Chère Journal,
Grand, le monde qui nous entoure est grand, certain disent qu'il est petit, mais moi je le trouve grand, est remplie de gens. Je n'aime pas les gens, je n'ai jamais les gens, et je ne pense pas un jours pouvoir les aimée. L'espèce Humaine est incompréhensible, je sais que je suis un être Humain, d'ailleurs j'affirme ce que je viens de dire, je suis Incompréhensible ....
Quand je pense a ça j'ai envie de pleurer :
Pleure, Sa fait du bien
Pleure, Cela t'aidera
Mais pas devant eux ou tu t'en voudras
Exprime-toi,
Libère-toi,
Pleure de joie ou de Malheurs
Pleure, sa t'apprendra.

Personne Mérite le bonheur, ou le malheur,
Et tout ceux qui nage dans le bonheur sont des voleurs,
Car ils ont volé la joie aux Malheureux.

Je ne pense pas être quelqu'un de mal, je ne peut pas jugée de mes actes. La seule question que je me pose c'est à qu'elle moment on franchis la limite du bien & du mal, car chacun de nos actes et jugée différemment, ce que je pense faire bien peux être mal vu par quelqu'un d'autre. Selon l'endroit, la personne, ou l'esprit qui regarde ton actes, il peut bon ou Mauvais. Donc quand on y réfléchis il n'y pas vraiment de bien et de mal, il y a L'extrême Mal et L'extrême bien et entre les deux ... C'est la merde !

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Je m'étais caché, je m'était éloignée du monde, des gens, parce que les gens je les aiment pas, car il ne m'aime pas, j'arrive a éprouvée une certaine forme d'amour envers certaine personne, mais dans ces cas là ce ne sont pas des gens mais des personne particulière. J'avais créer une bulle, que beaucoup cherché a brisée, je n'avais rien a enviée aux autres, je me trouvais plutôt belle, et gentille quand je parlais (au peu de) gens (qui osait m'adressait la paroles). Je suis un peu méchante quand on m'approche de trop, mais avec un peu de persévérance il est possible de brisée ma bulle. J'ai un téléphone portable avec pour seule contact : "Maman", Mes parents étant divorcée je ne connais pas mon père qui c'est barré a ma naissance (comme quoi déjà quand j'étais petite j'avais ce pouvoir de faire fuir les gens). Aujourd'hui j'était censé être en Mathématiques, mais ayant des notes assez satisfaisante j'ai décidé de sécher, il fallait dire que des fois j'avais des coup de barre, j'aime être seule, mais j'aimerais bien avoir quelques amis sur qui compté. Le Lycée j'aimais bien ça mais je pense qu'avec un(e) ami(e) proche il serait mieux. Je fait partie du club journalisme car j'adore écrire, depuis mes 8 ans j'écris dans un journal intimes, et aujourd'hui j'ai 17 ans et j'écris toujours dedans, dois-je me considéré comme une Pommé de la Vie ?
Quand je séché (Oui, ça m'arrive quand même souvent) je venais sois a la cage d'escalier soit au club journalisme, aujourd'hui j'avais choisie la cage d'escalier, j'aimais bien c'est endroit, il est calme et a un petit truc en plus que je qualifierais d’apaisant. J'étais habillé avec un gros pull noir, un slim blanc et des converse noir, oui j'avais un pull en été, ce n'est pas de ma faute, j'ai un problème aux niveau de la circulation du sang, du coup j'ai toujours la peau froide ...
J'était assise là, en train d'écrire dans mon journal, j'attendais tout est rien, mais surtout la sonnerie pour pouvoir partir du Lycée, je détesté ce lieux peuplé de gens qui ce connaissait tous !
Je ne sais pourquoi je me mit a pleurer, et j'essayé d’étouffée mes Hoquet qui restait quand même assez bruyant. Je pleurais pour 1 Milliards de raison, je me détestait, moi et ma personne, car j'était psychologiquement renfermé et seule, et j'en souffrais ...

J'avais fini ce cours d'aquagym. Je m'étais donc changé. J'avais mis mon survet préféré, gris avec une capuche. J'étais en slim blanc, ça allait plutot bien avec mon survet et mes ballerines noires. Mes cheveux étaient encore mouillés. Ils ondulaient, fallait que je les repasse au fer. Mais qu'est-ce que j'adorais la piscine. Je me sentais libre là-bas.

Je voulais un endroit calme. J'avais entendu une fille dans mon cours qui avait dit que la cage d'escalier était parfaite. Surtout quand on avait la possibilité de sécher. Mon cours de math attendrait. Façon je les détestais.

Je me dirigeai donc vers la cage d'escalier quand j'entendis quelqu'un pleurer. Que devais-je faire? Partir comme si je n'avais rien entendu? Ou consoler cette personne? Je choisissais la deuxième solution. Je n'étais pas du genre à laisser les gens dans le désarroi. Au pire, si cette personne ne voudrait pas parler, je m'en irai autre part.

Arrivée à cette cage d'escalier, je vis une fille assise sur les marches. Elle avait la tête entre les genoux. Il y avait un journal à côté d'elle, auquel je ne prêta pas attention.
Je lui tendis donc un mouchoir et lui dis

- Tenez, séchez vos larmes. Je n'aimais pas vouvoyer mais après tout je ne la connaissais pas

J'était assise là, en train d'écrire dans mon journal, j'attendais tout est rien, mais surtout la sonnerie pour pouvoir partir du Lycée, je détesté ce lieux peuplé de gens qui ce connaissait tous !
Je ne sais pourquoi je me mit a pleurer, et j'essayé d’étouffée mes Hoquet qui restait quand même assez bruyant. Je pleurais pour 1 Milliards de raison, je me détestait, moi et ma personne, car j'était psychologiquement renfermé et seule, et j'en souffrais ...

J'était tellement perdu dans mes sanglots que je n'entendis pas une jeune fille arrivée, elle devait être nouvelle car je ne l'avais jamais vu auparavant, il faut dire que je ne voie pas grand monde :

- Tenez, séchez vos larmes.

J'étais en colère contre elle, pourquoi elle me parlais ? N'avais-je pas déjà eu la réputation de ne pas aimée les gens ? J'était un lion ! Quelqu'un de méchant ! Elle se devait de partir, MAINTENANT !

- D'ou tu me parle toi ! Barre toi !

Pourquoi ? Pourquoi avais-je dit ça ? Je le regrettais déjà ! Avant même qu'elle puissent réagir je m'excusa :

- Désolé, En fait je veux bien que tu reste ...

- Tenez, séchez vos larmes.

Elle semblait en colère.

- D'où tu me parle toi ! Barre toi !

Je ne m'étais pas attendue à ça. Je venais juste lui donner une épaule sur laquelle pleurer. Au moment où j'allais réagir, elle dit

- Désolé, En fait je veux bien que tu reste ...

C'était déjà mieux. Elle semblait ne pas aimer parler aux gens. Je ne l'y obligerais pas.

- Si tu ne veux pas me dire pourquoi tu es si triste, je le comprendrais. Je ne te le demande d'ailleurs pas. Mais je n'aime pas que les gens soient tristes. Même si la raison en vaut la peine. Je veux juste que tu saches que si tu as besoin d'une oreille attentive ou d'une épaule sur laquelle pleurer, je serais là. Je sais qu'on ne se connait pas vu que je suis nouvelle. Mais justement, c'est ça qui est bien, tu ne trouves pas? Je ne saurais te juger