Prénom: Lavita
Nom Kim Iren
Âge : 15 ans
Sexe: Masculin
Nationalité : Russe
Statut : 15 ans ? c'dans quel groupe ? *meurs*
Club : Pourquoi ferais-je partie d'un club ? Je n'en vois pas l'utilité, qui de plus est, je n'ai pas du temps à perdre à me rallier à de telles futilités. La vie n'est faite que pour être vécue, alors je ne perdrai jamais mon temps à exécuter des tâches grossières méconaissant d'égales actions bien plus importante. Comme m'émerveiller de ma propre perfection par exemple.
Logement : Dortoir
Loisirs : Piano o/ .
Et ton avatar, c'est qui ? Loki Laevatin
Et le code ? Validé par Ed'

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Physique :

-Et ainsi ça te vas ?

-Levez encore la tête un peu plus...Comme ça, oui, parfait! Restez ainsi.

L'atmosphère n'était que sordide. Le temps était lourd, couvert, étouffant. Un silence bien trop bruyant était présent. Et chacun des deux accueillait ce silence d'une différente manière. Le premier ne fut que charmé par cette exquise mélodie qui n'était présente que dans sa propre tête, audible que pour lui même. Le second était au bord de la lassitude, temporisant la délivrance. Priant pour que le temps s'accélère, mais il le narguais. Il jouait avec ses nerfs, il en était sûr. Chaque minute était pareille à un siècle, et chaque seconde le séparait du monde extérieur. Il réclamais la libération avec empressement. Ces quatres murs l'étouffaient, cette atmosphère l'agaçait. La nuit avait laissé tombé ses voiles sur le monde. L'atelier était si sombre, et il se sentait si seul, si éloigné. Il ne se sentait même plus vivant, il n'avait même plus l'autorité sur ses sens et ne pouvait bouger.
Affalé sur un fateuil de couleur cramoisie, et entouré de rideaux d'une couleur pareille aux jus des mûrs. Lavita n'était que le plus plaisant des êtres à regarder. Et la beauté, n'est faite que pour être admirée, même pas. La beauté est faite pour être immortalisée. Pour être ainsi gardée, précieusement, en de somptueux clichés. Et moi, je savais tout. Sa jeunesse n'avais que si peu de temps à vivre. Je savais que le temps ternira sa fraiche beauté. Que l'angoisse qu'il n'avait jamais connu étant un enfant, laissera des traces sur son front lisse. Que sa face devienne plissée et ridée, l'écarlate de ses lèvres s'évaporerait....Sa beauté s'éteindrai. Elle flétrirait, s'userait. Se fanerait comme une rose après un long printemps. Il en était inconscient, et ça ne le rendait que plus charmant avec son charme puéril et innocent. Mes yeux n'avaient jamais vu plus beau que ceux de Lavita, et mes lèvres n'avaient jamais prononcé d'aussi délicieuses lettres que celles formant le prénom de Lavita. Le prénom de Lavita, fut une bénédiction à mes lèvres. Son "La" aussi doux que le chant des oiseaux, un "vi" épicé et ce "ta" bohémien. Un prénom plus doux à mes lèvres que le miel. Celui qui connait Lavita, se prosterne, vénères, la divinité dans ses yeux de miel. Le corps frêle de mon précieux Lavita, fût aussi frêle que celui d'une fille. Et la taille de Lavita, me faisait fantasmer la nuit. Sa peau était transparente, laiteuse, et je me noyais...Et je me noyais dans l'océan laiteux de son corps. Je ne pouvais que prier dieu à la vue de la finesse scandualeuse de ses épaules. Et le sang pourpre, colorant ses joues d'une fausse gêne ironique, me brûlait les lèvres à chaque baiser. Celui qui voit, les cheveux de Lavita, contemple la divinité des filet cuivrés : Ces cheveux irréels, à la fière couleur maltaise se s'enflammant vers le vermillon, prennent une douce teinte dorée à la rencontre des rayons de soleil. Des cheveux faisant sa fierté ondulant vers ses chevilles. Tressées négligemment en une épaisse tresse. Une frange balayée vers la droite cachait son lisse front. Quant à ses traits...Les mots ne saurait décrire leurs noblesses....Des traits si églants, des traits si fins.... Des sourcils bien dessinées et fins et un nez retroussé dessinant à son extrémité un élégant cercle. Et ses yeux...Et ses yeux....Je brûlais, dans l'inifinité des nuages se reflétant dans son regard, et je mourrais, et je mourrais pour ressusciter dans les yeux couleurs de miel. Les yeux de Lavita sont mon tabac, mon alcool. Dans ses yeux je voyais des jardins et un troupeau de rossignols. Je voyais des milliers de rendez-vous, des joies et de poèmes. D'un simple regard de ses prunelles de revolver il éffaçait mon être, m'influençait, se jouait de moi tel un enfant innocent. Il faisait de moi ce dont il voulait et j'en était inconscient, vus que son regard, m'hypnotisait, me fascinait, m'intriguait. Il m'envoyait vers d'autres univers, je naîssait dans ses yeux, et je n'était point celui que je suis. Ce regard...Ces yeux...Ce regard enflammé et vaniteux, ce regard capricieux, ce regard méprisant...Repoussant, je l'aimais, comme tu l'aimeras...Comme vous l'aimeriez! Et ces cils majestueusement courbés, frôlant presque ses joues rougies. Des lèvres vermeille se déserrant en un sourire énigmatique, hautain, sarcastique à souhait. Des lèvres que des centaines de gens avant moi avais tant rêvé d'embrasser. Je les aimais, je les aimais, autant que j'adorais son visage rond et enfantin. Son long cou gracile, ses fines épaules....Et ses mains ! Ses mains ! Cette main se posant tantôt sur mon épaule comme un magnifique oiseau vert se posant sur un arbre....Ayant l'agilité d'un pianiste, la finesse de ses doigts....Et la chaleur de son toucher...Brûlerait la glace d'un ciel azuré.....Ses vêtements, les plus serrés, les plus larges, je les aimais tous. Je les enviais, je les jalousai....Il s'habillais irrégulièrement, et il était magnifique, dans toute sorte d'habits. Je l'aimai dans le céruléen, dans le bleu roi et le noir....Un grain de beauté avait pris place sous sa lèvre inférieur, et un tatouage de couleur jais dans son dos contrastait avec l'ivoire de sa peau. Sa magnificence était propre à lui même. Il était beau, il était beau, il était beau...

