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A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ]

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MessageSujet: A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] Icon_minitimeDim 17 Fév - 13:37

J'avais enchainé les meurtres cette semaine, la demande de mon Androgyne avait eu une grande répercussion sur ma violence, et sur mes contrats bizarrement.

Je regardais le cadavre de ma victime, traçait avec ma dague " La compréhension est incompréhensible " à côté de celle-ci. Après un long moment de pause, je sortis une rose bleue de mon sac, et la mis à côté de l'homme. Froid, calme, glacial, je n'ai jamais changé. Sauf avec elle, et malheureusement, cela avait multiplié mes contrats. La tendresse est une chose, mais dans mon cas... Et bien, il fallait tout équilibrer. Et c'est ce que j'avais fait cette semaine encore, et là aussi. Je regardais ma victime, une petite brise froide et nocturne soumettait mes cheveux à une danse aérienne légère. Une victime, un mort de plus, une personne en moins sur cette Terre...

Oui. D'accord. Or là... Cette victime-là, je la connaissais. Mon seul ami, à jamais le seul qui savait mon métier, et qui m'avait parfois aidé quand il estimait que ce meurtre était un acte de justice. Peu de fois, c'était arrivé. Mais il avait accepté, dans toute sa générosité habituelle. Je ne lui avais rien caché. Mon chef avait appris ma relation avec mon Androgyne, et m'avait demandé de couper les ponts avec tout ceux qui savaient cela, mon job, mon héritage... En les tuant. Ma face froide ne fut nullement troublée, rien. Mais contrairement à d'habitude, je ne souriais pas. Je regardais. Je le regardais. Je lui avais dit, tout, et lui, dans un élan d'inconscience, m'avait dit " Tues-moi ". Non. Je n'étais pas sans coeur. Donc, il m'a énervé, énervé, tant énervé que j'ai craqué. Son dernier mot, dernière phrase ? " Excuses-moi, Mortis... "

Pas de larmes, pas de sourires. Toujours moi-même, froid, glacial, distant, courtois. Et étrangemment calme. Je marchais vers le Lycée. J'entrai en douce aux Dortoirs, incognito. Tout cela en l'espace de quelques minutes. Une fois dans ma chambre, je jetais mon sac sur mon lit, ignorant royalement le moindre son qui parvenait à mes oreilles - ou qui était censé -, ouvris mon armoire, et sortis une dague. Face froide, glaciale, mais calme. Malgré mon short, je n'avais aucunement froid de ma sortie nocturne. Il devait être une heure du matin, à peu près... Bref, je sors ma dague, et comme à mon habitude, je notais le nombre de morts de la semaine sur mon bras. 21. Le sang se mit inévitablement à couler, j'essuyais mon arme, la rangeai dans mon armoire que je fermais avec un cadenas.

Dimanche soir. Ou plutôt... Lundi matin. La nuit du... Je fis volte-face et regardai l'être face à moi. J'avais oublié que j'avais un coloc, ah, mais quel idiot. Puis j'haussai les épaules. Avec la pénombre, il ne m'aura pas vu et il dort. Parfait. Je regarde à nouveau ma montre et... Je tombais à la renverse. Je me réceptionnai en position assise. Donc, nous disions, l'heure. Une heure et trois minutes. Je fermais les yeux, dans la position du Lotus Bleu - yoga -, levai mon bras devant ma bouche et mordis dedans. Le sang vint à nouveau passer sur ma langue, et la lente colère qui montait en moi s'apaisa. Un bruit me fit tourner la tête. Et merde, il ne dormait pas ? Mes yeux se plissèrent dans le noir. Froid, glacial, distant, courtois. Plus de calme sur mes traits. Pourquoi il ne dormait pas... ?
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MessageSujet: Re: A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] Icon_minitimeDim 17 Fév - 14:43

  • La journée avait été longue, vu que je réside au lycée, mes week-end son ennuyant, à par la lecture et le piano, je ne fais pas grand-chose car je n’ai pas encore beaucoup d’ami. Dans ces moment la, je vais dans ma chambre de dortoir et je dessine souvent mes parents ou les membres de ma famille… Ma sœur, mon oncle, ma tante, que des gens heureux de vivre, et il y a moi, qui me suis éloigné d’eux pour ne plus a voir la vérité en face. Je sais que, mon père étant mort, je devrais plus tard reprendre sa place en tant que duc, pour le moment mon oncle gère les finances pendant mes études, mais moi, je me suis éloigné. En plus de cela, ça fait si longtemps que je n’ai pas de nouvelle de ma sœur jumelle, disparut depuis des années… Ce lycée est surtout un moyen d’échappade à tout ça, ma vie, mon temps, mon avenir, ce que je ferais plus tard… Le paradis. Enfin, presque !

