Je m'étais sauvée de L'infirmerie, alors que j'avais vraiment mal à mon poignet, mais bon j'en avais marre de la présence du surveillant. Une semaine que j'avais mal et que je ne voulais pas aller à l'infirmerie. Je forçais sur ma main pour écrire, je pleurais en cours et là le professeur à décider qu'il serait tant que je vais voir si je n'ai rien de grave. Il a désigné un élève sérieux pour m'y conduire. Je retiens mon envie de le frapper. Je ne veux pas y aller, ne peux-t-il pas le comprendre ? De plus j'avais appris que Law s'était fait virer, je m'en veux un petit peu. Il ne m'aurait pas connu, il n'aurait sans doute pas été viré pour violence contre élève. J'avais bien expliqué qu'il ne l'avait pas fait exprès, mais ils n'ont pas voulu m'écouter.

Nous sommes devant l'infirmerie, il me dit qu'il va me laisser. Youpi je vais être seule avec le nouveau infirmier. Bon je n'ai rien à craindre, il a des rumeurs comme quoi qu'il est gay. Il frappe à la porte et me pousse à l'intérieur avant de partir. Je lui lance un connard qui ne peut être entendu que par moi et lui.

La salle n'a pas grandement changé depuis la dernière fois que je suis venue à part que maintenant il a des affaires comme quoi une personne habite ici. Il est tout près de son bureau. Je le regarde sans m'empêcher de me faire une petite une description physique de lui. Il doit avoir dans la trentaine, des cheveux mi-longs bruns et les yeux rouges comme le feu. Il me fait peur, mais je ne peux plus partir de là son regard à capter mon corps. Je tremble, mais je m'avance. Je ne peux pas avoir d'un simple infirmier, j'avais déjà connu pire à cause du travail de mon père.

-Bonjour. Je suis ici, car ça fait une semaine que j'ai mal à mon poignet.

On me fait rentrer de force dans ce lieu maudit moi qui ne voulais plus y retenir voilà que j'y suis. Je grimace de dégout en avançant rien n'a changé à part les affaires à qui devaient appartenir à cet homme qui avait l'air d'être plutôt méchant et avoir des yeux rouges comme le sang ne doit pas aider à bien se faire voir des personnes que vous soignez enfin je ne suis pas ici pour faire des remarques sur ce jeune homme qui devait avoir la trentaine d'années. Il devait me mettre je ne sais quoi pour que j'ai moins mal et après on n'en parle plus et je me sauve. Enfin il faudrait peut-être que je me décide d'avancer vers lui non ? Je tremble un petit, mais je me dis qu'il ne va rien me faire et je sais me défendre. Le boulot que mon père fait m'a obligé à faire du combat au cas où qu'on veut me prendre en otage pour une somme d'argent enfin il fallait d'abord pouvoir m'atteindre, car avec les gorilles que j'avais avant, il fallait vraiment être idiot pour vouloir m'approcher, mais bon on ne sait jamais ce qui pourrait arriver, alors il vaut mieux se préparer au pire pour ne pas être prise par surprise.

Je lui dis pourquoi, je suis ici et il me fait rentrer dans son bureau et il fait mettre sur la table d'examen. Il prend mon poignet entre ses doigts et il regarde ce que j'ai. Je fais des grimaces de douleurs, ne peut-il pas être plus doux avec moi ? Enfin bon on ne va pas trop en lui demander. Il m'immobilise pour me bander mon bras. Je pouvais enfin partir youpi, j'allais enfin être tranquille avec l'infimier, bon j'avais qu'une bande pour une raison x, mais ça me va si je peux me sauver, alors j'en suis heureuse. Sauf que lui il ne veut pas, pourquoi me fait-il m'asseoir sur une chaise de son bureau ? J'attends ma sentence pour tout ce que j'ai fait de mauvais dans ma vie.

- bon jeune fille ... Déjà donne moi ton noms ensuite pourquoi a tu attendu une semaine pour venir a l'infirmerie?

Il fait une tête de méchant médecin enfin j'ai décidé de plus avoir peur de lui, alors je ne fais rien, je n'ai même pas un tremblement, alors qu'il me regarde. Pourquoi il veut savoir cela ? C'est pas lui qui à mal, alors quesque cela peut lui faire ? Enfin bon si je veux partir d'ici il faut que j'accepte de faire ce qu'il me dit.

