Raide et dur.

Admin Pervers

Pourquoi, fallait il que ça arrive aujourd'hui ? Pourquoi fallait-il que son spectre me hante jour et nuit ? Et même pendant mes rêves, ou plutôt. Que dirais-je..Mes cauchemars. Mais ce n'était guère ma journée, ni mon annèe, d'ailleurs. Je me voyais en proie à diverses crises , diverses sautes d'humeurs que je ne m'étais jamais connu. Quand est ce que j'avais développé de tels nerfs ? Ou une telle sensibilité ? C'étais presque honteux, pour quelqu'un tel que moi. Mais je ne pouvais que céder à mes vies et envies. Et qu'il est tragique, de ne pas assouvir son désir, mais qu'il l'est encore plus, de ne pas le faire. De tuer ses envies aux plus profond de sois, bien que ça sois la seule chose d'humain que l'on possède. Même pas. Le dernier fil d'espoir, le dernier échappatoire d'une vie bien trop monotone et morne. Ou chacun pour sois, et ou chacun suit bêtement, presque sauvagement et sans aucun signe de civilisation ses vices et envies. Certains sont , comme moi, en quête de l'expérience, alors que d'autres cherchent puérilement à combler un certain manque en se tournant vers toutes sortes de drogues, alcools, plaisirs charnels et encore, j'en passe. Mais qu'il est plaisant de lire une certaines naïveté sur les visages de ces gens là. Oubliant les conséquences de leurs faits. Tu es séropositif ? Bonne baise à toi ! Et bons six mois de pure torture. Tu as sombré dans l'alcool, jusqu'à ce qu'il deviennent aussi indispensable que l'air ? Tu as usé et abusé des drogues ? Bonne fin à toi. "Il fallait arrêter plus tôt" hah, comme s'ils ne le savaient pas, mais, ils n'étaient tout simplement pas assez fort pour le faire. Tout comme moi, voyez vous ? Le test dit que tu n'es pas atteint ? C'est la teuf, mais, ne t'en fais pas, tu le seras tout bonnement dans deux ou trois semaines. Ca ne saura pas tarder. Tout le problème réside ici, c'est que nous tous avons à partagé le même destin commun. Un destin inévitable..Et un lourd fardeau à supporter durant toute notre vie.

Bref, je me suis un peu égaré, dans les pensées philosophiques, mais je me retint. Le problème n'était pas là...Le problème était le suivant ; Comment m'occuper de mon érection, ou plutôt..Comment la calmer ? Je soupirais. Il faisait si chaud dehors peut être était ce à cause de ça ? Et à cause d'une grêve, le lycée était presque désert. Je ne sus que faire pour passer la journée. J'était simplement habillé d'une chemise rouge et un slim noir assorti à la couleur de mes cheveux. Il me fallait vite une endroit pour me calmer. Et heureusement les toilettes étaient là pour ça, hah. Ouai, pas mal. En plus il n'y avait personne. Et de toute façon personne n'allait entrer..C'est désert ici. Je baissais un peu mon pantalon.

-Rah, merde, dans quel état me suis je mis..