    Vint moment de dormir, demain j’ai cours mais, parfois, quand je passe ms après-midi à dessiner, je n’arrive pas à fermer l’œil de la nuit. Je me tourne et me retourne dans mon lit tant des positions improbables… Et tôt le matin que mon colocataire rentre. Tien, vous ai-je parlé de lui ? Je le trouve pour le moins bizarre, il ne m’adresse jamais la parole, lui et son air froid… Toujours en short, jamais froid. Je ne suis pas aller voir dans son armoire mais il me semble entendr parfois des bruit métallique en sortir ! Aurait-il des armes ? J’ai pris peur et je me suis procurer un vieux révolver a mon père que je cache sous mon lit au cas où, dans le besoin on ne sait jamais… Entre nous, il a une tête effrayante, mais j’aimerais bien le connaitre un peu plus, aurait-il lui aussi un secret à cacher ?

    Tien, un bruit… une porte qui s’ouvre ! Serait-ce lui qui rentre ? Je pense… Toujours le même rituel, je suis dos au mur, les yeux fermer et il ne fais pas attention a moi. Il ouvre son armoire, prend un objt au bruit métallique dedans et fais je ne sais quoi alors celui-ci. Puis, il range le tout et remet son fichu cadenas. Quelques minutes passent, je l’entends s’assoir sur son lit… Je n’ose pas vraiment lui demander d’où il revient à cette heure-ci, j’ai bien trop peur de me faire tabasser voir pire… Mais, il semblerait que ce n’était pas mon jour cette nuit la…

    - a… atchoum !

    Oh non, pas maintenant ! Eternuer … Il allait deviner que je ne dormais pas ! Vite, une diversion, je me tourna rapidement vers le vide, tapotant mon chevet avec la main pour allumer la lumière, attraper un mouchoir et me moucher en imitant un nouvel éternuant. Il me fixait déjà…

    - Excuse-moi, j’ai dû attraper un rhume……. Soupirais-je, désolé si je t’ai réveillé…

    Je vu avec horreur des traces de rouges autour de sa bouche… Du… sang ?... Je pris un air bête de gamin encore endormit, simulant un bâillement comme il aurait été de coutume à cette heure de la nuit avant de voir le sang sur son bras et cette plaie semblant être faite à la main récemment… Il s’amusait à se couper à une heure pareille ? Serait-il masochiste ? C’est à partir de ce moment que mon corps et mon cerveau fut totalement déconnecter du monde… Mes lèvres bougeaient toute seule, mes yeux grands ouverts contemplaient le sang avec horreur… Je priais pour que ce ne soit pas lui qui ce soit fait ça, cela aurait voulu dire qu’il aurait pu me faire bien pire…

    - T… Tu t’es fait agresser ?...

    Me mains palpaient mon chevet lentement pour trouver mes lunettes, mais je les fit tomber par m’égarde sur le sol de la chambre. Aie, j’étais mal barrer sur ce coup la, non ? Je n’y voyait presque rien et j’étais avec un fou qui se coupais les bras à une heure du matin…

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MessageSujet: Re: A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] Icon_minitimeSam 23 Fév - 17:29

Après être rentré dans ma chambre, et avoir fait mon rituel du dimanche soir, j'essuyais ma dague et la mis dans mon armoire que je fermai avec mon cadenas. La clé de ce dernier ? Très bonne question - je n'ouvrais jamais les cadenas avec leurs clés, réflexe qui n'est pas forcément compréhensible -. Je m'assis sur mon lit, dans la position du Lotus Bleu, m'apprêtait à me mordre le bras pour que la douleur m'endorme - ben oui, une éducation de tueur ne se perd pas si facilement... -, mais un bruit me fit tourner la tête, mes bras se relachèrent et heurtèrent le matelas.

- a… atchoum !

Je fronçais les sourcils. Mais pourquoi il ne dormait pas... ? Tss... Je décidai de l'ignorer royalement, quand mes bras eurent l'excellente idée de s'appuyer sur le rebord du sol, et me faire tomber de mon matelas. Je me réceptionnai en position du Lotus Bleu au sol, dos appuyé à mon lit. Ignorant totalement ce qu'il faisait, je me mordis le bras droit, et mes yeux se plissèrent en voyant que le sang n'arrivait pas sur mes lèvres. Kenapa harus aku yan enga bisa... Raaaah !

