La journée avait été plutôt.... Bizarre. Mes amis avaient commencés avant le premier cours à me poser toutes sortes de questions les-unes aussi stupides que les autres. Je ne savais pas pourquoi ils avaient agis ainsi, ce n'était pourtant pas la première fois que l'on se parlait, alors cet envie subit d'en savoir plus sur moi m'avais fort troublé. Ma réaction ne fut peut-être pas la meilleure, mais elle me sauva au moins de mes presque agresseurs: Je me leva silencieusement et partis de la classe les laissant dans leur délires tout seul. Ce qui était quand même sympa avec ces potes c'est qu'il tenait pas mal à réussir leur études comme moi et donc, ils ne m'auraient suivit. C'est ainsi que je séchais le cours d'anglais lorsque le professeur me récompensa de cette décision par une heure de colle. Je m'en fichais bien, tant que je pouvais respirer, tout m'allait car certes, ces copains m'empêchait bien de respirer avec tous se qu'il racontaient presqu'en même temps. C'en était vertigineux.

Enfin, J'arrivais sur le toit et je commençais à écrire tout se qui me passait par la tête comme pour me vider l'esprit. C'était miraculeux comme cela me faisait du bien dans des situations stressantes ou agaçantes. Qu'est-ce qui leur avait prit au juste? Je posais des hypothèses et réfléchissais à ce qu'ils m'avaient dire: Les questions avaient pratiquement tous un rapport ensemble. C'est alors que je sortis la meilleur des suppositions: Quelqu'un avait probablement lancer une rumeur à mon sujet. Celle-ci ferait bien de rester cloîtré ou que je ne sache jamais qui est-ce car celle-ci aurait très certainement mon poing dans la figure. Je n'étais pas tellement pardonnable pour ce genre de choses. Je trouvais tellement stupide de tenter de détruire une réputation dans le simple but de se marrer ou de se venger. Encore une fois, j'écrivais des dizaine de mots, peut-être des centaines, j'en sais rien, pour me libérer l'esprit. Ça me révoltait un peu que quelqu'un essaie de s'en prendre à moi. Attend, il parlait de bataille. Quand est-ce que j'aurais frappé quelqu'un..... Ah! Oui, la semaine dernière, plus précisément vendredi dernier. De plus, je n'avais pas vu quiconque dans ces deux jours de congés. Quelqu'un d'autre avait assisté à ça? Et l'autre n'avait pas à se plaindre, c'était sa faute s'il était venu me dérangé tandis que je lisais tranquillement sur le toit, le seul endroit sans vraiment de gens, donc si calme et paisible. Je l'avait avertie, un peu froidement, que je voulais être seul, mais celui-ci avait persisté et avait même commencer à m'insulter. Je lui ai tout simplement rendu la monnaie de sa pièce.

Enfin bon, j'étais plus calme étant donné que je savais ce pourquoi mes amis m'avaient harcelé plus tôt. J'allais en cours de français et avant la cloche, je leur expliqua brièvement ce qui c'était produit avec un grand sourire comme je savais les faire. Certains ne me curent pas, probablement qu'ils me trouvent trop fragile pour cela, je leur ai simplement dit qu'il pouvait ou non croire ce que j'avais expliquer et la cloche sonna. C'était drôle comment les gens ne me connaissaient pas vraiment en fait, c'était certainement mieux ainsi. La journée s'était écoulée ensuite plus rapidement.

C'est alors que j'eus la subite envie, en fin de journée, de jouer au basket. Je me dirigea donc vers le gymnase qui était, pour une des rares fois, inoccupé. J'allais donc dans l'entrepôt et prit un ballon. Je commença à dribbler, à tirer et à détourner des opposants imaginaire lorsque je vit quelqu'un à l'entrer de cet endroit. Je m'arrêta subitement et lui sourit.

Cela faisait une bonne dizaine de minutes que je dribblais, marquais et faisais des feintes. J'adorais le basket. C'était un sport magnifique qui me donnait des ailes et qui faisait tant me sentir bien. Certes, lorsque je courais, je sentais la même sensation, mais je n'étais pas autant passionné par la course que le Basket. Deux dribbles, un pivot et je tire. Hourra! Dans le panier! J'avais un peu de la misère à visé après un pivot et on me l'a fait remarquer à la dernière pratique. Je n'avais pas la grandeur ainsi que la puissance des sauts pour effectuer des dunk, bien que j'ai souvent essayé car certes, on ne peut pas définir nos limites lorsque l'on a pas tenté de les franchir. Un adversaire imaginaire se plaça devant moi, mais je continuais de dribbler le contournant à l'aide du fameux pivot et tentant de faire un but dans la ligne du trois point. Ah! Manqué! Je continuais ce petit manège avant que je ne remarque cette personne.

Elle avait de long cheveux orangés ainsi que des yeux de la même couleur. Je crus même percevoir un sourire avant qu'elle ne le perdre. Peut-être était-ce mon imagination? Ou pas. Cette question restera probablement à jamais sans réponse, ce qui ne me déplus pas. Je n'ai jamais vu cette fille, malgré son âge qui avait l'air plus ou moins le même que le mien, que ce soit en classe ou dans les couloirs. Peut-être était-ce une première année. Enfin, elle semblait tout de même mature... Non, plutôt froide pour son âge si, selon mes prédictions, elle était belle et bien en première.