-Johann, T'a finis ?
-Accordez moi encore quelques clichés, Lavita.

Ce qui se passe dans sa tête~

-Johann, me regarder aussi longtemps ne t'ennuie pas ?...Prononça-il d'une voix mielleuse, qui ne lui ressemblait pas. J'était plutôt satisfait, vus qu'il ne parlait ainsi qu'a moi. Et qu'il n'avais poser cette question que parcequ'il connaissait ma réponse. J'aimais ce coté vaniteux de Lavita. Et son regard mûr dans le mien, hâtant ma réponse pour satisfaire son orgueil. Provoqua un sourire sur les miennes. Et ma voix rauque contrastant avec la sienne, mielleuse, répondit ;
-Pas du tout, non...Vous êtes formidable, Lavita.
-Je sais ! Cette question était sotte ! Vus que la réponse n'est qu'évidente ! ha !
Un sourire fendit mes lèvres, à vrai dire, je my attendais, celà faisait si longtemps que je connais Lavita, que j'aime Lavita, que je vénères Lavita. Alors je ne pouvais que my attendre...

On dit que beauté, est soeur de vanité. Est-ce vrai ? Est ce faux ? Je n'en savais rien, il n'en savait rien. Tout ce que je savait, était que Lavita, fut la personne la plus unique que je connaisse. La personne la plus sincère et la plus franche.....Lavita n'est que le triomphe de la vanité sur l'esprit. De l'orgueil et de fierté. Il était son seul, son unique amour, et je n'espérais aucune place dans un coeur si sacré. Et il n'y a que les choses sacrées pour être troublées. J'enviais son orgueil, sa fierté, ne faisant que le rendre encore plus précieux à mes yeux. Vus que la vanité, n'est que la qualité la plus essentielle et la plus précieuse chez un humain. Je ne voyais point chez lui, la sottise des autres jeunes de son âge, ni la stupidité de ceux qui sont plus mûrs. Une fois, Lavita m'avait avoué, détester les adultes. Détester les règles, les limites. Elles ne sont qu'auto-satisfaction, et la vérité pour lui, n'a été qu'une sorte d'égoïsme de la part de ses créateurs. La vérité pour lui, n'existait pas. Ni le bien...Ni le mal, ni toutes ces limites rouges stupides que l'ont avais mis, pour lui tant qu'il voulait quelque chose, il l'aura. Et peux importe le prix. Lavita avait réalisé très jeune, bien trop jeune, que le monde n'était que matériel, que dans ce monde-ci, c'est le plus fort qui gagne. Celui imposant sa façon de voir aux autres. Alors jamais il ne se permettait de laisser quelqu'un le regarder de haut, même s'il était plus âgé que lui, même si c'était ses parents même. Les règles ne sont faites que pour être transgressées, et les stupides frontières telle que "politesse" ou encore "dignité" "Valeurs" ou "principes" . A son avis elles n'ont étaient crées que par des gens faible et pauvre. Des gens grotesque et odieux, prétendant avoir de la cervelle. Et comme des troupeau, les ancetres les avaient bêtement suivit...Et ainsi de suite, voila que notre monde est remplis de limites, de frontière ! Ce que j'aimais le plus chez Lavita, c'était ce coin-ci. C'est son perfectionnisme, sa franchise, et surtout...Jamais il ne s'était mis une limite. Il était capable de tout. Il était imprévisible.