- Excuse-moi, j’ai dû attraper un rhume……. Soupira-t-il, désolé si je t’ai réveillé…

Ma froideur restait indemne, tout comme ma position et ma distance ne fit que se renforcer quelque peu. Mon oeil gauche s'ouvrit pour lancer un regard glacial à mon colocataire. Ses excuses ne firent que me traverser, et malgré mon regard, j'adoptai une attitude indifférente au garçon - oui, un gamin - qui me faisait plus ou moins face ( une légère diagonale, peut-être ), puis refermai l'oeil. Du sang sortit enfin de mon bras vraiment meurtri et mon sang au goût si exquis, si sublime, si merveilleux, si fantastique, si... parfait franchit mes lèvres et vint caresser ma langue. Une expression de tendresse infinie, bien que froide, se peignit sur mes traits. Mon sang était ma drogue et mon calmant le plus efficace... Et avait quelques vertus en plus, comme celle qui était de faciliter mon sommeil et le contrôle de mes émotions.

Définitivement calmé, je m'allongeai sur mon lit, sans prendre la peine de me mettre en pyjama ou sous les couvertures - on s'en fichait un peu -, j'ouvris enfin mes yeux et fixait le plafond, tournant inconsciemment la tête vers mon colocataire. Mes traits étaient d'une froideur glaciale, distants, teintés de courtoisie et... étrangemment serein, comme si j'avais un état de plénitude. Cela m'arrivait de temps à autres, vous savez, surtout avant de dormir. Alors que je m'apprêtai à fermer les yeux, mon regard vide se remplit d'une froide lueur amusée.

- T… Tu t’es fait agresser ?...

Mon léger rire froid était assez ambigüe : il pouvait être pris comme méprisant, comme fier, comme une simple réponse négative ou comme les trois à la fois. Je le vis chercher ses lunettes - comment ça, il n'y avait pas assez de lumière pour que j'y voie ? Je suis nyctalope, oh - sur son chevet et les faire tomber. Je me levai de mon matelas, m'accroupis devant le lit de mon colocataire, ramassai ses lunettes d'un geste vif et précis, et lui mis ses lunettes sur les yeux, avant de repartir vers mon lit dans la même position que celle que j'avais dû abandonner pour ramasser des lunettes... Mon dieu, depuis que j'étais dans ce lycée, ma courtoisie se transformait en gentillesse, non mais sans blagues...

Je soupirai longuement. Il devrait attendre des réponses, cela faisait bien depuis mon arrivée dans m... .. notre - malheureusement, shit - chambre que je n'avais pas dit un mot. J'imaginais que les règles de politesse m'obligaient à lui répondre, non ? Mon soprano grave, gamin et mature, mais particulièrement froid entama :

- Je vois cela, en effet... Et je crains que vous n'aviez aucune chance de me réveiller.. En revanche, non, je ne me fais jamais agresser.

Je regardais mon bras droit, qui était à l'extrême limite de subir des points de suture après être allé à l'hôpital. En soupirant, je tendis un bras, pris mon sac et fouillai dedans, et finis par trouver ce que je cherchais, une trousse plutôt grande, pourpre aux motifs violacés - lesquels étaient entourés de fils noirs -, et je me mis dès lors en position assise.

Après avoir désinfecté ma plaie, et m'être souvenu de comment rafistoler ce genre de plaie plutôt bien ouvertes, je me fis deux points après avoir mis un produit spécial pour que les chairs se " ressoudent ". Je ris intérieurement ; on dirait plus un médecin voire un chirurgien qu'un tueur... Sans réfléchir, j'enroulais un bandage autour de ma plaie. Et ce n'est qu'en relâchant mon bras que je me rendis compte, effectivement, qu'une douce sensation m'envahissait. Certains nomment ceci des " douleurs ", pour ma part c'était quelque chose qui m'apasait. Tant sur moi-même que sur les autres, attention. Je rangeai mon matériel dans mon sac, me levai et rit légèrement en découvrant que, si, les clés de mon cadenas étaient dans mon sac, ouvris mon armoire, mis mon sac - avec la clé - dedans, et refermai mon armoire sous cadenas. Ceci fait, je m'allongeais de nouveau sur mon lit.

Cette fois-ci, c'était sûr, je ne le quitterais pas. Mais franchement, comme si je n'avais que cela à faire... Et brusquement, mon portable sonna. Je le sortis de ma poche et lui décochait un regard noir. Il fallait toujours qu'il sonne lorsque j'étais empli d'un sentiment de plénitude. Je le laissai sonner, mon regard noir se transformant peu à peu en un regard vide.
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MessageSujet: Re: A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] Icon_minitimeSam 23 Fév - 22:21

T… Tu t’es fait agresser ?...

