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Hey, qu'est-ce que tu ve-....Bonjour, ra-... Quel est ton nom~

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Hey, qu'est-ce que tu ve-....Bonjour, ra-... Quel est ton nom~ Vide
MessageSujet: Hey, qu'est-ce que tu ve-....Bonjour, ra-... Quel est ton nom~ Hey, qu'est-ce que tu ve-....Bonjour, ra-... Quel est ton nom~ Icon_minitimeMer 13 Aoû - 8:48

Hawkins Ashley



Âge : 22 ans
Date de naissance :  25 août
Sexe : Heum.... J'suis pas sûr.
Nationalité : Américain

Groupe : Extérieur
Métier: Écrivain
Résidence : Petite maison tout près de l'école.


Il pense que je suis


Visage fin avec une peau ni très blanche, ni très bronzé. Tu as des origine amérindienne et cela se reflète dans la couleur de ta jolie peau peu poilu. Celle-ci est lisse, elle n'a que quelque boutons de chaleur en été, qui disparaît en hiver. Yeux vert, ou rouge? Tu as des yeux verts, mais puisque tu n'aime pas mettre des lunettes, tu as décidé de mettre des lentilles et puisque que c'est toi, tu les as choisis de cette couleur, ne les voulant pas transparent. Tu pourrais devenir mannequin, enfin, tu a un corps mince et certains pourrait dire maigre. Pourtant, l'on voit bien tes muscles bien développé au niveau des bras et du ventre. On aime bien voir ton corps sans vêtement pour y découvrir ton joli tatouage en forme de serpents qui commence dans ton cou, descendant un peu dans le haut de ton dos, entourant ton bras et se terminant à ton majeur.  Tu as cinq piercing à l'oreille, dont quatre dans le haut de celle-ci, un au sourcil, un de chaque côté de ton nez et un sur ta lèvres inférieur. Tes cheveux, noirs, comme les ailes d'un corbeau, rasé sur un côté et avec une longue frange de l'autre côté. Le derrière t'arrive en bas du cou.

Tu portes des chandail blanc, ou de groupe que tu aimes, et tu as toujours ta veste en cuir sur toi. Tu aimes porter des soulier avec des piques, des jeans troués avec des chaînes il t'arrive même de porter une bague sur ton majeur, comme tu aimes celui-ci.

Il y a aussi dans ta garde robe, qui ne sont pas tes vêtements, des chandail uni, blanc, noir, brun, même un saumon, avec des pantalons propre ou des jeans sans trous. Des pantalons mauves s'y trouves aussi.

Tout comme il y a des robes, des soutiens-gorges et des bijoux pour femmes en plus de bottes à talons et du maquillage. C'est horrible.


Je suis

Je suis une personne plutôt timide. Rares sont les fois où je parlais à des inconnus pour aucune raison. Ce sont souvent eux qui commencent la conversation sauf s'il s'agit d'un de mes bouquins, alors discrètement, je vais les accoster et leur demander leur avis. La plupart du temps je me fais passé pour un éditeur et je demande s'ils voudrais une suite et... Enfin, je n'espionne pas les gens, je suis juste curieux de savoir les avis des autres au sujet de ce que j'écris, ce qui es plutôt ma vie. Ne croyez pas que je suis quelqu'un de très passionnant et qui a un égaux surdimensionné parce que j'ai un roman à succès, non, c'est tout le contraire. Je suis une personne très craintive, c'est à peine si je sors le soir maintenant à cause de ce qui m'est arrivé la dernière fois, enfin, il y a peut-être longtemps, mais... C'était comme si ça c'était produit hier. Je n'ai pas envie que ça recommence et je sais qu'avec un couteau, contre trois personne armées, je ne fais pas du tout le poids. Je hais me retrouvé seul la nuit et n'apporte qu'une faible quantité d'argent et une carte de crédit en cas de besoin.

Je ne suis pas une personne qui aime faire la fête, mais une fois de temps en temps, je peux bien aller dans un club pour danser et même sympathiser avec certains, mais je n'y vais pas pour baiser comme plusieurs. J'ai pas vraiment envie de ce genre de relation et je sais même pas avec quel sexe j'aimerais le faire. Oui, j'ai l'air d'un adolescent qui ne s'est pas encore trouvé, mais comprenez qu'avoir plusieurs personnalité, c'est pas marrant et que j'ai manqué trois ans cruciale de ma vie dans le songe alors que mon cerveau déléguait quelqu'un d'autre pour bouge et même penser. C'est comme une sorte de lendemain de veille, mais sans maux de tête et que tu redeviens toi-même après trois ans. Je me souviens de rien, pourtant, tout le monde me raconte ce que j'ai fait, mais moi....Rien, rien ne me reviens en tête.

