Qui es tu?

Invité

Le soleil partait dormir, laissant place à la nuit qui donnait une couleur rose orangé au ciel. La jeune fille était installé sur un banc en pierre, la pierre est dure mais pas froide, non pas son coeur. Elle releva la tête, observa l'atmosphère au dessus d'elle, ses longs cheveux blonds dans le vent, une brise arracha son ruban rouge, mais elle le laissa tomber à ses pieds. Elle regarda ensuite ses mains, elles étaient écorchés de partout car elle c'était fâchée comme un arbre en arrivant, dont les épines s'étaient enfoncés dans ces doigts et sa paume. Elle regarda ensuite son sac, et son journal intime qui tombait légèrement, elle le prit le feuilleta, mais ne trouva pas l'inspiration pour écrire. Elle préféra lire un roman, qu'elle avait commencer il y a peu. Alors qu'elle était dans sa lecture, des cris lui firent relever la tête, des filles s'amusaient à se chatouiller, elle fronça les sourcils et sur le coup de la colère saisit son journal pour écrire dedans.

{# Cher Arthur, je sais que je ne t'ai pas encore reparlé depuis mon arrivé, mais ce lycée n'a rien d'exceptionnel, mais regarde ces filles à glousser pour un rien, c'est bien les humains ça toujours à rire pour un rien. Si seulement il y avait des gens bien ici, mais les hommes se ressemblent tous, toujours l'apparence. Tu sais le roman que je lis, parle d'une jeune fille de mon âge, elle est amoureuse de deux personnes, et elle ne sait pas si elle doit choisir entre son coup de foutre, ou son amour d'enfance. J'aimerai trop être comme elle, ça s'appelle l’identification du lecteur. Elle s'appelle Momoko, je veux devenir comme elle, simple et heureuse. J'ai encore du chemin à faire , mais je ne dois rien montrer pour le moment. Je te laisse quelqu'un approche. #}

Ancien staff

J'étais arrivé à Sweet Amoris depuis maintenant une semaine. Je ne pouvais pas dire que j'y avais mes repères , ou même que je m'y plaisais. J'avais décidé de changer de lycée pour changer de vie, et comprendre ce qu'était l'amour, en quelque sorte. Cette chose que tout le monde souhaite, au point qu'on la volerait à notre meilleur ami sans remord. C'était une bataille violente à laquelle je n'avais jamais participé : j'ai toujours été populaire auprès des filles, donc j'avais le choix. En fait, si j'étais si populaire, c'était parce que je me contrefichais d'elles : les amants sont masochistes. Plus on les rejette, plus ils nous aiment. Je les rejetais sans cesse, elles ne m'en aimaient que davantage. Cependant, aucune ne s'est jamais refusée à moi. En fait, en y repensant, je piochai parmi une des filles qui cherchaient à m'approcher, donc je n'avais aucune chance d'être rejeté. Cependant n'importe laquelle aurait fait l'affaire : je choisissais la simplicité.

Voilà le salaud que j'ai toujours été : une fille, c'est une fille. Une tautologie d'un archaïsme flagrant. Mais ici je voulais découvrir ce qu'étaient ces sentiments qui poussaient les personnes les plus aimables à devenir des vautours cannibales. Etait-ce une bonne idée ? Quand on voit les choses de cette manière, je n'en suis pas convaincu. Mais quand je voyais le sourire, explicite ou implicite, dessiné sur le visage des gens qui aiment et sont aimés en retour, je ne pouvais définitivement pas l'ignorer. Alors j'avais choisi d'essayer de m'intégrer à cette société sentimentaliste.

On ne pouvait pas dire que le pas était franchi : j'avais peut-être éprouvé quelque attirance pour certaines personnes, mais jamais rien de plus qu'un léger bond cardiaque. J'étais encore très loin de ce que je cherchais. Etais-je fait ça ? Mes efforts étaient peut-être vains, après tout. J'avais moi-même parfois du mal à me souvenir de la raison pour laquelle je souhaitais vivre "comme tout le monde", comme tous ces gens que j'avais fini par trouver ridicules. Ridicules de s'embrasser, de pleurer parce qu'ils ne tiendront plus la main d'une personne. Non, décidément ça me dépassait.

