je me tenais,assise sur ce banc,une petite écahrpe grise ,mon bonnet que s'étais ennuyé à tricoter ma grand-mère. Je prenais toutes ces précotions pour faire honneur à ma maman qui prédit toujours mes maladies à l'avance . je regardais attentivement la reception d'un message mais le temps passait et je sentais terriblement cette solitude et ce manque de câlins,à l'écran de mon téléphone il n'y avait rien à signaler. Je le fixais inccapable de d'étourner le regard,mon envie si importante de discuter me fit presque perdre la raison. En effet les minutes avaient tellement progressées sur la durée de la récrée. Cependant,même si j'étais dans mes esprits, la cloche,elle ne voulut me laisser plus de temps pour réagir . Je me leva avec ce sentiment agréable de me rendre en cours. Soudainement des lycéennes passèrent en masse et me bousculèrent rudement ce qui me fit tomber. Il me fallut un certain instant pour reconnaître ma chute. une douleur atroce prolongea celle-ci. Les mains serrées contre ma cheville qui me donner presque envie d'hurler.

Moi qui m'étais fait brutalement bousculé par un groupe de jeunes filles inconnu.Je me trouvais là au sol au loin une lycéenne s'approchait dans ma direction. Si reconnaissante et fidèle au poste d'aide en personne en danger vint à me relever. Puis à la fin de son aide si aimable me lança quelques phrases attendrissantes. Je sentais en elle un sentiment d’inquiétude à mon égard ce qui me touchais éperdument. Je lui rétorquais alors: Merci tout d'abord d'être venu me secourir si je puis dire. Et en effet je me suis sûrement fait une égratignure au genoux mais sinon tout va pour le mieux . J'ai seulement produit lors de ma rencontre avec le macadam lors de ma chute un trou. En la fixant du regard je lui demandais si elle serait d'accord pour que l'on se donne rendez-vous où elle le désire.