Je soupirais. Bientôt j’allais devoir intégrer une université. Cela me stressait réellement puisqu’en réalité je ne savais pas ce que j’allais faire…bien sûr j’avais mon rêve de devenir pianiste et j’avais envoyé des dossiers un peu partout mais est-ce que j’en avais le droit ? Je n’en avais jamais parlé à Zachary parce que c’était un peu un secret entre moi et ma mère à une époque. C’était elle qui m’avait appris à jouer et j’avais continué à sa mort de façon autodidacte pour arriver à mon niveau actuel…mais moi j’avais brisé les rêves de Zachary quand il était un peu plus vieux que moi…alors j’avais l’impression que je n’avais pas le droit de réaliser les miens.

Je regardais la pile d’enveloppe devant moi les ouvrants profitant que Zachary ne soit pas là pour le moment. Partit faire des courses je crois…nous avions un piano ramené de Hawaï mais je n’en jouais jamais quand il était là alors il ne devait se douter de rien. Et c’était mieux ainsi. Cela me permettait de faire ce que je voulais en un sens et ne pas l’inquiété. Enfin je me doutais qu’au fond il m’ait déjà entendu jouer cependant il n’en avait rien dit alors je faisais comme si il ne savait pas. Je lisais désormais une lettre m’acceptant dans une école prestigieuse de musique aux Etats-Unis. Je soupirais, je n’aurais même pas du envoyé un dossier là-bas…je ne partirais jamais aussi loin de Zachary. C’était impossible, j’en souffrirais bien trop.

Je me redressais du canapé après avoir finis de feuilleté toute les lettres. Négligemment j’allais balancer les lettres sur la table me disant que j’irais les jetés plus tard, elles venaient toutes d’universités de musique et je n’en accepterais aucune même celle se trouvant à Paris. J’avais brisé les rêves de Zachary. Alors je ne réaliserais pas les miens. J’irais probablement en fac de lettre. C’était la meilleure solution.

Cependant j’allais dans la salle au le piano étaient entreposer. Cela faisait un moment que je n’y étais pas allez…peut-être plus d’un an. Je jouais plus au lycée puisque le piano était dans un meilleur état, celui-ci aurait m’hériter d’être réaccorder. Un peu lasse je retirais ma chemise et m’asseyait sur le siège en découvrant les touches noirs et blanches. Je fermais les yeux et caressait du bout des doigts les touches. Je n’avais pas envie de jouer…je me sentais un peu lasse désormais. J’avais juste envie de rester là pensif. Me souvenant simplement des premiers moments passer devant un piano aux côtés de ma mère.

Finalement doucement je jouais. Une chanson que je connaissais que trop bien. La première que j’avais apprise : elle était simple au départ mais je l’avais amélioré avec le temps. C’était la musique au départ d’un Disney : Pocahontas. Cela faisait longtemps que je ne l’avais pas joué mais les notes me venaient naturellement et je fermais les yeux en me laissant allez à la musique. C’était naturel pour moi de jouer. C’était inné.

- J'aurais aimé que tu sois encore là, murmurais-je en appuyant finalement sur la dernière touche.

Ma mère me manquait. J'aurais été un moins gros fardeau pour Zachary au moins. Je soupirais en m'avachissant un peu sur le piano provoquant une grande cacophonie. J'aurais aimé resté un lycéen toute ma vie je crois.

Le piano me détendait habituellement mais pas cette fois…au contraire…cela m’avait perdu un peu plus. J’aimais tellement ça et pourtant…Zachary aussi avait eu ses rêves. Il y avait renoncé pour moi. J’allais y renoncé en contrepartie…c’était peut-être un peu idiot certes mais il avait tant fait pour moi…

Trop absorbé par mes pensées je n’avais pas entendu Zachary rentré et avachis sur le piano à queue je me rendis compte de sa présence dans la pièce en sursautant un peu. Il ne venait jamais ici habituellement. Je lui souris cependant réellement heureux de le voir mais lui…semblait plutôt dans un état désagréable. Je fronçais les sourcils en remarquant dans sa main un bout de papier. Avait-il reçus une mauvaise nouvelle. Je me retournais donc vers lui torse nue en arquant un sourcil. Que ce passait-il encore ?

- Kaleï... je peux te parler un instant ?

Je le regardais un peu surpris n’aimant pas son ton…il n’allait pas encore demander à rompre n’est-ce pas ? Pas deux fois. Je ne le supporterais pas. Cependant j’attendais simplement le verdict. Il se rapprocha de moi doucement tandis que je sentais que cette journée qui m’avait stressé allait me stressé encore plus. Mais je ne refusais pas de lui parler. Au moins cela signifiait que la chose n’était pas fixe. Une fois qu’il fut près de moi il me tendit le papier dans sa main.

Curieux je le saisis et remarquant le logo en haut…l’université de musique…j’avais oublié de jeter les documents. Je soupirais et passais ma main dans mes cheveux.

- T’énerve pas, murmurais-je mal à l’aise. Ce n’est rien d’important…

Vu son regard blessé…j’avais tort. C’était important. Il allait falloir que je m’excuse de ne pas lui avoir parlé de ma passion pour le piano. J’étais réellement mal à l’aise, j’avais peur qu’il soit en colère après moi après tout je lui avais caché tout ça sur ma vie. Je soupirais un peu…je ne savais pas vraiment par où commencer. J’aurais peut-être mieux fait de lui parler dès le début…mais ne me trouverait-il pas égoïste de vouloir réaliser mes rêves alors que lui n’avait eu aucun choix par ma faute ?

Puis je remarquais que Zachary ne semblait pas…bien ? Je redressais mes yeux dans les siens ? Quelque chose n’allait pas ? A croire que ma passion du piano le rebutait totalement. Cela me blessa…je ne jouais pas si mal que ça quand même ? J’allais lui demander ce qui lui prenait tandis qu’il passait sa main dans ses cheveux, mais il me coupa dans mon élan :

- Qu'est-ce que ça signifie ? Tu vas partir aux Etats-Unis..?

Je regardais la feuille. Il avait évidemment choisi une des écoles hors de Paris, je finis par sourire. Il était adorable. Doucement je me redressais et poser doucement mes lèvres sur les siennes en nouant ses doigts entre les miens avec affection. Je souris le rassurant du mieux possible, bien sûr que non je ne pouvais pas le quitter.

Alors doucement sous ses yeux je déchirais la feuille sans remord. De toute façon je ne comptais pas y’aller. J’avais proposé mon dossier juste pour voir jusqu’où j’aurais pu allez avec mon niveau.

- Pas de panique, fis-je en souriant. Je ne vais nulle part. J’ai juste envoyé mon dossier à plusieurs écoles un peu partout, comme je ne sais pas vraiment ce que je veux faire.

J’étais sincère et Zachary pouvait me faire confiance de toute façon je n’avais aucune raison de lui mentir alors j’espérais réellement qu’il me croirait et se détendrait. Cependant il fallait quand même que je m’excuse. Il m’avait toujours ardemment soutenue, et je n’avais pas le droit de lui cacher quelque chose de si important.

Je soupirais en lâchant ses doigts et me rasseyant sur mon siège en m’étirant nerveusement. Je ne savais pas trop par où commencer. Je passais finalement ma main dans mes cheveux et me plaçait face au piano.

- J’aime vraiment la musique, avouais-je doucement. Le piano est un moyen de faire comme si j’étais encore avec ma mère je crois…et j’ai juste voulu voir quel niveau j’avais. Mais ne t’en fais pas Zac, je reste avec toi. Pour rien au monde je te quitterais.

Je lui souris avec affection. Je l’aimais tant. Rien n’avait plus d’importance pour moi que lui et je tirais doucement sur son poignet pour faire descendre son visage à proximité du mien. Doucement je posais un petit baiser sur ses lèvres avec amour. Ce n’était pas exactement la vérité car j’avais réellement hésité à entrer dans une université musicale mais…ce serait tellement injuste. Zachary aurait le droit de m’en vouloir.

Mais il était trop gentil aussi. Alors jamais je ne lui dirais que j’avais réellement envie de devenir pianiste. Cela resterait mon secret. Mais je jouerais peut-être plus désormais ici, comme loisir.

- D'accord je comprends mieux tous les prospectus. Mais cette école avait l'air plutôt prestigieuse, tu as un tel niveau en piano ? Pourtant je ne t'entends pas souvent jouer.

Je souriais un peu nerveusement. Normal…j’essayais de te le cacher. Enfin pas vraiment au fond…je ne voulais juste pas qu’il me déteste. J’avais brisé les siens et je voulais réaliser les miens, c’était égoïste et j’aurais compris qu’il me dise que je n’étais qu’un con. De toute façon ce n’était pas vraiment un rêve atteignable que de devenir pianiste, trop de gens avait un bon niveau et trop de gens rêvaient de la même chose. Je m’étais fait une raison depuis longtemps…cependant je m’étais inscrit malgré dans ces écoles réputés impossible…et j’avais réussis.

Je me mordis un peu la lèvre et finissais par m’avachir un peu en fermant les yeux. Quelle galère. J’aurais mieux fait de continuer de penser que j’étais nul.

- J’ai pas un niveau exceptionnel, mentis-je en étant tout de même un peu convaincu au fond. Ce ne sont pas les meilleures écoles possibles. Et je joue aux lycées, ce piano est plutôt en mauvaise état.

Mais sa tonalité restait la meilleure. Je ne sais pas vraiment d’où ma mère tenait se piano, je ne m’en souvenais pas mais il était d’une qualité surprenante pour une femme de sa condition. Si j’avais mieux entretenu ce piano il aurait été merveilleux. Mais je ne savais pas m’en occuper il y’a quelques années et désormais j’avais plus peur de l’abimer qu’autre chose. Et engager quelqu’un pour s’en occuper reviendrais bien trop chère.

J’avais mentis cependant à Kaleï et je n’osais pas trop le regarder. C’était les meilleures écoles possibles. Je ne pouvais pas rêver mieux…certaine m’avait même proposés des bourses d’études. Mais tout cela impliquerait encore trop sacrifice pour Zachary et je n’en avais tout simplement pas le droit.

- J’aime vraiment la musique. Le piano est un moyen de faire comme si j’étais encore avec ma mère je crois…et j’ai juste voulu voir quel niveau j’avais. Mais ne t’en fais pas Zac, je reste avec toi. Pour rien au monde je te quitterais.

