Vous le voyer, avancer lentement dans la rue? Traînant mollement les pied d'un air négligent, voir indolent comme s'il n'avait aucune volonté. Ce jeune adolescent la bas, presque plus grand que vous mais que vous deviner assez mince sous son large sweat violet, avec les touche d'un mp3 cousue au niveau du ventre et un casque sur la capuche. Comment peut t'il porter des vêtement aussi chaud par un telle temps? Alors que le soleil vous brûle déjà la peau, vous avez encore plus chaud a la voir habillé comme ça...

Vous tenter de le saluer par politesse et il vous ignore, continuant sa route, les mains dans les poches. Mais pour qui se prend t'il? Offusqué, vous le suivais d'un pas détermine, bien décider a lui apprendre les bonne manière, a cette insolent! Mais plus vous vous rapprocher, moins vous avez envie d'engager la conversation avec lui, on dirait qu'il dégage une aura noir qui dissuaderait n'importe qui de l'approcher. La colère qu'il avait provoquer en vous de faire comme si vous n'existiez pas disparue peut a peut, cette personne sombre et peu commune attise inexorablement votre curiosité.

Sa large capuche violette cache a moitié son visage, et comme si cela ne suffisait déjà pas pour qu'il se dissimule, il baisse sans cesse la tête ramenant ses cheveux en avant. Mais vous ne baissez pas les bras, il vous intrigue et vous continuer a le suivre, a le dévisager. Il tourne la tête en vous apercevant, mais pourquoi? C'est louche de vouloir se cacher ainsi... Surtout qu'avec le soyeuse et longue chevelure verte feuille dont il est en possession, difficile de ne pas ce faire remarquer... Si son but premier était de se fondre dans la masse comme le laisse croire son comportement... timide si l'on peut dire? Alors il était en très mauvaise voie, on ne voie que lui dans toute la rue. Il vous jette un regard tellement rapide que vous n'avez même pas le temps d'apercevoir ses yeux, mais il accélérée le pas, vous semblez fortement l'agacez. Vos doute se confirme quand vous le voyer enfiler ses écouteur en vitesse, et monter la musique tellement fort que vous même êtes capables d'entendre vaguement se qui en sort. Du rock.
Vous réalisé a qu'elle point votre attitude comparable a celle d'un stalker, d'un fanatique est louche depuis un moment et vous comprenez pourquoi il s’énerve. Vous songez a le laisse enfin en paix, mais alors que vous faites demi tour, vous voyer un ruban noir assez large tomber de sa poche et s'etaller sur le sol.
L'occasion est trop belle, vous allez peu être enfin apercevoir son visage! Rapidement, vous vous précipiter sur le ruban derrière lui.

"-Excuser moi jeune homme..."

mais vous n'avez pas le temps de vous relever que vous sentez vos pied decoller du sol.
Le garçon vous a saisie par le col et violemment bloqué contre le mur. Vous avez peur, terriblement peur du regard qu'il vous lance.
Des yeux fin et bien dessiner, au iris rouge foncé, captivant, effrayant. Vous n'en avait jamais vue de telle. Sa bouche et son nez sont a moitié dissimuler par le col rouge intégrée a son pull. Son visage et très fin, trop fin même, et raffiné pour un homme et sa peau très clair. Mais tout dans son expression vous disiez a sa place que vous alliez passer un sale quart d'heure. Finalement vos parent avait bien raison, la curiosité est un vilain défaut....

"-Qu'est-ce que tu me veut a la fin?!"

Une voix assez grave et un ton incroyablement sec. Vous ouvrez la bouche pour répliquer mais aucun mots n'en sort, vous ravalez bruyamment votre salive. Dans un élan de courage, vous levez votre main tremblante vers lui, l'ouvrant dans une grande lenteur, laissant découvrir petit a petit le ruban noir que vous avez récupéré.

"-Rend moi ça tout de suite!"

Il vous lâche et vous arrache le ruban des mains. Vous buter contre le mur, avant de répliquer, bégayant malgré tout.

"-P-pardon, vous l'-a-av-avez laisser tomb-tombé..."

Vous vous étonnez de le voir baissez un peu la tête d'un air embarrassé.

"- Excusez-moi..."