Invité

Il faisait une chaleur accablante, le soleil tapait fort. Mais même par cette journée de grève, pas de repos pour les internes, ils n’ont aucune excuse pour louper les cours. A part les plus rebelle et courageux, ou ceux qui ont une bonne excuse… Je ne suis ni brave, ni courageux, et je n’ai pas non plus de bonne excuse. Je ne supporte juste pas la chaleur et comme le lycée est désert, je me suis dit que l’on ne remarquerait même pas mon absence … donc j’étais en quête d’un endroit frais ou le ne me trouverais pas. J’ai donc opté pour les toilettes masculin, j’étais là, assit tranquillement au fond de la pièce en train de dessiner. Sur ma feuille commençait à apparaitre un magnifique lion aux allures de roi. Grand ciel dieu, de toute façon, personne ne vient ici, surtout pendant les heures de cours, j’étais bien tranquille pour l’après-midi à venir … Toute une journée devant moi à griffonner des esquisse. Le rêve. Peut-importe les cours pendant ce genre de journée, les professeurs ne se compliquait pas la vie et ne faisais faire que des exercices futile et inutile…
Je sorti de mon sac des paquets de gâteaux que j’ouvris et devra, balançant les feuilles froisser devant moi, je m’occuperais de les ramasser plus tard, pas besoin de m’en soucier, elle ne dérange personne après tout.
Tout à coup, je stoppai out actions, tout signe de vie quand j’entendis le bruit de la porte qui ‘ouvrit … un surveillant ? Impossible … En mode furtif, je me mis lentement à genoux pour finir à quatre patte, c’est en ravalant ma sèche salive que je passais ma tête derrière le mur pour voir que ce n’était qu’un élève. Je regardai ma pile de papier, en espérant qu’il n’est pas l’idée de venir voir par ici ……. Quand je retournais ma tête vers lui, il venait à moitié de baiser son pantalon, et on caleçon… Mon dieu il était en train de …….. Il était dans tous ses états….

- Rah, merde, dans quel état me suis-je mis..

J’étais complètement paralysé …… Je lâchais une sorte de bruit de surprise. Il ne pouvait que m’entendre et se rendre compte de ma présence. Je me recachais derrière le dernier mur des toilettes en espérant, priant, voulant qu’il ne me prenne pas sur le fait. Je n’avais rien à faire la, sur, mais lui non plus … Je me murmurais des phrases à moi-même…

- Protège-moi … Ne viens pas par la… Protège-moi ….

Je tremblais de tout mon air, il semblait bien plus fort que moi, imaginez qu’il me prenne en grippe ou autre chose du genre … Autre chose … du … genre ?

Admin Pervers

Rien n'était important en ce moment ci. Sauf ce petit..Enfin, pas si petit que ça...Bout de chaire qui prenait vie lui même. Nous poussant à maintes horribles choses. Pour que l'on soit dégouté à la fin de la tournée. Je soupirais, en voyant dans quel état j'étais. Mon entre-jambe -et pour ne pas dire de termes désagréables- était durcis et me faisait atrocement mal. Finirais-je par me masturber ? Sérieusement. Celà faisait des mois que je n'y avais pas toucher. Même si c'était dur à croire, mais tous ça commençait à me lasser une bonne fois pour toute. Même si mes parties génitales en avaient décider autrement, et ô que je maudissait cette partie de moi qui prenait vie et commençait à me mettre dans tous mes états. Heureusement qu'il n'y avait personne. Enfin, malheureusement, ce que j'avais envie d'un petit shota maintenant. Mais, il fallait toujours que quelqu'un vienne me déranger quand j'étais en plein moment de plaisir solitaire. Faites qu'il soit beau. Je m'approchais de la cabine d'ou provenait le son. Après avoir remonter mon caleçon et fermé ma braguette.

Je fus hypnotisé à la vue de ses yeux d'un bleu semblable à la clarté du ciel. Ses cheveux étaient d'un blond semblable aux filets d'or, alors que ses traits étaient aussi fins que ceux d'une fillle. Il avait l'air appeuré et semblait timide. De plus il tremblait. Quoi ? m'avait il..vu ? Remarque, celà ne me gêne en aucun cas, bien au contraire. Je trouvais ça intéréssant. Il tremblait même. Se trouvait il qu'il soit vierge ? Je le sens que je vais bien m'amuser, je me mis à son hauteur avant de lui caresser doucement les cheveux, mettant une de ses mèches derrière son oreille et approchant mon visage du sien. Ses lunettes lui donnaient un coté dominé. Tout en lui caressant la joue du pouce je dis ;

-Je te fais peur ? Il n'ya pas de quoi..Voyons..Je ne vais pas te manger..

Je lui fis ensuite un sourire qui se voulait rassurant, jouant parfaitement de la comédie. Je me relevais ensuite et lui tendis la main pour qu'il fasse pareil ;

-Aller, lève toi. Tu ne vas pas rester à terre tout de même, hum ?

