Célène Watson, ton pire cauchemar ~ [terminée]

Watson
Célène

Identité

Célène Watson, ton pire cauchemar ~ [terminée] 22.96

• Nom & Prénom : Célène Watson
• Âge : 21 ans
• Date de naissance : Vous n'avez pas à le savoir.
• Sexe : A votre avis ?
• Nationalité : Britannique
• Groupe : 3ème année de prépa
• Club : Aucun
• Résidence : Suki Gakuen

• Découverte du forum ? J'y étais déjà depuis un moment :3
• Ton avatar ? Jinx, League of Legend
• Le code ? Validé
• Autre chose ? Je vous aime ;)

Physique
Je suis splendide, et je ne chercherai pas à le nier. J'ai de grands yeux, de beaux cheveux longs, les traits fins, et surtout le corps d'une déesse. Je ne suis pas le genre de fille à fuir son image, à avoir des tas de complexes stupides, j'affronte mon miroir sans crainte le matin, je me sens belle et bien. Pourtant je n'en fais pas des caisses, mon maquillage est toujours très léger et mes tenues pas très élaborées. J'aime adopter tous les styles à la fois. Je porte toujours mes quatre piercings, bien en évidence, j'aime le sentiment de trouble qu'ils font naître chez certaines personnes. Parfois je mets des casquettes, parfois des bérets. Parfois je montre mon ventre et mes shorts sont trop courts, parfois on me prendrait presque pour une jeune femme studieuse. Je pioche dans mes armoires et j'assume le résultat. De toute manière, tout me va, et je ne laisserai pas des choix vestimentaires me définir. Je sais qui je suis. Vous, non.
Cependant il y a quelques petites choses qui ne changent pas, qui restent constantes et qui vous permettront de me reconnaître au premier coup d’œil. Déjà, j'ai les cheveux bleus. Je veille à refaire ma couleur souvent, histoire qu'on ne remarque jamais qu'ils furent châtains. Je les adore, je les laisse pousser depuis mes cinq ans, alors ils ont atteint une longueur plutôt impressionnante. Je les sépare souvent en deux tresses, qui virevoltent autour de moi, tels de longs serpents azurs à l'affût d'une proie. Ensuite, je porte des lentilles roses ou violettes. En vérité mes yeux sont bruns, laids et vraiment communs. Et pour finir, c'est fièrement que je veux vous parler des mes fidèles tatouages. Ils recouvrent mes bras et je ne me prive pas de les montrer. Il m'arrive de porter des débardeurs en hiver pour pouvoir les exposer à la vue de tous. Ils représentent des nuages et des tas de petits symboles colorés. Ils sont tendres et reflètent tout à la fois mon envie constante d'évasion. Si vous avez un tant soit peu d'ouverture d'esprit, c'est la seule chose délicate que vous pourrez me trouver.

Caractère
Oh, je suis insupportable. J'aime faire des caprices et rendre les gens dingues, notamment ceux qui composent ma famille. Je me plaît à avoir du pouvoir sur les autres, et je cherche toujours à les dominer. Je suis souvent froide, agressive et faire souffrir ne me dérange pas, je vous avouerais même que ça m'amuse. La violence ne m'effraie pas, je la pratique parfois et je suis me débrouille généralement pour ne pas avoir à la subir. Je n'ai pas peur de grand chose, en fait. Je parcours les chemins que je choisis moi-même avec soin, et j'en écarte tout ce qui me dérange. Beaucoup de choses, beaucoup de personnes, me dérangent. J'adore leur faire comprendre qu'elles me dérangent. Je ne connais pas l'amour. J'ai détesté mes parents dès que j'ai été en âge de savoir ce que cela signifie. Je ne me suis jamais fait d'amis, je me suis toujours servi des autres. Evidemment, parfois ça implique des les mettre de mon côté, de les amadouer et de leur faire croire que je les apprécie. Mais ils ne sont rien, juste mes jouets préférés. Je n'aime personne. C'est tragique, m'ont souvent dit les psys. Je ne trouve pas. Mon bonheur ne dépend que de moi-même. Je fais ce qui me plaît quand ça me plaît. Je n'ai pas pitié des pauvres ou des laissés de côté. Je me suis souvent haï lorsque je me suis parfois montré faible. Alors depuis que je suis une adulte, je ne suis puissance et dédain. Je ne connais les larmes et la douleur qu'au travers de ces abrutis que je malmène.

Histoire

Au début, un petit bout de chair tout poisseux...

Je suis née à Londres, échappée toute sanglante de l'utérus de ma chère mère, Elizabeth Watson. On l'appelait Lizzie à l'époque, et elle avait épousé mon riche de père, William, par intérêt. Je naissais de cette union sans amour par le fruit de la plus grande malchance. Oh, ciel, une fille, petit être qui ne prendrait jamais la tête de la fructueuse entreprise familiale, car celle-ci avait évidemment besoin d'un homme viril et fort pour la gouverner. Tant pis, ils furent obligés de m'aimer quand même. Il faut dire que j'étais très mignonne, dans mes grenouillères roses, et que n'importe quel humain normalement constitué était fou de moi. Ça ne changea pas quand je grandis et je devins une belle enfant aux grandes boucles blondes et aux yeux de biche.
J'ai commencé à faire la loi dès que je suis rentrée à l'école, et que j'ai compris que l'argent que possédait ma famille m'octroyait une certaine domination sur les enfants que je côtoyais. J'ai continué, et je me suis constitué un empire. A la maison il n'y avait que moi pour donner les ordres. Tout le monde s'écrasait devant ma bouille d'ange, et mes parents souvent absents finirent eux aussi par me craindre. Je comprenais peu à peu que rien ne comptait plus pour moi que de prendre le pouvoir, que de l'acquérir dans la peur et la souffrance de ceux qui se soumettaient à mon autorité. J'avais sept ans quand mon cœur se glaça définitivement.

