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Une glace pour oublier le sang [libre]

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Axel Manea
Axel Manea
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Une glace pour oublier le sang [libre] Vide
MessageSujet: Une glace pour oublier le sang [libre] Une glace pour oublier le sang [libre] Icon_minitimeDim 1 Juin - 21:02

Connais-tu cette légende ? Cette légende qui se répand petit à petit dans tout Suki ? Cette légende à propos de cette cage d'escalier ? Non, tu l'ignore ? Laisse-moi alors te la raconter. C'est quelque chose d'étrange, d'inexplicable. C'est pourtant une simple cage d'escalier, rien de plus normal. Des élèves passent par là depuis l'ouverture de ce lycée. Encore à ce jour, des personnes les empruntent, tout à fait normalement, mais plus personne n'y passe lors des pauses de 10 heures et 16 heures. Etrange, ne trouve-tu pas ? On dis que quelque chose de malsain s'y fait ressentir. Voilà depuis deux semaines que personne n'ose s'y approcher à ces heures maudites. Même les professeurs ne l'emprunte plus. Superstition ? Des histoires ? Vas-y, si tu ne me crois pas, mais on dit que quelqu'un y a élu domicile. Un homme qui n'a rien d'un homme. Un homme qui ressemble plus à un démon. Si tu l'ose, approche-toi de lui, mais ne te plains pas de ce qui risque de t'arriver...

Voilà deux mois qu'il est arrivé ici, dans ce pays. Deux mois que le jeune démon aux cheveux rouges à déposé bagages dans la capital du romantisme. Le démon habitait à quelques pas du lycée où il passait le clair de son temps. Sa pauvre grand-mère ne cherchait déjà plus à le comprendre bien qu'elle était la seul personne que cette homme ne s'amusait pas à torturer. Quel plaisir il en tirerait si elle faisait une crise cardiaque trop tôt ? Heureusement, il y avait tant d'autres victimes à sa porté. Entre les voisins qui n'osaient plus quitter leur maison avant de s'assurer qu'il était déjà bien partit, même si cela signifiait être en retard à leurs jobs ou cours, le boulanger du coin, qui fournissait gratuitement le pain en espérant être épargné, ou encore les jeunes "délinquants" du coin, qui ont soudainement disparu de la circulation une semaine après son arrivé, alors qu'ils étaient réputés être des durs à cuirs qui traumatisé le voisinage depuis plusieurs années. Ironie du sort, les voisins préféreraient les avoir eux, désormais, que cette être qui venait d'arriver tout droit de Détroit. Si la chose n'avait pas traîné pour traumatisé sont entourage près de chez lui, il n'avait aussi pas traîné dans son nouvelle établissement. Aucun professeur n'osait s'interposer face à lui désormais, tandis que ses "camarades" de classes, qui avaient d'abord tenté de s'approcher de lui, le fuit comme la peste. En réalité, s'ils avaient le choix entre la peste et lui, la peste remporterait le sondage haut la main.

Ce matin là encore, les gens l'évitaient. Lorsqu'il sortit de chez sa grand-mère, sans un mot adressé envers cette dernière, il remarqua le jeune garçon de ses voisins, âgés de 19 ans, rentrait immédiatement chez lui. Il était partagé entre amusement et pitié pour cette individu, faible d'esprit. Les mains dans les poches, la capuche sur la tête, il s'avançait dans la rue, légèrement cambré vers l'avant, alors que les gens, qui le croisaient dans la rue, essayait de l'éviter en s'écartant de son passage ou en changeant carrément de trottoirs. Cette être était vraiment effrayant, on ne pouvait les en vouloirs. Ses chaines accroché à son jeans se faisait entendre à quelques mètres de lui et annoncé son arrivé. Lorsqu'il arriva au lycée, peu de personne osèrent croiser son regard. Personne n'osa soutenir son regard. Il avançait, lentement,dans les couloirs quand soudain une personne le bouscula, par inadvertance.

«- Oh, excuse-moi mec ! »

Lancé, avec un rire, le garçon qui venait de le bousculer. La main d'Axel était déjà collé à son visage. Tout se déroula en un instant. Il comprenait à peine qui il venait de bousculer que la main de l'homme lui tenait déjà fermement le visage. Il venait à peine de sentir cette main sur son visage que son crâne était déjà à quelque centimètres du sol. Il venait à peine de sentir cette sensation lorsqu'on chute à grande vitesse qu'un grand bruit résonna dans les couloirs. Le bruit d'un crâne qui venait de se fracasser contre le dur sol. La plupart des personnes dans les couloirs détournèrent, avec horreur, leur regard dans un autre sens. D'autres ne savaient comment réagir et s'éloignèrent suffisamment de cette homme pour ne pas être le prochain. Le jeune homme se remit rapidement debout et reprit sa marche, non sans écraser le visage au sol de sa victime, qu'il a jugé pas sincère dans ses excuses. Les étudiants s'écarté de son chemin, au fur et à mesure qu'il s'avançait dans les couloirs et les escaliers. Lorsqu'il entra en cours, la salle qui était pourtant bruyant du aux discussions des autres élèves déjà en place, se tourna rapidement en une salle parfaitement silencieuse. Un silence angoissant d'ailleurs. On sentait quelque chose de flippant, alors que les élèves de la classe cherchait à ne pas le regarder du regard. Ils savaient que s'ils le fixaient, il finirait par poser son regard perçant sur eux, et à partir de là, rien n'irait. L'homme alla s'installer, sans un bruit, au fond de la classe, après avoir piqué la trousse d'un élève au premier rang, et les feuilles d'un second au second rang. Ils savaient bien que cela ne servait à rien de contester avec lui. Il était bien trop effrayant. Un autre élève avait bien essayer de surmonter sa peur et se confronter à lui. Après tout, les apparences pouvait être trompeuses, et toute la classe l'avait alors soutenue. Voilà un mois qu'il se trouve à l'hôpital. Il avait était retrouvé dans les toilettes des hommes, recouvert de sang. Rien ne prouve cependant que notre garçon aux cheveux rouge sang soit fautif. Après tout, personne n'était témoin et la pauvre victime n'a toujours pas pu sortir un mot depuis ce malheureux accident. Vous me direz qu'il aurait bien pu écrire le nom de son agresseur mais il a tout simplement écrit qu'il ne s'en souvenait pas. Ce que notre homme trouve marrant, c'est qu'il ne sait pas si c'est car il lui fait peur ou car il lui a fait perdre la mémoire à force de fracasser son crâne contre le trône des WC qui fait qu'il ne s'est pas fait dénoncé. Vous vous doutez bien que personne n'ose vraiment tenter sa chance après ça.