Je bougeais doucement les pieds contre les pédales du piano tripotant du bout des doigts le dit piano. J’aimais les sons plus doux, les graves ne me plaisait pas, d’ailleurs on me reprochait souvent de ne pas suffisamment exploiter toute les touches et tous les octaves mais cela ne me dérangeait pas personnellement et je ne comptais pas faire carrière alors je pouvais bien jouer comme je le désirais.

J’étais aussi un peu nerveux je suppose d’avouer que c’était comme commémorer le souvenir de ma mère. Quand je jouais, surtout devant ce piano, j’avais l’impression qu’elle était là juste à côté de moi. Parfois j’entendais presque son rire moqueur quand je ratais une touche et sa main passé dans mes cheveux en me faisant sourire et rougir stupidement. Elle me manquait atrocement. Surtout depuis que je ne savais pas quoi faire pour mon avenir. Qu’aurais-je fis si la situation n’était pas ainsi ? Mais au fond je me disais que si tout cela ne c’était pas passé Zachary aurait finis c’est étude et serait partit loin de moi sans même me laisser le temps de grandir et de le faire tomber amoureux de moi…alors au fond, j’étais mitigé sur tout ça. Je l’aimais tant…

- C'est incroyable que je ne l'ai jamais su quand même, mais je comprends tes raisons, si ça te réconforte c'est une très bonne chose. Et si tu veux partir quelque part en particulier tu peux me le demander, je te suivrais.

Je le regardais surpris tandis que sa main passait dans mes cheveux, je grognais un peu tandis que ça me faisait un peu penser à un geste qu’il pourrait avoir envers un enfant. Je voulais d’ailleurs depuis la fois où il avait voulu rompre, qu’il commence à comprendre que j’étais grand. Que j’étais capable de me prendre en charge et de prendre moi-même les décisions les plus importantes possibles. Je ne voulais plus que sous prétexte que je ne savais pas ce qui était bon pour moi à cause de mon âge qu’il se mette à nouveau à me rejeter où je ne sais quoi.

Doucement je me redressais un peu et venait tirer sur sa main pour poser délicatement mon front contre son ventre en fermant les yeux. Jamais je ne voulais le perdre. Il était devenu tout pour moi, bien plus encore qu’avant. J’étais probablement égoïste mais même si il me disait qu’il ne voudrait plus de moi…je continuerais à l’aimer parce que…c’était plus fort que tout autre chose que j’avais éprouvé. Cependant je le laisserais tranquille tout de même. Je ne voulais pas non plus l’emprisonner.

- Je suis très bien ici, affirmais-je calmement. Et désolé de ne pas t’en avoir parlé avant.

Rapidement il s’adossa contre le piano visiblement intrigué. Je le regardais calmement en posant mes mains entre mes jambes les écartant un peu gaminement. Je me comportais parfois comme un adolescent en manque…mais il m’avait promis sa première fois…et ce serait montrer que je suis adulte non ? Bon d’accord j’en avais surtout très envies. Mais comment dire ça à Zachary de dix ans presque mon aîné ? Non c’était impossible. Il allait me rejeté.

- Tu voudrais devenir pianiste alors ? Tu t'es bien débrouillé pour trouver des écoles visiblement. Alors, où est-ce que tu voudrais aller ? Je serais heureux si tu pouvais réaliser ton rêve Kaleï.

Je me crispais. Comment pouvait-il être aussi gentil alors que moi j’avais brisé les siens de rêve ? Mais rapidement je souriais avec naturel. Zachary était quelqu’un de trop gentil. Mais j’appréciais qu’il le soit cela n’empêchait cependant pas que je n’allais certainement pas dire qu’effectivement c’était mon rêve ou que je souhaitais le réalisé. C’était contre ma propre morale.

Je me levais un peu et venait me blottir contre lui caressant doucement de ma langue sa nuque avant de redresser mon visage vers le sien et de l’embrasser sensuellement en caressant du bout de la langue ses lèvres. Je voulais changer de sujet. Et j’avais envie de lui. Mais cependant ce serait trop claire de voir que j’évitais le sujet alors je lui souris naturellement sûr de moi en me détachant un peu de son corps.

- Je n’ai pas de rêve, affirmais-je calmement. Je ne sais pas ce que je veux faire, j’ai juste envoyé mon dossier partout pour me laisser le plus de porte ouverte au cas où.

Ce n’était pas totalement faux…mais pas totalement vrais non plus. J’espérais cependant qu’il serait distrait par autre chose. Doucement mes mains passait sous son vêtement et je caressais en douceur son bas ventre remontant petit à petit jusqu’à ses tétons que je faisais délicatement rouler entre deux de mes doigts en venant l’embrasser cette fois avec appuie.

De ma main libre je vins poser la sienne sur mon torse brûlant et fermais les yeux profitant juste de se contact si doux. Je l’aimais aux points que j’avais l’impression que ma tête tournait lorsque je l’embrassais. Je m’écartais donc en faisant tomber mes lèvres dans sa nuque suçotant sa peau en y laissant ainsi de petite marque bleuté qui me firent sourire un peu. Il était à moi et j’aimais laisser des traces si visibles sur lui.

- Tout ce que je veux c’est être près de toi, murmurais-je prêt de son oreille en l’enlaçant finalement tendrement.

Et cette fois j’étais totalement sincère. C’était tout ce qui m’importait. Peu m’importe si je ne faisais rien dans le domaine de la musique si je pouvais rester auprès de lui.

- Kaleï attend une seconde tu veux ? Tu es certain que ça ne te tente pas ? Ça se voit quand tu mens, tu sais. Il ne faut pas t'en priver si tu en as envie, tu auras beaucoup d'argent débloqué quand tu seras majeur, ça ira.

Il me rejetait encore. Je détestais quand il faisait cela même si cette fois-ci ce n’était pas dans le but de rompre. Je soupirais en me détournant un peu, je savais qu’il était trop facile pour lui de lire en moi mais franchement je n’avais pas envie de parler de ça, j’aurais préféré passer du temps avec lui et non ce prendre la tête sur ce sujet inutile. Je savais déjà la réponse à toute mes questions, ce rêve ne verrait jamais le jour c’était tout.

Cependant j’étais tout même heureux de savoir que bientôt j’allais pouvoir aider Zachary à nous entretenir tous les deux. Je ne voulais pas dépendre de lui, je voulais que nous vivions ensemble comme un véritable couple non pas comme un tuteur qui avait obligation de s’occuper de moi. Je voulais que tout le monde sache que nous étions en réalité fou amoureux et non simplement liés par un quelconque faux lien de sang.

- J’n’ai pas envie d’attendre, murmurais-je finalement en me rapprochant de lui. S’il te plaît arrête de parler de ça tu veux ? Cela n’a aucune importance.

C’était plus tôt vrai dans un sens car je me fichais un peu de ça quand je me disais que je passerais ma vie avec lui. C’était mon seul véritable désire. Pour essayer de lui changer les idées je le touchais à nouveau faisans délicatement rouler ses tétons entre mes doigts ravis d’entendre ses gémissements, et prenait sa main pour la posé sur mon torse nue pour qu’il me touche lui aussi. Je voulais qu’il me désire et ne puisse plus que céder.

Finalement me rapprochant de lui pour embrasser sa nuque en laissant de petites marques bleues il me fit sourire en posant ses mains sur mes hanches. Il ne me rejetait pas et cela me faisait réellement du bien, tout cela m’avait vraiment stressé mais quand j’étais ainsi près de lui rien ne semblait d’avoir d’importance appart lui. Je lui avouais donc sincère. Il était le seul important, peut m’importe si je ne devenais pas pianiste, tant que lui garderait ses sentiments pour moi.

Lorsqu’il m’embrassa tendrement je serais mes bras autour de sa taille en ferment les yeux en souriant amoureux fou de ce gars. Il aurait pu me faire faire n’importe quoi je crois, pour lui j’étais prêt à tout.

- Moi aussi je veux être près de toi, je ne te laisserais pas t'éloigner de moi de toute façon, il faudrait m'emmener avec toi.
- Nous n’irons nulle part, assurais-je calmement. Et surtout pas maintenant…s’il te plaît…faisons quelque chose de moins sérieux.

Je caressais sa peau avec délice. Je le voulais réellement, j’avais envie juste que nous soyons plus proche encore pas qu’on se prenne la tête la dessus, cela me ferait juste encore plus paniqué. En parlez à haute voix était plus dur, c’était comme formulés ce que je taisais profondément en moi.

Mais je perdais le sourire. Il me repoussa gentiment mais me repoussa quand même. Je soupirais et abandonnait docile. Je m’assis sur le piano sans le regard tandis que lui prenait ma place sur le siège. Il devait penser qu’assis je pourrais moins le toucher, c’était vrais je suppose. Je balançais mes jambes dans l’air en regardant un point devant moi. J’aurais vraiment du jeté ces foutues lettres. Mais retirant mon regard Zachary pris ma main dans la sienne nouant ses doigts entre les miens, je lui souris doucement. Je n’étais pas fâché, c’était juste que j’avais vraiment envie de lui et cette histoire me rendait nerveux. Mon rêve…je m’en fichais. Le sien avait été anéanti par ma faute, je ne me le pardonnerais jamais.

- N'essaie pas de m'aguicher pour éviter le sujet qui te dérange tant. L'année prochaine tu dois choisir quelque chose, et j'exige que ce quelque chose te plaise plus que toute autre. Ce n'est pas parce que j'ai choisi de ne pas terminer mes études que tu dois te restreindre, j'étais grand et c'était mon choix. Je ne le regretterais jamais.

Je retirais ma main blessé tandis qu’il pensait que je voulais le faire avec lui juste pour changer de sujet. Mais ne m’énervait pas pour autant, je soupirais simplement en sautant sur mes pieds hors du piano. Je passais ma main dans mes cheveux avant de m’étirer doucement pour me détendre.

Il m’énervait à lire aussi bien dans mon esprit, à croire que j’étais simplement un livre dont il feuilletait les pages. Mais je ne pouvais démentir qu’il avait vu juste de toute façon si je mentais il le verrait aussi alors que dire ? Je restais un moment silencieux planté dans la pièce, je m’adossais un peu aux pianos en soupirant encore. Je ne savais ni quoi dire ni si il fallait accepter ou refusé. Accepté serait égoïste à mes yeux. Refusé…n’avait rien de dramatique. J’avais ce rêve mais j’en nourrissais d’autre bien plus important et là plus part le concernais.

