On est le soir du bal, mais avant d'y être, j'avais dû attendre qu'on soit en ce jour. Je pensais à pourquoi j'y allais.

Quand je suis arrivée dans mon pensionnat et mon nouveau lycée par la même occasion j'avais d'abord été à l'administration pour avoir le numéro de ma chambre. Je m'étais dépêchée d'y aller pour ne pas tomber sur ma colocataire qui devait être en cours ou avec des amis. J'avais raison, elle n'était pas là et j'en fus soulager, mais bon je n'avais pas pu rester inactif longtemps, alors j'avais déballé mes bagages avant qu'elle arrive et après je suis partie visitée mon nouveau lieu de vie. J'avais pratiquement tout visité, mais le couvre-feu était déjà passé depuis longtemps, alors cela voulait dire que j'avais de la chance de ne pas mettre fait chopper, enfin bref il me restait que les salles de bains communs à visiter. J'étais entrée dans la pièce et j'avais été étonné par la décoration, mais ce n'est pas ça qui ma choquais le plus dans cette journée. À peine avais-je plongé dans l'eau qu'un jeune homme était entré. Nos premières réactions étaient plutôt agressifes enfin surtout les siennes, car moi sans mon accord mon coeur avait décidé que je sois amoureux de lui, mais quand j'ai voulu fuir, j'ai compris qu'il m'aimait peut-être bien, alors pour en être sûr je lui ai demandé de venir au bal de noël avec moi. Je ne savais pas s'il allait venir, car je lui avais pas laissé répondre ça fait que le lendemain je n'étais pas très bien. J'avais fait que rêvait de lui, il me prenait dans ses bras et il me disait des mots d'amour. Je mettais réveiller de mauvaise humeur car mon rêve n'en était qu'un. Il fallait que je décompresse et quoi de meilleur que le toit avec l'air froid du matin, mais bien attendu un jeune homme du nom de Craig avait eu envie de fumer. J'avais failli le jeter dans les escaliers, mais ma conscience c'est manifesté, alors je ne l'ai pas fait et à la fin il avait fini dans mes bras et il avait pleuré en me disant son histoire et j'ai décidé de lui dire la mienne pour signer notre amitié. Bref enfin après ma rencontre avait les deux personnes qui mon chamboulaient ma vie, je n'avais pas trouvé une autre personne digne de mon intérêt et disons que j'avais que 1 semaine pour pouvoir me préparer pour ma seconde entrevue avec mon coup de coeur.

Je fini de me souvenir de toute ma semaine, enfin là m'avoir rappelé de toutes mes souvenirs, ça m'a rendu en retard dans mon habillage.

J'enfile vite fait ma tenue, je me coiffe avec du mal et je me maquille un petit peu. Je me regarde dans le miroir. Je suis fière de ma tenue, j'ai une robe du même bleu de mes yeux ce qui les font sortir, elle est longue, on ne pouvait par voir mes pieds qui étaient dans une paires de ballerines de couleur noire. Mes cheveux courts eux sont lissé pour les faire devenir plus long et j'ai un ruban noir qui me sers de bandeau. Pour le maquille, c'est très discret, un petit peu de fard à paupière beige et du mascara blanc pour que j'ai un regard intense. Fini de me contemplet, je pars pour le bal.