Les heures de cours ? C'était d'un ennuie... Le démon s'ennuyer comme pas permis, un casque qu'il avait prit de son malheureux voisin de table, écoutant cette même musique en boucle, en regardant par la fenêtre. Le professeur n'osait rien lui dire. De toute manière, il avait déjà fini toute sa foutue fiche d'exercice et n'en avait que faire de ses explication. Deux heures s'écoulèrent, sans qu'Axel ne puisse calmer ses pulsions de sadisme. Il s'était bien amusé à écrire, au ciseaux et combat, sur le bras de son voisin, mais ce dernier a fini par hurler, ce qui l'a vite agacer et lui a donné l'envie de le faire passer à travers la fenêtre. Chance pour lui, il n'avait pas vraiment envie de faire l'effort de suivre ses pensées, bien que ça n'aurait pas été difficile. La deuxième heure, il s'était d'ailleurs trouvé avec aucun voisin. Tant mieux, c'était pas comme s'il pouvait s'amuser à les torturer pendant ces moments là. Il était 9h50, soit la pause de 10h00, lorsque le professeur déclare qu'ils devaient rattraper leur retard et qu'il ne les lâchera qu'à 10 heures. Il n'avait, cependant, pas branché lorsque l'homme tout en noir se leva de sa chaise et se dirigea vers la sortie, évitant même son regard perçant. L'homme aux cheveux rouges se pressa alors vers le réfectoire. Il avait pris pour habitude de se prendre une bonne glace à chaque pause, histoire de se calmer et ne pas transformer les couloirs en véritable boucherie. Un jeune étudiants, à peine moins âgé que notre homme, eu le malheur de se retrouvait devant lui pour commander à manger. Il eu même l'audace de lui dire d'attendre lorsque ce dernier voulu le placer, avant de rapidement se taire lorsqu'il croisa son regard. Malheureusement, c'était trop tard, le mal était fait. Le jeune homme venait de se faire attraper la gorge par l'homme aux yeux verts et plaquait le crâne contre le comptoir. Il avait beau essayer de se débattre, l'homme était bien trop fort et le maintenant sans aucun mal dans cette position, alors que sa seconde main fouilla dans sa poche pour prendre quelques pièces, avant de se tourner vers le marchand qui n'osait pas vraiment s'interposer face à cette homme.

«- Il te reste encore quelques glaces ? »

C'était les premières paroles qu'il avait prononcé de la journée et même si c'était qu'une phrase banale, le ton et le timbre de sa voix était suffisant pour réveiller un mort. Sa voix était glaciale. C'est le genre de voix qui peuvent te perturber pour plusieurs jours. Le marchand lui répondit qu'il en avait, bien évidemment, et lui donna une glace que l'homme lui pointait du doigts, qu'il prit dans sa main droite, après avoir lâché l'homme qui s'était déjà évanouie de toute manière, en laissant les pièces tombé sur le comptoir de sa main gauche. Sans dire le moindre mot de plus, il se retourna et reprit sa marche, sa confiserie en main, lâchant un signe de la main au vendeur, seul geste amical et sincère qu'on pouvait obtenir de cette homme. Il marchait alors, lentement, vers sa cage d'escalier fétiche, alors que les gens évitaient de lui barrer son chemin, comme toujours. Il retrouva finalement sa cage d'escalier, allant s'asseoir sur une marche d'escalier pour ouvrir l'emballage de sa glace. C'était devenu sa place à lui depuis deux semaines maintenant. A la pause de 10 heures et celle vers 16 heures, il s'y trouvait là, seul, mangeant une glace. Curieusement, personne n'osait passait par là à ces moments précis.

Au départ, certains continuait à passer par là, puis petit à petit, moins de personnes. Des bruits de couloirs courait alors tandis que certains continuait à passer par ici pour faire les fières, avant de faire demi-tour en croisant cette homme, habillé tout en noir, glace à la main, ou passait à côté de lui à la vitesse d'une formule 1 et monter les marches quatre par quatre. Une jeune fille s'était même mangé les marches de cette manières là. Voilà plusieurs jours que personne ne passait plus par là, par peur de cette homme. Curieux, sachant que c'était à ces rares moments, glace en main, qu'il se contrôlait et s'empêcher de torturer les gens, la plupart du temps. Il faut croire que malgré tout, son aura fera toujours peur au gens. Enfin bon, il ne pouvait rien y faire et c'était pas comme s'il n'aimait pas cette solitude. assit sur la première marche, dégustant sa glace à la vanille, l'homme aux yeux verts ne faisaient attention à rien d'autre. Il ne pensait plus à qui sera sa prochaine victime. Tout ce qui l'intéressait pour l'instant était de terminé sa glace, seul chose pure qu'il accordé à ce monde.
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Alexis A. Lambert
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MessageSujet: Re: Une glace pour oublier le sang [libre] Une glace pour oublier le sang [libre] Icon_minitimeVen 6 Juin - 3:41