Je m'asseyais sur un banc.

Non, moi je n'avais jamais regretter une seule fille. Le fait de ne plus les embrasser, je m'en fichais à peu près autant que de les embrasser. J'en venais à me demander pourquoi je sortais avec. Ah oui, les humains ont de la libido, et il faut la satisfaire. Je ne m'étalerais donc pas en explication sur le pourquoi du comment.

Quelque chose me gênait, sur ce banc. Je ne parvenais pas à comprendre ce que c'était. J'entendais aussi une voix, lointaine. Je revins soudain au monde réel : la voix était en réalité tout près de mon oreille, et semblait particulièrement mécontente. Et ce qui me gênait, c'était une personne.

Vous avez bien compris : j'étais dans mes pensées, et je me suis assis sur une jeune fille, un cahier posé à côté d'elle.
Je me levai donc précipitamment, me confondant en excuses.

- Je, je , je,... Je suis désolé ! Je ne savais même pas qu'il était possible de s'asseoir sur quelqu'un dans s'en rendre compte ! j'espère que je ne t'ai pas fait mal !

Je m'assis à côté d'elle.

- C'est tout de même assez comique comme situation, tu ne trouves pas ? Ne m'en veux pas s'il te plait.

Je vis son cahier, l'attrapai et commençai à lire à haute voix.

- "Cher Arthur, je sais que je ne t'ai pas encore reparlé depuis mon arrivé, mais ce lycée n'a rien d'exceptionnel, mais regarde ces filles à glousser pour un rien, c'est bien les humains ça toujours à rire pour un rien."

Je m'arrêtai subitement. J'étais en train de lire le journal intime d'une fille visiblement énervée, et sur qui je m'étais assis par inadvertance. Je tournai la tête vers elle, le visage décomposé. J'étais choqué de ma propre attitude, et du point auquel elle devait déjà me haïr.

Invité

Il y a quelque chose de bien similaire aux animaux, c'est le regard, chez l'homme un regard veut dire milles choses à la fois, Hélène avait donc dévié son regard vers le vide pour ne pas croiser le regard du garçon et lui interdire de s'installer à ses côté. Elle observa les nuages, imaginant leur forme bizarre, en Afrique les nuages sont si peu rare qu'elle ne savait plus vraiment à quoi ils ressemblaient. Un assez grand représenté une baleine, un autre un champignon, un cœur. Non l'allégorie de l'amour que l'homme a choisit, alors que ce dessin ne ressemble en rien à l'organe qui fait circuler le sang.
Quand elle pensait aux dessins du ciel, elle ne fut plus illuminer par la lumière du soleil car une ombre se posta devant elle, mais de dos, à quoi jouait il pensa t'elle, il voulait se prendre un coup de pied pour attérir assez loin ainsi elle ne verrai plus ce mec arrogant. Mais au lieu de ça il s'assit sur elle, sur ses genoux écrasant sa jupe d'uniforme. Il était complément sans gêne, un inconnu vint prendre place sur la jeune fille. Elle pensa que les hommes était vraiment sans respect, énervait elle aurait voulu reporter sa haine dans son journal, mais elle n'atteint pas le bouquin à ses côtés. Elle le poussa en silence, mais il était dur et ne bougeait pas d'un centimètre. Elle rougit soudainement se sentant bête dans la situation. Elle ouvrit la bouche, voulu hurlait mais rien ne sortit de sa bouche. Hélène poussa alors des petits gémissements, des petits "pousse toi".
Elle crut qu'il avait enfin entendu quand il se releva, mal à l'aise. Mais il se foutait d'elle ouvertement en plus.Elle l'observa n'écoutant pas ce qu'il disait surement des excuses à dormir debout. Il avait les cheveux blanc, les humains étaient aussi fou pour oser se décolorer les cheveux dès leur adolescence? Et c'était un jeu de porter des lentilles de canin? Il jouait un rôle, c'était ça la mode? S'animaliser? Elle afficha un léger sourire, il était bien loin de l'animal surtout en ce moment. Un vrai chien aurait pris la fuite, et lui il était là il s'était assis sur elle. Les humains étaient quand même débiles parfois.