- Je ne t’aguiche pas pour éviter le sujet, je t’aguiche parce que j’ai envie de toi, fis-je d’abord mécontent. Et…ce n’était pas ton choix. Tu as été forcé de me prendre avec toi parce que tu tenais à moi déjà et que ma mère t’a choisi pour t’occuper de moi. Ce rêve n’a pas d’intérêt, je n’y crois même pas alors cela ne sert à rien d’en parler.

Me surprenant il me tira vers lui et je me laissais faire tandis qu’il m’embrassait. Doucement je m’asseyais sur lui à califourchon entourant mes cuisses sur ses tailles. Cette position ne me faisait que plus le désirer et comme pour en témoigner je faisais descendre mes lèvres dans sa nuque pour la mordillé doucement. Mais je n’avais pas envie d’être rejeté alors je m’arrêtais vite en constant son sourire rassurant…il était sincère ca je le savais bien mais cela ne changeait pas pour autant le fais que moi je n’apprécierais pas. Je ne pouvais pas faire ça, c’était contre ma morale.

- Tu me rends heureux tu sais... alors arrête de culpabiliser.

Je soupirais. Il était adorable et me faisait craquer mais tout ça…avais-je vraiment le droit ? Il semblait tellement sûr de lui…est-ce que ce serait bien ? Je m’écartais et revenais m’assoir sur le piano. Cette place me détendait. Je crois que parfois mon père à une époque venait s’assoir là écouter ma mère mais c’était à l’époque où il n’avait pas de dette d’argent.

- J’arrêterais de culpabiliser quand toi tu auras réalisé ton rêve Zac, soufflais-je en plantant mes yeux dans les siens. Je ne veux pas pouvoir réaliser le mien en sachant que toi tu n’as pas pu.

Je m’allongeais sur le piano en regardant le plafond. Peut-être…pourrait-il reprendre ses études ? Je sais que ce serait difficile au niveau du salaire mais ce serait possible non ? Je prendrais aussi un travail pour aider et l’argent de mes parents pourrait servir. Je n’avais pas besoin d’aller dans la meilleure école possible, tant que je pouvais poursuivre dans le domaine musical c’était l’essentiel. Alors on pouvait rester ici, la fac de Suki proposait un bon niveau de musique. Si je travaillais en plus de moi-même je pourrais encore progresser.

Cependant…cela allait faire que nous allions perdre beaucoup de temps…travail et étude…tout cela allait être si compliqué…moins le voir…mon cœur se serra mais c’était une bonne solution ? Alors doucement je me redressais et le regardais.

- Si tu reprends tes études je réaliserais mon rêve.

J’étais catégorique ce serait la seule chose que j’accepterais. Sinon je ne prendrais jamais ce genre d’étude. Lentement je redescendais par terre et revenais m’installer sur ses jambes. Je venais mordillés sa lèvre délicatement en passant mes mains sous sa chemise. J’aimais bien les chemises…déboutonnés les boutons lentement en léchant son corps petit à petit…ce serait géniale.

Je l’embrassais finalement simplement caressant directement son bas ventre. Je glissais ma langue dans sa bouche avec désire. Je ne voulais pas qu’il me résiste. Mais pourtant je savais qu’il le ferait et cela me blessait d’avance.

- Allez Zac…, murmurais-je à son oreille. Je suis à bout…me repousse pas…

Pour le lui montrer doucement je portais mes doigts à mon bas ventre brûlant de chaleur puis embrassait un peu plus doucement. Si il voulait il pouvait toujours m’éloigner mais j’espérais qu’il allait enfin craquer…je laissais mes yeux dans les siens calmement.

- J'insiste, j'avais le choix. Tu aurais pu être confié à un organisme et je serais venu te voir régulièrement. Alors arrête de t'en vouloir pour mes propres choix.

Idiotement je me sentis blesser. L’idée qu’il me confie à quelqu’un d’autre était assez atroce, j’aurais préféré continuer de croire que cela avait été comme une obligation pour lui. Sûrement avait-il hésité à me laisser à un « organisme » et j’avais presque envie de lui en vouloir alors qu’au fond j’étais totalement idiot puisqu’il avait dû sacrifier énormément de chose pour moi. Au fond j’étais encore un gamin. J’avais envie qu’il ait toujours été amoureux de moi alors que gamin il devait être bien trop vieux pour s’intéresser à moi c’était totalement normal d’ailleurs.

Je soupirais et m’éloignais. Combien de fois avait-il été amoureux ? Combien de fois avait-il eu des relations ? Ce n’était pas parce qu’il ne m’avait pas présenté toute ses conquêtes qu’il n’en avait pas eu…je me mordis la lèvre. Mon esprit déraillais complétement de sujet et je me faisais souffrir vainement il était à moi désormais c’était l’essentiel je suppose.

- Ce n’est pas ton genre d’abandonner un gamin, fis-je en haussant les épaules. Tu as peut-être eu le choix mais cela n’empêche que si…j’avais été plus âgés ou que mes parents n’aient pas été tués les choses auraient été bien différente pour toi. Alors quoi qu’il arrive je resterais coupable du fait que tu n’es pas eu le droit de réaliser tes rêves.

[…]

- J'ai déjà un bon travail, je n'ai pas à me plaindre.
- Menteur, soufflais-je en plantant mes yeux dans les siens.

Je savais qu’au fond ce n’était pas totalement un mensonge, il aimait bien son travail mais il n’avait rien à voir avec ce qu’il voulait réellement faire. Mais … si il reprenait ses études cela signifierait non seulement que nous ne nous verrions plus…mais aussi qu’il replongerait. Mes doigts se crispèrent un peu sur la paume de ma main. Je savais que c’était inévitable il adorait bien trop cela pour s’arrêter malgré son accident…et je savais que mon avis ne pèserait plus de poids très longtemps. J’étais peut-être irrationnel mais je ne voulais pas le perdre. Mais c’était son rêve…je ne pouvais pas l’empêcher de le réaliser.

Une autre peur était aussi qu’il rencontrerait d’autre personne en reprenant ses études…des gens qui partageraient sa passion. Cela allait dur de ne pas le voir en se disant qu’il était probablement en train de s’éclater avec d’autres gens que moi. Je détournais le regard peiné. Cela allait vraiment être douloureux. Je n’avais pas envie de tout ça je crois. Mais…s’il trouvait quelqu’un de mieux que moi je comprendrais s’il était heureux. Et si il tombait amoureux d’un autre c’était que son amour pour moi n’était pas assez fort alors cela ne servait à rien de se dire que je le retiendrais. Je me redressais allongé sur le piano pour le regarder. Il avait le droit d’être heureux au possible.

- Si tu reprends tes études je réaliserais mon rêve.

Il détourna le regard et je m’approchais de lui pour le forcer à me regarder. Si lui désirait réaliser mes rêves moi je voulais réaliser les siens et il n’avait aucune raison de refuser. L’argent on se débrouillerait, chacun avec un petit boulot et en faisant attention cela irait surtout avec l’argent que j’aurais à mes dix-huit ans. Le temps de la fin de nos études du moins.

- C'est le seul moyen pour te faire céder ? C'est idiot Kaleï, nous n'avons pas les moyens, je ne pourrais pas nous entretenir tous les deux si je ne bosse plus à temps plein.
- Le seul oui, affirmais-je plein d’aplomb. On prendra tous les deux un job à mi-temps, ensemble on peut y’arriver.

J’étais totalement sérieux et il n’avait vraiment aucune raison de refusé. S’il le faisait je serais vraiment fâché qu’il est le droit de vouloir faire mon bonheur et moi pas l’inverse. Je passais ma main dans ses cheveux avec affection et m’accroupissait un peu pour embrasser doucement ses lèvres avec amour.

Je voulais qu’il croie en moi et en nous. Si nous le voulions vraiment nous pourrions tout deux faire ce que nous voulions et si ce n’était pas le cas et bien aucun de nous deux ne le ferais ce serait tout. Il semblait vraiment intensément réfléchir et j’espérais qu’il opterait finalement pour accepter mon marchandage mais j’avais des doutes Zachary était du genre difficile à convaincre.

- Mais comment tu comptes t'y prendre financiè...

Agacé d’avance je réagis un peu impulsivement, je me réinstallais à califourchon sur lui et venait commencer à l’exciter le coupant dans sa phrase. Il était un idiot. Il ne me faisait pas assez confiance, si je pensais que c’était possible c’était que je me sentais capable moi-même de prendre un boulot en plus de faire mes études.

J’aurais très bien pu travailler dans un bar en tant que pianiste ou serveur. Même si cela signifierait peut-être travailler de nuit et passer vraiment un temps minime avec Zachary cela me convenait si nous étions tous deux dans l’idée d’aboutir à un certain avenir. Et je crois que même si il me disait qu’il ne voulait plus de moi parce qu’il avait rencontré quelqu’un d’autre j’aurais accepté de continuer à ce que nous fournissions tous deux un salaire pour subvenir à nos besoins respectif. Je l’aimais un peu trop.

Mon désir pour lui exprimait ce sentiment, j’étais un peu brutale mais doux tout de même. J’avais peur aussi je suppose de le perdre si il reprenait ses études. Des gens de son âge…des gens comme lui…ce serait compréhensible qu’il trouve quelqu’un de mieux. Je fermais les yeux me concentrant sur sa langue qui venait caresser la mienne en me ravissant.

- Allez Zac… Je suis à bout…me repousse pas…

Obéissant à mes désirs en me faisant sourire Zachary me toucha enfin vraiment caressant mon bas ventre nu de ses doigts en venant à nouveau m’embrasser. Tendrement je nouais mes bras autour de son cou en appuyant un peu plus ma langue contre la sienne. Je ferais tout pour le garder à moi et je supposais que lui donner du plaisir serait déjà une bonne manière. Alors doucement je remuais un peu les hanches sur son entrejambes taquins en continuant de l’embrasser.

- Tu as un certain don pour convaincre tu sais...