Tu n'as jamais aimé les conflits. Tu en avais déjà tant eut que tu t'en serais bien passé aujourd'hui. Un jour comme les autres, une routine banale, tu t'étais lavé avec véracité comme si tu avais reçu une sorte de produit chimique durant la nuit, mais non. C'était tout simplement la façon dont tu avais de te laver, mais tu n'étais pas hypocondriaque, seulement soigneux de ton odeur et de ta peau, peau qui t'appartenait et que tu éviterait de blesser sauvagement d'autre fois. Un coup de brosse avec une serviette enroulée autour de la taille, du gel et un brossage de dents comme chaque matin avant d'aller en cours. Tu jouais une bonne demi-heure de guitare, ne t'étant pas réveillé en retard cette fois, pas comme ton stupide colocataire qui faisait tout pour te pourrir la vie. Tu accordais l'instrument avant d'avancer une chanson qui t'étais plutôt cher, sur laquelle tu travaillais depuis plusieurs mois. Les accord étaient bon selon toi, mais les paroles, tant qu'à elles, ne venaient pas vraiment. Tu tentas de chanter, marmonné plutôt ta chanson, même si tu savais que ta vois était si magnifique qu'elle pouvait tuer un écureuil pas ces sons ou bien faire fuir toutes les personnes dotées d'une ouïe plus ou moins fine.

Tu marchais dans les corridor frisquet de l'établissement pour te rendre en salle de torture, c'est à dire la classe. Blasé, tu t'assieds sur ta chaise et remarquais l'homme qui tourmentait les élèves ainsi que les professeurs ainsi. Il te faisait pensé à un cannibale ou à une bombe ou même Jésus, mais en vilain car tous se taisaient lorsque celui-ci entrait. Pauvre mec, tu le plaignais. Il ne semblait pas avoir d'autorité et semblait déjà avoir un passé malfaisant pour avoir tourné comme il était. Pourtant, ce n'était pas un homme qui semblait si.... impossible d'accès. Bref, tu avouas qu'il butait tous ceux qui le bousculait ou lui lançait un regard de trop. Celui-ci était-il bien avec tout cela? Tu te demandais si celui-ci pouvait avoir des amis et secoua la tête en te disant que c'était impossible. Qui pourrait être assez suicidaire pour s'approcher volontairement d'une personne qui casse la gueule à tout le monde et qui ne donne aucune chance de compréhension? Toi. Enfin, les personnes qui semblent être les plus fort physiquement, ne le sont souvent pas mentalement. Peut-être exploiterais-tu cela en ton avantage.

Qui es-tu pour penser un chose aussi imbécile pareille? Premièrement, tu crois vraiment qu'un personne dans son genre voudrait te parler tout bonnement? Il peut être idiot, mais pas désespéré. Tu n'es qu'une pourriture Alexis, un semblant d'humain qui c'est transformé en démon à visage d'ange. Tu n'as rien à voir avec la vie réelle imbécile! Retourne à tes saleté d'écrits et fou la paix aux autres puisque personne ne veut de toi. Et tu tu décidais encore de te trancher la gorge, peut-être que cela marcherai, non? Oh! C'est vrai, tu es trop faible pour faire un tel acte. Tes tentatives d'avant ont échoué parce que tu croyais encore à un rêve. En fait, tu n'as jamais voulu te suicider non? C'est faux? La corde à lâcher? Mon œil, tu as dû la mal placé toi-même. Tu n'est qu'un lâche et jamais tes pensées de cet égoïsme d'être né ne te lâcheront jamais, compris? Pourquoi persistes-tu à être en vie si tu n'as aucun but?

Tu as eus une idée pour les paroles de ta chanson? I can't believe, I won't believe. Oui, c'est un bon début. Un début triste, mais qui pourrait fonctionner dans ton refrain. À quoi ça te sert de toute façon? Tu chantes comme un pied et même encore, le pieds est meilleur que toi. L'anglais est une belle langue pour les chansons puisqu'elle est internationale. En fait, c'est un des seules points chez toi que l'on pourrait apprécier : ton sens de la déduction. Tu joues comme une personne aillant commencer à jouer depuis trois jour, enfin, c'est ce que tu te dis, mais tu peux savoir si quelqu'un détesterait les accords qui ne font aucun sens, ou si ceux-ci vont bien après quelque essais. Alors, tu te dis pas si idiot que ça hein? Bref, tu écrivis les paroles qui te passaient par la tête en plein cours, t'en foutant un peu. On t'eut posé une question durant ce temps et tu répondis après que tu avais fait répété au professeur au mo0ins dix fois la même questions, mais tu répondus la bonne réponse heureusement pour toi et pour ta feuille.

Ton attention se reporta vers ton voisin de diagonale qui torturait le bras d'un camarade. Tu soupiras et te demandais plus la raison de toutes cette haine que si l'autre allait bien. La cloche sonna enfin, annonçant la fion de la première partie de cours. Tu rangeas tes affaires et te dirigeas à ton casier pour prendre d'autre cahier. Tu soupiras et écoutas discrètement une conversation de deux filles qui parlaient de fantôme :

La cage d'escalier là-bas elle est hanté selon de rumeurs. Le fantôme apparaît entre la pause de 10h00 et 16h00 selon des témoins, des gens qui ont vraiment vu l'esprit! Tout le monde le sait, même les professeurs. Il paraît qu'un élève a disparu dans les escaliers et qu'on l'a retrouver mort, trois jour plus tard, pendu dans sa maison. Ça fou les jetons! Moi je ne m'approcherai jamais de cet endroit!

Tu refermas la porte de ton casier et verrouilla ton cadenas. Les personnes te faisaient de plus en plus pitié avec leurs sottises, leurs rumeurs de plus en plus pitoyables. Non, mais qui était assez idiot pour de là, croire au fantôme, mais aussi d'imaginer une histoire de la sorte. C'est enfantin, ces gens devraient grandir.