J'ai la dent sucrée. J'aime les pâtisseries, les bonbons, tous. J'ajoute du sucre dans mon café le matin – ou le soir quand mon cerveau a de l'imagination- et dans mon thé aussi. J'aime cuisiner, et il le faut bien quand on vit tout seul, pour ne pas se ramasser avec des dizaines de plats commandés, surtout lorsque mon travail consiste à être assis ou même coucher et taper avec les doigts sur des touches. Je dois quand même faire attention à ma santé et je sors quand même souvent pour ne pas être privé de toute vie sociale et pour ne pas finir dans les records du monde en étant l'homme le plus gros. Enfin, je prends soin de mon corps, j'ai un tapis roulant qui est souvent utilisé et je fais aussi des redressements assis tous les jours. Je ne prends pas simplement soin de moi, je nettoie aussi ma maison. Je déteste partir alors qu'elle n'est pas comme est devrais être. Mes parents adoraient mon caractère ordonné et un peu perfectionniste.
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Tu es en train de lire les chapitres de ton propre roman et corrige les fautes qui persistent et que tu n'avais pas vu, enfin, pas toi Toi, mais ton toi écrivain. Si on avait un boulot en tête pour toi ce serait correcteur, mais tu ne travailles que pour une seule et unique personne, toi-même, et tu n'es même pas payé pour ça... Enfin, si. Tu fermes le portable et regardes l'heure ''22h00'', la soirée venait de commencer. Tu mis ton manteau en cuir et te dirigeas vers ton endroit favoris '' le bar''. Qu'aimais-tu de cet endroit? Tout simplement le fait que tu puisses te saouler la gueule et buter des gens et repartir chez toi amoché. On peut aussi dire que tu es un peu masochiste dans l'ensemble, mais si quelqu'un te fais réellement mal, là, tu n'existes plus, mais c'est le démon en toi qui surgit et s'en prendre à cette personne.

Tu te fiches pas mal de tout, les seules personnes dont tu t'es attaché sont tes parents et maintenant tu vis loin d'eux, quelle ironie. Tu n'es pas social, tu es provocateur et tu le dis clairement, ou presque, quand tu veux te battre. Tu apportes toujours un jolie couteau suisse dans ta veste, mais tu ne l'utiliserais pas contre quelqu'un qui n'a pas d'arme, sauf en cas d'extrême nécessité et tu ne le blessais probablement que légèrement avant de partir rapidement. Tu te sentirais aussi mal de ne pas avoir réussi à te sortir du pétrin alors que l'autre était en situation de faiblesse. Tu ne chercherais pas cette fois-ci à être supérieur, car utilisé une arme alors que l'autre n'en n'avais pas était bien prouvé que tu étais inférieur à la personne selon ton raisonnement.

Tu es une personne qui es intelligente et calculatrice, c'est bien pour ça que tu aimes te battre, car tu peux évaluer la faiblesse et la force de ton adversaire. Ton français et ton anglais sont développé bien que tu as déménagé il y a peu de temps.

Tu n'as aucune idée de comment cuisiner et étrangement, tu trouves très souvent des restants, comme si ton autre toi prendrais soins de toi, c'est vraiment compliqué d'avoir plusieurs personnes dans son corps. T'aime le rock et tu ne te prives pas d'aller dans des concerts jusqu'à t'en briser les tympans.Tu aimes le goût du café noir, tu détestes rajouter du sucre dedans, disant que ça perds le goût. De plus, tu es fixé qu'à une marque de café, trouvant les autre répugnant. Tu ne te prives tout de même pas de manger une part de gâteau et invité des potes à fumer un joint de temps à autres, bien que tu n'en vends pas,  tu en achètes parfois et c'est toujours aussi facile à s'en procurer.

 
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Elle est une personne douce et fragile. Elle déteste la violence et préfère faire l'amour que la guerre. Elle n'aime pas la violence et semble aussi fragile qu'une feuille de cerisier. Elle n'aime pas le fait d'être un homme, elle trouve qu'il sont des brutes, mais elle aime bien être dans les bras de ceux-ci. Elle est une personne social, bien que la majorité l'évite. Elle est une très bonne amie, toujours là pour cette personne qui compte pour elle et est prêt à tout pour que cette personne, quand elle se sent mal, sourisse à nouveau. Elle n'aime pas dire ses émotions, elle n'aima pas voir les autres tristes par sa faute.

Elle ne mange pas de viande, pour plusieurs raisons comme le fait qu'elle trouve que l'on détruit assez la planète comme ça et qu'on n'est pas obligé de faire payer les pauvres animaux pour une chose aussi stupide qu'un plaisir gustatif. Elle n'hésite pas à organisé des manifestation contre plusieurs sujets, mais elle n'es pas une personne qui sera complètement choqué que son ami mange du bœuf devant elle, non, elle respecte parfaitement ça, elle mange tout de même des oeufs et du fromage et boit du lait. Par contre, elle déteste voir dans son frigo de la viande, bien que ce soit plutôt rare, outre le poisson et le poulet, ça la bouleverse et elle s'en veut de ne pas avoir plein contrôle d'elle.