Son mépris pour l'humanité s'était quelque peu accentué. On peut conclure par le comportement de Lavita, qu'il était vraiment cruel -et oui ! ce que les enfants peuvent être cruels ! Parfois-. Sarcastique, moqueur, ou blessant ? Non, je dirais plutôt, qu'il était franc et sincère, qu'il était de ceux, préférant dire la vérité à mentir, ayant horreur du mensonge, et de la fausse modestie. Gagner Lavita, serait gagner un vrai "ami", celui qui te poignardera en face au lieu de te poignarder dans le dos. Mais hélas ! Ce que je qualifie moi, comme étant une qualité, est classé par les autres comme étant méchanceté et défauts. Lavita a toujours demeuré seul, sans amis, et il en était assez indifférent, vus que sa propre personne lui suffisait. Son coeur était si pur, si pur...Aussi pur que du cristal, aussi froid que les nuits de décembre. L'amour n'avait jamais éclairé sa vie, l'amitié non plus et pourtant il était quelqu'un d'assez Jovial et d'optimiste. Il me sembles, ne l'avoir jamais vus pleurer....

Et tant mieux, mon coeur n'aurait point supporter de voir ses larmes. Lavita, avait des goûts bien trop raffiné. Pour la littérature, la musique, la gastronomie. Lavita était trop exigent, il avait horreur que l'on fasse quelque chose à moitié, il ne pardonnait jamais que l'on commette un tel crime...Lavita avait l'esprit raffiné, il avait beaucoup de gout et de charme. Cépendant, son âme n'était qu'innocente. Il n'ya que les ames pures, méritant d'être souillées. L'innocence, l'exclusion de tout les vices. Il ne l'était pas si tant que ça, mais il l'était dans le sens ou son corps n'avait jamais goûté aux plaisirs charnels. Non même, il n'y songeait, même pas. Si je devrais désigner un seul défaut dans la personnalité de Lavita, ça serait son incroyable indifférence et manque de curiosité. Ce n'était pas que ce trait de sa personnalité, me dérangeais spécialement. Mais c'était surtout de la peur pour lui. Vus que l'indifférence naturelle, dénoue les liens sacrés. Il ne pourra plus être l'amant fidel, ou le père attentif. Vus comme ça, il s'en passerait surement, mais un jour il réalisera que son indifférence excessive ne fera que rendre sa vie plus morne. Cépendant, je n'ai jamais connu d'aussi optimiste que Lavita, j'aimais Lavita, parcequ'il était Lavita. Je m'accordais fort bien cette passion. Et celui qui croise Lavita, devrais remercier la divinité de sa beauté, pour lui avoir accordé le priviliège de lui vouer une telle passion....Il se sentait aimé ; il s’attendrissait, rassasié d'une espèce de vanité hors dimensionnée. Mais qui connait vraiment Lavita, l'aimerait pour sa vanité. Vus qu'un Lavita modeste, n'est point Lavita. Il était lui, et personne d'autre, et quand il parle ou apparait, tous les autres gens paraissent pareilles à de vulgaires imitation d'une vraie oeuvre d'art. Il avait l'oreille musicale, et un vrai sens de l'art. Vous le verrez parfois, roman à la main, entrain d'écouter "Für Elise". Perdu dans une autre dimension, dans un autre monde. Ou tout simplement, lui, jouant du piano...Et vous verrez pour la première fois, et comprendrez, le véritable sens de la beauté et de l'élégance.

