jacky Airway… Les doigts dans le vide jouaient de la harpe… Mais… Je ne sais pas pourquoi, aujourd’hui, je repense à elle … Elle me manque… J’en imagine même le son de sa voix qui chante d’un de nos nombreuses cantines.

J’en lâchai presque une larme.

Mon souffle coupa court. Je sautai du toit de l’abri pour tomber juste devant la porte. J’entendais sa voix ! Ça m’en était insupportable ! Par pitié, Astréa, si tu es un fantôme, laisse-moi vivre ! Ne me hante point… Je me tenais la tête, j’en avais mal et les larmes aux yeux grommelant… Quand je l’aperçus dans un coin … Recroquevillé sur elle-même. J’étais fixé à la regarder avec mes yeux rose-violet. Mon cœur battait la chamade… J’étais mort ou bien ?... Lentement je m’avançais vers elle, me figeant devant on corps, et m’accroupissant, pour lui relever les cheveux de ma main… C’était elle… Elle n’avait pas changé…

Je reculai un pu la tête, choqué et surpris. Je ne comprenais plus rien, nous nous étions plus vus depuis son enlèvement, je la croyais morte ! J’étais sûr qu’elle n’allait pas me reconnaitre avec ma grosse mèche de cheveux devant l’œil mais tant pis…

Je me sentait vide sans lui sans sa voix, je suis venu ici pour le revoir, pour écouter de nouveau sa voix, pour qu'il me parle des anges, qu'il me redise que je suis son ange, il me manque atrocement, mais il doit surement pensée que je suis morte, comme tout le monde le croyais, j'aurais préféré mourir en faite..Je crois que quand j'ai pris conscience que je n'était pas désirée c'était ce jour la, le jour de la demande de rançon...Je le savais au fond de moi, j'était très forte a l'école, j'était docile mais impulsive, gentille avec mes parents,mais pas trop, je....un traumatisme..Quand j'ai vraiment appris qu'ils me détesté tous...Je voulais mourir, vraiment, sa m'avais marqué le <<- Même t'es kidnappeur t'on pas supporté ? De toute façon personne ne t'as jamais aimé alors...>> Un phrase qui me fit souffrir, horriblement souffrir, je ne comprenais la signification a mes 15 ans, maintenant je la connait...Je soupirais...

J'entendis un bruit comme quelqu'un qui tombé, mais je m'en contre fiché une mains douce vint pousser mes cheveux, mais se recula d'un seul coup surprise, je sais, je sais que je ne suis pas le premier prix de beauté, mais tant pis, je mourrait de honte et je virait au rouge carmin, j'essuyais rapidement mes larmes redressant la tête tant bien que mal, ma vue était brouiller, mais j'aperçu un jeune homme au cheveux rose, sa ne serrait pas...Non impossible...Je...Jamais je n'y croyait pas......Je rêve...

« As' ?... As’ c’est toi ?... C… C’est moi … Jacky ! >>


Je rêvait ? Pitier dites moi que je rêvait je non..sa voix était identique, je....Je n'y croyait pas, c'était surement une hallucination, je...me relevais la tête et m'essuyais encore les larmes qui perlais sur mes joues, je oui c'était lui...

- Ja-Jacky.....C'est...Non...Je rêve....?.....Non..je ne veut pas ..que sa sois encore un rêve..Pince moi..pitié... Je ne me suis pas endormit...C'est..Je suis heureuse..

Mon premier sourire, depuis 4 ans, le seule et unique, destiné a la seule personne qui compte pour moi, en c'est jour sombre...

Je n’en croyais pas mes yeux, et si c n’était pas pour elle, je serais déjà tombé dans les pommes ou parti me suicider de joie ! Mais … Elle pleurait… Pourquoi ? Nous étions enfin ensemble … 4ans… 4ans que je la pensais morte … Que ma vie était un cauchemar en cours… 4ans…

Elle me fit enfin un sourire, une larme coula sur ma joue … Ou était-elle ? Encore sa stupide famille ?... Je me souviens, enfant, nos jeux… nos rires… Elle passait souvent ces après-midi chez moi avec mon père et moi. Ou alors, nous faisions des course de cheveux, elle gagnait toujours… Je jouais pour elle, et elle jouait pour moi, nous étions comme frère et sœur…
Ma main caressa sa joue pour essuyer la larme. Je pris son bras pour la tirer vers moi et basculer en arrière. Nous étions allonger sur le sol poussiéreux, mais qu’importe, je la serrais contre moi, on m’avait rendu ma As’ … Mon ange au cheveux noir… Celle qui y croyais tout autant que moi et qui avait encore un espoir pour ce monde.