Il m’avait lancé une demi-douzaine de regard noir et froid avant ma question, ne répondant à aucune de mes autres phrases. Je palpais mon chevet pour attraper mes lunettes qui tombèrent, je voulais être sûr de ce que j’avais vu. J’étais presque aveugle sans mes verres, je me fiais donc au son, et j’entendu à ce moment comme un bruit de tissus … s’était-il donc levé ? J’espère que ce n’étais pas pour me faire terre… Bien que je fasse plus d’1m85, je n’en suis pas moins calme et pacifique. Eh bien non, il ramassa mes lunettes, sans dire plus de mot et me les déposa sur le nez. J’avoue que j’eus un sursaut à ce moment précis, je clignais des yeux pour voir si tout cela était un rêve, mais ça n’en était pas un. Puis il retourna s’assoir pour mieux soupirer, je pris une tête de blaser, il ne fallait pas se donner tant de peine pour un pauvre mal voyant si s’était pour s’en plaindre ensuite, non ?
Il répliqua enfin à mes phrases, sa voix était d’un grave exceptionnel…

- Je vois cela, en effet... Et je crains que vous n'aviez aucune chance de me réveiller... En revanche, non, je ne me fais jamais agresser.

N’aviez aucune chance de le réveillé ? Effectivement, vu qu’il ne dormait pas. Sa réponse était, si je ne me trompe, agrémenté d’un soupçon d’IRONIQUE qui ne me plaisait guère. Je pense que si il savait que j’étais issus de bonne famille et que j’étais l’héritier d’un duc de sang, il ne m’aurait guère parlé ainsi. Sala gamin insignifiant qui me le paiera, ce n’est pas parce que nous sommes au lycée que je n’ai pas appris à manier les armes.
Il ne cessait de regarder son bras droit, comme si ce dernier le faisait rire, pire, lui faisait ressentir une émotion telle que le plaisir… Etait-il à ce point masochiste ? Bien que, sur ce point, je n’ai pas de leçon à rendre, ce n’est pas rare que, quand je suis énervé, de me couper un peu le bras pour faire couler le sang. Il semblait comme ennuyer de ma présence. Je ne lui ferais pas le plaisir de partir, jamais je ne me rabaisserais devant quelqu’un.

- Alors, tu aimes-tu faire du mal. Pourquoi tu fais ça ?


Il était, surement, plus de 1h20 du matin passer … Et les cours demain … Tant pis, j’irais à l’infirmerie dormir ! Je voudrais juste le connaitre un peu plus, savoir où il va tous les soirs et pourquoi il ne me parler jamais. Ce mystère qui m’empêche de dormir au point de cacher un révolver sous mon lit, la peur qui me hante mais que j’adore. Je ne pensais à ne plus me faire ce genre de soucis, mais j’avoue que celui la m’intriguais de près et que je n’allais pas le laisser s’enfuir sans explication de sa part. Je me mit donc en tailleur sur mon lit, après tout, si il attaque, je sais me défendre, non ?

- Et donc … ou vas-tu si tard le soir ? Je suppose que tu ne dormais pas…
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MessageSujet: Re: A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] Icon_minitimeMer 27 Fév - 20:25

01h24min46.

Je soupirai quelque peu. La gentillesse, cette espèce de mal élevée, s'emparait de moi SANS me demander MA permission. Rien de plus agaçant... Après avoir ramassé ses lunettes, je retournais donc à mon lit pour m'y asseoir en regardant le plafond, avec la ferme intention de ne plus bouger et de ne plus décoller mes fesses de mes couvertures. Après mûre réflexion, je jugeai que ce serait plus agréable de m'allonger et m'éxcutai. Ce fut mo soprano grave, aux tons enfantins, matures et froid qui brisa le silence.

- Je vois cela, en effet... Et je crains que vous n'aviez aucune chance de me réveiller... En revanche, non, je ne me fais jamais agresser.

Je regardai mon bras par la suite, dans une tendresse infini, et entrepris tout de même de me soigner par mes propres moyens. Tout en me soignant, je remarquai sur ses traits un air qui m'était bien familier. Un air de bourgeoisie, noblesse tout au plus. Un sourire étira mes lèvres alors que je m'appliquai un bandage. Aurai-je blessé sa seigneurial seigneurie... ?

La douleur... Douce compagne qui me suivait depuis mon enfance.. Personne n'a été forgé par la torture, les meurtres, et tout ce qui s'ensuit ; il est normal de développer un comportement froid et indifférent, voire appréciatif, face à la douleur. Qu'est-ce que vous voulez, que j'aille aller vers cet incompétent et lui dire " toutes mes excuses si je vous ai offensé " ? Tss... Je lui jetai un regard noir de mes yeux violets foncés en le regardant ainsi pendant plusieurs secondes. La douleur à mon bras me fit comprendre que j'y étais peut-être allé légèrement trop fort pour ce coup-là, mais me radoucit aussitôt. Je fixai mon bras avec des yeux doux. La douleur... Elle, au moins, savait me calmer, savait homogénéiser ma personnalité... Que ce soit la douleur envers les autres ou moi-même, hein ! Avec ma formation spéciale, j'appréciais la douleur qui m'a rendu froid et glacial au fil du temps. Et pour cela, je pensais l'apprécier toujours. Aujourd'hui, j'ai juste trouvé un petit inconvénient à cela...