Elle rêve d'une histoire d'amour, elle rêve d'une personne qui serait capable d'accepter tout d'elle et même ses autres elles. Elle aimerait simplement une personne qui la comprend et ça la rend triste de réalisé que cette personne n'existe probablement pas.  




J'étais

Je suis né dans une petite ville de Floride aux États-unis. Déjà, j'avais des cheveux sur la tête. Enfin, par ma faute, ma mère a perdu beaucoup trop de sang et elle a dû resté des semaines à l'hôpital pour que son sang se régule et qu'elle soit moins blanche, comme disait mon père, et me le répétait souvent. Ne vous en faites pas, je vais bien et ma mère, Kate pour vous informez de son nom, se porte à merveille. Tout ça pour dire que je suis né dans un hôpital et que mes parents sont très contents de m'avoir, enfin, étaient très contents.

J'ai toujours été une personne réservé, calme, mais tout de même intelligent. Je n'ai jamais eu beaucoup d'amis, un seul m'a suffit tout le long de ma vie, Joffrey, voilà comment il s'appelait. Il m'a suivi jusqu'au lycée, là où tout a commencé à être flou dans ma tête. Oui, à l'élémentaire on se moquait de mon nom, Ashley, pour un mec, tout le monde trouvait ça gay, mais même si je m'appellerais Bob, les autres auraient toujours eu à me juger sur mon comportement, car j'étais petit, mince, peu sportif et que je me laissais pas mal faire en terme d'intimidation. On me poussait, m'insultait, mettait tout le monde dos contre moi, sauf mon seul ami, et moi je ne disais rien à personne, car qui, de toute façon, aimerais entendre un petit garçon chialer sur ses problèmes alors qu'il n'a qu'à peine une vie, selon les dires de mon père qui me disait à quel point j'étais chanceux d'avoir une famille qui m'aimait. J'ai supporté cela sans problème, dessinant et écrivant des petites histoires. Moi et Joffrey on aimait bien s'inventer des personnages et jouer dans un contexte, comme la guerre, il était un commandant et moi un simple soldat, on éliminait des ennemis imaginaires, on reprenait des batailles qui avait déjà existé, comme la deuxième guerre mondiale, ou bien l'indépendance des États-unis. On avait des soldats en figurine et enfin, nous étions à fond dans les guerres de l'histoire. Ça me faisait oublié ce que les autres pensaient de moi et peu à peu, je leur disais des stupidités, pour les provoquer et il avait peu à peu arrêter.

Puis, les jeux sont arrivés, et nous passions notre temps à jouer à tout ce qui nous tombait sous la main. Puis, nous nous sommes intéressés au pays qui faisait la majorité des jeux que nous aimions, le Japon. Les mangas, les animes, tout, on adorait. J'ai même convaincu mes parents pour avoir des cours de Japonais, c'était difficile, mais j'ai appris les bases. Il avait fait de même et je l'aidais puisque j'avais déjà eu le cours. Nous avions un seul rêve : Aller au Japon au moins une fois dans notre vie, prendre une photo sous les cerisiers en fleur et aller dans un maid café pour se marrer. On ne parlait que de ça, que de la culture japonaise, des chansons japonaises, etc. Nous vivions bien dans notre monde et même d'autres nous ont joints et nous avons créé un club sur le Japon en dernière année de collège. Nous dessinions des petits manga, Joffrey était si bon en dessin, surtout le style nippon. Puis, à la fin de l'année, Joffrey dû partir pour l'Angleterre et on ne se contactait plus. Mon été était de trouver un moyen pour que l'on se voit de nouveau, car je ne voulais pas perdre contact, pourtant, toutes mes tentatives n'ont servi à rien. J'ai pleuré, oui, j'ai pleuré, car c'était mon meilleur ami et il partait.

Le reste est plutôt flou dans ma tête, je sais que... Non... Je me rappelle.... La première année du lycée, j'avais un rendez-vous chez le dentiste, seul, évidemment et il faisait sombre puisque mon dentiste n'était pas à la porte. Je marchais dans une rue complètement déserte en écoutant ma musique. Je me disais, mais qu'est-ce qui pouvait bien m'arriver, je suis un mec, je ne peux pas me faire agressé et sinon, je suis apte à me défendre. C'est ce que je pensais jusqu'à ce moment lorsque trois hommes armés, deux de couteaux et un d'une arme à feu. Je croyais qu'ils voulaient seulement mon argent et je leur donnèrent mon porte-feuille pour ne pas mourir sur place, mais il voulait plus que ça... Je tremble.... En y repensant. Ils.... m'ont amené dans une ruelle.... m'ont insulté et ont commencé à me battre alors que j'étais au sol et que je tenais mon ventre d'un bras et mes côtes de l'autre, pensant encore là que ça ne pouvait pas être pire. Ils m'ont mis je ne sais quoi dans la bouche et..... Ils m'ont violés, tous les trois. Je crois que je suis tombé dans les pommes par la suite, je ne sais vraiment pa-...

