 |  Sujet: William Inechild.  Sam 12 Mai - 20:35 | |
| Nom : Inechild.
Prénom : William.
Âge : 19 ans.
Sexe : Masculin.
Nationalité : Française.
Statut : 2ème année prépa.
Club : Piscine.
Loisirs : La natation, ninjutsu, sortir, ou encore geeker.
Présentation physique : Je n'ai jamais été fort en description. Vous savez, comme dans les sites de rencontre. A peine tu vas dans un tchat qu'une fille te demande de te décrire. Tu flippes ensuite qu'elle te dise « Ah non, t'es pas trop mon genre je préfère les blonds aux yeux bleus. » ça chipote les filles, ça chipote. Ce n'était pas toujours comme ça, mais je m'en suis pris des rateaux. Peut-être que j'aurai dû montrer des photos, ça aurait été plus simple. Quand je les ai au téléphone voilà ce que je leurs disais :
“ Bah je suis brun aux yeux bleus, je fais moins d'1m80 par contre. Mais ce n'est pas parce que je dis ça que je suis forcément un petit nain hein.. Sinon je suis plutôt bien foutu et très sportif. ”
Ou elles ne me croyaient pas et préféraient que je leur montre des photos, ou bien elles me croyaient et me proposaient un rendez-vous. Et quand je les rencontrais, elles étaient ou déçu ou satisfaites. Disons que oui j'étais beau, mais il me manquait des choses, ou alors j'avais la tête d'un mec qui trompait. Ce n'est pas parce qu'on a une belle gueule qu'on était forcément un mec infidèle. Oui ça m'est arrivé, une fois seulement, mais ça c'est une autre histoire. Revenons à ce qui leurs dérangeaient : ou j'étais trop grand ou pas assez, ou j'étais musclés ou pas assez, ou j'étais bavard ou pas assez. Ce que c'était compliqué, l'homme parfait n'existait pas, ce n'était que dans les comtes de fées. En tout cas je peux vous dire que les petits détails étaient fatal pour moi.
Présentation mentale : A première vue.. Heu non, à première vue rien du tout. Je ne sais moi-même pas ce que je donne comme impression dès que l'on me voit. Mais je suis quelqu'un de bien, disons que je n'aime pas faire du mal aux autres, sinon je le regrette (mais tout dépend de qui). Je m'entends bien avec les autres et je suis assez acceuillante comme personne. Je peux paraître un peu je m'en-foutiste sur les bords mais sans plus. Je suis bien quoi. Ah.. Ce qui était vraiment chiant, c'est lorsqu'une fois en cours, en collège, on nous demandait nos qualités et défauts. Plus de la moitié des garçons disaient que leurs qualités étaient leur beauté et qu'ils n'avaient pas grand chose de bien, qu'ils étaient tous du genre rebelle. Tellement cliché pour moi.. Alors je me sentais un peu seul à dire que j'étais sympa, et tout simplement banal comme gars. Je n'allais pas faire le petit bad boy du coin, alors que je ne l'étais absolument pas. Je ne voulais impressioner personne et j'étais tout simplement moi-même à chaque fois, en riant, en blaguant, en m'amusant, ou en m'énervant. Disons que je n'ai jamais compris pourquoi on préférait moins les mecs sympas. Si elles ont un salaud elles se plaignent qu'ils vont voir ensuite ailleurs, ou qu'ils manquent de délicatesse. Si elles ont un mec banal, elles se plaignent qu'ils ont trop de romantisme, ou encore qu'ils n'ont aucune fierté. J'ai de la fierté, je suis quand même un homme. Bien sûr je généralise, nous les mecs nous ne sommes pas réellement mieux. Je peux vous dire encore que quand on me cherche on me trouve, alors les « yo mec, tu m'files les réponses ? mec t'as un blem, tu me cherches ? Yo mec t'as du feu ? » Foutez vous les dans le cul. Surtout que je ne fume pas. Et les devoirs je suis pas votre petit intello qui vous filera les réponses si vous le menaçer. Alors il ne faudra pas faire le beau si je vous envoie chier, si je vous insulte ou encore que je vous fou