Sa voie est plus aigus que tout a l'heure, il y a un léger accent anglais qui résonne dedans... Et a voir les trait de son visage se radoucir vous réalisée que vous avez commis une grosse erreur...
Une fille... C'est une fille, mais avec son apparence androgyne et a sa voix grave lorsqu'elle s’énerve, vous ne l'avier pas remarqué. Mais maintenant que vous la regarder plus attentivement, cela vous semble évident.... La pauvre, on doit souvent la confondre, pas étonnant qu'elle se soit énervé....
Honteuse, a force que vous la fixer comme ça, elle se détourne de vous, et part en accélérant, le ruban a la main.
Qu'elle étrange personne... Au moins, cela vous auras appris quelque chose... Évitez de dévisagez des inconnus a l'avenir, sa pourrait mal finir.

... Ça vous intéresse vraiment? Bon, si vous y tenez, on peut toujours en parler du caractère de la demoiselle. Par ou commencer? Par les bon coté? Il ni en a pas beaucoup... Autant s'attaquer directement a ce qui la qualifie vraiment, donc son attitude particulièrement exécrable.
A vrai dire, a première vue, elle ne montre pas vraiment d’émotion, elle reste toujours blasé et elle agît sans la moindre motivation. Même pour quelque chose de tout bête comme marcher sa semble l'ennuyer. Rien ne l'amuse plus, et elle a tendance a autant négliger se qui l'entoure qu'elle même. Y compris ses étude.  Elle a toujours fait preuve d'une grande intelligence mais ce qui est curieux c'est qu'elle ne fait aucun effort. Ces résultat son convenable, mais pas de son réelle niveau.
Mais sa c'est lorsque l'on reste a distance, si vous vous approcher trop vous rentré dans la cage de la bête. Elle ne fera pas attention a vous mais si vous ne faite pas attention a la façon de laquelle vous l'aborder sa risque de très vite dégénéré... Vous avez surement deviner qu'elle en vient rapidement au poing... Un peu trop rapidement même... d'ou pourquoi c'est un véritable aimant a problème, mal vue partout ou elle passe.

Elle essaie la plupart du temps de faire comme si elle était insensible a toute réflexion, mais elle s'y prend très mal et sa colère et bien le seul sentiment qu'elle n'arrive pas a dissimuler sous son masque inchangeable. Ce qui est assez handicapant comme elle est plutôt... Irascible? Et encore, je suis gentille. Un rien l’énerve. Mais se qu'elle risque de vraiment mal prendre est si vous faite une remarque a propos de ses cicatrice ou d'elle même physique ou morale. Elle se fiche bien qu'on la prenne pour un homme, avec les année, ça c'est transformer en habitude, elle ne reprend même plus ceux qui fond erreur et s'amuse même a les induire en erreur. Mais si quelqu'un se moque justement de son apparence, ou se met a critiquer son attitude, là, elle vas très mal le prendre, et son ton colérique risque de passer a une attitude hautaine tout a fait insupportable, et vous aller être hors de vous a votre tours et ainsi de suite... et ça a tendance a toujours se finir en véritable pugilat...

Mais de toute manière, qui que vous soyer, au début, elle vous détestera. Elle a grandis comme ça, dans la haine de tout ceux qui l'entourait, sans chercher a les connaître davantage. Dommage? Pas tant que ça, c'est une solitaire. Elle se sentira mieux seul, beaucoup mieux même. Laisser la s'isoler seul dans son coin c'est tout ce qu'elle demande.

Et si jamais vous êtes très courageux, vous pouvez toujours tenter de l’apprivoiser, mais c'est a vos risque et périls. Elle n'as confiance en personne. Mais si vous jamais vous persévéré un moment, peut être vous arriverais a briser le mur qu'elle a monter face a elle? A faire fondre la glace et a lui faire découvrir ne serait-ce que ce qu'est l'amitié? L'une des notion qu'elle a oublié, comme la joie, le bonheur, ou même le simple fait de sourire. Au fond, si vous la traiter bien, il est possible qu'elle face preuve d'un caractère plus civilisé, elle timide c'est tout. Elle a un coté plus réservé mais attachant qui sommeil au fond d'elle. A vous de le réveiller.

J'était face a mon miroir, serrant les poing, prise d'une soudaine rage, rien que me voir pouvait m'énerver. C'est horrible, je me déteste, je me hais... je suis un monstre... D'un ferme coup de poing j’explose le miroir qui était en face de moi, mais continuer d'apercevoir mes cheveux vert, long et ses yeux rouge que j'ai toujours detesté se reflété dans les éclat de verre cette image ne me lâchera jamais.... Elle me poursuit, poursuit, poursuit encore et encore.




C'est tout se que j'arrive a penser. Pourtant sa ne serait pas dur, il me suffisait de saisir l'un des bout de verre que j'avait exploser, puis de me le planter dans la gorge...
Je n'avait plus le droit de vivre, sa m'aurait offert ma rédemption. Mais je n'y arriver pas, c'est plus fort que moi, cette vie, on me la offert il m'est impossible de m'en séparé. Pourquoi je veux mourir? Vous le savez? ...