J'y suis, c'est maintenant que tout va commencer. J'avais peur qu'il ne soit pas venu, mais mon 6éme sens me disais qu'il est quelque part dans ce grand bâtiment. Je veux le trouver le plus vite possible, mais pour ça j'ai besoin de courage. Je vais au buffet et je me sers un verre de jus de kiwi, je sens avant l'odeur et je bois cul sec. Je marche pour prendre les escaliers qui m'emmene au premier étage. Tout est calme aucun bruit se fait entendre. Mes pieds me dirigent jusqu'à une terrasse. Une personne est là, c'est lui, mon coeur bat de plus en plus vite comme je le pense sa présence me rend folle. Il ne m'a pas encore vu, alors je me permes de le regarder de haut en bas. Il est habillé d'un smoking. Je trouve qu'il est élégant comme ça, je ne lui dirais pas aujourd'hui que je le trouvais beau en tout cas. J'avais envie de mettre mes mains sur ses yeux et lui dire devine qui c'est, mais bon je ne pouvais pas faire l'enfant et je ne savais pas comment il réagirait et je préfére ne pas le mettre en colère. Je voulais vraiment qu'on passe une bonne soirée, alors ce n'est pas le moment de jouer à la conne.
Je voulais annoncer ma présence, mais au même moment il parle. Je pense qu'il m'ai découvert, mais je n'ai fait aucun bruit alors ça ne pouvait pas être ça. J'écoute ce qu'il dit.

- Mais pourquoi je pense encore à elle.. A croire qu'elle me hante...

Alors comme ça il pense à moi et je le hante ? J'aime bien l'idée qu'il pense à ma personne en espérant que c'est en bien. Par contre le hanter, je n'aie pas du tout, je ne suis pas un fantôme je suis bien en vie. Je lâche un grognement qu'il remarque, sa tête se redresse vers moi. Il me regarde en rougissant, je trouve cela mignon, alors je sourie sans aucune trace d'amertume dans mes yeux qui en ce moment même reflète la joie de pouvoir le voir. Je ne sais pas comment se passera notre soirée, mais elle était partie pour être agréable. Lui par contre a toujours sa froideur sur son visage, mais je sais qu'il ne faut pas sans formaliser. Il boit une gorgée de son breuvage, je me demande ce que sait, une odeur de citron attire mes narines. Je sais, alors que ce n'est pas de l'alcool donc tant mieux, après qu'il a fini, il pose la bouteille sur un coin et s'approche de moi. Tout en me parlant.

- Bonsoir, étrangère...

-Bonsoir à toi aussi étranger.

On ne sait toujours pas donner nos prénoms. Devrions-nous nous le dire ? Je ne pense pas et je trouve que ça ne serait plus magique si je te dis que je m'appelle Adam maintenant. Sa voix toujours aussi belle que la dernière fois. Il me regarde, il me scrute comme je l'avais fait avant. Que penses-tu de moi voudrais-
Je lui demander, mais je ne le fit pas.
Il m'a dans ses bras, il ne fait rien que me faire un câlin et mon coeur bat vite, je pense même qui peut l'entendre. Quelques minutes après il me pose sa tête sur mon épaule, je le colle encore plus à moi et je le serre, si une personne vient il nous prendrait pour un couple. Je rougis à cette idée.

- Ravi de te revoir, mon Androgyne...

-De même mon prince.

J'ai pensé que lors de notre premier contact, il m'avait porté comme une princesse d'où vient le mot mon prince dans ma phrase. Il détourne sa tête et je me sens idiote et triste enfin je n'y peux rien si j'avais laissé ma phrase sortire toute seule, je regrette de ne pas pouvoir me contenir, mais quand il me serre encore plus fort et ma tristesse s'envole.
Je cherche un moyen de communication, ce n'est pas que je n'aime pas son contact au contraire, mais j'ai envie de le connaître vraiment pas par des suppositions qui peuvent être fausse. Je repense à ce que j'avais pensé ce matin, mmh à comment c'était déroulé ma semaine. Je garde ma voix normal, elle n'est ni grave ni aigu seulement froide, mais mes traits disaient que je n'étais pas du tout de glace en ce moment même, mes joues rougis, mon regard d'amour pour lui ce qui n'était vraiment pas voir des personnes qui masquent leurs sentiments.

-Comment s'est passé ta semaine ?

-Comment s'est passé ta semaine ?