C'est tout de même assez comique comme situation, tu ne trouves pas ? Ne m'en veux pas s'il te plait.

Elle ne tourna pas son regard vers lui, elle devait mettre un verrou sur son cœur, personne ne devait l'apprécier. Elle cachait son visage derrière ses rideaux blond et fins. Rien n'était comique, elle avait peut-être rit de s'être moqué de lui, mais elle n'était pas heureuse d'être là et encore moins avec ce mouton blanc. Elle avait remonter ses jambes et colla son visage contre, elle ne voulait pas le voir, elle voulait qu'il parte, si elle pensait très fort à ça il sentirai dans son aura qu'elle ne veut pas de lui. Mais faut il qu'il voit les aura, ce n'est qu'un stupide humaine. Elle entendit alors, des phrases familières, elle releva la tête et le vit lire son journal. Elle ouvrit d'abord les yeux surprise, puis elle s'énerva, on osé entrait dans son intimité.
Elle se releva et lui arracha le livre d'un geste précis et rapide, elle se pointa devant lui, les cheveux dans le vent, elle sentait son pouls passait dans ses veines, elle sentait la douleur montait, la colère et aussi la tristesse. Ces dents s'entrechoquaient, ses yeux lui piquait, elle voulait hurler, des tas d'injures lui virent en tête mais finalement, elle parla calmement, entendant sa voix si lointaine, qu'elle n'avait pas utiliser depuis long.

Sans respect, mauvais vicieux, sans gêne. Les humains vous êtes tous comme ça. Il n'y a que votre petit monde, le sexe, l'argent, égoïste!

Hélène ne pouvait pas rester, elle attrapa son sac, voulant le prendre, mais ouvert le contenu tomba par terre, son roman, son journal, un collier, des papiers vierge, des photos d'elle en Savane, sur un traineau. Elle s'agenouilla un peu honteuse de sa maladresse, sans faire attention à l'autre, et ramassa ses affaires s'attardant un peu sur les photos. Elle les avait pris avec , mais elles n'avait pas pris le temps de les observait sachant pourtant que c'était les seuls unique et surtout derrière. Elle eut un arrière gout amer dans la bouche. C'était la faute de ce garçon.

Ancien staff

J'étais livide en comprenant que je lisais le journal intime de la fille sur qui je venais de m'asseoir. j'étais irrécupérable, et à la vue de ma convive me fusillant du regard, j'étais aussi irrécupéré. J'allais ouvrir la bouche pour me confondre en mille excuses quand elle me lança d'un ton cinglant.

- Sans respect, mauvais vicieux, sans gêne. Les humains vous êtes tous comme ça. Il n'y a que votre petit monde, le sexe, l'argent, égoïste!

Les "humains" ? Elle ne se considérait donc pas comme une humaine ? pourtant elle était bien bipède, de beaux cheveux châtains clairs qui lui tombaient au niveau de la poitrine. *poitrine...*. Ah, elle avait raison, j'étais vicieux. Je chassai cette pensée de ma tête, et lui rétorquai.

- Tu ne te considères pas comme une humaine ? D'accord, je t'ai énervé, et tu as de quoi l'être, c'est une évidence. Cependant tu ne crois pas qu'il est un peu tôt pour me traiter de vicieux, d'obsédé et d'égoïste ?

Je lui lançai un regard noir. D'accord, j'avais été complètement stupide de m'asseoir sur elle : mais je suis toujours dans mes pensées, et ce qui m'entoure perd beaucoup d'importance dans ces moments là. J'avais lu son journal intime à haute voix : ça, c'était difficilement pardonnable, mais ça ne faisait pas de moi un obsédé vicieux égoïste. D'autant plus que j'avais eu une sale heure de cours juste avant avec ce pitbull de Mikoshiba. Il m'avait énervé, et je n'allais pas me laisser faire face à une demoiselle décidée à m'insulter.

