Parce que "Rusher" rime avec "Déprimer" [PV Miya]

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Après un dernier sursaut gracieux, le papillon se posa délicatement sur la fleur blanche. Ses ailes orangées s'agitaient encore en de lent et majestueux va et vient. Le délicat insecte brillait sous la lueur du soleil matinal, imperturbable, insensible aux êtres qui l'entouraient...
Malice bondit en avant, aussi agile qu'un animal, et attrapa le papillon d'un mouvement de main rapide. Un sourire triomphant aux lèvres, elle ouvrit doucement les doigts pour observer sa capture. Le petit insecte, sans doute en proie à la surprise de se faire attraper ainsi, ne bougeait pas dans sa paume. Ravie, Malice le porta à ses yeux, admirant la beauté de ses ailes éclatantes.
Comme s'il obéissait à un top départ, le papillon reprit soudain son envol et s'éloigna en quelques coups d'ailes. Les yeux rêveurs de la petite rouquine l'accompagnèrent sur une bonne partie de sa trajectoire.
Elle se demandait si elle volerait un jour elle aussi, comme le papillon. Est ce qu'il pouvait exister des gens papillons ?
Toute à sa réflexion, elle leva la tête et observa le ciel bleu sans nuage. Il faisait beau ce jour ci. C'était le premier dimanche que Malice passait à l'académie. Et elle en profitait un maximum. Suivre les cours était vraiment ennuyeux... Comment les élèves arrivaient il à supporter cela à longueur de temps ? Malice préférait marcher et courir dans le parc, attraper les papillons, se jeter dans l'herbe; ce qu'elle avait fait toute la journée.

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Bref. Aujourd'hui est un jour à peu près comme les autres, donc en gros...un jour de merde. Et pour ne pas casser la routine j’étais de mauvaise humeur. Alors je n’étais pas aller en cours…Comme d’habitude. Non. En général je ne vais pas en cours, je bosse chez moi. Au moins je n’ai personne pour venir m’agacer et me faire des remarques…Ou juste me regarder. Les enseignants n’ont pas à se plaindre, j’ai une excellente moyenne//////////Je ne triche pas soyons clair sur ce point//////////Je ne daigne me présenter en cours que lorsqu’il y a des évaluations de prévues. Et je vérifie toujours mes sources auprès d’autres sources. Histoire de ne pas se faire avoir.
Je soupirai..
Il faisait beau. Les oiseaux sifflaient joyeusement tandis que les arbres laissaient danser leur feuillage dans la brise fraîche de la matinée sous le regard attentif du soleil qui répandait d’agréables rayons dorés. Mais malgré cette ambiance assez étonnante pour la saison, je ne pouvais pas m’empêcher de me demander ce qui allait venir ternir l’éclat de ces rayons qui traversaient les fenêtres du club de journalisme. J’avais réussir à arriver à l’heure pour une fois (sans pour autant aller en cours), mais je ne savais pas vraiment si c’était une bonne chose. Je pouvais entendre tous le brouhaha extérieure. Il y avait foule dans le couloir, les premières années étaient bien souvent occupés à chercher un casier ou autre, heureusement je savais déjà où j’allais mettre mes affaires.
En arrivant ce matin j’avais été pris dans cette important vague. N’importe qui aurait pu bousculer quelqu’un d’autre parmi tout ce monde, c’est pourquoi j’avais tenté tant bien que mal de me frayer un petit chemin dans la foule qui s’agitait là. Qui donc avait eu l’idée de faire rentrer tous les élèves à la même heure dans un couloir si étroit ? C’était quand même étrange qu’ils n’y aient pas pensé plus tôt !
J’avais donc pris le temps de ranger mes affaires dans mon casier, ne prenant que le chose dont j’avais besoin pour la journée, préférant attendre que tout le monde soit rentré avant de me diriger vers la salle où je passerais ma mâtiné pour la simple raison que je ne voulais pas finir écrasé en mode sardine.

L’écran, les touches, les haut-parleurs, tous cela regroupés dans un ensemble léger. De telle façon que la console peut être prise en main. Quelques jeux dans la poches qui me permettront me m’occuper convenablement jusqu’à la fin de cette première partie de journée.
J’avais profité du calme des cours pour me rendre au club de journalisme. Je pensais qu’à cette heure si il n’y aurait pas grand monde et je pensais juste. Leur salle de réunion était déserte. C’était donc rassuré que je m’étais confortablement installé dans un de leurs fauteuils et j’avais commencé à jouer.