Tu t'es réveillé dans une ruelle, seul. Tu ne savais pas tu étais qui, seulement ton nom et... où tu habitais. Tu avais un mal atroce partout sur ton corps et tu saignais du derrière. Tu te dépêchas de rejoindre le chemin que tu n'avais jamais emprunté et tu rejoignis ta famille qui t'amena à l'hôpital lorsque tu t'effondras de nouveau. Tu te réveillas dans cette pièce blanche avec deux idiots qui te regardaient terriblement inquiet. Toi, tu ne te contentas seulement d'avoir un visage impassible et poser sèchement des questions. Tu ne savais même pas le nom de tes parents et le médecin te fit une analyse complète en disant que tu aurais besoin de voir un psychologue, mais tu refusas catégoriquement. Les psy, c'était que pour les faibles et tu étais tout sauf une personne comme ça. Le médecin tentait de te convaincre, mais rien ne te fit changer d'avis. Tu te fichais bien de ce ''trouble de personnalité'' ou quelque chose du genre. En fait, tu ne pourrais même pas dire quelque chose à la personne qui t'aiderait supposément puisque tu ne te rappelais de rien. Enfin, tu appris que tu avais deux côtes cassé, que tu t'étais fait violé et qu'on t'avait déchiré. C'était chouette. Tu sortis peu de temps après et retournas à l'école avec un tout nouveau look, autant que ton aura était effrayante. Certaines personnes tentèrent de te provoquer et tu leur fis ravaler rapidement leur parole. Oui, tu étais sportif, tu faisais de la musculation et tu attirais certaines idiotes avec ton air de mauvais garçon, ce que tu étais réellement, même les professeurs disaient qu'ils ne te reconnaissaient plus. Ils précisaient qu'avant tu étais quelqu'un de timide et maintenant, tu étais un paresseux qui se préoccupait plus de son attitude que de son avenir. Tu les envoyas promener et tu te fis suspendre plusieurs fois dû à ton comportement merdique envers tout le monde, même tes parents que tu aimais tout de même. Ils t'engueulaient, s'engueulaient eux-même par ta faute.

Un jour où tu flânais le soir, un couteau dans tes poches, on t'accosta, deux hommes louches, évidemment, et ils te demandèrent si tu étais le client. Tu voulus jouer au plus fin et hocha la tête. Ils te refilèrent un sac d'herbe contre une somme que tu avais dans tes poches. Tu n'en n'avais jamais pris, mais tu voulais bien essayer. Tu la fumas, n'étant tout de même pas inculte sur la façon de la consommé. C'était pas mal cette merde et ça te faisait te sentir calme et ne pas avoir ces envies de meurtre constante. Après t'être lié avec ces gens, qui t'engueulèrent, mais comprirent et tu finis comme eux, à vendre de la dope pour de l'argent. Tu avais quoi, 16 ans quand tu as commencé et tu avais pu te ramasser une belle somme d'argent. À ton anniversaire, tes parents t'offrir de te faire des piercings et tu les remercièrent pour la première fois depuis.

Elle était apparue en se rappelant de quelque détails de sa vie et embrassait sa mère et son père à tous les jours, leur disant qu'elle les aimait et qu'elle était contente d'avoir des parents aussi géniaux. Elle s'acheta des bottes à talon et des vêtements beaucoup plus féminins. Elle mettait du rouge à lèvre et du mascara en chantonnant le matin et continuait les activités qu'elle ne savait pas comment elle les avait commencé. Pourtant, elle le faisait avec amour et même si elle se faisait frappé parfois, elle ne ronchonnait presque pas. Elle étudiait, se rembourrait les seins qu'elle n'avait pas, s'achetait une perruque, et vendait de la drogue aux inconnus qui pensaient de plus en plus que c'était une femme.

Elle avait tout de même d'excellentes notes sauf en sport, qu'elle coulait avait élégance. Elle portait des faux ongles et elle parlait avait sa mère d'un changement de sexe. Elle se fit convaincre par celle-ci que ce n'était pas un choix à faire à son âge et elle continuait tout de même de se travestir. Elle séduisait les autres, et même un professeur avait tombé sous son charme. Elle avait dit à sa mère qu'elle dormait chez un ami et coucha avec cet homme plus qu'heureux de faire quelque chose dans le dos de sa femme, tout en étant stressé pour son travail. Elle s'endormit dans ses bras lui ayant promis de ne rien dire.