Tu descendis te chercher quelque chose à manger. pas de sucre, sans sucre, non, non, non, ENFIN! Tu trouvas la chose parfaite pour réveillé le peu de neurone encore fonctionnelle dans ton cerveau et puisque la partie la plus importante de l'humain se nourrit de sucre, tu pris une glace à la fraise et te dirigeas vers l'endroit où c'était supposément hanté. Alors que tu allais monter les marches, tu remarquas une tête rougeoyant, la même tête qui brutalisait tout le monde de l'établissement.
- Je peux m'asseoir?

Tu lui demandais que pour une certaine politesse et s'assied deux marches en dessous de lui, en diagonal. C'est vrai que c'était désert, pourtant, ce n'était qu'une pause non? Tu le regardais un peu plus. Et bien, tu n'étais pas le seul à manger des glaces le matin. Cela te dénicha un léger sourire et tu fis un geste pour replacer tes cheveux, cheveux qui était emplis de gel. Tu remarquais les gens fuir à toutes vitesse en voyant le roux et soupira :

- Je.... Bon, buttes moi pas pour ça, mais ça te plaît être seul comme ça?

Wow! Disons que déjà, pour une première impression ou simplement pour ton indiscrétion bravo hein? Tu n'aurais pas pu faire pire. Enfin si, t'aurais pu dire, comme lorsque ça avait faillit sortir de ta bouche un peu avant Pourquoi t'es devenu aussi mesquin? . Tu soupiras et décidas de ne pas t'excuser. Tu changeas après quelques secondes de question qui tournais plutôt en commentaire :

- C'est bien les glaces le matin.

Piiitoyable! Tu ressemblais à un enfant de trois ans qui apprenais à faire des phrase. Tu décidas de te noyer dans la crème glacé pour assoupir ta honte et enfin te la fermer.
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Axel Manea
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MessageSujet: Re: Une glace pour oublier le sang [libre] Une glace pour oublier le sang [libre] Icon_minitimeSam 14 Juin - 16:28

Assit, le démon continuait à savourer sa glace. S'il n'était pas aussi effrayant d'apparence, il paraîtrait pour un ange à cette instant. Drôle de contraste avec sa personnalité. Dans ces rares moments, rien ne pouvait le déranger. Tout lui passait par dessus la tête. Dans ces rares moments, Axel était stable. Quelque chose qui pouvait bien paraître étranger à ce garçon depuis l'âge de ses 5 ans. Depuis qu'il a découvert ses pulsions meurtrières. Une seul fois, quelqu'un eu l'audace de le provoquer alors qu'il savourait une glace. C'était dans son quartier, à l'arrêt de bus. Le pauvre fou voulait le racketter alors que le jeune homme était seul à l'arrêt, assit sur le banc, léchant sa glace à la vanille. Il eu l'audace de frapper sur sa glace pour la faire tomber à terre, alors qu'Axel l'ignorait tout simplement. Ce jour-là, Axel lui lâcha le regard le plus effrayant qu'il n'avait jamais lâcher. L'homme s'était soudainement rendu compte de sa bêtise et tremblait comme jamais. Ce n'était que le début ce jour-là. Lorsque le démon se mit debout, face à lui, le jeune délinquants comprit qu'il était foutue. Il eu la mauvaise idée de sortir un couteau de sa poche pour tenter de planter cette homme à la chevelure de sang. Grave erreur. Il venait tout simplement de lui donné une arme pour assouvir sa vengeance. Axel avait mit, ce jour-là, son bras en opposition pour l'empêcher de lui planter le ventre, avant d'attraper le jeune homme par la gorge. Le couteau planté dans son bras, il l'arracha sans aucune gêne pour venir planté à de multiples reprises le jeune individu. Ce dernier échappa miraculeusement à la mort. Axel, lui, s'en sortit grâce à la "légitime défense" par on ne sait quel miracle. Bien heureusement, ce n'était pas ici qu'une tel histoire risquait de se répéter. Non, par ici, plus personne n'osait, déjà, se rapprocher de lui. Il s'était trouvé son petit coin à lui. Là, dans cette cage d'escalier, il pouvait savourer tranquillement sa bonne glace. Personne ne risquait de l'en empêcher puisque cette endroit devenait ridiculement vide lorsque c'était l'heure de goûter à sa glace. Il était devenu une histoire de fantôme, un bruit de couloir dans tout Suki. La manie de l'homme de personnifier ses peurs en des monstres. Comme s'il était un de ses ridicules monstres de film d'horreur comme Jason... Non, s'il devait en être un, personne ne s'en sortirai dans ces stupides films. Surtout au vu des victimes aussi stupides les unes des autres. Non, lui il était bien réel. Pas une simple histoire à la con où le monstre, aussi effrayant soit-il, se fait vaincre à la fin comme un crétin. M'enfin, si ça faisait plaisir à ses victimes de le personnifier comme un monstre, libre à eux de le faire. C'est au final plus facile d'avouer d'avoir peur d'un monstre plutôt que d'un autre de ses "semblables". L'homme aux cheveux rouges inspirait la peur que même les "grandes gueules" n'osaient plus passait par ici. Il était désormais, chaque jour, seul ici. Le silence se faisait roi par ici tandis que seul sa glace l'intéressait. Chaque jour, c'était la même histoire. Son sang ne bouillonne pas comme d'habitude. L'envie de meurtre ne lui venait plus à l'esprit. Même s'il était effrayant d'apparence, il était calme. Calme comme jamais. Les yeux fermé, croquant un bout de sa glace, alors que son casque accrochait autour de sa nuque laissait entendre les étranges musiques qu'il écoutait.