« Ne te méprends pas, je ne suis pas venue ici pour te regarder. »

Cette phrase me fis légèrement rire. Le gymnase était inoccupé, il pouvait avoir bien des raisons d'entré dans cette salle. Ce serait très égocentrique de la part d'une personne de penser une tel chose, surtout lorsqu'on ne connait aucunement la personne.

- Je n'ai jamais penser une tel chose rassures-toi. Mais, que fais-tu ici? Posais-je tout de même curieux de le savoir.

« Je suis là pour récupérer mon sabre que j'ai dus laisser dans les vestiaires. Alors ne te fais pas des idées. »

J'étais un peu surprit qu'elle me dise cela sur un ton glacial. Je ne sais pas pourquoi mais je ne pus retenir un léger rire. Ce n'était pas un rire moqueur, ce qui pourrait porter à confusion. C'était plutôt un rire gêner et un peu amusé par ce ton froid.

- Tu apportes un sabre à l'école? Je ne veux surtout pas être indiscret, mais puis-je savoir pourquoi?

C'était curieux de voir qu'une arme était autorisé dans cet établissement. Ou peut-être était-elle là clandestinement? De toute façon ce n'était certainement pas prudent de la laisser des les vestiaires. Je me retint une remarque comme celle-là et je fis mon sourire innocent habituel. Je me demandais bien pourquoi avait-elle besoin d'un sabre d'où la question. Avait-elle eut un problème dans le passé et elle eut cet objet pour se défendre contre de prochaine supposés attaque? Ou peut-être était-ce un héritage de famille qui sait.

- Ah! Au fait, peut-être que ça t'importe peu, mais je tient à me présenter. Je suis Aleksei Davidoff, je suis ravi de te rencontrer. Et toi? Comment t'appelles-tu?

Je lui tendis la main attendant sa réponse. J’espérais seulement qu'elle ne me laisse pas en plan pour ensuite me trancher la tête avec son sabre.

Lorsque je demandais à cette jeune fille pourquoi elle avait un sabre, celle-ci avait l'air surprise que je lui pose cette question. Elle balbutia un peu, probablement cherchant une raison à me donner. Elle détourna le regard qui eut pour effet de me questionner encore plus sur cette femme qui n'avait pas tant l'air timide.

« Sa ne te concerne pas. »

Elle avait bien raison, cela me concernait aucunement. Cependant, la curiosité c'était brutalement emparer de moi et je ne pouvais malheureusement rien faire pour cela. De plus, ça ne semblait pas tant la déranger que je lui parle, sinon elle ne serait pas rester ici à me parler. Enfin, plutôt à m'écouter car je posais seulement des questions qui restait en suspension, ce qui me donnait l'envie dans savoir encore plus. Cette fille dont le nom m'étais encore inconnu démontrait un léger intérêt pour la conversation, car elle serait partit bien avant que je ne l'interpelle sinon. Cela me fis sourire de réalisé cela. Bien que certaines personnes sont froides, comme moi parfois, cela ne veut pas dire qu'il ne démontre aucun intérêt pour ce que l'interlocuteur dit. Enfin, je crois que n'agirais pas ainsi si elle se fichais de moi.

Bref, je me présenta comme il se doit et tendit la main, souriant. Cette fille me surprit en disant:

« Puisque tu tiens tant à en savoir plus sur moi, décidons par une partie de basket. »

Elle empoigna ma main, hésitante, mais la saisie. J'étais heureux et cela se démontrait par un sourire et un regard qui démontrait que j'acceptais le défi volontiers. J'étais content qu'elle me donne une chance de combler le curiosité qui me ronge depuis quelques minutes. Son regard de défi m'avait fait rire intérieurement. J'étais dans le club de basket et je n'étais pas mauvais dans ce sport.

« Défi-moi ! Si tu gagnes, je répondrai à tes questions. »

Cette fille avait l'air certaine d'elle. Était-elle dans un autre club de basket où on la considérait comme pro? Je n'en savais rien, mais je ne pouvais refuser un quelconque invitation face à ce sport que je maîtrisais tout de même assez bien.

- J'accepte avec une grande joie.

Je lui lança le ballon pour qu'elle commence et me plaça face au panier en position prêt à commencer.

- Un partie de 10 points avec deux points d’intervalles avec un maximum de quinze point ça te va?

C'était souvent ces points qui déterminaient les un contre un ou la plupart en font jusqu'à ce que l'autre soit exténuer. Dans les deux cas, ça m'allait. Je n'avais aucunement l'intention de perdre, j'étais déterminé à connaître cette fille, au moins son nom. Même si c'est un fille, je ne lui laisserai aucune chance.

Je me demandais soudainement pourquoi me donner cette chance de la faire parler. Aurait-elle simplement envie de me parler, mais son orgueil ou je ne sais quoi l'empêche de le faire? Aurait-elle eut la piqûre du basket? Ou peut-être un mélange de mes deux hypothèses. Je n'en savais rien et quand je gagnerai, je lui demanderai, car j'avais bien l'intention de remporter ce match. De plus, je m'étais échauffé, alors je serai épuisé moins rapidement. Enfin, je me posais pleins de questions comme si elle avait déjà jouer au basket, si elle aimait le basket, pourquoi elle avait un sabre à l'école et biens d'autre questions. J'attendais patiemment qu'elle commence pour pouvoir bouger.