Tu te réveillas dans les bras d'un homme que tu reconnaissais très bien.... C'était ton putain de prof de science. Tu eus le haut-le-cœur en devinant ce qui s'était produit et partit à toute vitesse, fumant un joint au passage. Tu rentras chez toi et t'enfermas pour te regarder dans le miroir. Tu crias, oui, tu étais horrifié de ce que tu voyais. Tu ressemblais à une meuf! Tu cassas ton miroir avec ton poing avant de t'habiller plus convenablement et regarder les dégâts. Rien d'autres que du maquillage et des vêtements. Tu te demandas ce qu'il t'avait pris et soupira. Tu repartis vers ta vente illégale dans ton costume punk. Tu demandas à tes parents des explications sur ton comportement que tu ne savais pas ce qui en était et lorsque les morceaux fit un joli casse-tête dans ta tête. Tu n'étais pas seul dans ton corps. Cela t'effraya et tu t'enfermas dans ta chambre de nouveau pour écrire cela à tes personnalités différentes disant ce que tu faisais, avec qui tu te tenais et à quelle heure quelle date.

Je me réveillais dans mon lit comme à mon habitude, mais je fus parcouru d'une peur insaisissable. Les personnes, ils.... Ils n'étaient pas là pas vrai? Mais, je ne me rappelais pas comment j'étais arrivé dans ma chambre. Je me levais comme une journée bien normale et salua mes parents. Ils semblèrent avoir pris un coup de vieux. Je regardais la date sur le lait et sursauta. Le lait était bon jusque dans deux ans? Je demandais à ma mère pourquoi, que c'était étrange, que le lait ne dure jamais aussi longtemps et elle me regarda d'un air étrange avant de me dire que ce lait était périmé. Je lui fis lire l'année et... Quoi. Elle commença à s'inquiéter et me dit qu'on irait voir un médecin qui me spécifia que j'avais un trouble de personnalité et que ça se soignait par la thérapie. J'assistais à la première séance qui me dit que j'avais vécu un traumatisme qui avait créé une sorte de dysfonctionnement de mon cerveau et tout un charabia que je ne comprenais pas. Elle me dit qu'elle allait avoir une thérapie au deux jours avec moi.

Elle se leva de son lit et regarda le calendrier qui était marqué thérapie. Elle se prépara et demanda à sa mère le chemin. Elle y alla et entra dans le bureau de la dame qui la regardait d'un air perplexe. Cette dame lui demanda son souvenir le plus lointain et elle le lui raconta. Elle voulait bien avoir une vie normale aussi et ne pas se réveiller après trois ans en ne sachant plus comment vivre avec ces trous de mémoire. Elle n'aimait pas la situation et ça la faisait trembler en pensant qu'un jour, elle ne se réveillerait jamais. Le médecin lui répétait qu'elle avait subit un traumatisme et que c'était une sorte de blocage du cerveau qui avait créé d'autres personnalité et qu'il fallait surmonter cette chose.

Ça n'a jamais marché, j'ai passé deux ans de ma vie à me faire dire la même chose, que c'était moi qui devait régler mon problème avec moi-même tout seul, mais ça ne marche pas. J'ai tout essayé, mais rien n'a changé sauf le fait que j'avais un peu moins de perte de conscience à long terme. Une fois, je me suis ''réveillé'' en pleines séance alors que cette femme qui me suivait dans mon déroulement psychologique et cette personne fut autant surprise que moi, je le voyais dans ses yeux. J'étais en robe et j'ai crié, choqué d'être dans des habits féminins. Celle-ci faisait des hypothèses comme quoi c'était mon désire caché ou bien mon manque cruelle d'attachement qui se reflétait par un désire d'être un femme. Elle m'expliqua tout ce qu'elle savait sur mon autre moi et c'en était troublant. Je tremblais, j'avais vraiment peur. Qu'est-ce qui m'arrivait? Je ne savais même pas comment j'avais eu ces piercings, comme si personne ne me disait rien alors que c'était de moi qu'il s'agissait. Est-ce que j'avais blessé des gens? Elle m'a raconté que j'avais eu une relations avec un prof que je ne connaissais même pas. Ça m'emmerdait tellement, mais je ne pouvais rien faire sauf tenter de me rappeler en vain.

Tu avais ta majorité maintenant et tu en étais heureux. La première chose que tu fis en te réveillant étais d'aller te faire tatouer ton animal préféré : un serpent. Tu adorais ce tatouage qui passait de ton cou à ton bras passant pas ton épaule. La douleur avait été endurable et maintenant ton look était bien complet. Comme ça te démangeait après une journée, tu n'avais envie que de te gratter, mais tu te retins pour ne pas tout bousiller. Tu savais très bien que tu devais prendre soin de quelque chose pour une fois dans ta pauvre existence. Tu faisais toujours ta routine de dealer et finalement, tu lâchas lorsque tes parents que tu aimais et qui comptaient pour toi malgré tout puisqu'ils te donnaient un toit et de la nourriture te surprirent à faire ce genre d'activité dangereuse. Au début, tu cherchais des excuses bidons pour expliquer ton comportement, mais tu te fis convaincre quand ta mère a fondu en larmes, ne voulant pas que son fils qui avait déjà des problèmes avec lui-même en aille encore plus. Tu n'avais donc plus de revenus et devais faire quelque choses de ta vie pour pouvoir encore profiter de la vie et déménagé le plus tôt possible. Puis, tu découvris dans ta chambre un cahier d'environ deux cent pages, un livres? Tu reconnaissais ton écriture et décidais de lire ce que tu avais écrit bien que tu ne t'en rappelais pas. Tu pris un surligneur et fit une sorte de boulot d'éditeur, car tu étais bon en Anglais malgré tout. Après avoir trouvé le dossier et corrigé tout ce que tu avais surligné dans la version papier, tu envoyas le roman à plusieurs maisons d'édition, trouvant que c'était un bon emploi pour toi. Tu marquas sur un papier '' Je dois regarder mes messages car j'ai envoyé mon roman magnifique à des éditeurs après l'avoir corrigé le mieux possible. '' avant de te coucher et te dire que pour une fois dans ta vie, tu avais fais une bonne action, enfin, même si c'était pour toi que tu le faisais.