Je n'aurais pas de lui demander cela. Il se r'enfreigne, nous revenons comme au début de n'autre rencontre. Je laisse un soupire s'échapper de mes lèvres, mais je ne dis rien, je ne peux pas lui en vouloir. C'est de ma faute à vouloir être si curieuse et apprendre à le connaître qu'il s'éloigne de moi. Je recule de lui et il fait de même. Il se dirige vers la rambarde pour prendre sa bouteille. Il boit et la range dans son sac. Va-t-il partir ? Cela me prouverait que je me suis trompée et qu'il n'est pas venu pour moi, mais ce ne serait pas si grave que cela n'eusse pas ? J'aurai seulement mal au coeur pendant un moment et aprés je l'oublierai. Les sentiments sont là un jour, mais il part aussi vite qu'il arrive, ce qui veut dire que je pourrai vivre comme avant. Je serai la merdeuse que j'ai toujours été et je me porterai comme à charme et lui ? Il vivra heureux dans son monde de glace. Deux personnes comme nous peuvent-ils être ensemble ? Je ne pense pas. Je ne sais même pas pourquoi j'y ai crus un moment. Nous ne sommes pas du même endroit et ça se ressents, je ne pourrai jamais me battre contre cela. Il faut que je m'avoue vaincu.

Il me regarde comme il ne l'avait jamais fait. Il est encore plus froid que d'habitude et c'est de ma faute. Je hausse les épaules, je m'en doutais. Il va me dire qu'il faut que j'arrête de me faire des illusions et qu'il ne m'aimera jamais, car il ne le peut pas. Son téléphone vivre, j'entends sa résonance contre sa jambe. Il lui lance un regard comme ci que cela va l'empêcher de vibrer, mais il continue à le faire. Il répond avec une voix froide et professionnelle. Cela doit être son travail. Je pense que ça avoir avec des meurtres, mais je ne préfère pas écouter ce qu'il dit pour pas l'énerver plus qu'il doit l'être à cause de mon erreur de plus tôt.

Je m'assois sur la rambarde et je m'occupe en regardant mes ongles pour être sûr que je n'écouterai pas, car cela ne se faisait pas, même si je ne me gêne pas avec les autres. Lui ce n'est pas pareil, je ne veux pas qu'il soit déçu de moi, mais c'est ce que j'arrive à faire le plus facilement dans ma vie. Je ne sais pas comment rendre fière les personnes et je n'ai plus envie d'essayer. Tout ceci me fait me rendre ridicule et j'en ai marre. Pourquoi suis-je tombée amoureuse ? Pff les sentiments que j'ai rognée du plus profond de mon être s'installent en moi. Cet amour à sens unique est une punition ? Surement, je n'aurais jamais dû faire tout pour que les autres me détestent, mais c'était pour me protéger de la méchanceté de certaines personnes.

- Avant toute chose, belle étrangère, quel est votre prénom... ?

Mon prénom ? Pourquoi veut-il le savoir ? S'intéresse t-il à moi ? Je le regarde pour voir s'il se moque de moi, mais ce que je vois me choque. Il s'attendrit, mais pour tant il était en colère tantôt. Son coup de téléphone lui a donné une bonne nouvelle ? Je ne sais pas et il ne faut pas que je me pose de questions. Je n'ai pas très envie de lui dire, mais bon de toute façon il c'est que je suis androgyne, alors cela ne devrait pas lui choquer si je lui dis que mon prénom est Adam. Je ne sais même pas pourquoi ma mère a choisi ce prénom de la bible, nous ne sommes pas des religieux enfin étant donné qu'elle n'est pas d'une très grande logique il ne faut pas que je m'inquiète.

- Adam et vous ?

- Moi c'est Mortis.. Hm, il faut que je m'absente durant une dizaine de minutes, miss ... Je te dirais en suivant comment était ma semaine. Si tu veux, tu peux venir...