-Mon nom est Brunerose. Si j'ai attendu pour venir c'est que je déteste ce lieu pour une certaine raison et on m'a forcé à venir sinon je ne serais pas ici et avant que tu me demandes ce que j'ai fait, je vais te le dire. Un surveillant qui n'ai plus m'a prit par le bras et malheureusement je suis une personne de très fragile et il me l'a un peu tordu en tirant du coup je me suis retrouvée comme cela.

Je sais que c'est stupide de détester les infirmeries pour une simple erreur, mais je ne pouvais rien faire contre le fait que maintenant il me faisait me sentir mal, car je repensais à lui qui ne voulait pas me faire du mal, mais qui faisait tout simplement son travail de surveillant. Enfin je ne pouvais plus rien faire contre cela, mais je voulais quand même pouvoir sortir d'ici, alors pour partir de là le plus tôt possible je réponds aux questions de l'homme qui s'occupe de moi en ce moment. Je pense pouvoir partir, mais il me dit que je dois aller à l'hôpital pour le moment rien de grave, il va seulement falloir me faire une radio ce qui n'est pas si grave dans le fond, mais ce qui commence à me mettre hors de moi c'est qu'il me dit que je dois rester ici, alors que je ne veux pas. J'ai envie de le menacer, mais si je le faisais, je n'aurais plus de couverture comme quoi j'étais une simple jeune demoiselle et non la fille chérie à son papa, alors je me mords les doigts pour taire les paroles que j'ai envie de lui dire. J'attends de reprendre mon calme pour pouvoir répondre à sa question. Je ne suis toujours pas calme à 100%, mais j'ai repris mes esprits donc je ne devrais pas dire ce qu'il ne faut pas.

-Je veux bien aller à l'hôpital, mais je n'attendrais pas ici, c'est hors de question et tu peux être certain que tu ne pourras pas me forcer à rester ici contre mon grès. Sinon monsieur que je ne connais pas le nom je suis interne pendant la semaine. Autre chose peut-être ?

Bon j'avais parlé avec un ton autoritaire qui ne devrait n'avoir aucun effet sur lui, mais qui faisait peur à des autres personnes qui avaient pourtant l'habitude des affaires, mais bon comme on dit les apparences sont souvent trompeuses, je suis une fille douce, mais je sais très bien être sauvage et quand je veux quelque chose et là en ce moment je voulais pouvoir sortir de l'infirmerie sans qu'il me pense encore des questions.

Il se présente à son tour, mais bon elle est plus complète que la mienne, mais de toute façon je n'ai pas envie de le connaître plus que le nécessaire. De toute manière je ne vais plus le revoir, alors ça ne sert à rien de savoir pleins de choses sur lui. Il veut bien me laisser sortir s'il bouge aussi. Je dois avoir la chance qu'il veut fumer. J'en suis sûr que s'il n'est pas en manque de nicotine, je ne pourrai pas sortir d'ici. Je remercie la cigarette, alors que d'habitude je serais plutôt entrain de dire qu'elle rend malade les personnes qui s'en servent.

Je sors dans la cour avec lui. Il n'y a personne, mais en même tant ce n'est pas une surprise les cours n'étaient pas encore finis. On me l'avait fait quitter, alors que je le trouvais intéressant, mais bon ce n'est pas de ma faute si je n'ai pas voulu voir ce que j'ai à la main. Je vais surement finir avec un plâtre ce qui n'est pas si grave, si ? J'ai l'habitude de me blesser. Mon médecin m'a toujours dit que j'ai un corps fragile. Je suis trop mince pour mon âge aussi, mais je n'arrive pas à prendre du poids, alors que je mange beaucoup.

Je prends de l'air avant de retourner dans l'infirmerie. Je me remets dans l'un de ses fauteuils et je prends mes aises de toute façon tant qu'à y rester il faut bien que je me fais plaisir. Je soupire quand même, j'espère que le camion de l'hôpital ne va pas prendre son temps pour venir me chercher. Je ne dois pas être prioritaire, alors il va avoir une longue attente dans ce stupide endroit avec une personne qui n'a pas l'air d'être sympathique. Il ne m'a rien fait pour le moment, alors je ne peux rien dire.

-Tu penses qu'il arriveront quand ?