Invité

Je m’étais plaqué contre le mur au fond de la pièce, au grand dieu, faite qu’il ne m’est pas vu… Mes deux mains plaqué sur ma bouche pour ne pas hurler de surprise, je me cachais derrière ms lunettes, fixant le mur sous mes yeux. J’entendais un bruit de tissus puis, une braguette … Oh non, il m’avait entendu, et ses bruits de pas ne faisais que ce rapprocher de moi !
Il se posta un moment devant moi en me regard, je pus aussi admirer son teint blanc, et son corps si bien fait …. Ces cheveux aussi noirs que le charbon, mais ses yeux …. Ses yeux me faisaient peur, il était aussi rouge que le sang…. Que la violence elle-même. Il se mit à mon hauteur, s’accroupissant devant moi, je me plaquai un peu plus contre le mur, une main sur mon calepin a dessin, la seule arme sous le bras… Je tremblais, j’avais peur, moi le Grand-Duc ! Haha, elle était belle la noblesse dans ces moments inattendu comme ça, pas moyen de faire le moindre mouvement, paralysé et terrassé par la terreur. Il caressa de sa main mes fins cheveux blond, j’en fus surprit, m’aurait-il confondu avec un enfant ? Il passa ma mèche derrière mon oreille pour mettre à jour mon deuxième œil… Je détestais ça, je ne me sentais plus du tout à l’aise. Il rapprocha nos deux visage en un tour de main et me caressa la joue du pousse, mes yeux viraient aux cramoisie sans que je puisse y faire quoi que ce soit.

-Je te fais peur ? Il n'y a pas de quoi…Voyons.. Je ne vais pas te manger..

Me … Manger ?... Non, il ne me faisait pas peur, mais … Il était impressionnant. Il me lança un rassurant sourire mais, comment croire en un inconnu ? Ne jamais se fier aux apparences, comme disais mon pauvre père… Il se releva, je pus reprendre une grande bouffer d’air, au bord de l’évanouissement, une action semblable pourrais me faire perdre connaissance tellement elle est rapide… Et brutale, de mon point de vue. Il me tendait la main…

-Aller, lèves-toi. Tu ne vas pas rester à terre tout de même, hum ?

Rester par terre ?.... Pas avec lui non, je me relevai de moi-même en m’appuyant sur le mur, dans un mouvement rapide, je ramassais toute mes fourniture de dessin pour les fourrer dans mon sac de cours vide jusqu’à présent. J’avais plus envie de m’enfuir que de lui parler ….

- Excuse-moi, je vais te laisser, d’accord ? Fais comme si tu ne m’avais jamais vu.

Je plantai mon regard dans le sien, admirant une dernière fois ces flambloillant yeux rouge… Je pouvais y voir les flammes de l’enfer, celle e Stan et ces suppos. Je m’aperçus que j’étais à peine plus grand que lui, à peine de quelques centimètres… Je me frayais un passage à sa droite pour m’enfuir avec mon sac, mais…

Admin Pervers

Certains, ont plus de chance que d'autres. La vie est ainsi faite, de curieux hasards, certains ont la chance de rencontrer des gens formidables. De faire de magnifiques rencontres, alors que d'autres non. Mais il ne faut pas oublier que la chance, est toujours près de nous. Qu'il faut tout simplement la saisir. Et je ne comptais en aucun cas passé à coté de ma chance. Je savais que sa présence ici, n'étais pour moi que d'une seule utilité. Et je savais très bien mes intentions. En effet, j'ai toujours été quelqu'un d'assez clair dans tous ce que je voulais. Il était rare que je sois victime d'incertitude, ou tout autre sentiment de doute. Je cédais complètement à mes envies et sans même me donner une chance d'y faire travailler le cerveau. Il était clair, que j'étais quelqu'un d'assez impulsif, que je me laissait guider vers le subliminal...Et que y'a il de mieux ? Qu'être l'expérience en elle même. De se découvrir sois même sans rougir sottement à la vue d'oeuvres superficiels à la vision. Je ne pouvais être autrement, de toute façon. Il était clair, que je ne pouvais vivre que de cette manière là, qu'il m'était impossible de vivre autrement, ou de changer ma façon d'être.