C’était un jeu…Bizarre…Je dois dire…Un jeu qui n’était pas encore en vente de toute façon. Eh bien oui la plupart des jeux que je possède ne sont même pas dans le commerce. Etre le digne descendant d’une riche famille n’a pas que des inconvénient. Mais ce jeu ne me plaisait pas tellement. Après il est vrai que j’ai des gouts assez particuliers en matière de jeux vidéos, je ne le cacherais pas. Mais la débilité de celui-ci en était carrément affolante.
J’en avais assez de celui là…Je voulais changer mais avant je devais faire un résumé sur se que j’avais joué. Je pris un bout de papier au hasard sur la table et sortis un crayon de ma poche.

« Une image. Un portait d’elle…C’est qu’il dessine vraiment bien ce peintre. J’ai l'horrible l’impression qu’elle me toise de son stupide regard moqueur. Je pourrai presque lire à travers les lignes…Je pourrai presque lire ‘Je t’ai encore une fois échappé’.
Sale garce, sale peste…Je t’aurais un jour ! Tu verras. Ce jour là, tu souffriras tellement que tu pleureras du sang. Ma soif de vengeance sera enfin assouvie.
Du bout des doigts, je me met à retracer le contour de ton visage. Un visage assez fin, souriant la plupart du temps. Je le sais pour t’avoir longtemps observée. Tu souris pour un rien, comme si le monde était rempli de lumière et non de chaos. Tu es tellement naïve !
Au milieu de ce visage se trouve un nez légèrement retroussé, à qui sait observer. Tes yeux sont d’un étrange vert émeraude. En fait, je dois définitivement l’avouer, ils sont captivants. On s’y perd malheureusement assez facilement, si bien qu’on en oublie de regarder le reste de tes traits…Ils sont pourtant si révélateurs ! Plus que chez quiconque…C’est du moins l’impression que j’en ai.
Lorsque tu es en colère, tes sourcils se froncent exagérément. La joie se lit non pas dans la beauté de tes yeux; pareillement à ta bouche fine aux lèvres bien dessinées.
Pour ce qui est de la tristesse, je n’en ai pas la moindre idée. Il faut dire que la plupart du temps, tu ne la montres pas ! Tu préfères garder ce stupide sourire, plutôt que d’exprimer tes sentiments…Crois-moi, ça me fâche vraiment ! J’en suis même parfois à me demander pourquoi je vous poursuis, si c’est pour me retrouver face à une femme dont la tristesse semble avoir déserter le cœur !
Soit. Tu as un front plutôt grand, mais tu as compris que même les défauts du visage doivent être montrés. Ainsi, les autres ne les remarquent même plus.
De longs cheveux roux ondulés encadrent ce visage. Ce que tu aimes tes cheveux ! Il paraît que tu en prends démesurément soin ! C’en est limite affolant…Il m’est par ailleurs assez difficile de te retrouver. Comment veux-tu que les gens te reconnaissent à partir du portrait, si tu te coiffes tous les jours différemment ! Heureusement pour moi, tes yeux attirent l’attention.

Je replie le portrait car de toutes façons, il ne m’apprendra rien de plus sur toi. Je ne peux malheureusement pas me fier à tes habits, en trouver des plus nobles dans la foule car maintenant que tu me fuis, tu t’y fondes habilement. Tu caches souvent ton visage, depuis que je t’ai fais comprendre que tes yeux te trahissaient.
Et puis, ton physique est des plus banal. De taille moyenne, de corpulence moyenne…Rien de bien différent, par apport aux autres habitants de ce monde.

Mais je te retrouverai, ma jolie…Je te le promets. Je te retrouverai, toi et ton frère…
Ta famille payera enfin pour l’affront qu’elle m’a fait, autrefois.
Le sang va enfin pouvoir couler. Malice… »

Voila, ils se débrouilleront. Après tout ils ont dut prendre le plis pour mes résumés et impressions bizarres. Je ne me foulerais pas à écrire quelque chose de compréhensible alors que je n’ai pas apprécié le jeu.
Je posai ma console sur le rebords du fauteuil puis soupirai. J’étirai un bon coup mes muscles endolories, passait ma main dans mes cheveux roses, et fermai les yeux…

Bref. J’ai encore une journée de merde.