Elle était visiblement elle aussi très remontée contre moi. Elle attrapa son sac violemment et commença à tourner les talons, comme pour me laisser seul sur cette impression de défaite. Mais faire trop vite peut parfois avoir des conséquences : elle renversa le contenu entier de son sac sur le gravier. Un sourire se dessina sur mes lèvres : elle avait voulu sembler forte, et son petit manège s'était retourné contre elle. Elle avait probablement honte d'avoir fait de sa sortie théâtrale un véritable fiasco. Je fut prit de pitié pour elle malgré tout. Je m'agenouillai à ses côtés et l'aidait à ranger ses affaires. Des photos de la jeune fille étaient tombées du sac. Elles étaient magnifiques, dans un paysage paradisiaque.

- Tiens, tes photos sont très belles, où ont-elles été prises ?

J'essayai d'être moins exécrable et engageai la conversation malgré ma rancoeur. Décidément, ce Mikoshiba déteignait sur moi, et cette demoiselle n'avait pas à en faire les frais.

- Je m'appelle Edward, et toi ?

Invité

Elle avait en main, une photo dont elle ne connaissait même plus l'existence, c'était il y environ 1 an l'été dernier, alors qu'elle avait fait escale pour la première fois en Arctique. Sur la photo un peu mal cadré, on voyait une blonde bonnet, écharpe et gant de même colories, se prendre en photo avec les pingouins en peu plus loin. C'était la première fois qu'elle voyait ces animaux en vrai, il n'était pas sauvage, et en les suivant Hélène avait finit congelés à force de s'éloigner dans le pôle. Mais cela restait un souvenir merveilleux de marcher sur la glace glissante, suivant des manchots un peu lent sans crainte. La glace avait du encore fondre là bas, il y avait déjà de grand îlot de glace à cette époque. A cause des humains des animaux polaires, finissait par mourir de faim, ou de froid se séparant de ces confrères à causes des fontes. Des petits ours blanc perdaient leur mères coincé sur un iceberg, et les hommes continuait de produire, de satisfaire les besoins d'une génération pourrie gâté. Production de vêtement, d'énergies, de tissu... Elle regarda le tissu rouge à ces pied, c'était le ruban qu'elle n'avait pas ramassé avant. Pourquoi le portait elle car à cause de lui, un animal était plus près de la mort qu'avant. C'était aussi sa faute à elle. Elle entendait en écho la phrase du maladroit se répétait dans sa tête.

Tu ne te considères pas comme une humaine ? D'accord, je t'ai énervé, et tu as de quoi l'être, c'est une évidence. Cependant tu ne crois pas qu'il est un peu tôt pour me traiter de vicieux, d'obsédé et d'égoïste ?

Humaine ? Qu'est ce que cela représenter être humaine ? Penser autrement, avoir froid dès que le vent se lève, avoir des poils plus long sur le crâne d'ailleurs, avoir des mains avec cinq doigt et les utiliser pour en faire des choses bien ou mauvaise ? Si elle était aussi un homme, un monstre qui pensait comme elle le disait à son propre intérêt puisqu'elle ne voulait pas continuer de vivre ainsi. Un animal ne se serait pas poser la question, il aurait continu d'agir normalement avec ou sans ses frères, avec ou sans son climat, mais il n'aurait pas forcé les choses pour revenir en arrière. Elle, si elle ne voulait pas aller de l'avant. Elle avait resserrer ses jambes contre elle, elle ne voulait rien oublier mais elle souffrait trop de vivre ainsi. Elle se mordit les lèvres inférieur se retenant de pleurer devant un inconnu, elle avait mis du maquillage, pour faire un peu plus humain malgré qu'elle ne l'acceptait pas, mais les larmes coulèrent si vite que son mascara s'écrasa contre ses joues pourpres. Elle voyait le monde en mal, il n'était peut-être pas méchant, mais elle lui en voulait il avait ouvert des blessures à peine cicatrisées. Contre toute attente elle pensait qu'il allait partir vexé, et se dire que ce n'était d'une folle, mais elle le retrouva en face d'elle à ramasser ces affaires, il était trop bizarre, pourquoi faisait il ça ? Il avait un but à ça ? Il allait lui demander quelque chose en échange ? Il regarda les photos, elle aurait voulu les lui arrachait des mains, mais elle se sentait désormais trop faible pour agir.