Je me réveille et remarques que ça fais une semaine que je suis ''parti''. Je regarde une feuille et je suis interpellé : '' Non.... Je n'ai pas fais ça quand même!'' alors que je regarde mes courriels, le cœur battant à la chamade, que j'entends jusque dans ma tête, le téléphone sonne et me fais sursauter :

- Monsieur Hawkin? Nous avons lu votre bouquin et nous aimerions bien nous entretenir avec vous pour en parler.

- H-hein? Vous êtes sérieux?

Je suis con de dire une chose aussi évidente comme s'il allait dire '' Non! Votre livre est nul! On voulait juste vous emmerder!'', ce qui serait, certes, cocasse, mais atrocement blessant. Enfin, j'avais un rendez-vous dans deux jours! J'étais tellement heureux. Je l'écris tout de suite, partout sur mes murs et espérait vraiment être moi-même pour ce bouquin. Je m’empressais de l'annoncer à mes parents, le criant presque et mon père me demandait quel était ce livre. Je n'en avais jamais parlé et je tentais de lui expliquer l'histoire sans trop tomber dans les détails.

Les deux jours se terminèrent et je mis les plus beaux habits que j'avais, empruntant une cravate à mon paternel. Je voulais avoir l'air propre, avoir une allure sûr de moi alors que c'était tout le contraire. Enfin. J'arrivais dans la maison d'édition et on m'expliquait le déroulement, et me dit que j'allais recevoir un corrigé en rouge par courrier pour mes erreurs. Enfin, je me sentais un peu idiot à être comme ça.

Après un long mois à corrigé et débattre sur quelques points entre autre mon style d'écriture, nous avons réussis à s'entendre et le publier dans quelques temps. Ils devaient s'entendre avec l'imprimeur pour le nombre de copies qui étaient quelque chose de très difficile à calculer car s'il n'en faisait pas assez, il allait perdre des clients et s'ils en faisaient trop, ils allaient perdre de l'argent. Enfin, mon travail était terminé alors que j'écrivais une suite sans en parler vraiment à ma maison, ne voulant pas être harcelé, surtout si ça ne marchait pas, ou bien ça allait bien. J'avais écrit sous un nom de plume,car avec ma situation actuelle et ma timidité, je ne voulais pas vraiment me faire détester ou admirer et encore moins faire des interviews, car oui, tout le monde avait un bon sentiment sur mon roman.

Elle regardait dans le journal, voyant une page complètement sur son roman. Elle était heureuse d'avoir réussi à faire un best seller et voyait son compte bancaire augmenter. On voulait savoir qui se cachait derrière cette histoire d'amour merveilleuse, mais elle ne pouvait rien faire. Elle décida de raconter comment elle avait eu l'idée, bien qu'elle n'en avait aucune souvenir.

Je regardais mon ordinateur en lisant ce que je venais d'écrire. C'était tout faux! Je commençais réellement à écrire quel était mon inspiration et comment ma vie avait eu une nouvelle poussée grâce à ça. J'ai parlé avec la maison d'édition avant d'envoyer au journal. Après une suite et une correction qui a duré une année entre mes troubles de personnalités, le fait que j'avais arrêter de voir ma psychothérapeute, trouvant ça absurde de payer aussi cher pour n'avoir aucun résultat. J'ai décidé d'aller voyager dans mon pays de rêve, le Japon à mes 21 ans.

Tu étais dans l'avion et tu ressentais des coups derrière toi. Tu décidas d'ignorer ceux-ci, mais c'était énervant. Tu te retournas pour voir un enfant d'à peine 8 ans. Tu le regardais avec froideur et tu finis par lui sourire, un sourire qui donnait froid dans le dos. Son regard apeuré te faisait rire alors que tu n'avais toujours pas prononcé un mot.

- Tu sais, mon petit, c'est pas en tapant dans les bancs des autres que l'avion avancera plus vite et si tu continues de frapper dans les bancs quand tu seras plus vieux, tu risques que ton corps se fasse frapper, si tu déranges la mauvaise personne, tu comprends, gamin?