- Alors, tu aimes-tu faire du mal. Pourquoi tu fais ça ?

Oui, j'aimais une personne. De tout mon coeur. Argh. Et uniquement avec elle, je pense que parfois, cela m'arrangerait que ma froideur disparaisse. Comme quoi, quand je vous disais que ce lycée m'a rendu aussi gentil qu'un renard en hibernation... Je virais mon regard vers mon colocataire. Il m'avait parlé ? Je plissai légèrement mes yeux, froids. Qu'est-ce que c'était, cette conclusion hâtive.. ?

- Plaît-il... ? Et puis-je savoir ce qui vous amène à une telle conclusion.. ?

Mes yeux se plissèrent davantage. N'importe quoi... Je ne faisais qu'appliquer un de mes grands principes, qui pouvait se décliner dans tous les domaines. Comment pouvais-je faire souffrir si je ne souffrais pas moi-même... ? Tout bonnement impossible. C'est un principe qui m'était d'une grande utilité, par moments. Mais, évidemment, je ne l'employais que lorsqu'il m'arrangeait... Ce qui est, ici, le cas. Pourquoi m'en priver ? Cela ne servait tout simplement à rien.

J'arquai un sourcil lorsqu'il s'assit. Comme si j'avais l'intention de bouger ma colonne vertébrale de ma couverture... Un léger rire cristallin sortit de mes lèvres face à sa prise de parole, mais surtout à son contenu.

- Et donc … ou vas-tu si tard le soir ? Je suppose que tu ne dormais pas…

Le pauvre, s'il savait toutes les armes que je me trimballais... Et je n'allais sûrement pas répondre à sa question stupide ; cela, je pense qu'il s'en doutait déjà. Je pris mon portable, et envoyai un sms à, sans aucun doute, ma plus ancienne connaissance. Je savais qu'elle ne le lirait que le lendemain, et un sourire naquit sur mes lèvres. Elle m'énervait peut-être avec son stoïcisme, mais une chose était certaine : ses qualités en tant que combattante étaient elles exceptionnelles, et le fait que j'avais pas pu avoir ma revanche depuis tout ce temps me trottait souvent dans la tête. Là j'allais l'avoir. Et j'allais, enfin, pour la première fois, la battre. Cela, j'en étais certain.

Finalement, je m'allongeais sur le flanc, posai mon coude sur mon oreiller, et vint soutenir ma tête ( le côté ) de ma main. Et je regardais mon colocataire.

- J'y songe, comment vous appelez-vous... ?

Cela me semblait être la moindre politesse. Des jours qu'on était dans la même chambre sans se dire un mot, et on ne s'était pas encore présenté. Quel manque de politesse, ma parole... Mais bien vite, mon téléphone sonna. Et lorsque je répondis, je sortis en trombe de la pièce.

01h47min53s.

J'ouvris la porte. Et là, j'étais nettement différent. J'avais une face de glace, une froideur largement décuplée qu'à la normale. Et le bandage que je m'étais fait tantôt laissait place à un trait pur et simple, peu profond. Et surtout, mes vêtements étaient en sang. Je sortis de mon sac ma trousse de secours, et me fis un garrot, puis optai pour un bandage serré. Ceci fait, je jetai mon short et mon débardeur passablement imbibé de sang. Et c'est en boxer que je cherchais dans mon armoire d'autres vêtements.

- Excusez-moi d'être parti comme ça... J'avais un léger compte à régler.

La moindre des politesses. Je continuai de chercher. Mais pendant ce temps, il avait pu admirer à loisir l'énorme dragon argenté aux yeux bleutés que j'avais dans le dos. Et ce genre de tatouages... Et bien, si vous étiez un peu renseigné, vous saviez de suite à quel domaine de vie ils faisaient référence. Assassins ou mafieux. Au choix. J'enfilais donc mon kimono, après avoir soigneusement nettoyé toutes les plaies que j'avais sur le corps. Je détestais ça. J'étais couvert de cicatrices, et celles de mon ventre et de mes jambes se voyaient particulièrement. Aucune sur le dos, mais j'avais un tatouage gigantesque. Toute cette scène me donna un air encore plus froid qu'il ne l'était déjà.

Il allait me poser des questions, et c'était bien là tout ce que je ne voulais pas. Et je me souvenais de mes propres paroles. Un léger problème, hm... Mes yeux se plissèrent davantage. Il fallait que je mette les choses au point dès maintenant.

- Je préfère vous prévenir ; ne révélez rien de ce que vous avez vu aujourd'hui, ni de ce qu'il se trouve dans mon dos. Et autre chose, aucune question sur mon passé et sur mes activités en dehors du lycée.

