Virus J. Loveless
Âge : 20
Date de naissance : 1 Juillet 1994
Sexe : Masculin
Nationalité : Américaine
Groupe : Troisième année de prépa
Club : Musique
Résidence :
Physique
Mes cheveux sont inqualifiables, je dirais simplement d'eux qu'ils sont court et de nature désobéissante ce qui fait que je passes 3h sous la douche, concernant la forme de mon visage, j'ai le menton assez pointu et un air menaçant. Mes yeux sont verts et quand je suis énervé je te déconseille de les regarder, un nez fin ainsi que la bouche. Mon corps n'en parlons pas, j'ai simplement un physique incroyable, des muscles un ventre correcte, une force... Je te mets un poing tu saignes, un coup de pied entre les jambes et t'es castré, bref m'emmerde pas quoi, des pieds assez grands et tu sais ce qu'on dit sur les hommes qu'ont des grands pieds hein ! Des jambes endurantes et fortes bref je suis un sportif. Quant à mon style vestimentaires j'aime mes chaussures, je ne les quittes jamais et je les laves souvent bien sur, je porte souvent des fringues de couleurs sombres parce que j'aime passer inaperçu mais bon ça c'est durant mon temps libre, pendant le lycée je portes euh... Une partie de l'uniforme, disons que je suis un délinquant donc je mets que la chemise sauf en hiver mais je suis pas un intello donc je m'habille pas genre l'uniforme parfait comme un délégué, l'hiver avant de rentrer dans le lycée je porte ma veste en cuir faut dire que ça fait plus classe qu'une gabardine, et bien sur quand il pleut pas de parapluie, parce que j'aime bien la pluie. Mon tatouage, tu le regardes de travers t'es mort, ce tatouage est un symbole pour moi alors même si le lycée est mécontent je le garde, bien sur il est étrange mais tes questions tu te les gardes, ainsi que mes percings c'est basta je les mets je les gardes.
Caractère
"Lorsque le trou à rat dans lequel on vivait sera rasé, que j'y aurais échapper et qu'ils seront partis, je marcherais sur ton cadavre encore chaud comme on piétinerais un esclave..." Tel sont mes mots envers mon père à la mort de ma mère, cela vous en dit long n'est-ce pas ? Je n'ai jamais eu de respect ni d'amour pour personne à part ma mère... Je la chérissais. Parfois je continu d'entendre sa voix résonné à mon oreille, prenez moi pour un fou si vous le souhaitez je suis juste quelqu'un qui n'a de respect que pour les morts, qui considère simplement la mort comme une bénédiction, je me suis dis qu'un jour je rejoindrais tout mes descendants dans ce royaume bénit malheureusement dieu ne m'en laisse pas l'occasion. Je suis considéré comme un suicidaire c'est sûrement pour cette raison que les gens refusent de m'approcher, ou à cause de ce regard menaçant et ce sourire, involontairement malicieux, qu'ils s'y refusent. Je déteste purement et simplement ceux qui bénissent le fait d'être en vie en gros... Je déteste tout le monde. Abandonner est un mot qui m'est étranger, lorsque je décide je ne reviens pas en arrière, ça vaut pour n'importe quoi même commettre un crime si je décide de le faire je le ferais, la cruauté est un mot qui me convient plus que je ne saurais le dire je n'ai strictement aucune pitié même si il s'agit d'une femme ou d'un enfant. Je dirais malgré tout que pour m'approcher, la personne devra vraiment être résistante et persistante... Bien évidemment, je penses que vous vous y attendiez je suis un homme qui fume beaucoup que j'ai l'autorisation des gens ou pas et je bois aussi bien sur.