un peu la misère. Sauf si vous avez un fusils, je ne chercherai pas à faire le kaid et le fier et je me taillerai en courrant comme kirikou. Même s'il y a peu de chance que ça arrive, quoique ça m'est arrivé autrement mais j'en parlerai plus tard. Mentalement, si je suis en prépa ce n'est quand même pas rien. Il y en a qui ont les capacités mais qui ne foutent absolument rien, ou alors qu'il y arrive mais qui ont un comportement débile. D'autres y mettent tout leurs efforts mais n'y arrive pas. Moi j'étais entre les deux, j'étais peut être un gars cool, mais alors j'étais un p'tit clown en cours, ou je bavarde comme tous, ou je rentre dans l'ambiance de dingue, et quand c'est calme j'ai dû mal à me contenir. Je sais me taire aussi, et quand c'est les autres qui font n'importe quoi je hurle qu'ils se taisent. Un professeur m'a dit « Quand c'est toi qui t'amuses tu ne te gênes pas pour tes camarades qu'ils veulent travailler, mais quand tu es intéressé pour un cours tu demandes aux autres de se taire ? Je t'interdis de te plaindre. » Oui là, elle m'en avait bien foutu plein la gueule celle-là.
Histoire : Pourquoi j'avais déménagé ? La seule raison étaient que j'avais des voisins complètement tarré. Enfin, je veux dire, j'habitais dans un quatier complètement tarré depuis 3 ans. Non mais sérieux, entre le voisin qui faisait hurler la fille et entendre les grinçement fort du lit pendant que je dormais et entendre à trois heures du matin du rap, c'était catastrophique. Je ne me gênais pas pour aller toquer chez eux :
- Vous faites trop de bruit, vous en réveillerez presque les morts ! Penser aux petits enfants qui doivent être choquer !
Puis rien, ça continuait, les gémissements, tout ça, je suis alors reparti dans mon appart remarquant qu'il s'en foutait. En même temps comment arrêter un gars en plein acte. Et le pire, c'est d'entendre celui du mec. J'avais plusieurs fois demandé à mes parents de porter plainte, mais ils n'osaient pas. Le quartier était en fait un vrai danger. Quand j'étais arrivé là-bas, tout me paraissait normal et naturel. Je me suis très vite rendu compte de mon erreur lorsqu'en quelques mois, je commençais à voir que ça ne tournait pas rond. Une fois, j'avais vus dans l'immeuble d'en face un homme donné des coups à sa femme, le jour suivant à côté de chez moi j'entendais gueuler, un autre jour, je regardais tranquillement par la fenêtre et j'aperçois les flics en bas de mon immeuble menotant trois jeunes de mon âge. Et encore, ce n'était pas fini. Je me rappellais d'être sortit d'en bas pour partir avec un pote au lycée. Il y avait une femme qui était recouverte de plumes de la tête au pied, elle avait un bocal, à l'intérieur se trouvait une grenouille. Elle s'était avancé vers nous, et voilà ce qu'elle nous a dit :
- AH! mortem mortem aaaaaah mortem !
Bon ok, une folle. Moi et mon pote on avait vraiment les jetons à ce moment là, on dirait pas mais c'était flippant de voir cette femme crié ça à 7h du matin. Il semblerait que c'était du latin. Le mot « mort » y était dedans. Je ne savais pas d'où elle sortait, qui elle était, qu'est-ce qu'elle voulait. Mais on avait préféré largement l'ignorer que de lui adresser la parole. Je m'étais vraiment dit que ce quartier avait un soucis et pourquoi on avait choisi d'habiter ici. Dans ce trou de malade. Mes parents avaient peur de sortir, tout comme moi mais je n'avais pas le choix, et en trois ans c'était devenu l'habitude de croisé des personnes.. de ce genre. Pendant ces longues années j'ai entendu et vu des choses vraiment horrible. Et pourtant, j'y suis quand même resté longtemps. Mes parents cherchaient encore à déménager, ce n'était plus possible, ni pour moi, ni pour eux.