Je riais un peu amusé avant que me surprenant Zachary m’allongea sur le piano en me faisant lâcher son cou. Rapidement me faisant légèrement grogner je sentis doucement ses lèvres déposé une marque dans ma nuque. Ce suçon se verrait vraiment sur ma peau halé et on allait me bombarder de question au lycée ce n’était pas très judicieux de sa part mais au fond je m’en fichais un peu. J’avais envie depuis longtemps que tout le monde sache qu’il était à moi et non juste mon tuteur…mais cela lui attirerait bien trop d’ennuie. Il faudrait que je trouve une invention quelconque.

Finalement mes mains passèrent dans ses cheveux tandis que je soupirais doucement de plaisir lorsqu’il commença à caresser l’intérieure de mes cuises et lécher mes tétons en même temps. Je nouais un peu mes jambes autour de lui avec désire.

- Tu es pas mal non plus dans le genre convaincre à se jeter sur l’autre, murmurais-je en souriant.

J’étais heureux qu’enfin il ne me rejette pas, j’avais juste envie qu’on soit proche. Cette idée qu’il trouve mieux…me traumatisait plus que de raison. Je passais mes doigts vinrent la limite de son pantalon tirant sur le bouton alors que ses mains caressaient mes fesses et que cette fois il mordillait mes tétons en me faisant me cambrer doucement. Il allait me rendre fou de désir.

Je le repoussais alors un peu pour pouvoir me redresser. Une fois mon visage à sa hauteur je l’embrassais délicatement alors que mes doigts défaisait avec désir le bouton de son pantalon et le firent tomber au sol en venant effleurer ensuite du bout des doigts son membre durcissant légèrement. Je gardais mon corps près du sien tandis que mon cœur battait déjà la chamade. J’allais finir par perdre la tête à l’aimer autant mais stoppant mes gestes il reprit la parole :

- Je ne te repousse plus, mais notre conversation sera reprise plus tard. Il est un peu trop difficile de te résister.

Je soupirais. Non j’avais envie d’oublier par d’en reparler. Alors autant le faire maintenant, de toute façon visiblement il n’oublierait pas cette histoire. Je lui avais déjà dit que c’était possible c’est lui qui ne voulais pas me croire c’était son problème…que voulait-il que je fasse que j’argumente vainement ? J’allais lui dire que nous ferions mieux d’arrêter là et d’en parler si c’était vraiment ce qu’il voulait quand je dus me rallonger brutalement en me cambrant.

Sa langue était descendue brusquement à mon bas ventre et j’y étais plus que sensible. Mon membre gonfla fortement dans mon pantalon tandis que je me cambrais de désir pour que sa langue descende sur mon membre. Mais ce n’était pourtant pas le bon moment. Je n’avais pas envie de le faire si c’est pour juste éviter un sujet. Visiblement il voulait en parler alors autant le faire maintenant, je n’avais pas envie que ce sujet nous poursuive des mois.

Je le regardais en me mordant la lèvre. Mais comment résister tandis qu’il mordait mon boxer en faisant encore un peu plus gonflés mon membre de désire. J’avais pris de l’assurance mais lui bien plus encore et cela me démoralisait un peu au fond de voir qu’il avait toujours de l’avance sur moi. Rapidement il revint poser son visage à hauteur du mien tandis que je passais un peu ma main sur un deuxième suçon qu’il avait posé sur mon bas ventre en me faisant sourire cette fois-ci.

- Tu veux que j'aille plus loin ?

Je le regardais un moment en souriant moqueur, il aimait me gêné c’était une évidence mais je n’étais plus d’humeur. Cela semblait important pour lui cette foutue conversation qui ne mènerait à rien vu qu’il semblait convaincu de ne pas pouvoir répondre à ma demande. Je l’écartais donc de moi en me rasseyant sur le piano.

- Non, fis-je doucement en prenant juste ses doigts entre les miens. Tu sembles y tenir alors parlons. On aura tout le temps plus tard pour ce genre de chose.

Rapidement je sautais du piano et allait récupérer mon haut qui traînait par terre je l’enfilais espérant que Zachary lui avait remonté son pantalon car son membre durcis me donnerait bien trop envie pour que je ne me contienne réellement. Je m’asseyais finalement face au piano en m’étirant cherchant à me calmer. Ma propre érection était flagrante malgré mon jean et j’allais avoir fortement du mal à me calmer.

Doucement je reposais mes yeux dans les siens en m’avachissant un peu sur les touches du piano de façon peu abrupte pour qu’elle ne fasse pas de bruit. Ça m’avait toujours fascinés cette façon que le bruit était différent si vous tapiez fort ou non, je m’étais toujours demandé enfant a quoi cela était dû mais aujourd’hui je comprenais mais cela me fascinait tout autant. Enfin ce n’était pas le sujet. Mon œil dans celui de Zachary je lui demandais finalement doucement :

- Si on travaillait tous les deux même à mi-temps on aurait suffisamment d’argent pour nous deux, et avec l’argent sur mon compte aussi, affirmais-je platement. Si ton prétexte pour refuser est l’argent tu peux le garder, il faudra trouver mieux.

Je ne déviais pas mon regard cette fois-ci. J’étais un peu agacé par tout ça de façon irrationnel puisqu’il ne voulait que mon bien mais je n’aimais vraiment pas que lui est le droit de faire que mes rêves soit réalité et que moi non si j’en avais la possibilité. Je fermais les yeux un moment songeur…comment aurait-été Zachary si il avait continué ses études et qu’il m’avait laissé à quelqu’un d’autre ? Probablement quelqu’un de totalement différent…mais peut-être de plus heureux ?

Je n’aimais pas ce genre de conversation justement pour cela…cela me rappelait bien trop à quel point sa vie actuel pourrait être bien mieux. Je soupirais mais continuait cependant calmement :

- Tu veux étudier les méduses non ? Fis-je souriant doucement. Alors vas-y fonce. Je suis grand maintenant Zac, je ne suis plus un gamin dont tu dois continuellement t’occuper.

D’ailleurs je pensais l’avoir suffisamment prouvé c’est dernier temps entre le fait que j’ai surmonté le fait de découvrir la vérité sur mes parents et celui de m’être débrouiller seul pour mes inscriptions dans différente école. J’espère qu’il céderait. Je voulais le voir heureux.

- Ca semble compliquer Kaleï, tu serais ennuyé pour suivre tes cours correctement si tu avais un travail à côté...

Je lui balançais un coup de poing dans l’épaule mécontent. Il me prenait vraiment pour un gamin. Comme si je ne pourrais pas gérer étude et boulot, des centaines d’étudiants le faisaient et s’en sortait très bien. J’étais de plus assez débrouillard et pas idiot, alors je me pensais vraiment aptes à tenir un rythme où étude et travail ce mélangeraient.

Je finissais ensuite par soupirer en passant ma main dans mes cheveux. Ce gars allait continuer de me prendre pour un gamin encore combien de temps ? Nous faisions l’amour ensemble, il m’avait vu grandir mais pour autant parfois j’avais encore l’impression qu’il était mon père et que moi j’étais le pauvre gamin qui ne savait rien de la vie.

- Je ne suis plus un enfant enfin Zac, finis-je par soupirer en plantant mon regard dans le sien. Je sais à quoi m’attendre si je prends un travail en plus de mes études, si je le propose c’est que je m’y sens apte.

[…]

- Non. Tu sembles y tenir alors parlons. On aura tout le temps plus tard pour ce genre de chose.

J’eu un peu de mal à dire cela en réalité alors qu’il me proposait de prendre mon membre dans sa bouche. J’eu un léger frisons tandis que je renfilais mon T-shirt à l’idée de sa langue humide tout contre mon gland et je soupirais en m’avachissant un peu alors que mon érection gonflait un peu plus.

Me retournant vers Zachary je fus soulagé qu’il se soit rhabillés lui aussi même si au fond un peu dessus. Je suppose que j’aurais aimé qu’il me demande de continuer et non s’arrêter là. C’était réellement frustrant surtout quand il se montrait aussi désirable. Je soupirais. Il allait finir par me tuer de désire pour lui.

- Et on a aussi le temps d'en parler après.
- Le plus urgent d’abord, fis-je en riant légèrement à son grognement.

Rapidement je m’asseyais en continuant de le regarder. Son érection toujours aussi visible que la mienne…et le désire de toucher un peu plus son corps me tenaillant le bas ventre. Je détournais alors le regard de son corps pour ne céder à mes propres pulsions. Il fallait que je montre que j’étais un adulte moi aussi, capable de contrôlés ses désirs. Même si cela relevait d’une épreuve mentale.

Je lui lançais une première fois que si c’était l’argent qui lui posait problème c’était un bien mauvaise excuse même si il pensait que j’allais me viander en combinant travail et étude. Je n’étais pas idiot, premier de ma classe et bon musicien je savais que les cours d’une école de niveau moyen serait assez aisé pour moi-même si c’était surement un peu vantard de ma part, je savais très bien que quand même j’aurais du pain sur la planche. Mais j’arriverais à gérer car c’était ma passion. Et si je trouvais un travail en rapport cela ne serait que bénéfique. J’aurais apprécié travailler dans un bar musical ou peut-être dans un magasin de musique. Je préparerais tout cela pendant les vacances qui approchait.
Je n’obtins cependant aucune réponse, comme si ce que je disais n’avait pas d’importance et cela m’agaça. Rapidement cependant je taisais mon regard courroucé de n’obtenir qu’un silence et finissais par essayer de relancer à nouveau la conversation et le poussa à accepter :

- Tu veux étudier les méduses non ? Alors vas-y fonce. Je suis grand maintenant Zac, je ne suis plus un gamin dont tu dois continuellement t’occuper.

Cette fois au moins je réussis à lui décocher un rire, je souris donc naturellement même si j’avais envie de rajouter « mais en échange ne me trompe pas ». C’était douloureux d’imaginer que peut-être j’étais en train de le pousser à rencontrer des gens qui lui conviendraient bien mieux que moi. Je serais les doigts douloureusement sur ma paume mais continuait de lui sourire normalement. Ce n’était pas un sourire faux au fond je souhaitais vraiment qu’il reprenne ces études : c’était son rêve. Et s’il trouvait quelqu’un apte à le rendre plus heureux que moi je ferais mon possible pour l’aider à être avec cette personne même si cela me briserait.

- Tu as raison. Essayons ça comme ça alors. On fait des études tous les deux et on travaille à côté, mais je te préviens tu ne t'épuises pas à la tâche, compris ?