Tiens, tes photos sont très belles, où ont-elles été prises ?
De partout...
Répondit elle inaudiblement ouvrant à peine la bouche pour sortir les mots, elle le regardait il avait la mine un peu nostalgique comme si il lui manqué quelque chose. Elle replongea la tête dans ses genoux, rougissant de l'avoir observé de si près. Elle devait être affreuses avec ces deux traits noirs sur le visage, elle passa sa main sur sa joue, ses doigts avait pris celle du charbon et elle avait du étaler le reste sur son visage.

Je m'appelle Edward, et toi ?

Hé...Hélène ou...Momoko
Elle avait hésiter à lui dire mais si elle voulait ressembler à son héroïne autant commencer par son prénom. Elle se releva enfin, fuyant son regard, elle posa son sac sur le banc pour y faire rentrer avec un peu de mal son classeur. Elle était dans son dos, elle ne voulait pas le voir, il devait bien rire d'elle. Honteuse elle se sentait honteuse.

Ancien staff

Momoko... J'aimais bien ce nom, il sonnait joliment à mes oreilles, et il me sembla lui aller mieux qu'Hélène. Elle n'avait pas l'air d'être une fille détestable, juste complètement déboussolée. Il me semblait avoir entendu parler d'une nouvelle élève globe-trotteuse, il devait s'agir de cette fille. La transition entre la banquise et un lycée où les rumeurs et les histoires d'amour faisaient bon train devait être insoutenable. Je fus pris de pitié pour la jeune fille, elle devait être bien malheureuse ici.

- Ma pauvre...

Elle me tournait le dos, ne souhaitant sûrement pas que je vois son visage. Je respectais son choix, il n'est pas amusant de montrer nos faiblesses à un inconnu. Je la pris par les épaules, et l'assis délicatement sur le banc. Je me postai à côté d'elle, et engageai la conversation.

- Tu me donnes deux prénoms à consonances bien différentes, l'un est français et l'autre japonais, non ? Je suppose que tu viens des deux nationalités. J'ai rencontré un garçon franco-japonais ici aussi, tu t'entendrais peut-être bien avec lui.

J'essayais d'embrayer sur une conversation des plus basiques : je voulais qu'elle pense que je ne savais pas qu'elle pleurait. Il serait difficile pour elle de me regarder de nouveau en face si elle avait été forcée de se dévoiler ainsi devant moi, mise à nue sans raison devant un inconnu, un potentiel prédateur. Je ne voulais surtout pas qu'elle ressente quelque chose de si humiliant, il allait donc falloir laisser la jeune fille pleurer, et ne surtout pas lui demander pourquoi. Parlons de choses inintéressantes, cela lui ferait le plus grand bien. J'entrepris donc de lui raconter ma vie, pour ne pas la forcer à me raconter la sienne.

- Je suis venu dans cette école suite à un différend avec mes parents. Ce n'est pas forcément facile de s'adapter au début : l'ambiance est un peu étrange et on peut avoir du mal à s'intégrer, mais je suis certain que tu en es capable. Il te suffit de sourire, et de te laisser aller. Tu as l'air de quelqu'un de gentil, alors sois naturelle !

Je pensais qu'elle avait du mal à se sentir dans son milieu ici, mais je ne doutais pas qu'elle s'adapterait.

Invité

Quand elle rangeai son sac, chaque jours elle se sentait un peu mal, comme si elle devait tasser toute sa peine dans ce cuir, et le resortir. C'était comme entendre les cris de detresse quand elle l'ouvrait, l'effort, le travail, la solitude. Edward, c'est étrange il n'avait rien qu'un vampire, elle se souvenait de ce film avec des vampire, pourtant il avait les pupilles jaunes. Il la saisit par les épaules, elle pensa être secoué comme un prunier, mais au lieu de ça, il la fit s'assoir sur le banc et s'installa à côté d'elle. Elle semblait perdu, ne sachant plus ce qu'il voulait, il était devenu calme alors qu'il y a 5 minutes il était violent.