Messages : 321 Date d'inscription : 08/01/2012 Localisation : Chez Moi

Ce jours là, je m'étais bien réveillé. Ma mère m'avait fait un bon petit déjeuner au lit, elle savait que cette Histoire d'article me taquiner, je savais qu'on avait pris du retard par rapport au journal de ce mois-ci.
Après avoir petit déjeuner, je suis partie sous la douche, aujourd'hui je me sentait de bonne humeur, alors j'optai pour de la couleur. Je me suis habillé avec un top vert et un gilet blanc, j'avais aussi mis mon mon pantalon blanc préféré.
Quand je suis arrivée au Lycée j'était en retard alors, j'ai dit que je n'avais pas cours et que je voulais allée aux journal, le surveillant m'a laissé y allée. Etant une bonne élève je rattraperais mes cours plus tard dans la journée.
J'était sûr qu'il n'y aurait personne. Alors je décida d'allée dans la salle de rédaction, j'ai allumé un PC et j'ai commencé a Réfléchir ...
En regardant par la fenêtre je voyais la cour de récré du Lycée, elle était vide, ce qui lui donnée un petit côté apaisant, il faut l'avouer je n'aime pas les gens. Il me font peur, leur regard par rapport a moi me fait peur.
Je n'avais toujours pas d'idées quand j'ai entendu un bruit dans la salle de réunion. Je suis entrée et j'y ai vu un garçon. Vu sa manière de ce tenir je pensais que celui-ci devait être Allen, c'est un garçon dont les gens parle rarement, il ne vient jamais en cour, et a une moyenne correct, je le soupçonne de triché. Mais il vient d'une famille assez riche donc quoiqu'il arrive je pense qu'il est sûr d'avoir son Dîplome.
Le garçon écrivait sur une feuille il n'avais pas l'air satisfait.

- Excuse-moi, tu ne t'appelerais Allen ?

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Les jours passent et se ressemblent tous.
Il est intéressant de savoir à quel point les rêves sont merveilleux, on y trouve tous nos désirs et nos peurs , on y vit sous un meilleur ciel que celui de la vrai vie, on y songe sans avoir peur qu'on en vous agresse , on devient le héros de notre propre vie et découvrons ainsi nos qualités si bien sur nous n'en créons pas . Dans les rêves , c'est bien simple , tout est possible , on peut devenir un héros , être courageux , faire preuve d'un héroïsme sans nom , être quelqu'un d'aimer de tous , être une personne qui n'est tout simplement pas nous . On peut également être le reflet de nous même tout en montrant au monde à quel point nous sommes digne d'intérêt , on peut avoir des capacités supérieur et réaliser tous nos vœux.
Dans mon cas, la seule capacité que je pouvais obtenir dans mes songes c’était la vue. Rien que cela. Dans mes rêves je pouvais voir le monde de mille couleur et apprécier toutes ces nuances de jaune, de vert, de bleu, de rouge et toutes les couleurs deviennent merveilleuses. Les sombre devient clarté et on apprécie sa couleur et ses nuances. C’était la seule chose dont je rêvait, revoir. Revoir vraiment ! J’oserais même dire, revoir avec la vision d’un enfant. Car en ce temps tous nous semblait merveilleux. Pouvoir observer toutes ces couleurs ainsi que chaque visage que j’ai pu rencontrer sous cet angle. Quand on grandit on devient trop pressé, on ne prend plus le temps de tout observer.
Quel dommage…

Le réveil, le dur retour à la sombre réalité, est souvent pénible. J’avais beau accepter ma condition, je ne pouvais oublier que j’avais un vrai voyant. Un voyant qui n’avait pas pu apprécier chaque couleur, chaque visage, chaque reflet de l’eau. Mais à cette époque bénie qu’est l’enfance je ne savais pas à quel point, voir, était précieux. Après tout c’est en perdant quelque chose qu’on voit à quel point elle était indispensable.

J’étais affalé dans un fauteuil dans la salle de réunion du club de journalisme, une feuille chiffonnée sur les genoux. A ta-ton je cherchai mon crayon noir. Noir comme ma vision, esprit, et comme tout se qui nous entoure. Mais je ne m’en souciait plus. Lorsque j’étais dans mes rêves, j’en profitais, lorsque j’étais éveillé, je l’acceptais et j’avançais comme tout le monde ici. Je n’ai pas tellement à me plaindre me diriez vous, certains ne peuvent réellement rien voir. C’est bien vrai. Mais après tout, même si cela m’énerve prodigieusement je ne reste qu’un être humain, et l’être humain est un être insatiable souvenez-vous en.

- Excuse-moi, tu ne t'appelerais Allen ?