Je le regardais étonné…il acceptait vraiment ? Bon vu son ton autoritaire c’était avec compromis et du coup je vins mordre doucement sa nuque entre mécontentement et ravissement. J’étais heureux qu’il me fasse confiance et accepte de reprendre son rêve. Cela me soulageait réellement je crois de ne plus être totalement celui qui avait empêché ses rêves de se réaliser.

J’étais aussi heureux que je passe un peu plus au stade d’adulte qu’enfant à ses yeux même si tout de même il restait un peu trop paternel en m’interdisant d’en faire trop, comme si lui n’allait pas en faire trop.

- Cela vaut pour toi aussi Zachary, soufflais-je en reposant mon regard dans le sien. Si tu t’épuise je t’attacherais au lit.

Je souris doucement préférant pour ma part la plaisanterie à l’ordre autoritaire mais il devait savoir que je n’apprécierais vraiment pas que moi je n’ai pas le droit de finir mort de fatigue et lui si. Et l’attaché au lit…ne me déplaisait pas. Le voir impuissant à la merci de mes doigts…j’eu un frisson rien qu’à l’idée de le voir se cambrer sous mes caresses sans pouvoir rien faire. Je rougis un peu cependant à mes idées perverses. Ce ne serait peut-être pas à son goût il préférait visiblement être dominant.

- Que dirais-tu de reprendre là où nous nous sommes arrêtés ?

Je me mordis violemment la lèvre…à croire qu’il lisait dans mes pensées. Mais je me doutais que lui avait plus tôt pour idée de me pénétrer…je soupirais un peu maladroitement, il allait falloir que je le dise à haute voix si je souhaitais inverser les rôles aujourd’hui. Mais j’avais peur d’en réalité juste le braqué, l’idée ne semblait pas du tout lui effleurer l’esprit c’était peut-être parce qu’il n’en avait pas envie…il fallait donc mieux que je refoule et pense à autre chose.

Chassant ces idées de mes pensées Zachary se rapprocha à nouveau de moi glissant sa langue dans ma bouche. Ses mains passèrent à nouveau sous mon T-shirt et je ne pus que répondre à ses caresses avec délices venant poser mes mains vers son membre au-dessus de son pantalon caressant les alentours de son érection avec appuie. Mais bien vite il m’empêcha de le toucher relevant mon T-shirt dévoilant à nouveau mon torse nu mais surtout descendant petit à petit son visage vers mon membre en me faisant fermer les yeux impatient et rougissant.

- Comment veux-tu que je te dise non ? Finis-je par soupirer.

Je me cambrais violemment quand ses doigts vinrent jouer avec le bouton de mon pantalon et que sa langue caressait mon bas ventre. Je gémis aussi un peu trop fort sous la brutalité du désir que j’avais pour lui. Il me rendait fou. Je passais sensuellement mes doigts dans ses cheveux alors que j’écartais mes jambes quand il les poussa pour se placer entre elle. Je voulais qu’il prenne mon membre dans sa bouche et faire délicatement bouger sa tête à un rythme plus soutenue. Mais gêné je retirais mes mains…je me prenais bien trop pour un seme aujourd’hui.

Ses lèvres se posèrent sur mon membre et je basculais la tête en arrière calant mes mains un peu en arrière pour me soutenir. Rapidement il finit par vraiment me faire me mordre la lèvre quand défaisant le bouton de mon jean il lécha mon membre à travers mon boxer. Je n’en pouvais plus. Il fallait vraiment que ses lèvres serrent mon membre et me face jouir…je soupirais de désire un peu plus fort en sachant plus quoi faire de mes mains.

- Je n'ai plus envie d'attendre Kaleï, laisse-moi te caresser maintenant, te donner du plaisir...

Je le repoussais un peu et le redressais faisant moi-même la même chose. Doucement je glissais ma langue dans sa nuque en glissant délicatement deux doigts sous son pantalon caressant par-dessus son boxer son membre aussi dur que le mien. Je jouais avec son gland en de petit cercle doux tandis que ma langue descendait de sa nuque à ses tétons que je mordillais sans douleur mais avec un peu de brusquerie je le voulais entièrement à moi.

Puis finalement malgré le rouge à mes joues je faisais tomber mon pantalon et mon boxer au sol. Me laissant nue devant lui, je prenais une de ses mains et la portais à mon membre tendue en me cambrant un peu sous le contacte de ses doigts contre celui-ci. Je voulais qu’il me donne du plaisir plus que jamais alors doucement lâchant sa main pour reporter la mienne sur son pantalon appuyant fortement sur tout son membre je mordillais son oreille pour y susurrer :

- Mon corps est tout à toi.

Mais le sien aussi…à nouveau je faisais tomber son pantalon sensuellement passant doucement mes doigts dans son dos pour désormais titillé la bordure de son boxer. Je passais délicatement mes mains sur ses fesses avec un désir que je n’arrivais réellement par à maîtriser. Du bout de l’index je caressais son entré en l’embrassant un peu brutalement pour le faire taire si il me rejetait…mais je me rendais bien vite compte de ma gaminerie et retirais ma main pour simplement la reportés vers son membre en détournant le regard gêné.

- Désolé, murmurais-je vaguement.

Puis comme pour me faire pardonner je venais porter à ma bouche deux de mes doigts que je léchais sensuellement tout près de son visage retrouvant je suppose un peu plus m’a place de uke. Une fois grandement humidifié je les faisais de nouveau descendre vers le torse de Zachary pour les glisser cette fois sous son boxer. Un peu brusquement je coinçais son gland entre mes deux doigts humide tandis que de ma main libre je caressais ses tétons tout doucement contrastant avec la brusquerie de mes doigts humide contre son gland.

- Tu veux allez dans la chambre ? Demandais-je en mordant doucement la lèvre inférieure de Zachary caressant toujours son membre durcis. Ou tu es trop impatient pour attendre une seule seconde pour entrer en moi ?

J’étais un peu trop direct peut-être…mais j’avais hâte de le sentir en moi puisque je ne pouvais faire l’inverse. J’aimais me sentir proche de lui surtout que peut-être…l’année prochaine il ne voudrait plus me toucher.

- Tout comme le mien t'appartient.
- Ne me tente pas trop, murmurais-je doucement.

Je me mordis un peu la lèvre. J’étais idiot de dire ça, je me disais qu’il fallait que je me retienne mais pour autant je n’arrivais pas à chasser mon désir de le pénétrer, de sentir mon membre gonflés serrés entre ses parois. Je détournais le regard et me mordais un peu plus la lèvre de désire en sentant son membre durcir entre mes doigts, ce serait tout de même vraiment bon que lui entre en moi. C’était ce qu’il fallait que je me dise.

Cependant j’avais beau essayer de me dire tout cela mes mains partirent caresser doucement ses fesses, puis son entré. J’étais un peu brutal en l’embrassant et je perdais totalement pied en sentant ses doigts sur mon membre, je voulais le pénétrer. C’était un désire brûlant et chaud que je peinais à contrôlés. Et son gémissement m’acheva…aimait-il ça ? J’écartais cependant mes doigts tandis qu’il semblait assez mitigé. Probablement n’appréciait-il pas. Je reportais ma main à son membre et m’excusait doucement conscient que comme il n’avait jamais dû faire ça cela l’effrayait bien plus que ne lui plaisait.

Pour un peu compenser mes réactions trop dominantes, je glissais deux doigts dans ma bouche en le regardant sensuellement, sortant parfois ma langue pour qu’il la voie appuyé sur mes doigts. Me faisant sourire il mordit sa lèvre, j’étais heureux qu’il semble apprécié. Mais me surprenant finalement il arrêta mon poignet et je le fixais un peu étonné…cela ne lui plaisait pas ?

- Attends, ne t'excuse pas. Je... je suis d'accord pour inverser les rôles.

Mon cœur rata un battement et mon membre durcis un peu plus encore. Je mordillais doucement sa nuque de désir avant de soupirer un peu. Il disait cela juste parce que j’étais entreprenant, il voulait je suppose compensé le fait qu’il avait pris ma virginité un peu brutalement…je n’en voulais pas si c’était ainsi.

Doucement je portais mes doigts humides à son membre. J’étais un peu brusque probablement pour lui faire oublier cette idée, c’était plus douloureux qu’autre chose pour moi.

- On verra une autre fois, soufflais-je en souriant tout de même heureux qu’il ne refuse pas catégoriquement de le faire ainsi. C’est trop brusque pour le moment.

Il fallait mieux qu’il se prépare mentalement pour le faire, il serait trop tendu pour le moment mais il était aussi un peu un idiot actuellement. Délaissant mon entré il se concentrait sur mon membre en me faisant gémir violemment alors que j’étais tout près de son oreille encore. Je rougissais un peu gêné en posant ma tête contre son torse continuant mes propres mouvements sur son membre me concentrant de temps en temps sur son gland de mes deux doigts humidifiés par ma salive.

- Tu veux allez dans la chambre ? Ou tu es trop impatient pour attendre une seule seconde pour entrer en moi ? Finis-je par demander mordillant sa lèvre taquin pour lui faire oublier cette idée définitivement.
- Cette salle-ci est très bien, je n'ai pas envie d'attendre. Mais aujourd'hui ce n'est pas moi qui vais entrer en toi

Je me mordis la lèvre…il ne fallait pas qu’il me tente autant, j’allais vraiment craquer à force. Mon membre gonflait de plus en plus à l’idée d’entrer en lui et mon souffle devenait de plus en plus cours aux caresses de Zachary. Il allait me rompre de désire. Mais pourtant…cela se sentait que l’idée l’effrayait visiblement après tout c’était compréhensible, il savait que la première fois faisait mal. C’était inévitable et cela m’effrayait moi-même un peu…je voulais qu’il prenne du plaisir et si il n’en prenait du tout…je m’en sentirais réellement mal. Je posais ma main libre sur sa taille continuant de le caresser peut-être un peu plus doucement qu’auparavant.

- Tu as envie de me pénétrer, alors dis pas d'ânerie, soufflais-je en lui tirant la langue gamin.