Comment, ne pas mettre sa rencontre sur le compte de la chance ? Comment était ce un pur hasard ? Je ne pouvais guère me l'admettre. Je ne voulais point croire, que l'or de ses cheveux était vain. Ignorer le destin dans ses yeux, le sensuel de ses lèvres. J'en bandais encore à sa vue. Peut être, l'aurais je ignoré dans un autre état. Mais, j'avais besoin de ça aujourd'hui. Pour oublier, mais surtout, satisfaire la petite créature dépendante. Face à mes paroles, il parassait inquiét, il faut dire que mes douceurs pour le rassurer n'ont fait qu'aggraver la situation. C'est vrai qu'avec le membre serré dans mon jean, j'ai surtout l'air d'un con. Et, il était idiot de lui tendre la main avec laquelle je comptais m'offrir du plaisir quelques minutes plus tôt. Il était évidant, qu'il allait l'ignorer, ce qu'il fit. Il était vachement grand de taille, par contre, enfin, quelques centimetres de plus que moi. Rien de très grave, disant. Il ramassait ses affaires et se leva. Virant l'horizon de ses yeux azurés dans le feu du mien. Il tenta de s'en aller tout en évitant tout contact avec moi. Alors que sa voix m'interpella ;

- Excuse-moi, je vais te laisser, d’accord ? Fais comme si tu ne m’avais jamais vu.

Hah ? Il croyait s'en sortir ainsi ? Il me prend pour quoi là ? Alors là, il se fourre de doigt dans l'oeil. Même si c'était pas possible avec ses lunettes. Je soupirais, puis, un sourire fendit mes lèvres, un sourire en disant tout sur mes intentions. Un sourire pervers, voire même sadique, un peu sarcastique. Je le tins puissament par le bras, comme pour lui annoncer son inévitable destin, il n'avait vraiment pas de la chance, le p'tit. J'étais dans un sale état....Et il tombait justement au bon moment ;

-Pas si vite,

Je le plaquai violemment contre le mur de la cabine. Tenant toujours son poignet et le serrant fortement de mes doigts. Il n'avait pas le choix, vraiment pas. La voix sensuelle, je lui dit ;

-Bon, il se trouve que j'ai besoin d'un peu d'aide, tu comprends ?...Bon, ça te dis de baiser ? Haha, ce n'est même pas ça la question. J'ai pas besoin de ton avis, t'sais ?

Je pressais mon genoux entre ses deux jambes, frôlant le tissu me séparant de son intimité. Ma langue vint lécher son cou. J'approchais mes lèvres de son oreille, avant d'en mordiller le lobe. Ma voix pris un ton plus doux, voire même passionné. Je profitai des faits pour glisser ma main sous sa chemise afin de caresser sa peau satinée.

-Sois bon garçon et je serais doux. Si tu agis autrement, je me trouverais dans l'obligation d'être dur, compris ? Et je ne crois pas que tu as envie de voir mon autre visage, hm ?

Je plantais mon regard assombri dans le sien, comme pour me faire bien comprendre.

Invité

Aussi vrai que les étoiles flottent dans le ciel, je n’aurais surement pas dû me lever aujourd’hui. La journée avait bien commencé, mas elle allait surement mal finir. Il y a des personnes, comme ça, pour qui tout va mal … C’est comme cela, on y peut rien, elles doivent juste accepter leur destin, rien de plus. Elles doivent se taire et laisser faire. Dans des jours pareil, l’air de la campagne me manque, l’air de mon manoir me manque, l’air de ma famille me manque… Et je préférerais ne pas exister. Pourquoi dieu est-il si injuste ?... Les bonnes étoiles ne sont que mythes et légendes ?... Certes, je crois peut être trop aux contes de fées …

- Excuse-moi, je vais te laisser, d’accord ? Fais comme si tu ne m’avais jamais vu.