Histoire
"Avec le temps je pensais en avoir sauver au moins un... Mais tu es devenu encore plus dangereux qu'auparavant. Virus, va t-en.". Je suis né le 1 Juillet 1994, un jour de tempête. ma mère, dont je n'ai jamais vu le visage, m'avait déposé à l'orphelinat "Orphée's World" dans la petite contrée reculée; Springfield, réputée pour sa faculté à repousser la visite des touristes cette petite ville était vide... La plupart vivait chez eux tranquillement, ne sortant que pour faire leurs courses, l'école n'était animée que par une poignée d'élèves, les rues étaient silencieuses et on empêchait les enfants de sortir la nuit. Je m'ennuyais et je n'étais pas le seul, mais les gens avaient tellement peur de notre maire, une véritable sorcière elle effrayait tout le monde, qu'il ne disait pas un mot à propos de leur ennui, seul les orphelins étaient assez courageux pour oser faire partager leurs petits secrets entre eux. Un jour une famille de Springfield est venue m'adopter, bien sur j'étais assez méfiant je n'avais que 7ans mais j'étais silencieux, timide l'air innocent quoi... Avant de partir, la gardienne de l'orphelinat m'a dit ceci : "Heureusement que je t'ai trouvé devant ma porte, tu as été un ange pendant tes 7 années ici.". Je pensais rester toute ma vie ici, malgré mon ennui je m'y plaisais, mais non... Le jour de mes 17ans j'ai du m'enfuir, alors que j'étais en train de dormir j'entendis; des cris, le feu, des rires machiavéliques et alors que j'ouvris la porte de ma chambre je vis les cadavres, j'avais eu du mal au début à interpréter la vérité mais elles étaient en effet là, ma soeur et ma mère, gisaient là par terre, tâchées de sang. Alors pris de panique, je descendis rapidement les escaliers et je vis mon père donner de l'argent aux vendales qui avaient mis à sac la ville, armé d'un couteau je m'approchais de lui lentement tête baissée et j'entendis ces mots : "Nous sommes sauvé Virus", sauvé ? Avec de l'argent et la mort de maman, alors je planta au plus profond de son ventre mon couteau et le regarda en souriant, dévoilant ce que j'avais sur la conscience. Je me suis ensuite caché dans un placard silencieusement, et lorsque le feu fut dissipé, que les cris furent stoppés et les vandales partis je suis sorti, et regarda le cadavre de mon père et le piétina comme un tapis, j'ouvris la porte et vis la ville, les maisons, l'école, les boutiques étaient détruites, tout, pris d'une immense colère je poussa un long cri et m'écroula à genoux par terre. Après avoir versé toute les larmes de mon corps, par respect pour elles, j'enterra ma soeur et ma mère dignement, puis je pris les affaires que j'avais pu sauvé et je partis, je fus malheureusement rattrapé par la police qui m'ont ensuite interrogé et à la fin m'ont demander mon nom, par respect pour ma mère je pris son nom "Virus J. Loveless", la police m'a ensuite autorisé à m'en aller et avec un miracle j'ai réussis à trouver une situation stable pendant 1an et j'ai réunis assez d'argent pour pouvoir m'enfuir jusqu'au Japon ce que j'ai trouver surprenant. Etant rester comme j'étais avant et même pire, une fois au Japon j'y avais retrouver la trace de la gardienne de l'orphelinat de Springfield, elle était tellement heureuse de me retrouver sain et sauf qu'elle m'a accueilli chez elle. Mais mon bonheur fut brutalement interrompu de nouveau par des vandales qui ont mis à sac la maison, pourquoi s'acharnait t-il sur moi ? Enfin, plus maintenant... Ayant acquis une certaine force au cours des années passées avec elle je les ais tous tués un par un... Lentement... Pris de panique, la gardienne m'a jeté dehors après ces mots que je n'oublierais jamais, mais elle m'avait malgré tout trouver une école très loin de là où je me trouvais c'est à dire en France, et malgré cette gentillesse je n'avais pas changer... Je suis un tueur dont il ne faut absolument pas s'approcher.
Découverte du forum ? Merci un pote. *Dédicace à toi mon vieux !*
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