Et comme pour me confirmer et me faisant sourire un peu je retrouvais le Zachary dominant. C’était visiblement sa préférence et même si cela me décevait un peu cela me convenait. Il m’embrassa brusquement et je répondais à son baiser en caressant sa langue de la mienne avec délice mais je ne devais pas fermer le regard tandis que lui me fixait intensément en serrant mon membre entre ses doigts. Je me cambrais cependant en gémissement fortement à la sensation sans pouvoir soutenir son regard…j’adorais quand lui me touchait ça n’avait rien à voir avec quand je me satisfaisais moi-même, la sensation était totalement différente et me faisait frissonner de la tête au pied.

Mais me laissant de nouveau un peu surpris il s’agenouilla devant moi en me faisant détourner le regard incroyablement gêné. Il semblait assez motivé à abandonner son rôle de dominant pour aujourd’hui…et je n’allais pas pouvoir me contrôlé si il continuait…c’était trop me demander. Mais avant que je n’ai le temps de protester mes mains passèrent dans ses cheveux quand pour la première fois il prit mon membre un peu en bouche caressant mon gland me faisant me cambrer et appuyer un peu sur sa tête pour enfoncer un peu plus loin mon membre en lui. Répondant à mon désir il accéléra ses mouvements et je l’y aidais appuyant sur sa tête sans pouvoir me contrôlé gémissant de plus en plus fort mon membre gonflant de plus en plus entre ses lèvres si humide.

- Zachary…, murmurais-je entre deux gémissements. Ne me pousse pas à bout…
- J'aimerais que tu me caresses Kaleï...

Je soupirais. Il me rendait fou à être aussi désirable…comment pouvais-je dire non à ça ? Mais il le faisait pour de mauvaise raison…il le faisait pour mon plaisir pas parce qu’il en ressentait le désire. Je ne voulais pas qu’il me donne sa virginité en pensant qu’il m’avait un peu forcé à lui donné la mienne.

Je répondis cependant à son baiser quand il se redressa caressant toujours mon membre en continuant à laisser s’échapper de long soupir de plaisir de ma bouche étouffé par nôtre baiser. Désireux de ressentir son membre dur et pour essayer de le convaincre d’entré en moi j’appuyais mes caresses, plus habiles et étroitement serré. Si j’avais fermés les yeux pendant ce temps je l’ai rouvris bien vite étonné que saisissant ma main libre Zachary la portait à son entré, j’allais la retiré vivement quand il poussa un peu mon doigt en lui en me faisant mordre ma lèvre à sa réaction fulgurante. Il gémissait trop désirable en s’appuyant contre mon torse. Je ne pouvais pas arrêter après ça et mon doigt continua de bouger en lui restant seulement un tout petit peu entré.

- Je voudrais qu'on le fasse aujourd'hui de cette manière.

Je mordillais sa lèvre sensuellement poussant un peu plus mon doigt en lui. J’allais essayer de le dissuader un peu. Sans être pour autant brutale j’entrais petit à petit en de petit mouvements doux mon doigt en lui. Je l’entrais totalement glissant ma langue dans sa bouche pour essayer tout de même de lui faire oublier la possible douleur. Je voulais juste qu’il décide de renoncer. Cette situation ne me convenait pas, je voulais sa virginité pour les bonnes raisons.

- Cela me fait plaisir, finis-je par dire retirant doucement mon doigt. Mais je pense qu’attendre serait mieux pour cette fois. Je te prends un peu trop par surprisse, je n’en avais pas parlé avant. Et tu n’es pas obligé de me la donner.

C’était de ma faute si j’allais être frustré. Mais j’allais quand même prendre du plaisir, alors doucement je poussais Zachary contre le mur le plus proche cependant encore un peu trop dominant dans mon désire. Je m’accroupis à mon tour posant ma main sur mon membre qui me brûlait de désire. Lentement je léchais le membre de Zachary pendant ce temps, glissant ma langue contre son gland puis doucement prenant son gland entre mes lèvres appuyant délicatement mes lèvres autour de celui-ci.

Puis brutalement l’enfonçait le plus possible dans ma bouche. Reprenant mon statut habituel d’uke j’espérais le faire craquer. Cependant je me doutais qu’il en faudrait un peu plus alors sous ses yeux je glissais un doigt en moi un peu fortement gémissant un instant sous la vague de plaisir en lâchant son membre mais rapidement je le pris prenant un rythme soutenu en bougeant mon doigt en moi rapidement. J’étais brusque et j’espérais qu’ainsi il céderait.

Au bout d’un moment finalement je me redressais pour aller jusqu’aux piano en l’entraînant avec moi. Doucement je m’allongeais dessus laissant mon entrer à la hauteur de son membre, bougeant les hanches perversement malgré que je ne le regardais pas vraiment, un peu trop dessus je suppose.

- Cela ne te tente pas d’entrer moi ? Finis-je tout de même en lui tirant la langue perversement.

Pour enfin le faire totalement céder à nouveau je glissais un doigt en moi en y joignant au bout de quelque mouvement un deuxième en gémissent fortement. Je prendrais tout de même vraiment du plaisir à le sentir en moi. C’était déjà bien.

- Dépêche-toi avant que je ne change d’avis, soufflais-je en venant doucement caresser son membre humide encore de mes doigts.

Je ne le regardais pas droit dans les yeux mais cependant ma voie était naturel, j’avais vraiment envie de le sentir en moi. Je l’aimais à la folie et tant que nous étions proche cela me convenait.

Accroupis devant lui je commençais à me préparer, le prendre serait une mauvaise idée. Il le faisait juste pour me faire plaisir ou peut-être pas culpabilité de l’avoir fait de façon trop…abrupte durant ma première fois. Alors j’allais le faire céder à l’idée que son membre entre en moi et au fond cela ne me déplaisait pas. J’aimais vraiment le sentir en moi c’était juste qu’en ce moment j’avais envie que mon membre entre doucement en lui et que nous partagions encore une nouvelle chose. Mais il fallait d’abord qu’il se prépare à ce genre de chose. Pas qu’il le fasse sur un coup de tête pour me faire plaisir.

Sentant son membre de plus en plus dur entre mes lèvres je me décidais finalement à changer de position et à ce qu’il vienne en moi. Je savais comment m’y prendre, du moins un peu plus qu’avant alors doucement je m’étais allongés sur le piano plaçant mon entré à la hauteur de mon membre espérant que la vue lui plairait suffisamment pour qu’il éprouve le besoin d’entrer en moi brutalement cependant même lorsque je le taquinais en lui demandant si il voulait me pénétrer il ne le fit pas répondant simplement à ma question :

- Comment est-ce que ça pourrait ne pas me tenter au juste... Tu es vraiment perfide.

Il mordilla ma lèvre et je soupirais. Pourquoi n’entrait-il pas en moi si il n’en avait pas envie ? Il n’allait pas me dire qu’il préférait que je le pénètre ? Si c’était le cas ce ne serait que pour me faire plaisir.

- Je ne suis pas perfide, soufflais-je finalement. J’ai juste envie de sentir ton membre s’enfoncer en moi.

Je rougissais et détournait le regard. Je ne mentais pas vraiment, cela me donnait vraiment envie. Il était si dur…c’était juste que j’avais envie aussi de l’inverse en imaginant le plaisir que je prendrais en glissant mon membre en lui…j’imaginais cela si intense et fort…je soupirais doucement. Il fallait que je pense à autre chose que c’est image de plaisir et à son corps se tortillant à mes coups de hanche.

Un peu abruptement je glissai un doigt puis deux en moi. Me ravissant un peu il vint se placer entre mes jambes posant son membre contre le mien en me faisant fermer les yeux sous la vague de plaisir de sentir son membre si chaud contre le mien. Mais je me cambrais allégrement quand un de ses doigts vint rejoindre les miens et soulevais doucement mon corps en faisant palpiter légèrement mon membre. Il allait me rendre fou à faire ce genre de chose. Je suppose que la domination lui allait bien mieux qu’a moi.

- Tu sais très bien que tu es irrésistible enfin... Mais ça ne veut pas dire que je n'ai pas envie d'essayer autrement. S'il te plaît, prends-moi Kaleï.

Je le regardais surpris et détournais le regard en rougissant. Comment pouvait-il dire un truc aussi sexy ? Je me mordis la lèvre…je n’allais plus pouvoir tenir si il continuait d’être aussi désirable. Je soupirais un peu en sentant son doigt se retiré. Il était vraiment plus têtu qu’une mule.

- J’essaye de me contrôlé et toi tu me pousse complétement à ma limite, soupirais-je tandis qu’il embrassait mon coup en me faisant frissonner.

Mais me surprenant encore ses doigts vinrent chercher les miens et les conduire jusqu’à mon membre. Docile je le saisis fortement tandis qu’il était réellement dur. Je me mordis la lèvre…je le désirais tant. Longuement je fis des mouvements amples sur sa verge bougeant encore un peu mes hanches vers lui espérant qu’il céderait même si visiblement il n’était pas du tout pour.

Il me redressa et je passais ma main dans mes cheveux en soupirant. Ce gars était pire qu’une tête de mule, alors que j’allais lui demander ce qu’il faisait je retournais mon regard vers lui et rougissais violemment sans pour autant pouvoir détourner le regard. Le torse appuyé contre le piano et son entré tendue vers moi…il était totalement désirable. Sans pouvoir me contrôlé je m’approchai de lui caressant doucement ses hanches du bout des doigts plaçant juste mon membre contre ses fesses sans appuyer mon gland contre son entré même si cela me démangeait…de toute façon il fallait le préparer…non il fallait arrêté ce n’était pas bon…

- Je... J'aimerais vraiment essayé. J'ai envie de le faire avec toi Kaleï, je veux te sentir en moi alors arrête de me repousser si toi aussi tu en as envie...
- Tu m'excite bien trop Zac...Comment veux-tu que je me contrôlé en étant aussi désirable ?

Je m’allongeais un peu sur lui pour mordiller son oreille en bougeant un peu mon membre contre ses fesses avec désir. Il me tuait. Et maintenant je n’allais plus pouvoir m’arrêter, et ce serait sa faute si après il m’en voulait. Je me mordis la lèvre inférieure un peu trop violemment la faisant saigner doucement. J’avais peur qu’il le regrette. Je m’écartais cependant un peu. Doucement je m’accroupissais un peu et caressant juste du bout des doigts son entré je léchais ses testicules longuement avant de descendre ma langue sur tout son membre alors que délicatement le bout de mon index entrait à nouveau en lui.

