Miaou, miaou. Bonjour de Robynne :3

Invité

Nom : Melkor Volgan.
Prénom : Robynne.
Âge : 18 ans.
Sexe : Masculins.
Nationalité : Inconnu.
Statut : 1ère année prépa.
Club : Sport.
Loisirs : Le basket, fumé, dragué.
Code : Validé par Ed ~

< Présentation physique >

- Lâche-moi, beuglais-je.

Froidement je détachais mon poignet de la main froide qui le tenait fermement. Et je regardais les grands yeux verts de mon frère si différent des miens alors qu’ils étaient de la même couleur.

- Fou moi la paîx, répétais-je en lui faisant face cette fois-ci. Tu me gonfles.
- Rob’, souffla mon frère avec exaspération en m’agaçant. Tu ne devrais pas…
- La ferme, coupais-je en lui tournant le dos. Je t’ai dit ce que je pensais de ton idée, cela ne m’intéresse pas à les rencontrer.

Sans lui adresser un regard je partais en marchand les mains enfoncées dans mes poches et mes cheveux cachant mes yeux. J’en voulais à mon frère. Il voulait me forcer à rencontrer nos parents et c’était la dernière chose que je désirais. Cependant, malgré tout je finissais par regretter de ne pas l’avoir suivi. Je leur en voulais terriblement. Mais j’avais envie de savoir s’ils me ressemblaient.
Est-ce que ma mère avait mes cheveux marron si épais et dur à coiffer ? Est-ce que mon père avait mes yeux vert foncé tirant sur le noir quand j’étais en colère ?
Et puis de qui avais-je hérité de mon corps longiligne qui ne prenait pas un gramme malgré tout ce que je dévorais ? Et lequel de mes deux parents possédaient ce teint pâle qui me différenciait de mon frère qui avait le teint hâlé ?
Je secouais la tête. Arrête de te penser à ça. Tu les détestes. Tu te fiches de savoir qui ils sont. Je pris une grande inspiration et m’apprêtais à reprendre mon attitude habituelle quand mon reflet me sauta au visage dans une vitrine d’un magasin quelconque.
Mes yeux étaient embués d’un liquide transparent qui leur donnait une étrange luminosité qu’il n’avait pas habituellement. Mes lèvres fines tremblaient légèrement. Mes mains blanches et fines se secouaient fébrilement prise de tremblement elle aussi. Ce n’était pas de la panique, j’étais juste paniqué.
Je me mordis les lèvres jusqu’au sang. Je déraillais vraiment. Alors je posais mes mains devant mes yeux en faisant retomber mes cheveux marron devant mes cheveux de manière à ce que personne ne me voie ainsi.
J’avais abandonné mon air sûr de moi autant que mon assurance. Ma peau pâle trahissait ma souffrance. Je pris une profonde bouffé d’air pour retrouver mon calme.
Allez ! Me motivais-je. Tu n’as pas à être aussi troublé. Alors petit à petit, mes yeux reprirent leurs froideurs, mes lèvres leurs sourires carnassiers. Et je passais rapidement ma main dans mes cheveux pour les recoiffer en bataille.
Voilà ce que j’étais. Un garçon froid, dur, sans sentiment. Du moins je devais l’être. Sinon, je ne serais qu’une pauvre loque que l’on plaindra et je me l’interdisais.

Présentation mentale

- Tu n’es qu’un salaud !

Aille. Cela fait mal. Je n’aime pas recevoir des gifles surtout que je ne les méritais souvent pas. Trop froid avec les filles ? Ouai et alors ? Je ne les aime pas. Je ne vais pas me forcer. Tout le monde savait que je ne faisais que jouer avec ces choses frivoles qui ne pensaient qu’à une seule chose.

- Je t’avais prévenu, rétorquais-je à la jeune fille blonde qui se tenait devant moi avec cet air hautain qui m’insupportait. Dès le début je t’ai dit que je ne t’aimerais jamais et que ce n’était que pour jouer entre nous.
- Je ne pensais pas que tu étais sérieux, s’offusqua-t-elle ne me faisant pas soupirer.

Je haussais les épaules. Qu’est-ce qu’elle voulait ? Que je m’excuse ? Aucune chance. C’était entièrement de sa faute si elle c’était retrouvé dans cette situation. Je prévenais toujours les filles que seul leurs corps m’intéressaient et je le disais toujours avec le plus grand des sérieux. Si cela ne leur plaisait pas je les laissais partir sans me battre pour les gardes. Si elle acceptait les règles du jeu nous, nous amusions jusqu’à ce que je me lasse.
Elle faisait partie de celle qui me prenait juste pour un clown en me faisant croire qu’elle ne m’avait pas pris au sérieux. Est-ce que j’avais vraiment le look du gars sérieux ? Piercings aux oreilles, tatouage dans le dos. Je draguais autant pour jouer que pour me faire plaisir mais jamais je n’étais sérieux…du moins avec les filles.
Les garçons c’étaient autre chose. Il était possible que je tombe amoureux même si rarement tout de même. Je suis gay. Enfin peut-être plus bi si on considère que j’aime le corps des femmes. Mais seuls les garçons peuvent faire battre mon cœur si froid. Pourquoi ? Comment ? Je pourrais répondre mais c’est une autre histoire qui prendrait trop de temps.

- Tu as finis ? Demandais-je froidement à la jeune fille. Tu t’es bien défoulée ? Je peux partir ?