Deux ans plus tard, un nouveau voisin venait d'aménager au rez-de-chaussée. Au premier abord il semblait bien et tout à fait normal. J'avais même commencé à engager des discussions avec lui, je lui parlais du quartier, ce qui s'était passé pendant ces années. Mais j'en avais appris bien plus sur lui lorsqu'une guerre s'était déclenché avec mon père. Du moins ils se connaissaient déjà, mon père l'avait viré de son entreprise car il était un peu trop dérangé et il avait tenté d'étrangler un autre collègue, en temps normal ils se haissaient déjà. Donc mon voisin était en fait un employé de mon père. Il ne savait pas que j'étais son fils, il avait tout simplement vus le nom de famille Inechild sur la boîte aux lettres une semaine après. Puis les vacances d'été était enfin arrivé. Des potes m'attendaient en bas, derrière l'immeuble pour qu'on aille à la plage. Alors que j'étais en train de descendre les escaliers de l'immeuble pour me rendre dehors, je voyais mon voisin ouvrir sa porte. Il m'avait arrêté dans mon élan. Je le regardais d'un mauvais œil. Lui il me regardait comme s'il était prêt à me tuer. Je restais méfiant, je ne sentais rien de bon, et mes préssentiments son souvent juste. Il cachait quelque chose derrière son dos. Je remontais d'une marche en arrière, ravalant ma salive et lui demandais :
- Qu'est-ce qu'il y a encore ? Vos problèmes avec mon père ne me regarde pas !
Il sortait enfin ce qu'il cachait, c'était un couteau de cuisine, un gros. Je ne savais pas ce qu'il lui avait prit, mais c'était certain il en avait après moi : la peur de ma vie. Je me retournais sans plus attendre en remontant les marches comme un fou pour m'enfermer chez moi et être à l'abris. Le problème était que j'avais fermé la porte à clé, le temps que j'ouvre.. J'entendais les pas de l'autre, lui aussi montait les marches et hurlait je ne sais quoi après moi. Une fois devant ma porte je cherchais rapidement les clés en tremblant. Il était déjà derrière moi.
- Tu vas crever avant ton père !!
Je me retournais laissant tomber les clés et j'attrapais ses deux poignet pour l'empêche de me donner des coups de couteau. Il appuyait très fort, il misait toute sa force même. J'étais contre la porte et je faisais tout mon possible, j'ai réellement crus que c'était la fin. Mais heureusement qu'à l'aide de ma jambe je lui donnais un coup violent contre son ventre en le repoussant. Il heurtait la porte du voisinage et relâcha sans vouloir, le couteau. Je me dépêchais de le ramasser et de le pointer vers lui.
- Vous avez complètement perdu la boule ma parole ! Je vous conseille de ne pas bouger !
Il obeissait. Et j'en profitais pour sortir mon portable et appeler la police. Cependant lui, il se relevait et prenait la fuite. Directement après avoir donner les informations à la police, je relâchais le portable et lui courrais après, je lui sautais même dessus comme faisaient les rugby-man et je lui donnais un coup pour l'assomer. Il devait se tenir tranquille jusqu'à ce que les flics arrivent. J'ai eu un vrai coup de chance.. J'aurai totalement pu être paralyser étant donner que ce genre de situation ne m'était jamais arrivé. Dieu merci que non. La police était arrivé et l'embarquait. ll fallait qu'il m'arrive un malheur, il fallait que je raconte ça à mes parents pour qu'ils déménagent en prenant n'importe quel autre appartement. Sérieux pourquoi il a fallut qu'on tombe ici ? Mes parents n'étaient pas ruinés, si ? Ils me cachaient certainement quelque chose pour vraiment y rester.