9 décembre 2013. Nous sommes en Angleterre, pays ou j'ai passé toute mon enfance, tout prêt de la belle ville de Londre. J'en suis a ma première année de lycée, et je suis déjà mal aimé de tout les autres élèves, j'ai un vrai don pour se qui est de m'attiré des ennuie, faut croire.
Beau temps, jamais je n'ai vue un ciel aussi beau en hiver, et pourtant, le sol était couvert d'une fine couche de neige. Il est tôt, c'est une superbe mâtiné, je suis si heureuse! J'attend quelqu'un, une amie, la seul que j'ai, la seul qui ma accepté, la seule personne a laquelle je tienne. Elle arrive; je lui saute dans les bras. Réaction normal pour tout être humain proche de quelqu'un, mais pour moi c'etait nouveau. J'ai toujours eu un caractère difficile, insaisissable, et pourtant cette fille l'avait rapidement capturé, il lui avait suffit de quelque mois pour m'apprivoiser.
Sont nom? Yume, rêve en japonais. Ce prénom la représenté a merveille je trouve, et elle était d'un gentillesse et d'une générosité si grande qu'elle paraissez irréelle, a telle point que je me demander parfois si une personne aussi pur pouvait exister. J'étais peut être folle et elle le fruit de mon imagination?
Cette fille, au long cheveux brun soyeux et coiffé en un chignon appliqué, qui me fixait de c'est yeux vert amusé, un sourire collé au visage. J'ai toujours passer mon temps seul, mais c'est cette année au collège, un beau jours elle était venue vers moi, m'avais parlé malgré les moquerie des autres, elle avait parlé a cette asociale qui repousser tout le monde et dont tous se fessais un plaisir de se moquer.

Je culpabiliser pour elle, elle avait abandonné sont titre de popularité pour venir vers moi et je lui devait une reconnaissance infinie. Je l'aimais tant! Elle avait toute ma confiance. Et je lui est confié mon secret, une secret dont j'avais plutôt honte, dans cette journée que l'on passé ensemble. Je n'avais pas de parent, je faisait partie de ces rare enfant née en laboratoire, élevé las-bas et émancipé le plus tôt possible. Je vis donc seul. Mais sa ne pose pas de problème, j'ai un petit boulot a côté, et mes résulta scolaire sont brillant, il faut dire qu'être élevé par des scientifique a ses avantage, bien que je n'aime pas ces type en blouse blanche. J'ai subit de nombreuse expérience, mais elle n'avait pas atteint ma santé si se n'ai par les nombreuse cicatrice qui me couvrent. J'avais un numéro, le 867° que je n'arriver toujours pas a oublier. En faite, je croie que c'est toute mon enfance que je voudrait oublier...
J'avais besoin de le dire a quelqu'un je n'arriver pas a le gardait pour moi. Elle me regardas bizarrement dans un premier temps puis il me sembla voir un sourire moqueur sur sont visage se qui m'inquiéta, même si l'instant d’après son expression revennis a la normal, j'avais du halluciner...

"-Ne t'inquiéte pas, je ne le dirait a personne!"

Ces parole résonner encore dans ma tête, elle suintent le mensonge et pourtant j'ai envie d'y croire.
Mais... le lendemain, dans ma classe, tous se moquaient de moi et me regarder comme une bête curieuse, un bête de foire, un être en dessous d'eux car née sans parent... Née d'une éprouvette comme il le disent.
Pourquoi avoir une telle réaction pour une chose pareil? Pourquoi faut-il que les différence de chacun soi considéré comme quelque chose qui les rabaisserais? C'est stupide... Les humains sont stupides... J'aurais tellement aimer naître en autre chose... Que se soit un animal ou une plante! Au moins on ne me traiterais pas comme ça...
Puis je la voie, assise au milieu de tous, assise sur une table, un fille au cheveux brun, attaché en un chignon trop sophistiqué, des yeux vert moqueur au visage tordue par un affreux rictus. On dirait Yume, mais je n'ai pas envie de croire que c'est elle.


Je recule paniquer, elle parlait, mes ses mots était trouble et je ne les comprenais pas. Attend, si je comprend, elle m'a manipulé, elle c'est moqué de moi pendant tout se temps sans sue je le sache. Elle venait d'expliquer qu'elle avait fait sa pour un parie, un vulgaire parie, combien de temps arriverait t'elle a tenir avec cette fille "bizarre" et arriverait t-elle a lui faire avouer sont secret, tout le monde disait que j'avait un secret, une simple rumeur a propos de mes blessure qu'elle confirmé. Je la regardé, trahis, terroriser, en colère, oui c'est sa surtout en colère, haineuse!