Elle me regarda estomaquée. Mais moi je haussais les épaules calmement. Je m’étais fait frapper et je l’acceptais, je comprenais ce qu’elle éprouvait. Je n’étais pas totalement un insensible. Mais passer trois heures à consoler une nana qui commence vraiment à me taper sur le système c’est trop me demander.
Alors je partais sans même prendre en compte s'appelles frénétique. J’entendais aussi les noms d’oiseaux habituels. Mais je m’en fichais totalement. Égoïste m’arrêta cependant tandis que je m’apprêtais à disparaître de sa vue. Je souris en baissant le regard vers le sol. Oui je suis égoïste. Mais j’avais tout perdu, j’avais grandi en apprenant à me débrouiller seul, alors l’égoïsme était la seule chose que j’avais trouvée pour m’en sortir. Stupide ? Je l’étais probablement. Frivole ? Totalement. Et puis ? Qu’est-ce que cela pouvait faire ? Personnellement cela ne me dérange pas du tout.

< Histoire >

« - Je reviens vite, me promis une voie féminine.
Je pleure. Je hurle. Les heures passent. La voie féminine ne revient pas. Je suis seul. Je tremble. Je pleure encore. Puis quelqu’un me parle. Je me débats quand on essaie de m’emmener. Je veux réentendre la voix familière. »

Je me réveille en haletant comme un malade. La sueur perlait sur tout mon corps en me faisant soupirer. Encore et encore le même cauchemar. Toujours le même depuis quatorze ans. Depuis que j’avais été abandonné froidement.
Mon corps se laissa retomber sur le lit mes yeux posés sur le plafond gris vieilli par le temps. Je ne sais pas si ce cauchemar est en réalité un souvenir mais dans tous les cas il était douloureux car il était le reflet de ma vie.
J’ai trop longtemps attendu cette voie féminine. Trop longtemps espérer des bras fort m’enlaçant avec amour. Trop longtemps pleurer et crier pour protester contre ma douleur. Si j’avais pué je serais mort pour me libérer de la souffrance. Mais il y avait eu Key. Mon frère.
Lui aussi avait été abandonné, il avait partagé le poids dans mon corps et le bourdonnement dans ma gorge. Ensemble nous avons avancé sans jamais nous plaindre et sans jamais demander de l’aide. Ensemble nous arrivions à monter les échelons de la vie. Enfin… C’était vrai jusqu’à il y a environ un mois.
Sans m’en parler il avait fait des recherches. Il avait fouillé toutes les pistes possibles pour retrouver les seules personnes que je souhaitais voir mortes. Nos parents. Et ils les avaient trouvés.
Depuis ce moment, je me suis rendu compte que nous n’étions pas aussi proches que je l’avais toujours crus. Lui avait grandi et évolué dans l’espoir de retrouver un jour les bras protecteurs d’une famille. Tandis que moi j’espérais simplement pouvoir m’épanouir dans une vie avec mon frère. Je n’avais besoin que de lui pour continuer de vivre ma vie comme elle me plaisait. Mais il avait tout bouleversé.
L’appartement que nous partagions était vide désormais. Seul ma présence le remplissait et mais quelques affaires. Lui était parti vivre chez nos « parents ». Mes mains serrèrent les draps du lit.

- Je te déteste, murmurais-je en fermant les yeux. Toi aussi tu m’as abandonnée.

Je le comprenais au fond mais je n’arrivais pas à accepter qu’ils aient réussi à pardonner aussi facilement un acte aussi cruel. Peut m’importent les explications qu’il avait reçues d’eux. La seule chose que je voyais était l’abandon. Notre enfance a voyagé dans tout le pays à travers diverses familles d'accueil. Je ne pourrais jamais pardonner. Jamais.
D’ailleurs j’avais pris ma décision. Demain je partirais. Je changeais de lycée, de vie. Et je ne prévenais personne pas même mon cher frère. C’était le mieux pour tout le monde.
Il pourrait évoluer comme il le souhaitait. Et moi…moi…je ne sais pas. Je vivrais au jour le jour comme d’habitude. Il faudra que je sois plus sérieux et que je me débrouille désormais seul…
Ce mot m’effrayait. Je détestais la solitude. Pourtant il allait falloir que je m’y fasse. C’était ma destinée probablement…

Nom du personnage et du manga de votre avatar : Green de Pokémon.

Autre : J’ai oublié quelque chose. Melkor Volgan ? Oui, c’est mon nom de famille. Comment je le sais ? Parce que c’est la seule chose que nous ais laisser nos parents. Un nom écrit sur un bout de papier qui avait servi à mon frère pour remonter jusqu’à nos parents. Mais moi. Je n’étais pas Melkor Volgan même si c’était mon nom de famille officiel. J’étais Robynne Green. Pour le prouver je m’étais tatoué ce nom sur la langue pour à jamais me rappeler que seul ce nom devait franchir ma bouche…

Ancien staff

Superbe personnage, ça m'étonne pas de toi *_*

Encore une fois, j'ai envie de te complimenter sur ton inspiration, le développement de l'histoire, la façon d'apporter ta présentation...
Mais je ne ferais que me répéter, alors je me contenterais d'un : j'adore ton personnage *O*

Tu es validé ! o/

Graphiste mafieux badass

Bienvenue '^'. Personnage intéressant je trouve ^^. Et puis qui n'aime pas Pokemon 8D

Invité

Edward je t'aimeuh x) ~~Merci pour n'avoir pas dit que tu t'étais noyé sous les fautes d'orthographe...aah flûte...je l'ais dit xD~~

Martham, les pokemons sont universel :3

Attrapez-les tous même à nôtre âge ! Un voyage d'apprentisage ! Pokemon !

Aaah la politesse j'oubliais : MERKi <3 :3

Invité

Bienvenu Volgan !

Invité

Bienvenu.

Invité

Merci beaucoup à vous deux '^' :D