Tu me donnes deux prénoms à consonances bien différentes, l'un est français et l'autre japonais, non ? Je suppose que tu viens des deux nationalités. J'ai rencontré un garçon franco-japonais ici aussi, tu t'entendrais peut-être bien avec lui.
Elle tourna la tête de gauche à droit, et lui répondit doucement qu'elle n'aimait pas les garçons. Et elle avait peur de lui, elle tremblait un peu, c'est comme si il l'a retenait, elle avait envie de fuir et de ne plus l'approcher. Il était et ressemblait à un fauve prêt a bondir sur sa proie. Il dit alors, quand il ouvrit la bouche, elle observa pour voir s'il n'avait pas de grande canines, elle ne connaissait rien à l'être humain.

Je suis venu dans cette école suite à un différend avec mes parents. Ce n'est pas forcément facile de s'adapter au début : l'ambiance est un peu étrange et on peut avoir du mal à s'intégrer, mais je suis certain que tu en es capable. Il te suffit de sourire, et de te laisser aller. Tu as l'air de quelqu'un de gentil, alors sois naturelle !
Suivant mon conseil elle sourit nerveusement, elle se décala un peu, être naturelle, il lu idonnait froid dans le dos, elle avait vraiment peur de lui. Elle le pointa du doigt, et déclara faiblement sentant sa voix partir.

Et si je ne m'intègre pas...
Elle garda son doigt vers lui, et pencha la tête pour observer ces yeux.

Tu es un vampire c'est ça?

Ancien staff

- Tu es un vampire c'est ça?

Mon premier réflexe fut de toucher du bout de l'index mes canines : je devais avoir l'air parfaitement ridicule. En règle général, si on est un vampire, on doit le savoir. Alors vérifier à 18 ans si mes canines sont celles d'un vampire ou non, c'était un peu stupide. Constatant que mes canines étaient, certes pointues, mais pas démesurément, je lui répondis.

- Euh... Non, absolument pas ! Je ne te mangerais pas, je suis un humain tout ce qu'il y a de plus banal !

Comment en était-elle venue à se poser cette question ? D'ailleurs cela signifiait-il qu'elle croyait aux vampires ? J'en déduis que tout ce temps passé avec les pingouins et autres animaux avait dû l'éloigner beaucoup du monde des humains. Je jetai un oeil vers elle : elle semblait complètement perdue. Si elle avait pu s'enfuir sous d'épaisses couvertures, cachée de tous, j'étais prêt à parier qu'elle l'aurait fait. Je supposai donc que je l'effrayais. Il était vrai que j'avais plus d'une fois impressionner autrui : j'étais très grand, mes cheveux blancs et mes yeux jaunes perçants. Je pensais de suite que son idée de vampire venait de toute évidence de mes yeux. Je souris. C'était très rare qu'on me prenne pour un vampire, la plupart du temps c'était un loup-garou. Mais heureusement pour moi j'étais tout à fait normal.

Cependant ces assauts répétés sur mon espèce d'appartenance avait eu le don de me perturber plus d'une fois : il était vrai que je n'avais jamais vu personne de semblable à moi. J'avais déjà vu des personnes aux yeux entre vert et jaune, mais jamais un jaune aussi pur que le mien. Pour ce qui était de mes cheveux, je ne savais pas non plus. Les médecins optaient pour une erreur génétique mineur, puisqu'à part cette différence physique je ne présentais aucun problème de santé particulier.

- Tu m'as demandé ça à cause de mes yeux ? ne t'en fais pas, je n'ai jamais mangé personne, d'ailleurs je n'en ai jamais ressenti l'envie !

J'essayais de la mettre un peu plus à l'aise en souriant. Je ne me vexai pas, pour une fois. J'avais plutôt horreur qu'on me traite ainsi, qu'on me prenne pour un monstre, mais Momoko semblait tellement désespérée que je n'avais pas le coeur de m'énerver : elle ne devait plus rien connaitre du monde des humains.