Au moins, les bases étaient posées. Je me doute bien qu'il comptait s'y dérober, mais il devra se heurter à mon silence glacial. Et si besoin à mes armes. Mais ça, je pense que je ferrais mieux d'éviter. Il faut croire que ce n'est pas très fair-play...

[ H.R.P : Désolée du retard... Et la couleur que j'utilise, c'est blueviolet ]
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MessageSujet: Re: A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] Icon_minitimeJeu 28 Fév - 13:24

- Alors, tu aimes-tu faire du mal. Pourquoi tu fais ça ?

Il ne me répondit pas tout de suite. Trop de fierté… Il m’énervait vraiment à présent, il se prenait pour le Maitre du monde ? Mais, il ne l’était point très chère. C’est justement pour fuir ce genre de personne que je suis venu dans ce lycée, et voilà que j’en retrouve … Encore plus stupide et mal élevé que la normal.

- Plaît-il... ? Et puis-je savoir ce qui vous amène à une telle conclusion.. ?

Pourquoi ? Tu souris juste en regardant ton sang couler, serait-tu masochiste ou bien sadique ? Le sang … Oui, j’en voyais souvent, avant. Ce n’est pas rare que c’est moi qui en faisais couler à l’aide de révolvers pour protéger mon honneur, mes droits, ma fortune et l'honneur de mes pauvres parents et ce de mes grands-parents. Son aptitude me faisait penser à celle d’un gamin qui essayait de faire peur aux autres, j’en riais intérieurement. J’en avais maté des plus braves et abruti que lui… Oh oui, pire que lui …

- Hum, je ne sais trop, sans doute le sourire que vous avez quand vous regarder le sang couler ?... Pas besoin de me répondre, ça se voit dans vos yeux.

C’était, par définition de langage : un fou. Mais je n’avais point peur, il m’aurait suffis de le plaquer dans son lit et de lui dire de dormir pour qu’il se calme. Et puis, après tout, pourquoi m’embêté ? Nous sommes dans un lycée, j’aurais juste appelé les surveillants.

- Et donc … ou vas-tu si tard le soir ? Je suppose que tu ne dormais pas…

Je savais qu’il ne répondrait pas, cela me fit rire intérieur encore une fois. A cette heure-ci, impossible de me rendormir de toute façon, je préférai m’assoir en tailleur et lire un livre que j’attrapai dans le fond de mon tiroir qui me servait de chevet. Commençant peu à peu à l’ignorer.
Il m'allongeait sur le flanc, posai son coude sur son oreiller, et vint soutenir sa tête de ma main. Il me regardait, je le sentais…

- J'y songe, comment vous appelez-vous... ?

Parce qu’il croyait que j’allais lui cédé mon nom ? Vu tous les regards noir qu’il m’avait jeté, il n’avait qu’à se lever et regarder sur un de mes cahiers de cours. Je le trouvais pour le moins … Marrant. Je n’allais pas tout lui cédé non plus, j’avais presque envie de lui donner un faux nom … De toute façon, pas le temps de sortir un mot qu’il s’était sauvé en courant avec son téléphone. Je soupirais, il commençait à m’énerver avec ces grands airs.
Il revint dans la chambre après des minutes me paraissant si courte. Je soupirais de nouveau.

- Excusez-moi d'être parti comme ça... J'avais un léger compte à régler.

Un compte ? Si il veut, ça ne me regardais pas de toute façon. Après s’être ‘ excuser ‘, il me fit littéralement un défilé : En boxer. Il était tatoué… Une racaille ? Ou un mafieux ? Qu’importe. Il pensait sans doute que cela m’impressionnais mais non, plus rien ne me surprenais dans ce monde depuis la disparition de mes parents. Il était couvert de cicatrice, vie dure ? Qu’importe …

- Je préfère vous prévenir ; ne révélez rien de ce que vous avez vu aujourd'hui, ni de ce qu'il se trouve dans mon dos. Et autre chose, aucune question sur mon passé et sur mes activités en dehors du lycée.


Voilà, j’eus la preuve qu’il faisait partie de CE GENRE de personne. Ces personnes qui croient que l’on est bête au point de tout raconté ou même … Il croyait que je m’intéressais à lui ? Qu’elle blague ! Qu’elle honte … Je préférais lire mon livre, il était de bien meilleur compagnie, et c’est en tournant une page que je lui ai répondu.