Me voilà autre part, dégager du danger et dans un nouveau lycée. Je plains sincèrement les autres habitants. Maintenant je peux sortir sans être angoissé.
Autre : J'aime les fraises, donc si je vous en vois avec, je n'hésiterai pas à vous en demandez, j'en suis un petit addict, bizarre hein? J'aime mon ordi, les jeux vidéos. C'est vital, mais chut.
Nom du personnage et du manga de votre avatar : Gray Fullbuster – Fairy tail.
Code : Validé par Ed'
PS : Autre compte de Mikoshiba x)
Dernière édition par William Inechild le Sam 12 Mai - 20:48, édité 1 fois |
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| | Sujet: Re: William Inechild. Sam 12 Mai - 20:42 | |
| * Sors un bol de Fraise * --> Pour toi :3 xD Bon ben je te dis bienvenu quand même hein. Je fantasme sur son ta avatar dès le départ mais ton personnage est vraiment intéressant :3 Et tu as une manière d'écrire vraiment géniale même si ca je le savais déjà '-' JE VEUX ME LE FAIRE ! //PAN// d'accord je me tais et je m'en vais T.T xD Enfin voilà, re bienvenu et ton personnage restera dans mon coeur 'o' xDD |
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| | Sujet: William Inechild. Sam 12 Mai - 21:48 | |
| Ah. Tu aimes la philo, j'espère ? Ceux de ton genre, j'ai envie qu'ils en bavent, parce que la gentillesse c'est bien beau, mais ça cache toujours quelque chose de malsain. Les filles t'insuportent à cause de leur insatisfaction ? Prend un écureuil, tant qu'il a de gros glands à la clef, il t'aimera. Sinon, au déplaisir de voir ta sale face d'ado pseudo-traumatisé lors d'un cours sur le pourquoi du comment de la signification et du sens de la vie ! Bref, classe ton avatar. J'ai hésité à prendre Jellal, qui est beaucoup plus beau et viril que mister glaçons u.u Au plaisir d'ouvrir les yeux à la sorte de petit saint que tu essayes d'imiter tant bien que mal. |
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| | Sujet: Re: William Inechild. Sam 12 Mai - 23:26 | |
| Haru, merci pour les fraises c'est trop aimable d'y avoir penser ! Tu sauras qu'il faudra en apporter si tu me rencontres. Ah bah ça te fais fantasmer, je.. suis content alors. xD Isuzu, merci beaucoup ! Monsieur Delta, j'aime la philo, mais avec vous j'ai l'impression que je vais haïr, ça ne m'étonne pas vus l'impression que vous me donnez. Ceux d'mon genre ? Vous avez quelque chose contre on dirait. De malsain ? Je ne vois pas. Et les filles ne m'insupportent pas, c'est seulement le fait de se plaindre, haha et.. je vois que vous avez un bon humour, c'est déjà ça hein ! Ce mec n'est pas plus viril et beau pour ma part, m'enfin chacun ses goûts. Je n'essai pas d'imiter un petit saint, j'en suis pas un. Ne faites pas comme si vous savez tout de moi. Vous vous donnez vous même une fausse image ! Mais merci. |
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| | Sujet: Re: William Inechild. Sam 12 Mai - 23:31 | |
| Bienvenue William , si tu aimes les fraises on risque d'être rivaux quand il ne restera qu'une seul assiette a la cantine  . Bref si tu prend Option Italien au plaisir d'être ton prof o/ |
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Edward LunsterAncien staff
Messages : 1186
Date d'inscription : 01/11/2011
| | Sujet: Re: William Inechild. Lun 14 Mai - 10:36 | |
| Bienvenue à toi William ! Ah, j'aime ton inspiration. Ton personnage à la fois normal et anormal, il me plait bien *_* Et son histoire... *O* J'aime beaucoup l'idée \o/ Bref, tu es validé très cher, bon RP /o/ |
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