Une jeune demoiselle assez grande en somme. Bon d’accord…Très grande ! Des cheveux bruns ni trop longs, ni trop courts et des yeux verts assez prononcés. Un style vestimentaires contenant bien trop de blanc à mon gout et un T-Shirt assortie à ces deux billes emplies de point d’interrogation.
Elle était dans l’entrebâillement de la porte de la salle. Elle devait surement faire partie du club de journalisme et me voir moi, une personne extérieure au club, ne devait surement pas lui faire dès plus plaisir. Je fourrai ma paperasse dans ma poche avant de tilter sur le fait qu’elle connaissait pas nom. Bah, elle devait surement être dans ma classe et avoir entendue mon appelle jour après jour. Peu importe. Je me réinstalla confortablement dans le siège dans lequel je me trouvais et la regarda un peu froidement. Certes je n’avais aucune raison mais je n’avais pas tellement envie d’être dérangé et cette fille, en m’adressant la parole, m’avait sortie de mes pensées à mon grand regret.

-Who asks?

Parlons anglais. Je n’avais pas tellement envie de faire amis amis avec elle ni de taper la conversation. Si l’envie m’en prenait je serais aller en court avec tout un tat de feuille blanche pour pouvoir répondre aux centaines de mots envoyés par les demoiselles de ma classe.
La tête de celle qui m’avait adressée la parole ne me disait absolument rien. En même temps…Il faut dire que je ne me donnais pas vraiment le peine de retenir la tête des personnes de mon entourage alors le visage de celle que je ne fais que croiser…Vous pouvez toujours rêver ! Même pas en rêve !

-Vous faites suremente partite de ce clab ?

Comprendrait-elle se que je dis ? Franchement je n’en ai strictement rien à faire. Je n’avais qu’une envie : rester seul…Comme d’habitude quoi. J’aime bien être seul, ou du moins je ne suis pas habitué à la compagnie des autres. Ahah Depuis le temps franchement !

-Si voute vous attendez à se que jete parte voute attendrez longuetemps.

Messages : 321 Date d'inscription : 08/01/2012 Localisation : Chez Moi

-Who asks?

Pourquoi est-ce qu'il parlé Anglais ? Il était fou ? Ce moquait-il de moi ? Je continua a le fixer en me demandant pourquoi il était là

-Vous faites suremente partite de ce clab ?

Non, je m'appelle Allen et je m’incruste dans les endroits où je ne suis pas conviée.

Qu'avait dit cette petite voix dans ma tête ?! J'espéré que cette phrase soit rester dans ma tête et non sortie de ma bouche. Je le fixa et essaya de voir si j'avais vraiment dit cette phrase. Il n'eût aucune réaction visible, donc j'en conclu que j'avais prononcé ces mots dans ma tête (assez fort pour que je croit l'avoir vraiment dit)

-Si voute vous attendez à se que jete parte voute attendrez longuetemps.

Son accent me faisait rire... Ne voulant pas le vexer je continuer a le regarder un long moment avant de rétorqué :

- L'air de rien Mister je Speak English t'a pas répondu a ma question ! T'appelles-tu Allen ?

Ma réplique était un peu Méchante. Mais qui a dit que j'était une gentille fille ? Surtout avec ce garçon et son petit air arrogant !

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Hum le matin qu'est-ce que je hais ça , être obligé de se réveiller pour poser son arrière-train sur une chaise face à une table , et se donner un air minimum attentif par pur respect envers la personne qui tente en vain de vous faire comprendre que les calculs , la géométrie vous serviront à l'avenir alors que la personne en question sait pertinemment que ce ne sont pas des choses qui vous intéressent et auxquelles vous rendrez hommage à l'avenir.
Personnellement…Ce n’est pas, et cela ne sera jamais une chose que je ferais de ma petite personne. Ce n’est pas mon cas. Ahah.

Elle me fixait d’un air que je connaissais bien. « Lui ai-je ou pas dis une connerie ? ». J’aime beaucoup voir cet air interrogateur sur le visage de ceux qui m’abordent. C’est assez…Je dirais amusant si j’ose dire.

-Si voute vous attendez à se que jete parte voute attendrez longuetemps.

Elle sourit. Elle ne se retins pas pour le faire, non croyez vous donc. Sans aucune retenue. Est-ce que, par pur hasard biiiiiien sûr, se moquerait-elle de mon léger accent ? Je ne supporte pas les gens comme ça. C’est-elle bien regardée dans un miroir avant de se permettre un tel outrage ? Je pourrais lui en sortir aussi. Anecdote du jour : J’ai croisé un lampadaire allumé en plein jour. Eh bien oui. Sortir avec des vêtements beaucoup trop flashy peu amener à de sérieuses répercutions. Surtout de ma part. Elle continua de me fixer de ses deux grands yeux verts. Et je levai un sourcil d’un air intrigué.