J’ai tenté de m’échapper, mais, ma stupidité m’en empêchait. Je m’étais moi-même fixé contre un mur que j’aurais très bien put contourner sur le côté en pivotant de un quart. Le garçon semblable à Satan s’empara de mon bras pour me le serrer au niveau du poignet. Mon sang ne fit qu’un tour, je fus parcourut de sueur froide… J’avais peur. Pur qu’il me frappe ou quelque chose dans le genre.

-Pas si vite.

Il me plaqua violement contre le mur, j’étouffai un ‘aie’ dans mon souffle coupé sur le moment. Mon cœur avait cessé de battre pendant une seconde, bien que ma raison elle, était bien là. Mon poignet me faisais souffrir et tous ces contacts qu’il m’imposait me brulait, je n’avais pas l’habitude es contact, je les détestais simplement. Sa voix sensuelle me faisais perdre le contrôle, mon corps se mit à trembler comme une feuille, s’était inévitable… Moi qui dessinais si tranquillement… Qu’avais-je fais à dieu pour mériter cela ?...
-Bon, il se trouve que j'ai besoin d'un peu d'aide, tu comprends ?...Bon, ça te dis de baiser ? Haha, ce n'est même pas ça la question. J'ai pas besoin de ton avis, t'sais ?

Je me retournai dans un espoir de survit, peut-être allais-je réussir à m’enfuir, mais non, il me tenait toujours aussi fermement, et j’étais fasse à lui. Son genoux remonta le long du mur pour venir se glisser entre mes deux cuise, formant une pression sur mon endroit si … sensible. Ce simple geste me fit rougir, et mes yeux se fermèrent. Je les serrais autant que je pouvais, mais, même comme ça, j’étais toujours devant lui, et j’allais vraiment me faire violer… Sa langue vint rapidement caresser mon cou… Ah, dieu, pourquoi m’avez-vous replis de point sensible si voyant ?.... Je ne voyait rien, mais j’entendais sa respiration, je sentais ses lèvres mordiller mon lobe…. Sa main fraiche venai se loger sous ma chemise blanche … Blanche … Peut être pas pour longtemps. Une chaleur insoutanable commençais à envahir mon corps. C’en était presque insupportable ! Mais sa voix … son irrésistible voix…

-Sois bon garçon et je serais doux. Si tu agis autrement, je me trouverais dans l'obligation d'être dur, compris ? Et je ne crois pas que tu as envie de voir mon autre visage, hm ?

Je rouvrir les yeux au mot « sois un bon garçon, et je serais doux » … J’avais deviné ce qu’il voulait faire. Mes tremblements se calmèrent un peu, j’avais peur, j’étais incapable de bouger. Donc … si je me tenais calme, il serais doux et ira vite ?... Ne me ferais aucun mal ?... Trop tard, j’avais peur… Et personne n’aurais volé à mon secours, personne … Mai qu’elle idée de venir me cacher ici ! Je ne dois mon malheur qu’a moi-même après tout… Son regard noir me faisait de plus en plus peur… Je devais me défendre, dire quelque chose, mais à par balbutier, je n’arrivais à rien. Le simple fait de bouger m’aurais fait avec un nouveau contact avec lui… Horreur. C’est avec mal et douleur que je retenais mes larmes, je n’allais pas lui faire le plaisir de craquer, et je ne voulais pas non plus l’énerver.

- donc si je me tien tranquille … J’ai des chances de m’en sortir ?.... Je refermai les yeux, persuadé qu’il allait me frapper cette fois-ci. Me fait pas de mal…

Cette situation … Elle me rappelait vaguement quelque chose … Mon enlèvement… Attacher, prisonnier. Semblant étouffé à chaque nouvelle respiration… L’envie de pleurer mais que rien ne sort… Pourquoi moi et pas un autre ? Parce que le destin des Slingby était ainsi : toujours ceux qui aide les autre en souffrant à leur place et pour eux, sans doutes. Je lâchais un soupir en glissant légèrement vers le bas, je ne tenais plus debout, si il voulait me faire quoi que ce soit, il devrait tout faire seul, je n’en avais pas la force…