Du nightcore, une sorte de remix de chanson qui lui permettait aussi de calmer ses pulsions. Cela pourrait surprendre de l'entendre écouter ce genre de chanson. Encore une fois, c'est tellement contradictoire avec son apparence, avec l'impression qu'il laisse, mais c'est pas comme si quelqu'un allait l'entendre écouté ça. Tout le monde préfère rester éloigné de lui, après tout. Bon choix de leur part d'ailleurs. Enfin, c'était le cas en général, mais cette fois-ci, il entendit la voix d'une autre personne...

«- Je peux m'asseoir? »

Surprise ! Quelqu'un semblait ne pas être intimidé par son aura. Quelqu'un d'enfin courageux ? Le démon n'y prêta cependant pas d'importance. Tout ce qui comptait était sa glace et tant que cette homme ne l'empêchait pas de la savourer, rien ne le dérangeait. Il ne répondit même pas à sa question. De toute manière, cela n'avait pas d'importance puisque l'homme s'était malgré tout assit sans attendre de réponse. Malgré ses yeux fermés, il l'avait sentit. La question n'était que pure politesse. Il sentait son regard se posé sur lui, mais n'y porta pas d'importance. Il n'apportait pas que la crainte mais aussi la curiosité, selon les personnes qu'il rencontrait. Peut-être que ce dernier devait se demander pourquoi il semblait si calme. Il ne ressemblait pas à ça le reste du temps. Bien sur, ses yeux restaient fermé. De toute manière, s'il lui lâchait un regard, l'autre prendrai sûrement peur... Enfin, peut-être pas, après tout. Il était la première personne à osé venir s’asseoir près de lui de lui-même. C'était respectable. C'était pas pour autant qu'il lui accordais la moindre considération envers son égard. Il croqua un nouveau petit bout de sa glace. Rien d'autre n'attiré son attention. Si le jeune homme cherchait une personne avec qui avoir une discussion, il s'était fourré le doigt dans le nez. Ou autre part, bien profondément. Cela ne l'empêcha pas de lâché un soupire et de tenter de débuter un semblant de conversation...

«- Je.... Bon, buttes moi pas pour ça, mais ça te plaît être seul comme ça? »

L'homme à la crinière rouge n'eu aucune réaction. Il entendit ses mots mais n'y porta aucun intérêt. Pas que cette question le gênait ou autre chose dans le genre, mais il en avait réellement rien à foutre des paroles de l'homme. Rien dans son comportement ne changea. Ses yeux étaient toujours fermé tandis que sa bouche venait croquer un autre bout de sa glace. Il la savourait, ignorant tout simplement la présence de l'autre personne. Le silence se faisait pesante, surtout pour son interlocuteur. Ces quelques secondes devaient passer pour une éternité, alors que tout ce que faisait cette homme aux yeux verts étaient de lécher sa glace. C'était comme s'il n'avait pas entendu ses mots ou s'il ne savait pas qu'il se trouvait là. En fait, il ne lui avait pas adressé la moindre paroles depuis qu'il s'était installé là, ni même le moindre regard. Axel était réellement dans sa bulle. C'était comme si rien d'autre n'existait autour de lui. C'était plutôt surprenant que ce jeune homme continuait à tenter de lui parler. Alors que ces secondes parurent tellement longues, un soupire se fit entendre et à nouveau, cette homme, qui était assit deux marches en dessous de lui, prit la parole.

«- C'est bien les glaces le matin.»

Encore une fois, Axel ne prit pas la peine de réagir. L'homme semblait d'ailleurs ne plus savoir quoi dire pour avoir sortit une phrase pareil. Pas sur qu'il essaye à nouveau de parler suite à cette phrase, alors que le silence se faisait à nouveau ressentir. Un silence lourd s'était installé dans cette cage d'escalier. Les deux hommes étaient sur leur glace et personne n'ajouta le moindre mot. Seul la musique qui sortait du casque du jeune homme aux cheveux rouges se faisaient entendre.


Une étrange musique, qui va parfaitement à cette étrange personne. Cela pouvait paraître d'ailleurs étrange que c'est ce genre de musique qui calme cette personne... Son interlocuteur ne s'était plus fait remarqué, sûrement honteux pour sa dernière phrase. Il lui paraissait un peu perdu à chaque fois qu'il essayait de faire la discussion de toute manière. En même temps, les gens ne savent pas quoi faire pour attirer l'intention du jeune homme. Sa réaction était plutôt normal. D'ailleurs, alors que ce dernier devait sûrement commencer à se dire qu'il n'arriverait pas à faire décrocher l'homme de sa bulle, ce dernier ouvrit enfin les yeux pour lâcher un regard vers ce jeune homme. Un rapide regard lui permis d'apercevoir pour la première fois la chevelure jaune du jeune homme. Il le reconnaissait, ce jeune homme. Il faisait partit de ses "camarades" de classe. Il s'en souvient car ce matin-là, il avait fait répété une question d'un de leur professeur à plusieurs reprises afin de retrouvé la réponse par miracle. Ça l'avait légèrement agacé l'homme aux cheveux rouges alors qu'il tattoué le bras de son voisin de table avec un compas. C'était donc cette homme qui essayait de lui faire la conversation ? Plutôt étrange alors que toute sa classe avait abandonné l'idée d'avoir une discussion normal avec lui. Il eu un peu plus d'estime pour cette homme. Ne vous faîtes pas d'idée, ce n'est pas grand chose, mais pour une fois, il estimait qu'il pouvait bien récompenser l'homme en "discutant" avec lui. Après tout, il avait osé s'approcher de lui et de plus, il eu l'intelligence de ne pas l'empêcher de déguster sa glace. Alors que le blond pouvait penser qu'il n'aura jamais de réponse, l'homme habillé tout en noir lâcha enfin la parole.