Elle ajoutait qu'elle n'aimait pas les garçons... Que devais-je en déduire ? Souhaitait-elle que je parte ? Je voulais l'aider à s'intégrer, mais une fille qui ne ressemble pas à un vampire serait probablement bien plus efficace que moi. Je lui proposai donc de choisir.

- Tu dis que tu n'aimes pas les garçons, tu veux que je m'en aille ? J'aimerais faire ta connaissance, que tu me parles un peu de toi, comment tu es arrivée ici,... Mais si je t'effraie vraiment, dis-le, je n'insisterai pas.

J'espérais tout de même qu'elle me laisserait une chance de la connaitre...

Invité

Qui es tu? 774857caption70607820091016214220

Quand elle lui demanda s'il était une créature de la nuit, il se toucha les dents, pour vérifier qu'elle n'étaient pas aiguisé et mordre le cou aux innocents alors qu'il aurait faim de sang.

Euh... Non, absolument pas ! Je ne te mangerais pas, je suis un humain tout ce qu'il y a de plus banal !

Elle sourit les humains sont loin d'être banal, elle ne les aimaient pas mais il avait fait de grande choses. Et lui il n'était pas banal, il avait vu l'animal sauvage et il avait voulu l'apprivoisé malgré ses coups de crocs même si Hélène ne l'avait pas vraiment mordu. Elle ouvrit son journal, saisit un stylo, et par mal politesse elle écrivit quelque chose sur ce garçon, en le décrivant physiquement.

#Arthur, ce garçon que je pensais si mauvais est venu me parler, il ressemble à une bête sauvage, ces yeux sont aussi jaunes que la panthère noir, et si profond qu'on pourrait lire en lu comme dans un livre ouvert. Il semble réfléchir, peut-être que je ne suis pas la première à lui dire, en même temps il me fait peur, il semble affamé, j'espère être encore envie quand je reviendrais#

Elle ferma la bouquin pour le ranger dans son sac, la garçon, Edward comme elle se souvenait était un peu perdu dans ses pensées, et il l'observait, elle posa ses deux mains dans son coup, pour ne pas qu'il la morde. Elle pensait vraiment qu'elle allait mourir en sa compagnie.

Tu m'as demandé ça à cause de mes yeux ? ne t'en fais pas, je n'ai jamais mangé personne, d'ailleurs je n'en ai jamais ressenti l'envie !

Tu sais une fois qu'on goutte au sang, on s'en passe pas...

Elle devait alors l'air débile de lui dire cela, mais elle aurait mis sa main à couper que ce garçon n'avait rien d'humain. Un vrai humain ne l'aurait pas vu, enfin il ne l'avait pas vu au début, mais il était resté avec elle. Elle était donc sa future proie. Il allait la torturer et la dévorer, on retrouverai des morceaux de son corps un peu partout dans son lycée, et elle ne pourrait pas devenir humaine comme tout le monde. Elle eu un frisson, elle ne regardait pas les films d'horreur, mais bon dieu qu'elle en avait peur.

Tu dis que tu n'aimes pas les garçons, tu veux que je m'en aille ? J'aimerais faire ta connaissance, que tu me parles un peu de toi, comment tu es arrivée ici,... Mais si je t'effraie vraiment, dis-le, je n'insisterai pas.

Elle se demanda si son aura de peur ne l'avais pas atteint pour qu'il change d'avis. Elle serra son sac entre ces mains, de toute façon lui racontai sa vie n'allait pas l'empêcher de mourir de ses mains. Après tout quelqu'un le saura et peut-être que si il a pitié d'elle il la laissera sauve.

J'ai voyagé à partir de l'âge de 6 ans, j'ai appris les rites et les coutumes de plusieurs pays. Je sais parler plusieurs langues, et je n'ai jamais connu personne d'autre que mes deux parents. Je suis fille unique. J'aurai voulu suivre des cours par correspondance pour devenir vétérinaire, mais mes parents ont refusé et m'ont envoyé ici, pour commencer une vie normale...