Lui caressant doucement les cheveux, je lui embrassais le front. Elle était l’une des rares personnes avec lesquels j’arrivais à être moi-même et à me lâcher. Je ne pus m’empêcher de la regarder dans les yeux et d’admirer la femme qu’elle est devenue. Je déposais un kiss sur ses lèvres, mais n’allez pas croire, pas d’amour, juste en guise de bonjour et retrouvaille. Nous étions tous deux américains, aucune pudeur sur ce sujet-là, là-bas. J’embrassai parfois mon père sur la bouche en guise d’au revoir, c’est ma mère qui nous a transmis ce lien si important…

Un flash, juste un flash, une course des sourires des rires, une voix son visage, celui qui m'apaisaient, c'était lui et sa voix, et personne d'autres, je me fiche de son apparence physique bien que Jacky sois devenu particulièrement beau, a vrai dire, j'avais pas mal changé moi aussi mes cheveux était plus long, mes lèvres plus pulpeuse et plus rose ma peau pâle était cependant resté identique, j'avais un tatouage maintenant une façon de m’exprimai différente, un regard pratiquement vide d'émotion des cernes, enfin mon corps avais changé j'avais une poitrine maintenant et certain garçons se retourné sur mon passage, je ne comprenait pas vraiment pourquoi parce que je suis pâle comme une morte ? Sûrement pas, je ne mâchais pas mes mots quand je parlais, lui semblait toujours si calme, joueur, et souriant...Sa ne me déstabilisé pas, bizarrement, j'avais l'habitude qu'il sois comme sa ...Enfin « L'habitude » c'est vite dit, sa fait quatre ans que je ne l'est pas vus, mais sa me fait du bien de me retrouvé avec lui... Nos chant nos comptine, je chanté quand il jouait et inversement, nous étions inséparable...Enfin étions, car après l'incident, nous ne nous sommes plus vus.... Il caressa ma joue pour essuyais ma dernière larme... Il me prit le bras et me tira vers lui je basculais a côté de lui sur le sol qui n'était pas nickel, j’étaie contre lui je n'allais plus pleuré tant qu'il serrait la... Je repensé a mon enfance pour échappé a mes parents, ou...Pour qu'eux ne me vois plus ils m'envoyaient chez Jacky, ce n'était que des bons souvenirs pour moi..

«Si tu savais comme tu m’as manqué …Je te croyais morte As’ ! Ta famille m’as dit que tu étais morte ! J’étais perdu… Moi et papa t’avons cherché partout ...»

Je comptait vraiment pour lui alors ? Mon dieu sa fait du bien, je ne croyais jamais avoir a le dire, mais sa fait du bien de se savoir aimé un tant sois peu, ma famille ? Pff, je ne considère pas c'est personne comme ma famille, je n'était pas morte, j’étaie enfermé entre l'école et ma chambre, a croire qu'ils pensaient que j’étaie un animal sauvage, sa me désespéré ...Ma famille argh, j'ai envie de vomir rien qu'en repensant que je suis de cette famille...Il me caressa doucement les cheveux et moi je fermais les yeux un baiser vint se posé sur mon front puis sur mes lèvres, non sa ne me paraissait pas particulièrement vulgaire, et pourquoi sa le serrait. ? Nous nous disions bonjours, et au revoir comme cela, depuis que nous étions enfants, c'est juste un signe d'amour fraternel et familial en Amérique....


«Je te promets que plus jamais personne ne te fera du mal … Je te garderais toujours avec moi… As’ … ma As’ … Mon ange aux cheveux noirs …»

Je souriait, Astréa l'ange au cheveux noir, il n'arrêtait pas de m’appeler comme sa, et j'aimais beaucoup se signe d'affection a mon égard, je n'avais plus peur quand j’étaie a côté de lui, je savait qu'il me protégerais toujours parce que je suis comme une petite sœur pour lui, et il est comme un grand frère pour moi, j'ai encore des bandages au poignet et au bras, mais ils sont caché par mes gants, j'espère de tout mon cœur qu'il ne le remarqueras pas, je prie les anges pour sa, je voudrait ne jamais quitté cette position, que le temps s'arrête si il le faut.