«- C'est vrai que c'est particulier de prendre une glace le matin... »

Lâcha-t-il. Incroyable, il avait donc bien pris la parole. C'était ses premiers mots lâché à l'attention de cette homme, alors qu'il ferma à nouveau les yeux pour continuer sa glace. Cela avait de quoi surprendre. Déjà qu'il prenait la peine de répondre à une autre personne, voilà qu'il réagissait sur les paroles qui pouvait paraître les plus stupides de l'homme. Ce dernier, qui devait se trouver pitoyable d'avoir sortit de tels mots, devait sûrement être plus que surpris de l'entendre répondre à cette phrase. Enfin, s'il n'est pas surpris par le ton de l'homme. Sa voix était glaciale. Adapté pour parlé de glace, me direz-vous. Plutôt surprenant lorsqu'on parle de quelque chose d'aussi innocent. Encore une fois, ses paroles ne se marier pas avec sa voix. Elle était si froide, si sombre. Sa voix était effrayante, mais naturel. Il avait toujours cette voix dur. Cette voix angoissante, même quand il n'avait pas d'idée lugubres derrière la tête. Cependant, cette homme avait déjà osé s'asseoir prêt de lui malgré son aura angoissante et sachant qu'il était dangereux, en atteste ses premières paroles à son égard. Ce n'était pas sa voix qui lui fera peur, pense-t-il. Bien sûr, après lui avoir répondu, seul la musique sortant de son casque se faisait de nouveau entendre. Il n'était pas du genre à être bavard. Surtout quand ce n'était pas pour s'amuser avec l'esprit de quelqu'un. Après avoir lâché ses mots, il ne portait à nouveau plus aucun intérêt à cette homme à lunette. Il était à nouveau concentré sur sa bonne glace, croquant un nouveau bout. Il avait à peine mangé la moitié de cette glace depuis le temps qu'il la tenait en main, habitué à prendre son temps avec cette nourriture. Suite à ça, il répondit à sa première question sans sembler vraiment s'y intéresser, le regard sur sa glace.

«- Pourquoi cela me dérangerait ? Est-ce que ça te dérange réellement, à toi, d'être seul ? »

A cette dernière question, il fit enfin l'effort de regarder cette homme, minant un intérêt pour sa personne. Cependant, ce fut brève. Il le fixa seulement brièvement, de son regard perçant. Comme s'il attendait de voir la réponse du jeune homme pour se faire une idée plus précise de sa personne mais il détourna rapidement son regard, pour reprendre un morceau de sa glace en bouche. Comme si de rien n'était. Comme s'il était à nouveau seul. Un blanc s'installa encore mais cette fois-ci, le jeune blond avait une raison pour prendre la parole...
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Alexis A. Lambert
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MessageSujet: Re: Une glace pour oublier le sang [libre] Une glace pour oublier le sang [libre] Icon_minitimeDim 22 Juin - 4:57


 Une glace pour oublier le sang  
«Please, Kill me. »







Étrangement, cette personne qui effrayait les élève tout comme les professeurs et plusieurs membres du personnel, mais pourquoi toi, il ne te semblait pas si méchant?  Enfin, il semblait grand, musclé et son regard pouvait donner des frissons. De plus, ce qu'il fait en classe est complètement atroce avec son voisin qu'il martyrise alors que tout le monde le regarde, mais personne ne dit un mot. Pourtant, quelque chose chez lui t'attire, non pas physiquement car c'est un homme, mais sa personnalité mystérieuse et sadique te fait pensé à toi dans un sens. Tu es presque tombé dans le côté obscure un moment alors que ta mère t'engueulait et te foutait à la porte, mais au lieu de rapporter ça sur tout le monde, tu as simplement tout prit sur tes épaule, très jeune. De toute façon, qui es-tu pour vouloir gâcher la vie d'une autre personne alors que tu as déjà pourrie celle de ta mère, celle qui t'a mis au monde, qui t'a élevé seule alors qu'elle était jeune et incomprise. Oui, tu avais presque tourné la balance vers les autres, mais elle t'avait tellement dit que tout était de ta faute, que tu ne méritait pas de vivre et qu'elle souhaitait que tu disparaisses de sa vie que tu n'as pu que te haïr toi-même. Tu n'avais pu faire autrement, même si tu l'aurais voulu, tu n'avais pas cette personnalité violente.

En fait, tu détestais cette personne qui était devant toi. Pourquoi? Était-ce de la jalousie ou seulement du mépris? Tu ne savais pas, mais tu n'aimais pas du tout sa façon d'agir. Torturer les autres ainsi est complètement idiot et sadique. Personne ne mérite cela, excepté ta personne car tu es bien inutile. Pourtant, sa force était tellement crainte, même pas les professeurs. Alors que toi, tu supportais plusieurs insultes, tu te faisais un peu intimidé et même si cela ne paraissait pas dû à ton expression habituellement neutre, froid, pas intéressé, les mots te blessaient et montraient à toi-même que tu n'étais qu'un déchet incapable de rien. Lui, personne ne pourrait lui dire cela en plein visage, tous avaient trop peur des représailles avec raison. Il était tellement imposant que par sa posture on le voyait. Ses yeux, ses magnifiques yeux qui pouvait figer n'importe qui sur place. Qui oserait dire du mal de lui? Qui oserait seulement lui dire non alors que tous savaient qu'il pouvait détruire n'importe qui s'il le voulait. Tous étaient certain qu'il faisait parti d'une gang de rue, ou qu'il en avait déjà fait parti.