- L'air de rien Mister je Speak English t'a pas répondu a ma question ! T'appelles-tu Allen ?

Je rigolai doucement. Elle n’était décidément pas perspicace. Mais elle était charmante. Attardée et enquiquinante, mais charmante. Je souris ayant tout de même l’air un tantinet blasé.

-Non, sorry. Ce n’êtes pointe moi vous voute êtes trompée. Mais jete pourrais peut-être lui transmettre unte message ?

Décidément. Peut-être que cette mâtinée serait bien plus intéressante que prévue tout compte fait. Oui je pense. Ahah.

[Désolé, j'ai bien conscience que c'est court. ]

Messages : 321 Date d'inscription : 08/01/2012 Localisation : Chez Moi

"Je meurs devant tant d'idiotie, je pleure devant tant de colère, et j'aime devant tant de beauté"

-Non, sorry. Ce n’êtes pointe moi vous voute êtes trompée. Mais jete pourrais peut-être lui transmettre unte message ?

Me prenait-t-il pour une débile ? Une attardé mentale ? Une personne dépourvue de toute intelligence ? Pour moi c'était clair, il ressemblait a son père ! Alors pourquoi mentait-il ? Je sais (enfin je pense étant donnée qu'aucun élève n'est au courant) qu'il avait exigée qu'aucun élève soit au courant qu'il était dans une classe sociale assez élevé. Mais quand on ne viens jamais en cour et qu'on a des note plus que satisfaisante je pense qu'ils soit normale que CERTAINS élève (curieux) se posent des question et je prie de m'excusé d'avoir eu l'audace de taper "Allen Hamleys" sur Goole !

De plus il espérais que je ne remarquerais pas qu'ils ressemble a son père ? Mais quel idiot faisait-t-il !

- Oh ! Dommage j’espérais faire une interview de M.Hamleys, L'enfant prodige ! Celui qui ne vient jamais en cours mais qui a des notes plus que satisfaisante ! Je pensais que ça pouvait être intéressant comme article !

Et toc ! J'avais essayé d'avoir une voix normale et chaleureuse, pour essayé de caché la méchanceté de ses propos, j’espérais vraiment qu'il accepterais ma demande parce que :

1. Cela l'obligerais a dire qu'il a mentis sur son identité
2. Je pourrais le prendre pour un débile comme il l'a fait avec moi

J'attendais VRAIMENT sa réponse avec impatience, tout en gardant un sourire assez chaleureux (du moins je pense) ...

Invité

- Oh ! Dommage j’espérais faire une interview de M.Hamleys, L'enfant prodige ! Celui qui ne vient jamais en cours mais qui a des notes plus que satisfaisante ! Je pensais que ça pouvait être intéressant comme article !

-Cette effectivement forte dommage. Je luite dirais à l’occasion.

Elle savait pertinemment que j’étais Allen Hamleys. Mais elle enjolivait les choses. « Enfant prodige ». Que de sornette. Simplement parce que j’avais d’excellente note à l’école. De toute façon il y a énormément de chose qu’elle ignorait. Par contre moi j’étais persuadé d’une chose : Elle pensait bien évidemment que je trichais. Personnellement, je m’en contre fou. Je ne me moquais pas d’elle en premier lieu mais la elle commençait sérieusement à me faire beaucoup de peine. Penser qu’une chose aussi futile que cela m’intéresserait, c’est foncer tout droit dans un mur et délibérément qui plus est. Mon père aurait surement sauté sur l’occasion, j’en suis certain. Pour lui, tout est bon pour faire de la publicité…Je trouve cela franchement pathétique. L’entreprise n’a certainement pas besoin d’un guignol pour se faire connaître. A tiens ! Cela me rappelle la fois où mon père m’avait confié l’entreprise pendant une semaine…Les affaires n’avaient jamais été aussi florissantes. Et je ne m’étais pas montré une seule fois. Les gens venaient et se baladaient sans se douter la moindre seconde que le descendant des Hamleys, celui qui tenait la semaine et bientôt à vie déambulait en toute simplicité parmi eux. C’était assez amusant je dois dire. Pas comme l’instant présent ça c’était clair et net. Cette fille donnait l’impression d’en savoir long sur mon compte alors qu’elle devait juste être au courant de ma provenance. C’était absurde. Je pouvais la détruire en un claquement de doigt. Elle et son univers tout entier. Mais ce n’était pas tant son arrogance qui m’énervait mais son manque de jugeote. Une personne censée d’esprit aurait compris qu’avant de s’adresser à moi il faut un minimum d’information. Et penser qu’une interview pourrait m’intéresser montre clairement qu’elle est dénuée de tout bon sens.