L'on dit aussi que le caprice n'est que le priviliège de la beauté, en effet, Lavita n'est que très capricieux. Eqt il n'yavait rien de plus beau, qu'un sourire né d'un caprice de sa part..J'amais Lavita le capricieux, Lavita le vaniteux, Lavita le moqueur. Jouant du piano, lisant, ou posant pour moi. J'éprouvais une hardeuse passion pour ce garçon et hélas. Je n'était que très loin de découvrir ce qu'il cachais réellement au fond de son coeur. Et très loin de connaitre le vrai Lavita. Mais sachez, que ça vanité, n'est autre qu'une façon de se protéger.

Son Histoire;

Je ne fus...Que le prisonnier de ma propre beauté....
Seul les notes d'une partition de Chopin étaient audibles. Cet prestigieux rival des grands maitres d'europe. Ce génie, créant des poèmes avec un piano. Seul les notes, sous mes doigts soupiraient. Et je m'éloignais...Et je m'éloignais. Vers une autre époque....Le décor fondit, je ne sentis plus mes doigts, je me sentais choir dans l'obscurité, ou plutôt emporté dans un autre monde. Je m'éloignais de chez moi, je n'était plus entre ses murs qui m'étouffaient, car je n'aimais pas les cercles, je n'aimais pas les triangles, je n'aimais point les rectangles....Ce que j'aimais moi, c'était la liberté. Je rêvais des arbres, et des forêts, et des enfants jouant dehors...Et des amoureux se promenant main dans la main...Et du collège...Et du lycée...Du printemps, de l'été et de l'hiver. J'avais hâte de courir sous la pluie, et que la senteur de l'humus frais caresse mes narines. La liberté, la liberté...Je ne souhaitait qu'un fil d'espoir, pour my attacher. Qu'une seul, une infime, une petite lueur de délivrance....

A la fin de la sonate, mes yeux rencontrairent le bois vernis du piano situé dans mon salon, et mon visage se reflétait vaguement. Mon visage ? Je l'ai haï...Détesté, j'ai détesté ce visage qui m'a rendu si particulier, parfois aimé, parfois détesté...J'ai toujours haï dépendre d'un physique. Tout comme dépendre d'une personne...Mais dieu m'ayant offert jeunesse et beauté, je le remerciais. Et me cachais, je me cachais derrière des chaines, plein de chaînes et de voiles. Et je demeurais, ce que vous souhaitez que je sois. Mais ce jour arriva...Aujourd'hui, on m'avais délivré de ma prison.

Spoiler:

Bonjoooour ~

Je sais pas pour le groupe, tu te débrouilles xD

Dans sa description physique j'ai l'impression de voir des influences du Portrait de Dorian Gray =D C'est très joliment décrit en tout cas. C'est aussi intéressant d'avoir le point de vue d'une personne extérieure, mais du coup on se demande presque à quoi il ressemble tant Johann est ébloui par sa beauté.
Mais c'est vraiment bien fait, tu peux être fière de toi ! On voit que tu as travaillé toutes ces descriptions.

C'est amusant parce qu'au final je me demande si Lavita est quelqu'un de réellement pur et réfléchit ou s'il cache une personnalité moins noble que celle perçue par Johann. Mais ça, on le découvrira dans le RP !

La musique de Chopin est très belle <3


Tu seras validé quand tu auras donné ton statut, je ne sais pas en quelle classe il est alors pas simple pour te mettre dans un groupe =o

En 3ème annèe ? :o

Ca fait jeune, ça veut dire qu'il aurait passé des classes =o

Quelle est la classe la plus jeune ? XD (je ne suit pas le système scolaire français alors désolé je peut pas savoir XD)

Première année lycée : 14-15-16
Deuxième année lycée : 15-16-17
Troisième année lycée : 16-17-18
Première année prépa : 17-18-19
Deuxième année prépa : 18-19-20
Troisième année prépa : 19-20-21

Ca ce son les âges "normaux" auxquels tu es supposé te trouver dans les différentes sections selon le moment de l'année auquel tu es né et le moment de l'année actuel.
Voilà =D

En deuxième annèe alors :) ça ira ?

Oui c'est bon !
Voilà, tu es validé =)