Et je fuyait, en courant a toute jambe, pour me réfugier contre le muré d'une petite rue totalement déserte contre lequel je m’asseyait. Il ni avait que mes trace de pas gravé dans la neige. Les voiture circuler régulièrement, mais personne ne marchait sur les trottoirs.
Pendant un long moment ce fut le silence, il ni avait que la neige, mon ombre, et moi.
Pleurant a chaude larme; Je me levais marchait au bord de la route avant de tomber nez a nez avec elle. La seul personne en vue au alentour. Et la dernière que j'avais envie de voir...
J’entendais un murmure;

"-Tss, tu est vraiment pathétique..."

Pardon?
Avec toute la haine que j'avais accumulé, je crue devenir folle. A ma place, tout le monde aurait eu une réaction plus ou moins rationnelle, se serait énervé davantage ou aurait pleuré encore plus. Non, moi j'étais en colère, certes, je pleurait aussi je l'admet, mais je riais, riais, riais!
Un rire fou qui vous fait tourner la tête, qui vous empêche de respiré, un rire ironique qui vous torture, vous blesse et vous soulage a la fois.
Moi? Pathétique? Ho, peut être, peut être mais dit par elle ces parole perdait toute leurs crédibilité. L'erreur entre nous deux; c'est toi ma chère!
Je relève la tête, mes yeux embué de larme, j'avais arrêter de rire. Le visage plus sérieux et tendue que jamais. Je la regarder droit dans les yeux, et levais le poing;

"-Dies...." (meurt)

J'abattit mon poing sur elle, elle glissa sur la chaussé. J'avais calculé mon coup, une voiture passa précisément au même instants percutant la source de mes problème qui s'envolant dans un mouvement démembré, puis la voiture qui roulé bien trop vite avait de freiner et tourner en même temps pour l'eviter, en vain, elle s'ecrasa contre le mur. Sur le coup j'était fier puis, après avoir réalisé se que je venais de faire, je fut horrifier. Je regarde le corps désarticuler étalé par terre sans une flaque de neige désormais souillé de rouge, telle une poupée brisé, au visage toujours aussi parfait mais aussi pâle que la neige... Le conducteur, transpercé des multiple bout de verre de son pare-brise, un long ruban ensanglanté coulant de sa tempe, sans doute suite a un violent choc contre le volant.
Je partie discrètement avec un air indifférent a l'affaire. J'avais detourné les yeux, et je fesais de mon mieu pour dissimuler mes emotion.
Je ne savais pas exactement se que je ressentais, une sorte de satisfaction mêlée de tristesse et de culpabilité.

Puis je rentré chez moi, et c'est la ou j’ai brisé mon miroir. Le rire fou qui m'avait saisit la gorge tout a l'heure repris, je venait de comprendre que celle que je haïssais se n'était pas Yume mais moi, celle qui devait mourir sur la chaussé tout a l'heure s'était moi aussi. Alors je pouvait rattraper sa en, me tuant aussi, mais comprenez moi, je ne suis qu'une égoïste dégénéré qui n'a plus que sa vie a laquelle elle tien, même si elle n'a aucune valeur. Est-ce parce que je suis une expérience que je suis devenue aussi tordue?
Je continuer ma vie après cela avec un cœur froid a tout sentiment, comparable a un robot. Je ne suis plus qu'une machine, et je me fiche bien des gens qui veulent venir vers moi. Je les déteste tous, les connaître ne m’intéresse pas.
La mort de Yume fut prise comme un accident, "une jeune collégienne percuté par un routier imprudent". J'eu de la chance de m'en sortir. Énormément de chance. Mais mise a part mes camarade de classe qui connaissaient mon aversion pour cette fille, il ni avait aucune preuve que j'ai provoqué quoi que se soit.
Pour me faire oublier, et surtout changer de vie, je partie déménager en France. Heureusement que le la deuxième langue que j'avais pris dans mon collège étais le français, car il n'avait pas était évident d'apprendre cette langue si compliquer en une année...
Finalement, a 16 ans, je m'inscrit dans ce lycée, même si cela me terrifier totalement. J'avais tellement peur qu'il y ai a nouveau des gens mauvais qui m'entoure. Mais j'avais énormément changé depuis, plus rien ne m’atteignait.