Mutée

J'avais donc sept ans. Je dînais avec mes parents, dans une des grandes salles à manger de notre propriété. Mon père avait invité un couple d'amis, avec lequel il désirait ardemment faire affaire. Ma mère, sous antidépresseurs, me lançait des regards apitoyés, dans l'espoir que je me tienne tranquille, que je ne dise rien qui fâcherait qui que ce soit. Elle arborait un sourire faux qui me faisait la détester. Mon père, quant à lui, était sur son trente-et-un et se pavanait dans les richesses qu'il avait gagné sur le dos de braves anglais lambda. Des tas de bonniches s'affairaient tout autour de nous, dans un cliquetis constant d'assiettes qu'on dresse et qu'on ramasse. A ce genre de repas, on ne m'invitait pas souvent, mais les invités avaient insisté pour rencontrer la famille au grand complet, et je n'avais aucun frère ou aucune sœur susceptible de montrer une image meilleure de l'empire Watson en devenir. William, que je n'appelais jamais papa, m'avait donc sermonné pendant des heures en prévision de l’événement, me menaçant d'user de ses poings sur mon petit visage de garce si je faisais quoi que ce soit qu'une petite fille normale ne ferait pas. Je hochai la tête, un peu effrayée. Mais la peur qui l'avait fait naître quelques instants en moi me fit avoir envie de tout gâcher, et je ne m'en suis pas privée.
J'ai été durant ce dîner l'enfant la plus abjecte de l'Angleterre, et ce ne sont pas les Johns qui me contrediront. Les pauvres ont vécu un enfer, bombardés un moment de nourriture, menacés plus tard d'être déshonorés s'ils ne prenaient pas le couteau que je leur tendais pour se couper le petit doigt, et blessés par mes mots, froids et tranchants. Ils partirent aussi vite qu'ils étaient venus, et je me fis meurtrir par poings et ceinture.
Ce soir-là, ma mère pleurait plus que d'habitude, consciente d'avoir enfanté un monstre.
Je n'étais qu'une petite joueuse à l'époque, mais la démente méchanceté qui animait mon regard et que je sentais consumer mon âme n'était pas une chose commune à laquelle mon entourage proche ou lointain s'habituait facilement. Puis, quand mon père passa sur mon petit corps néanmoins fragile sa colère, la mienne atteignit un niveau décisif. Mon petit cœur en chantier se recouvrit d'une couche imperméable de pierre gelée, et je compris qu'il ne me fallait pas seulement être un démon.

Monstre au sourire d'ange

Alors j'appris à devenir mielleuse, à devenir séduisante. Plus je vieillissais, plus je devenais dangereuse. On se jetait dans mes filets sans imaginer ma cruauté, on m'aimait sans jamais rien recevoir en retour, on devenait mes jouets et le plaisir qu'on en tirait finissait pas devenir plus intense que la douleur infinie que j'infligeais. Je découvris le sexe, m'en servis comme d'une arme, même s'il s'avéra que j'aimais beaucoup ça, et je compris que l'argent n'était pas le seul rouage qui menait au pouvoir. J'activai tout en moi pour devenir la veuve noire que j'avais envie d'être. J'étais redoutable, et je le suis toujours.

Quand j'eus dix-huit ans, on me chassa du domaine familiale, parce que je rongeais mes parents de l'intérieur, que j'avais planté dans leurs épaules des crochets qui les faisaient chaque jour un peu plus se précipiter sous terre. Ils me laissèrent partir avec une grosse d'argent, puisque ce n'était pas ce qui nous manquait, et je parcourus le monde à la recherche d'un endroit qui me servirait de havre. Je ne trouvai jamais, et mes ressources commencèrent à se raréfier plus rapidement que prévu. Quand j'atteignis l'âge de 21 ans, je partis de Tokyo pour retourner en France. Je maîtrisait plutôt bien la langue, et le pays ne me déplaisait pas. Je trouvai à Versailles un refuge miteux du nom de Suki Gakuen et m'y installai le temps de me retourner.

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Fiche fait pour Suki Gakuen
(c) Brunerose

Jinx

je l'adore tellement T_T

Trop génial ce choix d'ava T_T

Elle est trop génial Jinx T_T

Re-bienvenue et amuse toi bien.

Et jinx *__*

Jinx

P'tain, elle est trop géniale T_T

Merci Jack !

Je suis contente que Jinx te plaise, je l'adore aussi, elle est tellement... Dingue ! *__*

Yoooooh, welcomen. T'es qui babe ? °^°
Jinx est classe, bonne et folle. <3

Putain mais t'as looké Pirate des Caraïbes ou quoi ? ( pour les prénoms ).

Codeur

Re bienvenue
J'adore ta fiche de présentation, mais j'ai la flemme de m'attarder sur les détails donc bon, tu es validé et tu es dans la chambre B24 avec Jun Rosenthal.
Bon rp à toi :)