Il avait les larmes aux yeux alors que sa mère le regardait d'un air mi-compréhensif, mi-'' touche pas à mon enfant ou je te tranche la tête'', c'était drôle à voir. C'est avec ta musique rock dans tes oreilles que tu passas ton vol jusqu'à une destination inconnu, enfin, si tu n'avais pas regarder ta main avant qui était écrit ''japon'', ce que tu n'as fait qu'après trois heures à t'emmerder et vouloir poser des questions aux autres.

Elle posa le pieds au sol nippon avec un sourire aux lèvre et fouilla dans ses bagages pour y découvrir un liste de questions utiles à posé aux japonais et les réponses que les autres donneraient. Elle vu aussi l'adresse de son hôtel sur le même papier et appela un taxi dont le chauffeur parlait anglais, heureusement. Elle déposa ses valises ne voyant aucun de ses vêtements. Mais seulement des vêtements d'hommes. Elle grognait en se disant que c'était injuste puisqu'il y avait même la veste en cuire et les chaînes avec un autre styles complètement différent, mais pas le sien. Elle alla donc acheter des vêtements dans ce magnifique pays bondé de monde.

Jeux, des jeux partout. Des.... Maid Café..... Akihabara était vraiment un des meilleurs endroit que j'avais visité jusqu'à maintenant. J'avais tellement acheté des mangas, des Cd, tous ce que je pouvais et tout ce qui attirait mon œil! J'ai même acheté des Yaoi (des mangas à caractère sexuels entre deux hommes).... Qui semblait être bien tout comme un ou deux Hentai ( la même chose, mais avec un homme et une femme), mais pleins d'autres genres aussi. J'étais simplement curieux qu'est-ce que c'était et arrivé chez moi je découvris ce que j'avais acheté et j'avais rougi, oui, tout seul dans ma chambre... Je trouvais ça à la fois répugnant que …. Attirant. Ouais, je suis étrange. J'en avais déjà entendu parlé, évidemment, mais j'avais jamais essayé d'en lire et je suis encore perplexe sur ça.

Je mangeais toujours dans différents endroit et alors que j'étais en train de prendre un bon déjeuné, je vois cette silhouette que je connaissais si bien.

- Joffrey!

- Ash-ley..?

Nous nous sommes serrés dans nos bras et avions commencé à discuter de ce qui c'était produit durant toutes ces années. Il était, tout comme moi, en voyage, mais avec sa copine qu'il me présenta. Elle était vraiment jolie, on aurait dit une top modèle, mais il m'informa qu'elle travaillait en enseignement, enfin, elle étudiait pour en devenir un alors que lui voulait être médecin. Je leur dis donc la vérité, que j'étais écrivain, mais je ne dis pas qui j'étais vraiment alors que leur premier roman qu'ils ont dits en entendant mon métier était le mien. J'inventais un nom étrange et leur dit qu'il n'était pas vraiment populaire. Enfin, nous allions visité tous les trois un temple sacré et j'étais étonné de voir la beauté du paysage. C'était magnifique, comme je l'avais pensé. Nous nous sommes séparés et après plusieurs jours d'extases, je dus retourné dans mon pays. C'était une expérience que je n'oublierai jamais.

Tu n'avais même pas pu voir le Japon alors que tu t'étais tapé les deux vols! Tu décidas sur un coup de tête de prendre les valises et partir vers la France pour te venger de n'avoir rien vu. C'était étrange vouloir se venger de soit-même. Pourtant, tu avais une jalousie envers toi que tu ne pouvais expliquer. Tu arrivas sur le sol Français et vie Paris, qui n'étais pas si intéressante que ça. Tu découvris Versailles, une superbe ville tranquille qui possédait un école avec une belle histoire derrière... En parlant d'histoire, tu avais eus plusieurs courriels te demandant où tu étais.... Tu avais un peu oublié ton boulot et mis des notes à ton toi écrivain pour t'avertir où tu étais et que tu devais rappeler ces personnes. Tu fumas une cigarette et alla dormir.

Je vois des notes sur mon portable. J'ai vraiment envie de pleuré, je me fais des blague à moi-même et j'ai des envies de meurtres envers moi! C'était bien insensé! Enfin, j'appelle la maison avec mon portable pour les renseigner sur mon état de santé et je leur dis que je suis à Versailles. J'ai décidé tout de même de visité la ville au lieu de partir directement, car tant qu'à être là, autant en profiter et j'en suis tombé amoureux. Les personnes étaient sympathiques, les bouquins en français, mais cette langue s'apprenait, et mon propre roman traduit dans plusieurs mains. Enfin, j'adore tout ici, c'est bien mieux que chez mes parents. Après plusieurs semaines à sympathiser avec plusieurs personnes et me lier d'amitié avec ceux-ci tout en apprenant leur langue grâce à des cours, ma décision est prise. J'appelle ma maison d'édition et leur dis que j'emménage ici- leur donnant mes coordonnées de là bas, ayant un roman à écrire-, tout comme je le fais avec mes parents en leur demandant de mettre mes effets personnels dans des boites.