- On n’est pas obligé d’aller jusqu’au bout, finis-je par dire. Si cela ne te plaît pas dis le moi juste.

Je me redressais passant juste cette fois mes doigts sur son membre que j’avais humidifié avec ma salive. Je poussais un peu plus mon doigt en lui l’entrant le plus possible. J’attendis un moment pour qu’il s’habitue tandis que mes doigts sur son membre continuaient leurs caresses douces pour l’instant. Je m’arrêtais un instant sur son gland et bougeant un peu mon doigt. J’essayais de compenser la douleur par le plaisir de son membre mais j’avais du mal à me contrôlé. J’avais envie de plus…il était étroit et mon membre durcissais rien qu’à mon doigt en lui.

Je m’allongeais un peu sur son dos en bougeant désormais un peu plus vite mon doigt poussant de temps à autres un deuxième sans pour autant l’y enfoncer. J’embrassais le creux de ses épaules déposant par la même occasions un petit suçon avant de remonter dans sa nuque que je mordillais en venant finalement poser mon membre contre le sien et les serrer de mes mains les caressant tous deux en soupirant à son oreille.

- Si tu n’es pas prêt dis le vite je ne pourrais pas me contrôlé définitivement, murmurais-je déjà a bout.

Lentement comme pour le témoigner j’enfonçais un deuxième doigt en lui mais restant très doux dans mes gestes et continuant de caresser son membre et le mien dans un même geste. Je ne bougeais pas à nouveau quelques instants caressant justes son gland en de petit cercle appuyé en restant collé contre son dos avec désir. Je le voulais totalement…mais j’avais peur qu’il n’aime pas et que ce soit trop douloureux…je ne voulais pas qu’il souffre comme moi j’avais souffert, je voulais qu’il en garde juste un très bon souvenir…et me demande de recommencer ? De temps en temps au moins.

- Est-ce que ça va pour le moment ? Demandais-je en embrassant tendrement son dos en me redressent.

J'attendais un peu impatient sa réponse bougeant mes doigts en lui en des petits mouvement doux mais marquant mon désir tandis que mon membre durcis était toujours contre le sien. J'avais envie de lui à un point incroyable...jamais je ne désirerais quelqu'un autant que je le désirais.

- Arrête un peu de tergiverser tu veux, j'ai l'air de ne pas être prêt ? Il me suffirait de te retourner sur le piano.

Il est vrais qu’il n’avait pas l’air mécontent de tout cela…son corps me réchauffait ardemment se cabrant sous mon doigts en lui et son membre si dur ne semblait pas se calmer malgré le fait que pour la première fois ce n’était pas ses doigts qui était en moi mais l’inverse. Je soupirais vers son oreille et la mordillais délicatement, il me donnait tant envie de lui que j’avais du mal à ne pas bouger brutalement mon doigt en lui mais je craignais réellement de lui faire mal. Ma première fois…avait été assez catastrophique, en particulier par ma faute d’avoir été trop brutale. Mais je voulais que la sienne soit parfaite.

- Dis-moi que tu as envie que je te pénètre, soufflais-je sensuelle à son oreille.

Je lui tirais un peu la langue vengeance du fait que finalement même si j’étais le dominant c’était lui qui menait l’ébat en me rassurant et m’obligeant à faire vraiment ce que je désirais…j’étais donc…un faux dominant. Mais j’allais me rattraper s’il me le permettait vraiment.

Je glissais un deuxième doigt en lui sans brusquerie, il se crispa un peu et doucement je posais mes lèvres dans son dos pour essayer de le détendre un peu. Je me doutais que ça commençait à lui faire mal alors je veillerais à ce que la douleur soit estompé par du plaisir. Délicatement je caressais nos deux membres coller l’un à l’autre bougeant un peu des hanches sous le plaisir mais cependant je restais aussi doux peut-être un peu stupidement mais j’avais peur que les deux en même temps ne lui plaise pas…je faisais au mieux pour le faire gémir uniquement de plaisir. Mais finalement lui demandait tout de même comment il se sentait soucieux de son état.

- Oui ça va, c'est loin d'être douloureux finalement, c'est même franchement bon.

Sans me contrôlé je bougeais un peu petit plus brutalement mes doigts en lui et me mordais la lèvre de désir. Je mordis doucement la naissance de ses épaules et resserrait mes doigts sur nos membres à soupirant. Je voulais qu’il prenne un plaisir monstre tout comme moi lorsqu’il était en moi, qu’il jouisse aussi entre mes doigts…je rougissais un peu. J’aimais bien inverser les rôles…sentir ainsi que son corps entier était à moi…et ses parois étroites me donnaient terriblement envie de m’y enfoncer. J’accélérais donc mes mouvements puisque visiblement mes doigts ne le lui en faisaient plus souffrir.

- Tu es magnifique Zachary, soufflais-je doucement en bougeant le bassin pour frotter nos deux membres dans un mouvement qui me démangeait. J’ai peur de complétement perdre la tête…

Mes doigts faisaient des mouvements amples mais peu rapide. J’avais beau me dire qu’il avait moins mal je craignais tout de même qu’en était brusque la douleur redevienne plus vive mais il me surprit en venant serrer ma main sur nos membre en me faisant me cambrer. Il accéléra les mouvements que je faisais lent et je serais plus fort mes doigts contre nos membres en soupirant de plaisir. Je m’avachis un peu sur son dos en retirant et renfonçant à quelques reprises mes doigts en lui.

Si il me faisait perdre ainsi la tête j’allais finir par le pénétrer brutalement…j’eu un frisons de délice…mais c’était une mauvaise idée. C’était sa première fois il me fallait être doux…enfin visiblement par sur son membre vu sa propre brutalité. Je bougeais les hanches pour intensifier un peu plus les caresses et venait finalement porter mes doigts sur nos glands les frottant tout deux du bout des doigts avec appuie.

- Tu peux y aller un peu plus franchement Kaleï, je suis déjà tellement dur... Je meurs d'envie de toi...

Je rougis violemment en détournant le regard. Il était vraiment un uke magnifique…mon membre palpita un peu entre ses doigts comme pour témoigner de mon propre désir et j’écartais un peu mon membre du sien. Obéissant cependant je bougeais mes doigts de façon plus abrupte, petit à petit mes mouvements furent moins amples et plus rapides tandis que je laissais une main sur son membre le caressant avec avidité. Il était effectivement vraiment dur et c’était au fond un peu du gâchis de ne pas le faire entrer en moi mais je mourais trop d’envie de le prendre maintenant.

- Tu aimerais que je te face quelque chose de précis ? Lui demandais-je taquin en mordillant le haut de son oreille.

J’avais envie d’encore l’entendre me dire certaine chose. C’était peut-être un peu trop demander avec tout ce qu’il m’offrait déjà mais ses hanches bougeant sur mes doigts me tuaient de plaisir et je n’allais plus pouvoir me contenir très longtemps de commencer à entrer mon membre gonfler en lui.

Mais me surprenant alors que je continuais de bouger mes doigts en lui de façon de plus en plus brutale, il les retira. Il voulait s’arrêter ? Je me mordis la lèvre au début réellement dessus mais je gémissais doucement de plaisir quand il posa mon gland à son entré. Naturellement je posais une main sur sa taille et caressait le creux de ses hanches sans pour autant lâcher de mon autre main son membre dont je caressais le gland en de petit cercle rapide. Mais je le serais brutalement en de long va et vient quand bougeant ses hanches mon gland entra en lui m’arrachant un long râle de plaisir que je ne pus absolument pas contenir. Je m’avachis complétement sur lui submergé par le plaisir de ses parois m’oppressant.

J’avais déjà envie de pousser sur mes jambes et d’entré complétement en lui mais si il avait gémis lui aussi cela avait été tout de même teinté de douleur. Il fallait donc que je me retienne mes ses hanches continuaient de bouger doucement me tuant de plaisir et de désire d’en avoir plus. Sa main se reporta à son membre et mordillant sa peau du dos je la chassais voulant uniquement pouvoir moi le caresser. Mais obéissant à son désir probablement d’être plus brusque j’accélérais ma main sur tout son membre de plus en plus vite et de façon très serré.

- Ton membre est vraiment gros Kaleï... Pour un petit jeune tu as de quoi être fier.

Je ris légèrement et embrassais amoureusement sa nuque, je bougeais un peu mes hanches pour ressortir mon gland et le renfoncer en de petit mouvement doux pour l’habituer à la pénétration mais je ne tiendrais pas longtemps avant de pousser plus profond en lui alors doucement finalement je me retirais et le tournais. Je voulais voir son visage et pouvoir l’embrasser. Une fois fait je ne me renfonçais pas immédiatement lui laissant un moment de répis descendant juste ma langue de sa nuque à son membre. Doucement je léchais le gland puis un peu plus brutalement le prenait en bouche en de petit mouvement étroit et serré mais rapidement je fus trop impatient. Mon membre brûlant de désir voulait entrer totalement en lui.

- Je suis si gros parce que tu me tue de désir, finis-je par répondre en regardant son corps nu avec désir. Et…c’est plus tôt pour un vieux comme toi qu’il est impressionnant de voir à quel point tu es séduisant.

Je me redressais donc souriant et venait délicatement nouer ses jambes autour de ma taille en posant mon gland contre son entré. Je penchais vers son visage et abruptement l’embrassais glissant ma langue dans sa bouche. Je caressais mon gland contre son entré pendant ce temps appuyant à peine pour faire entrer doucement mon gland mais sans vraiment l’enfoncer. Je voulais le faire languir un peu et qu’il se détende.

- Je peux plus attendre, murmurais-je en léchant sa nuque. Désolé…

Je poussais sur mes jambes faisant entrer mon gland entre ses parois étroite à nouveau, je fermais les yeux dans un long râle de plaisir alors doucement finalement j’entrais totalement en lui. J’haletais ensuite en caressant doucement son bas ventre de mes doigts et redressant la tête pour venir poser un doux baiser sur ses lèvres.

Je me doutais que cette fois la douleur avait dû être présente alors je ne bougeais pas descendant juste mes doigts jusqu’à son membre en embrassant délicatement sa nuque et venant coincé un de ses tétons entre mes doigts. J’allais lui faire oublier la douleur. Je descendais mon visage jusqu’à son torse léchant doucement un de ses tétons en caressant désormais son gland avec vigueur le coinçant entre deux doigts.