« Jacky....Je suis vraiment heureuse de te retrouvé, j'ai intégré cette école pour te revoir, et je ne suis pas déçut du tout....Tu as changé, mais en bien, tu sais, j'ai vécu ce que tu ne peut pas imaginé serte toi aussi tu as du souffrir, moi j'ai souffert sans toi...Je n'était pas entière sans mon grand frère..Mon cousin adoré, merci d'être là...Merci de m'avoir cherchais...Et de vivre...»

Elle est venue ici pour me revoir ? Elle ne m’avait donc pas oublié… Amen. J’en étais si heureux, je ne pouvais rien faire d’autre que la serrer dans mes bras, contre mon cœur, comme quand nous étions dans l’herbe et que je voulais la rassurer, protecteur, distrait… Ce fut pendant longtemps ma sœur de jeu, de compagnie, de confidence. Souffrir ? Les douleurs corporelle que j’ai pu recevoir n’étais rien comparer à la douleur que j’ai eus quand j’ai appris son enlèvement, j’en tombai gravement malade. Je ne voulais même plus manger, si mon père n’avais pas été là, je crois que je me serais pendu à la corde d’ange.


Je roulai pour la mettre au-dessus de moi, j’aimais ce genre de jeu, sans avoir d’arrière pensé. A dire vrai, nos avions des physiques à la fois semblables et opposé. Ma mèches glissa doucement sur le côté pour dévoiler mon œil gauche et ma joue balafré, tant pis, je ne voulais même pas y penser… J’étais trop heureux de la revoir, trop heureux de retrouver l’ange aux cheveux noirs qu’elle était.

«Tout ce que j’ai pu vivre jusqu’ici, j’en avais une pensée pour toi, même si je faisais mine de t’avoir oublié, tu restais dans mon cœur As’..»



D'un coup je me retrouvais au dessus de lui comme avant et j’aimai sa, je n'arrêter pas de sourire et je rit quand il fit se geste attendrissant, sa me rappelai de très bon souvenir de le voir, les meilleurs de ma pauvre vie a vrai dire, mais, il faisait mine de m'oublier ? J’eus un léger pincement au cœur quand il me dit sa, je ne l'avais jamais oublié moi je..Chaque jour je pensais a lui, et je remarqua sa joues mal cicatrisé je passa doucement ma mains dessus en le regardant tristement je n'aimais pas sa, il a souffert il a vraiment souffert durant c'est quatre ans maudit, je...J'avais mal pour lui mais je ne voulais pas évoqué sa blessure, sa lui ferrait sûrement mal de se souvenir, et je ne voulais pas ré-ouvrir les blessures du passé sa serrait nocif pour lui autant que pour moi, et je ne pense pas que sa sois une bonne idée. J'allais lui posé des questions impudique, mais tant pis c'est mon cousin après-tout sa n'aller peut-être pas le gênée finalement...

« Dit moi, tu as une petite amie ? Elle est jolie ? Tu me la présenteras hein...? J'aimerais beaucoup rencontré la deuxième femme de ta vie, j'espère qu'elle est gentille.. Dit moi si sa ne vas pas ou autres, désolée je parle beaucoup trop je doit t’énervai... Et tu sais tu resteras dans mon coeur pour toujours..»

Une petite amie ? Je ne voyais que Chika … L’amour de ma vie, enfin, actuellement… bien que l’on ne se voyait pas trop en ce moment. Mais, je ne voulais pas vraiment en parler avec elle, j’avais oublié de dire à Chika que j’avais une autre femme dans ma vie, si l’on peut qualifier ça ainsi.
Je basculais sur le côté et me releva ensuite en me tapotant un peu le pantalon pour faire partir la poussière. Regardant l’heure, les cours allaient bientôt reprendre. J’allais chercher mon sac et revint à ces côtés, déposant un baiser sur sa joue.