Mortis ? C'est un prénom peu commun, mais c'est ce qui fait son charme. Il doit s'absenter ? Où va-t-il aller ? Cela à avoir avec son coup de téléphone et son travail ? Surement enfin il me dit qu'il reviendra et qu'il va me dire comment c'est passé sa semaine. Je sourie, il ne m'en veut pas pour cette question, je suis rassurée, mais je ne suis toujours pas sortie d'affaire. Je pourrai apprendre des choses que je ne devrai pas savoir et il devrait m'éliminer. Je me fais encore des films, je dois vraiment arrêter de regarder des films d'horreurs moi. Venir avec lui ? Non merci je n'ai pas envie d'être sur les lieux, car je pense savoir ce qu'il va faire et on va dire que je suis beaucoup mieux ici. Il ne me laisse pas le temps de répondre et saute au-dessus du balcon. Il doit avoir l'habitude de ce genre de choses, alors je n'ai pas peur de lui et mon ventre gargouille pour me dire qu'il voudrait bien à manger.

J'ai 10 minutes pour prendre soin de moi. Je descends dans la salle de bal et je vais vers le buffet. Je pends plusieurs choses et je me mets sur une table sombre pour déguster mon repas, car je ne mangerai plus rien de la soirée. Un jeune garçon que j'ai déjà croisé me voit et il a l'air de me trouver plutôt jolie dans ses vêtements, mais bon il n'a pas du me reconnaître, alors je mets ma capuche, car il approche de moi. Je soupire, pourquoi suis-je pas restée sur la balcon du premier étage ? Il me demande s'il peut s'asseoir à la place en face de moi, je lui fais signe qu'il peut. Je ne parle pas comme cela il va partir non ? Il m'harcèle de questions et je n'y réponds pas sauf par des signes de têtes. Il commence en avoir marre de parler à un mur et il s'en va. Je sourie et je remonte sur le balcon, car déjà 8 minutes ont passés. Ce jeune homme m'a bien occupé et je lui en suis reconnaissante, mais il ne le sera jamais, c'est ce qu'il est marrant.

J'entends les ambulances et la police, je lève ma tête vers les étoiles et je l'attends, car je sais qu'il va revenir et je vais pouvoir lui poser toutes les questions qui me tracassent. Bon la vérité c'est que j'ai envie de savoir exactement son métier. Ce qui est sûr c'est que ça avoir des meurtres, mais je n'ai aucune raison de pourquoi il fait ce genre de travail que ça me rend dingue de m'imaginer des scnénarios plus délirants les uns des autres.

Il est de retour et il se place comme au départ. Je sourie, car je peux le regarder comme je veux, mais il ne faudrait pas que je me perds dans sa beauté.

-Vous voulez toujours savoir comment était ma semaine ?

Si je voulais savoir ? Bien sûr. Je suis curieuse de savoir ce qu'il fait de ses journées, alors oui je veux plus que tout au monde. Je m'approche de lui et je lui sourie en lui faisant un signe de tête qu'il peut me parler, car je l'écoute très attentivement, mais cela il ne le sait pas. Je ne montre pas mon impatience.

Il sort une dague couverte de sang, alors j'avais raison pour son travail de tueur, mais je ne sais toujours pas pourquoi il le fait. Il prens aussi un mouchoir pour enlever le sang. Il doit vraiment aimer cette dague pour en prendre grand soin. Je regarde l'arme avec un regard brient, elle est magnifique. Il range son mouchoir et sort un instrument que je ne connais pas. Fini, il range tout et moi je le regarde toujours avec de la fascination. J'ai le souffle couper, mais je me reprends très vite.

- Mortis pourquoi tu obéis à une autre personne que toi-même ? Ton travail est de tuer si je n'habuse pas. Cela te rapporte quelque chose ? Vas-tu m'éliminer car je suis au courant pour toi ?

Je le fais se retourner vers moi pour qu'il voit que je n'ai pas peur de lui. S'il décide de me tuer, je me défendrai du mieux que je peux même si je sais que je finirai par mourir, mais bon je pourrais enfin être heureuse comme cela, alors la mort n'est pas si terrible que ça. J'ai plutôt envie de l'acceuillir à bras ouvert, mais peut-être qu'il ne veut pas ma mort. Je lui sourie comme je ne le fais pas avec les autres, mais bon je sais très bien qu'il n'est pas les autres.




　

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