- Pourquoi faisais-je ceci ? Me prenez-vous pour un idiot ? Comme-ci j’allais m’intéresser à votre vie …….. Cela ne m’apporterais rien de raconter à tout le monde que vous êtes un masochiste qui aime se mordre jusqu’au sang, non ? Je retirai lentement mes lunettes pour plisser les yeux, relever un peu le menton et prendre une sourire sur de moi. Et je ne vous dirais pas mon nom. Quelqu’un se croyant au-dessus de tout peu bien mettre sa fierté de côté pour aller lire le prénom de son colocataire sur les cahier posé sur son bureaux. Je ne suis pas le genre de personne à se laissé faire sans rien dire. Je ne suis pas un chien obéissant non plus, je fais ce qui me plait et je ferais ce qu’il me plaira. M’avez-vous bien comprit ? Je n’ai pas d’ordre à recevoir.

Je claquais violement les pages de mon livre, toujours avec mon sourire. Je ne me reconnaissais pas … Je ressemblais à mon père …
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A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] Vide
MessageSujet: Re: A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] Icon_minitimeSam 30 Mar - 11:28

01h24min46.

- Hum, je ne sais trop, sans doute le sourire que vous avez quand vous regarder le sang couler ?... Pas besoin de me répondre, ça se voit dans vos yeux.

J'éclatai d'un rire cristallin, pour signifier l'absurdité de ses conclusions hâtives. Penchant ma tête sur le côté, je le regardais, de ma face froide habituelle, teintée ici de malice. Mon sourire.. ? Cela n'avait absolument rien à voir. Mes yeux... ? Ah, mes yeux, oui... Je soupirais silencieusement. S'il était du genre à conclure comme ça, on n'allait pas bien s'entendre, cela était certifié...

- Et bien, je pourrais juste vous dire que c'est, pour l'instant, la seule chose qui me calme... Mon sang. Libre à vous de me considérer comme un fou, sachez que j'en suis absolument conscient.

Mon soprano grave aux tons enfantins, matures, et ici quelque peu amusés avait parlé sans mon accord. Quelle importance d'avoir dit qu'il était fou... ? Un fou qui en est conscient l'est moins qu'un fou qui ne l'est pas...

[...]

Il tourna une page de son livre, et je sus que j'aurais droit à une immense tirade.

- Pourquoi faisais-je ceci ? Me prenez-vous pour un idiot ? Comme-ci j’allais m’intéresser à votre vie …….. Cela ne m’apporterais rien de raconter à tout le monde que vous êtes un masochiste qui aime se mordre jusqu’au sang, non ? Et je ne vous dirais pas mon nom. Quelqu’un se croyant au-dessus de tout peu bien mettre sa fierté de côté pour aller lire le prénom de son colocataire sur les cahier posé sur son bureaux. Je ne suis pas le genre de personne à se laissé faire sans rien dire. Je ne suis pas un chien obéissant non plus, je fais ce qui me plait et je ferais ce qu’il me plaira. M’avez-vous bien comprit ? Je n’ai pas d’ordre à recevoir.

Il ne s'intéressait pas à... De nouveau, mon rire cristallin s'échappa de mes lèvres Et cette fois-ci, ma réponse fusa

- Jusqu'à présent, je vous prenais pour une personne censée, mais à ce que je vois... Et le simple fait de me demander pourquoi je me fais... mal Une grimace étira mes lèvres à ce mot. Cela n'était pas une douleur, mais bon... prouve que vous vous étiez un tant peu soit-il intéressé à ma vie... Je n'aime pas me mordre jusques aux veines ou aux artères, je sais juste que je ne peux me permettre de m'irriter ; j'y vois une claire nuance de vos propos... Fierté.. ?

Ma tirade s'interrompit et je ris doucement. Fierté... ? Cependant, je me concentrais sur la dernière partie de sa tirade et fronçai les sourcils. Ne me dites pas qu'il... Ma froideur, pour la première fois, ma froideur plia bagages et laissa place à une aura concentrée et une expression plus que sérieuse. La fin de sa tirade ressemblait à un discours de nobles.

Je regardai mon bandage au bras, puis le regardais, lui. Là, j'avoue que je me fiais purement à mon instinct. Mais dans ce cas précis.. Harus gitu. So... Gito aja, deh. Je le regardais de mes yeux qui avaient conservé un fond de lueur froide. Puis, cette fois-ci, ma voix parla parce que je le voulais.

- Ne me dites pas que vous avez un rapport avec les trois aristocrates que je viens de tuer sous contrat, quand même... ?

Je le regardais désormais plutôt étrangemment. Puis, je décidai de m'allonger sur le dos dans mon lit et de regarder le plafond. Et mon air froid et glacial revint aussitôt que mes pensées changèrent. Fleur Nawatsuki... Allais-je avoir ma revanche sur elle.. ? Elle était une combattante hors pair, et... peut-être pourrait-elle devenir mon amie, peut-être bien...