C'est bien cette jalousie, cette étincelle de '' pourquoi est-il ainsi et pas moi?'' Qui t'avait poussé à le voir, lui parler et si tu perdait la vie en même temps, ce serait tant mieux. Tu avais un petite lueur que cela arrive. C'était comme jouer avec le temps qu'il te restait sur terre que tu comptais avec tant d'impatience. Tu ressentais qu'il y avait une lueur dans ses yeux, une lueur pareille à la tienne, celle de faire payer tout à tout le monde. La différence entre lui et toi était qu'il agissait et que toi, tu avais peur du sang. Tu ''détestes'' ça probablement parce que ta mère le faisait souvent couler sur ton visage ou tu le voyait aussi souvent sur le sien après une nuit à crier de douleur et de plaisir. Peut-être votre différence était que tu étais attaché malgré tout a cette femme car elle avait tellement sacrifié pour une personne aussi inutile que toi. Si tu n'avais aucun sentiment envers elle, probablement que tu aurais été une toute autre personne. Pourtant, tu étais humain et tu avais un sentiment d'attachement envers elle. Ce n'était pas sa faute si elle avait eu un fils aussi imbécile.

La musique jouait, étrangement douce, mais aussi électro. Peut-être cela le calmait. Cet homme, qui avait les cheveux comme les flammes ou le sang, ne bouillonnait pas comme à son habitude. Il était étrangement calme et ne répondait pas à tes questions. Peut-être se foutait-il de ta présence. C'était très très probable. Tu soupiras et terminas rapidement ta glace. Tu en aurait bien pris une autre, mais elle aurait coulé. C'est alors qu'il t'adressa un regard, les yeux que tu adorais voir lorsque tu en avais l'occasion. Tu n'es pas en train de la suivre partout comme un chien de poche, mais tu le regardes souvent, parfois avec dégoût, d'autre moment avec curiosité et rarement avec admiration comme maintenant. Un long moment passait et il fini par répondre à ton commentaire stupide :

- C'est vrai que c'est particulier de prendre une glace le matin...


Pour toi, prendre une glace le matin donnes assez de sucre à ton cerveau pour continuer à survivre le reste de la journée. Ton cerveau fonctionne avec du glucide et c'est tout à ton honneur puisque tu adores tout ce qui est sucré. Glace, gâteau, choux à la crème, bonbons et tous autres. Tu dépenses tellement pour cela. Ça et ta guitare que tu prends soin comme quelqu'un prendrait soin d'un enfant. C'est ton bébé, ton protégé même si ce n'est qu'un vulgaire objet pour les autres. C,est la première chose que tu as pu te procurer, que tu as tellement voulu lorsque tu étais jeune et que tu as enfin réussi à acheter par toi-même. Perdre cet objet serait comme perdre un membre tellement c'est important pour toi.  Cette guitare, autant idiot que ça peut paraître, t'aide à passer au travers de toi-même.  Non pas à t'accepter comme tu es car c'est impossible, mais bien passer au travers de cette vie et au moins avoir un but.

Un autre moment de silence s'installa et seule la musique se faisait entendre. Tu aimais particulièrement cette chanson qui se retrouvait aussi dans ton lecteur de musique. Ta tête se balançait toute seule en entendant. Peut-être était-ce silencieux, mais tu appréciais ce silence malgré tout. La gêne t'envahissait légèrement parce que l'autre ne répondait pas à tes questions, mais ce n'était plus comme si tu voulais te tuer à cause d'une honte causée.

- Pourquoi cela me dérangerait ? Est-ce que ça te dérange réellement, à toi, d'être seul ? 

Cette fois, tu ne t'y attendais pas. Il te répondait par une autre question. Si ça te dérangeait d'être seul? Non, tu ne voulais pas que les autres subissent ta personne. C'était pour ça que tu attendais que les autres viennent te voir, ce qui n'arrivait que très rarement. Est-ce que tu préférais cela ainsi? Oui, si cela pouvait faire que tu ne t'attaches pas à personne et que personne pleurait ta mort ou que tu ne te ferais pas blesser dans un futur proche, oui, tu préférais cela ainsi. C'est donc dans un haussement d'épaule que tu répondis :

- Il y a des personnes qui restent seul par choix, mais d'autre parce que personne ne veut d'eux. Je me demandait seulement si c'était ton cas.

Tu avait une étrange envie de vouloir l'insulté, de lui casser la gueule, lui qui était pourtant si calme. Une parole voulait traverser le seuil de tes lèvres, mais ta volonté l'empêcha. Détruis-moi. Voilà ce que tu avais envie de lui dire, peut-être le seul être le pouvant puisque le suicide ne semblait pas marcher. Pourtant, blesser une personne pour qu'il subisse des conséquences qu'il n'aurait pas voulu poser était méchante et tu ne voudrais pas que ta mort engendre le désarroi d'une autre personne.

La curiosité chassa ces pensés, du moins, tu arrêtas pour quelque minutes de pensé à ça.

– Qu'y a-t-il de bien à martyrisé les autres.

Contre toute attente, ta voix n'exprimait aucun mépris face à ces parole, seulement de la curiosité. Tu en profitas pour nettoyer tes lunettes avec ton chandail.  
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Axel Manea
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MessageSujet: Re: Une glace pour oublier le sang [libre] Une glace pour oublier le sang [libre] Icon_minitimeVen 18 Juil - 1:22