- Tu es si étroit…, finis-je par murmurer bougeant doucement mon basin. J’ai bien du mal à ne pas bouger…

Je posais une seconde ma tête contre son torse en soupirant de plaisir en me sentant ainsi en lui. C’était en sentiment délicieux qu’on son corps était totalement mien. J’essayais de me contrôlé mais je ne pus m’empêcher de faire un léger va et vient doux mais plein de désir. Mais je m’arrêtais bien vite en soupirant. J’allais mourir de désir. Je venais donc l’embrasser avec fougue pour essayer de compenser un peu en continuant de le masturber. Finalement souriant vraiment heureux de tout cela je me redressais en plantant mon œil dans les siens et murmurais doucement en posant mon front contre le sien :

- Tu m’as fait tomber fou amoureux de toi Zachary.

Je rougis un peu mais ne détournait pas le regard venant mordillé simplement sa lèvre inférieur glissant délicatement ma langue dans sa bouche en remuant lentement le bassin pour qu’il continue tout de même à s’habituer à mon membre en lui-même si je ne bougeais guère pour l’instant.

- Je peux plus attendre. Désolé…

J’étais à bout, son étroitesse autour de mon gland m’avait rendu encore plus dur et désormais l’impatiente de mon corps déraisonnais mes pensées mais de toute façon si il voulait allez jusqu’au bout il allait falloir à un moment ou un autre entré totalement en lui. Ne lui laissant pas trop le temps de réfléchir et de se crisper je poussais sur mes jambes et faisant à nouveau entrer mon membre en lui dans un premier râle de plaisir. Mais bien vite continuant de le pénétrer cette fois jusqu’au bout son propre gémissement de plaisir se teinta de douleur mais je continuais de m’enfoncer en lui jusqu’au bout avant de stopper mes mouvements.

Il était si étroit…je me mordis un peu la lèvre pour me forcer à rester calme tandis que mon bassin réclamait des mouvements brusques pour sentir ses parois si étroite compressé mon membre jusqu’à l’orgasme. J’essayais de lui changer les idées dès lors même si c’était aussi me mettre à rude épreuve. Toucher son membre si dur sans bouger moi-même en lui était une torture mais je voulais qu’il se sente particulièrement bien et non qu’il souffre. Mais je finissais par lui avouer que son étroitesse allait me faire céder à force de ne pas bouger.

- Et pourtant il faut me laisser un peu de répit. Mais j'ai hâte que tu puisses bouger, je sens que ça va être vraiment bon...

Je ris doucement et l'embrassais tendrement avant de me redresser souriant rassurant et surtout ne bougeant pas pour le moment. Je ne voulais absolument pas qu'il souffre et bouger immédiatement après la pénétration aurait été une bien mauvaise idée.

- Ne t’en fais pas je sais me maîtriser, fis-je doucement en caressant du bout des doigts le creux de sa nuque. Et j’ai vraiment hâte aussi crois-moi…

Comme pour le témoigner mon membre palpita un peu en lui à bout…il me serrait tant…et la sensation si nouvelle de me sentir si oppressé était une délicieuse torture. Et comme pour finir de me tuer de plaisir, il bougea doucement les hanches et je crispais mes doigts sur sa peau. Il fallait qu’il fasse attention sinon j’allais perdre totalement pied et devenir trop brutale. Et cela finit par se passer, sans pouvoir me contrôlé je bougeais en lui en un premier va et vient qui me fit lâcher un long gémissement et mon membre palpita quelque seconde en lui ravis d’entendre son propre gémissement visiblement non plus teinté de douleur. Je l’embrassais avec désire dès lors. Il me rendait fou de bonheur, de plaisir et de joie.

- Tu m’as fait tomber fou amoureux de toi Zachary.

Je souriais à Zachary caressant doucement sa peau. Je l’aimais à un tel point que parfois mes sentiments semblaient totalement débordé, je l’aimais sans pouvoir contenir tous ses sentiments qui affluaient. Il me faisait ressentir tant d’émotion parfois contradictoire mais qui emplissait chaque parcelle de mes pensées, j’aimais Zachary d’une manière unique et forte. C'’tait peut-être étouffant parfois mais je ne voulais pas perdre ça, je voulais l’aimer même si cela voulait dire être jaloux souvent, vouloir l’avoir uniquement pour moi ou même peut-être l’énerver à être trop collant mais…c’était la vie que je voulais.

Lorsque ses lèvres se posèrent sur les miennes je le serais avec affection contre moi en répondant à son baiser appréciant sa chaleur contre mon corps. Cette sensation n’avait pas d’égal. Il était la seule personne à pouvoir faire battre mon cœur ainsi doucement. Il serait toujours le seul.

- Moi aussi Kaleï. Je suis éperdument amoureux de toi. Ne me quitte jamais.
- C’est à moi de te demander ça, fis-je en souriant. Je ne suis qu’un gamin, tu trouveras peut-être mieux…plus tard.

L’année prochaine…je détournais le regard un peu blessé mais bien vite heureusement Zachary me rappela que pour le moment il était uniquement à moi. Nous redressant tout deux il vint m’embrasser un peu plus fougueusement que le baiser précédent qui avait été doux. Je passais mes mains sur sa taille en m’enfonçant un peu plus en lui avec désir. Si il me provoquait autant je ne tiendrais pas c’était certain. Je bougeais dès lors délicatement en de tout petit va et vient.

Mais bien vite me surprenant Zachary bougea plus amplement ses hanches, lentement certes mais tout de même de façon beaucoup plus prenante. Je crispais mes doigts sur sa taille en poussant ma langue contre la sienne en soupirant de désire. Je l’aidais dans ses mouvement accélérant tout de même un peu le rythme sans pouvoir faire autrement en sentant mon membre devenir de plus en plus gros en lui. Mon bas ventre se réchauffait et je perdais de plus en plus pied : je ne savais même plus quoi faire tellement le plaisir submergeait le moindre de mes pensées. Puis entendant ces gémissements je ne pus m’empêcher de perdre le contrôlé et enfoncer d’un coup sec mon membre en lâchant un long râle de plaisir et posait ma tête contre son épaule en fermant les yeux essoufflés.

- On peut y aller plus franchement maintenant, je n'ai plus mal. Alors prend du plaisir en moi et donnes-m ‘en avec ton membre...
- Enfin, murmurais-je à son oreille.

Je me mordis la lèvre…il était si désirable comment pouvait-il être un seme aussi bon en étant aussi parfait en uke ? Je mordis doucement sa lèvre inférieur en caressant son torse descendant petit à petit mes mains sur son bas ventre puis jusqu’à son membre titillant doucement son gland en continuant de jouer perversement avec sa lèvre inférieur en plantant mon œil dans le sien.

Lentement je me retirais de son entré pour me renfoncer alors que finalement ma langue se glissait dans sa bouche abruptement pour éteindre un peu mon long gémissement. Maintenant que j’avais sa permission je n’allais plus me retenir et j’en frissonnais d’avance. Petit à petit mes mouvements s’accélérait en lui alors que finalement je délaissais ses lèvres pour poser plusieurs suçons dans sa nuque avec le désir qu’a jamais il m’appartienne. Me faisant sourire il fit serrer ma main plus fortement son membre et j’obéis doucement en commençant des mouvements étroits sur son membre durcis. Je me retirais d’en lui et me renfonçait cette fois vraiment durement ne cherchant plus du tout à être doux, de plus en plus mes mouvements amples s’accéléraient et rapidement mon membre se mit à palpiter tandis que j’avais du mal à garder un souffle normal entre mes gémissements.

- Tu…
- Kaleï je... je vais pas tenir très longtemps...

Je rougis violemment tandis qu’entre mes doigts son membre palpita. Je finis par sourire en embrassant tendrement Zachary lentement je bougeais un coup sec en lui en lâchant cependant son membre. J’allais le rendre un peu fou tout comme lui le faisait. J’embrassais son coup en continuant mes mouvements en lui, reprenant un rythme beaucoup plus rapide mais moins ample.

- Ne jouis pas tout de suite, je te ferais jouir dans ma bouche, soufflais-je à son oreille.

J’étais un peu gênée mais c’était…en quelque sorte pour le remercier de m’avoir tant donner aujourd’hui. J’accélérais mes mouvements encore posant mes mains libres sur sa taille afin de pouvoir mieux entrer en lui, je gémissais de plus en plus alors que mon membre palpitait en lui dangereusement, est-ce que je pouvais me libérer dans son entré ? Je l’embrassais en glissant ma langue dans sa bouche pour trouver la sienne. Je n’étais pas sur que l’idée lui plaise après tout pour ma première fois je n’avais pas accepté qu’il jouisse en moi alors peut-être qu’il ne le désirait pas non plus ?

Alors que je sentais trop la chaleur monter je me décidais finalement à sortir de son entré. Je n’allais pas jouir en lui mais sur lui. Je ne sais pas si c’était franchement mieux mais c’était trop tard pour réfléchir, je me masturbais fortement jouant avec mon gland puis finalement dans un long râle de plaisir ou je m’avachissais un peu contre lui ma semence ce rependit sur son torse en me faisant un peu rougir.

- Pardon, murmurais-je en passant ma main dans mes cheveux maladroits. Je ne savais pas…enfin. Où tu voulais que je jouisse…

J’espérais qu’il ne m’en voudrait pas. Doucement pour me faire pardonner je vins lécher son torse là où ma semence était, puis doucement je finissais par descendre jusqu’à son membre en posant un peu mon sperme sur son membre. Je n’avais pas oublié avoir dit le faire jouir avec ma bouche alors doucement je l’allongeais et commençait à lécher son membre durcis. Je m’appliquais ensuite à continuer de le caresser alors que j’enfonçais son membre plus profondément dans ma bouche faisant de long va et vient lent. Je redressais un peu le regard pour voir son visage espérant qu’il y prendrait beaucoup de plaisir.

Je caressais un peu son entré glissant un doigt en lui tout en faisant des vas et vient plus serrer sur son membre. J’avais hâte de sentir son sperme dans ma bouche. Je rougis et détournait le regard. Il m’avait rendu totalement pervers de son corps. Mais cela me rendait heureux et mon cœur battait la chamade alors que mes doigts caressaient son bas ventre avec délice. Je l’aimais plus que tout.