-Dois-je à présente voute donnez monte nomte pour savoire le votre ?

De toute façon…Vue comment c’était BIIIIIIIIIIIEN partie…Elle n’était définitivement pas prête de me lâcher les basques. Alors franchement autant connaître directement le nom de la personne qui avait décidée de venir me les priser en cette si belle mâtinée. Et je me demande bien…Pourquoi donc toutes les personnes de cette terre se mettent-elles d’accord pour venir me déranger quand tout va bien et quand je suis ENFIN tranquille ? Décidément j’ai énormément de mal à comprendre cela. Je sais je sais je me fais des idées. Mais c’est ma manière de relativiser les choses (drôle de méthode de direz vous).

Messages : 321 Date d'inscription : 08/01/2012 Localisation : Chez Moi

Le jeune Homme ouvrit sa bouche
- Cette effectivement forte dommage. Je luite dirais à l’occasion.

Il fallait l'avouer, même si il se foutait de ma tête M.Hamleys était plutôt beau garçon et son accent lui donnée un charme assez ... Il n'y a pas de mots pour qualifiée tant de beauté. Dommage qu'il se devait d'être aussi débile, méchant, et arrogant. Il savait que je savais qui il était ! Je ne vois pas pourquoi il continue a ce jouer de moi ainsi ! Peut-être que ma tête le faisait rire ? Ou qu'a force de solitude il avait besoin d'amis !? Si c'était le cas, il s'y prenait mal, et vu son attitude envers les autres je comprenais pourquoi il était seule ! "L'argent ne fait pas le bonheur " Voilà ce que je voulais lui dire. Je le comprend, d'un certains sens il doit ce sentir très seule et délaissée, je n'aimerais pas que mes parents soient riches, parce qu'ils seraient souvent absent, et cela me créerais un manque, vraiment très présent, je ne m'imagine pas vivre sans eux. Même si certains matins c'est dur, que l'on se dispute, ce sont mes parents et si ils étaient directeurs d'une entreprise et qu'ils ne pouvaient pas être souvent a la maison je me sentirais mal.
Oh ! Eh ! Attend ! Pourquoi j'essaie de me mettre à la place de ce ... cette ... chose ! Il est méchant avec moi, il se fou carrément de ma tête et j'éprouve de la compassion pour cette Alien ? [Eh oui pour ce qui ne l'on pas remarqué Allen rime avec Alien ! ]
Je m'en fou de lui, tout ce que je veux c'est le faire couler !
Jalouse ? Moi ? Oh grand dieu non ! Juste, énervé qu'une personne aussi débile ce croient tout permis ! Eh Oui, Monsieur croit qu'il peut se moquer de moi ! Bah il va voir !

-Dois-je à présente voute donnez monte nomte pour savoire le votre ?

BA-DA-BOUM ! Il allait me dire son prénom et j'allais pouvoir lui en faire voir de toute les couleurs, "M.Hamleys est un menteur" "M.Hamleys est TOUJOURS seule" car "M.Hamleys est vilain et débile il ne mérite pas d'avoir d'ami !" Une véritable haine venait de naître envers cette personne qui ce trouvée en face de moi.
Il me fait de la peine, a être seul. Mais il m'énerve a ce croire supérieure au gens.
Maintenant la seule question que je me posais c'était :
Que dois-je lui répondre ?

Je voulais lui en faire bavé, mais je savais que j'allais le regrettée, avoir de remords, me sentir mal. Mais je savais que si je ne réagissait pas, j'allais le regrettée, je raterais une des rares occasion de le mettre a terre, de le confronté aux monde !
Argh ! Il est vrai que je ne suis pas un Ange :

- Oui, tu vois ici, quand on est Poli on répond aux questions donc OUI tu dois me dire qui tu es, et sache que si tu refuse je peux très bien allée voir un membre de l'établissement et lui dire qu'un élèves qui ne fait pas partie du club journalisme et qui est censé être en cours traîne ici !

Qu'allait-il bien pouvoir répondre à ça ? Hein ? J'attendais de voir sa merveilleuse tête d'âne se transformé ! Car si il veux jouer, on va jouer ...

[C'est assez long là ?]