Je soupirais quelque peu. Qu'est-ce qui m'avait pris, de brusquement parler autant... ? Qu'est-ce qui m'avait valu cette concentration et ce sérieux... ? Me creusant les méninges, je vins, sans m'en rendre compte, à prononcer le nom d'Adam. Et Adam... ? Mon Androgyne qui voulait que j'arrête mon métier d'héritage, mais je ne... Voulais pas ? Perdu dans mes pensées, je regardais ma montre.

02h00min22sec

Que me réserverait cette nuit, encore...
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MessageSujet: Re: A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] A8 - La Chambre du Malheur... [ PV Alexis Slingby ] Icon_minitimeMar 16 Avr - 13:52

Je ne l’écoutais plus parler, je ne pouvais pas et je ne voulais pas en entendre plus de toute façon. Sa vie ne me regardait pas et je n’avais pas l’envie d’en entendre d’avantage. Ma propre vie était mouvementée. Un garçon aux cheveux blancs ne m’intriguait pas, c’était le sosie de mon oncle dans l’Age de ses 16ans. Mon oncle … Que devenais Mathieux ?...
Ce garçon… Ce garçon le bras en sang, de son plein gré… Ce genre de… Procéder, je ne le connaissais que trop bien : le sang coule libère une sensation de bien-être, tellement magique que l’on en oublie jusqu’à la douleur qu’elle apporte, c’est pire que la drogue, mais bien plu efficace, c’est tout le problème de cette méthode. Mais sa voix … Sa voix soprano……… Cette voix avec laquelle il me parlait me mettait hors de moi ! Nous avions le même âge, la même taille, sans doute un peu la même vie, d’après ces méthodes communes.

- Pourquoi faisais-je ceci ? Me prenez-vous pour un idiot ? Comme-ci j’allais m’intéresser à votre vie …….. Cela ne m’apporterais rien de raconter à tout le monde que vous êtes un masochiste qui aime se mordre jusqu’au sang, non ? Et je ne vous dirais pas mon nom. Quelqu’un se croyant au-dessus de tout peu bien mettre sa fierté de côté pour aller lire le prénom de son colocataire sur les cahiers posé sur son bureaux. Je ne suis pas le genre de personne à se laissé faire sans rien dire. Je ne suis pas un chien obéissant non plus, je fais ce qui me plait et je ferais ce qu’il me plaira. M’avez-vous bien comprit ? Je n’ai pas d’ordre à recevoir.

J’en avais trop dit pour tenter de le faire taire. Issues de bonne famille, je parlais comme les nobles ancien, ce qui me trahissais beaucoup … Dites-moi, oh ! Dites-moi seigneur qu’il n’aura pas prêté attention à cela, je vous en prie… Même si je dois me mettre à genoux, mais pas pour lui !

- Jusqu'à présent, je vous prenais pour une personne censée, mais à ce que je vois... Et le simple fait de me demander pourquoi je me fais... mal . Cela n'était pas une douleur, mais bon... prouve que vous vous étiez un temps peu soit-il intéressé à ma vie... Je n'aime pas me mordre jusques aux veines ou aux artères, je sais juste que je ne peux me permettre de m'irriter ; j'y vois une claire nuance de vos propos... Fierté.. ?

Je ne lui répondis pas, je fixais mon livre à présent fermé, légèrement énervé par mon propre comportement que mon père aurait pu corriger. Mais il continuait à parler, parler …. Il ne savait pas s’arrêter.

- Ne me dites pas que vous avez un rapport avec les trois aristocrates que je viens de tuer sous contrat, quand même... ?

Aristocrates ?... Mon sang se fixa, j’étais froid comme de la pierre, j’avais froid. Que les fleurs bleus de mon père me dise la vérité et qu’il n’est pas toucher au peu de famille qui me reste … Qu’il n’est pas deviné qui je suis, l’une des plus grosse fortune de France, rechercher pour son or et son argent… Je le regardai s’allonger, son regard perdu dans le vide.

- De quels aristocrates parler vous-donc ? Je jouais la carte de l’ignorance… Je me cachais et fouillais encore, qui me dit que ce n’étais pas un des gardes à ma recherche pour en finir avec ma famille… Comment connaitrais-je des aristocrates ? Je ne suis qu’un fils du peuple ! Mon dieu, comment en sommes nous arriver à cela …

Tout ce qui me trahissais, c’était ma main tremblais que je cachais dans mon dos. Je priais pour que les aristocrates en question de soit pas ceux de ma famille… Mais j’en doutais fort, le manoir de ma vie se trouvait assez reculer dans les bois, cacher de tout, cacher de nous… que me voulait-il ?

- Et, supposons que je les connaissent vraiment : qui sont-ils ?

Je devais savoir, dans l’espoir de LA retrouver.


[HORS RP : Désolé, réponse courte ><' ]
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