J'ai trouvé une jolie petite maison tout près d'une école. Non, je suis loin d'être un homme attiré par les enfants, mais j'aime bien avoir leur avis sur mes livres, car je sais très bien que mes bouquins sont acheté par beaucoup d'adolescents.

Elle cherchait sur internet, s'ennuyant et n'ayant pas envie de se préparer pour sortir. Elle découvris des centaines d'écrits complétant le roman avec plusieurs scènes chaudes, mais pas seulement entre les deux protagonistes, mais bien l'ami et le héro principale. Elle riait et envoya un de ces fanfictions à son éditeur qui étais bien ami avec elle. Il lui envoya quelque chose de similaires, mais avec des scènes de sexe à chaque trois lignes. Elle rigolait, mais disait que c'était une chance qu'il y aille des personne avec une imagination débordante.

Je commençais une suite de la saga et je découvris des liens dans mon historique. J'en lu quelques unes et.... Mais qu'est-ce que je faisais de ma vie quand j'étais pas là!




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Jack Heartson
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MessageSujet: Re: Hey, qu'est-ce que tu ve-....Bonjour, ra-... Quel est ton nom~ Hey, qu'est-ce que tu ve-....Bonjour, ra-... Quel est ton nom~ Icon_minitimeMer 13 Aoû - 11:46

Re-Bienvenue Luxio  clap clap   clap clap 

J'adore ce personnage et ses trois personnalités *o*
Il(s) est/sont trop cool(s) *o*
Surtout que le contraste est saisissant.

N'empêche, j'ai l'impression que le "je" et le "tu" sont plutôt proche, malgré tout, alors que la "elle" est mise à l'écart par les deux autres D:
C'est d'une tristesse D:
Sinon, j'aime bien leur caractères.
Dur pour le vrai Ashel tout ce qui lui est arrivé. J'aimerai pas être à sa place ^^
L'histoire est vraiment complète. On comprend comment tout ça c'est passer et puis petit à petit, on comprend quel sont les personnalités qui se dégagent, qu'est-ce qu'il lui arrive.
Et puis, ça doit pas être facile d'être souvent absent et d'apprendre que deux autres personnalités ont utilisé son corps pendant tout ce temps.

Mon passage préféré est quand le "tu" se venge de ne pas avoir pu profiter du japon en allant en France xD C'est assez marrant.
Franchement, tout était complet, tu as gérer ^^
Un plaisir à lire, et ce personnage est vraiment vachement intéressant.

Te souhaite bien du plaisir avec ici !
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Shin
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Shin
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MessageSujet: Re: Hey, qu'est-ce que tu ve-....Bonjour, ra-... Quel est ton nom~ Hey, qu'est-ce que tu ve-....Bonjour, ra-... Quel est ton nom~ Icon_minitimeMer 13 Aoû - 23:18

Jack, pourquoi t'es toujours plus rapide que moi ? Pourquoi je fais mal mon travail d'admin ? Pourquoi la vie, pourquoi la mort ? PARCE QUE LE JAPON *en plus ça colle au contexte, je suis fier de ma connerie, ok, no rage*
Bref, déjà, omg, j'adore Kyoux, et ton avatar est juste sjkfljdf *o* bandant omg j'en peux plus j'le veux dans mon lit <3 *meurt* lui et son prénom de tepu (qui lui va si bien, c'bien les prénoms de tepu, surtout si c'est un prénom féminin *out*)
Ahem, déjà, le physique, omg, rien à redire, je suis full in love là, il est parfait D: *fan des piercings et des tatouages* c'est juste, omagaad, trop swag et tout, can't handle all thoose feelings. *o* ondevraitrpensemble.

Son caractère, je veux dire, SES caractères, je m'attendais vraiment pas à quelqu'un à personnalités multiple, l'idée des notes à soi même est vraiment marrante et sort du loit, ça doit pas être pratique d'oublier comme ça, le pauvre, même si je me disais que ça doit être marrant de tenir un journal intime dans ce genre de cas. (Son roman, il dit que ça parle de lui, donc, c'pas une sorte de journal intime ? Je suis bien curieux, ça parle de quoi ? *o* ça a l'air vraiment classe, pis il est écrivain quoi, tout c'te swag, sérieux. Je me suis pas attardé sur le style, car tu sais déjà que j'adore comment t'écris, j'ai beaucoup aimé l'histoire, en particulier. Qui est trop mouvementée, le pauvre, un viol quoi D: ça a pas dû être difficile. Et, je m'attendais A CE QU'IL FINISSE AVEC JO PAS JUSTE *sort*
Bref, j'aime beaucoup ton perso, c'est avec grand plaisir que je te valide !
Amuse toi bien parmi les fous *o*
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