L'ambiance était toujours froide, sombre. Cette homme, aux cheveux rouges, étaient effrayant et quelque chose d'angoissant émergeait de sa personne. Sa seule présence rendait lourd l'ambiance à ses alentours. Ses moindres gestes, son allure, participé à cela. Il ne semblait jamais porté véritablement attention à ce qui l'entourait. Tout ce qui l'intéressait, c'était bien sa glace. Sa glace qui lui permettait de calmer ses pulsions meurtrières. De calmer son envie présente de faire souffrir les gens autour de lui. Une envie qui était toujours de plus en plus forte, alors qu'il trouvait tout les gens autour de lui pitoyable... Dégoûtant. Il était devenu comme ça, il n'y pouvait rien. Pas que cela le gênait. S'il se forçait de ne pas succomber à ses envies, ses pulsions, c'était tout simplement car il ne voulait pas devenir aussi faible que son père. Il savait que s'il laissait son envie de meurtre prendre le dessus sur lui même, il finira par devenir quelqu'un de faible qui était incapable de contenir ses tentations. Bien sur qu'il adorait faire du mal aux gens, à les faire souffrir. Bien sur qu'il adorait voir le monde brûler à ses pieds, mais cela devait rester une simple distraction, un simple plaisir, et non pas un besoin pour lui. Il ne voulait pas être aussi faible. Etre qu'une personne qui ne pouvait pas contrôler ses instincts sauvages. Heureusement, il y avait sa glace. Cela l'empêchait de réfléchir à quelque chose d'autre. Cela lui remémorait qu'il avait bien était, parfois, un enfant normal. Ses seuls traits innocents. Le seul trait qui lui donnait encore un air "humain". Ainsi, il croquait sa glace. Il prenait le temps de la savourer. Il réagissait encore comme un enfant avec cette glace. Un petit enfant tout mignon qui savoure la glace que sa mère ou son père lui a offert. Seulement, il n'a rien de mignon. Il est tout juste effrayant. Même lorsqu'il était aussi calme. Il n'avait rien d'hostile. Seul son apparence naturel lui donnait cette air habituel. Cette air dangereuse. Lui, il était calme. Il était paisible. C'était rare. Il l'était à chaque fois qu'il croquait tranquillement cette glace qu'il tenait dans sa main. Il n'avait rien d'hostile. Il ne ressemblait presque pas au psychopathe qu'il était. Son esprit torturé était lui aussi reposé. Rien ne semblait pouvoir l'énervait. Quelqu'un qui le verrai pour la première fois n'imaginerait jamais de quoi il était capable, mais personne n'ose, malgré tout l'approché. Personne, jusqu'à aujourd'hui. Cette homme, un jeune blond, semblait pas effrayé par l'allure de la personne en face de lui et était venu s’asseoir prêt de lui. C'était la première personne a avoir osé s'approchait de l'homme aux cheveux rouges lorsqu'il était aussi paisible. Il faut croire que l'atmosphère de cette homme ne l'avait pas effrayé. Il en était même peut-être fasciné ? C'était en tout cas de l'admiration qu'Axel avait cru pouvoir lire sur son visage, quand il avait fait l'effort, pour quelques instants, de regarder son interlocuteur qui avait essayer d'entamer la discussion. Cependant, ce n'était pas la présence de cette personne qui changeait quoique ce soit aux faits et gestes du "fantôme" de la cage d'escalier. Même s'il avait reconnu son interlocuteur comme l'un de ses "camarades" de classe, ce n'était pas pour autant qu'il lui avait donné le moindre intérêt. Tout ce qui comptait, c'était bien sa glace, et il garda longtemps son silence, alors que ses seuls pensées étaient dirigés vers la sucrerie qu'il était, lentement, en train de manger. Seul sa musique, assez étrange, se faisait entendre, lorsque personne ne prenait la parole. Axel n'avait porté aucune considération pour cette homme qui se trouvait seulement deux marches en dessous de lui. C'était comme s'il n'existait pas. Comme s'il n'était pas vraiment là. Qu'il ne partageait pas le même espace-temps que l'homme à la crinière en flammes, mais finalement, de sa voix glacial, il brisa, par deux fois, le silence imposé par sa propre personne. Sans donné la moindre once d'intérêt. Non, sa voix monotone le montrait clairement. Mais le jeune homme à la chevelure rouge avait quand même fini par prendre en compte la présence de ce dernier. Il lui avait fait comprendre, un court instant, qu'il était curieux d'entendre sa réponse. Non, la curiosité serait un bien grand mot, tant l'homme était invisible, à ces instants, pour ses yeux verts, mais même s'il avait reprit le silence et avait à nouveau oublié la présence de cette homme, il lui avait fait comprendre qu'il avait malgré tout, miraculeusement, son écoute. Cela ne manqua pas, bien longtemps, de faire réagir le jeune homme. Même si le silence c'était encore installé, elle se fait à nouveau brisé alors que l'un des deux jeunes hommes avaient pris la parole.

«- Il y a des personnes qui restent seul par choix, mais d'autre parce que personne ne veut d'eux. Je me demandait seulement si c'était ton cas. »

Le blond avait finalement donnait sa réponse aux questions de son interlocuteur. Ces mots avaient était prononcé avec une sorte de haine ou de rancoeur. Non, ce n'était pas aussi fort, mais la voix du jeune homme n'était pas si neutre qu'auparavant. Quelque chose dans le timbre de sa voix semblait montré que le jeune homme avait quelque chose a reproché, peut-être, au diable qui se trouvait près de lui. Pourtant, ce dernier ne réagissait pas. Il n'avait pas bouger ni donner ne serait-ce le moindre indice sur le fait qu'il avait entendu ses paroles. C'était comme s'il ne l'avait pas entendu. Comme si ses mots ne l'atteignait pas. Si, il avait entendu ses mots. Il avait entendu sa réponse, mais ce n'était pas comme si elle l'intéressait, réellement. Rien d'autre que sa glace l'intéressait, à cette instant... Cette glace qu'il était sur le point de terminé. Il venait de croquer les derniers bout, et garda le haut du bâton en bouche. Enfin, il ouvrit les yeux qu'il avait refermé pour savourer sa glace, mais ce n'était pas pour donner considération à la personne prêt de lui. Non, à cette instant, elle n'existait pas. Il venait de finir sa glace et il regardait devant lui, comme perdu dans ses pensées. Les paroles de l'homme et sa façon de le regarder ne l'effleurer même pas. Il venait de terminer cette glace et écouté le son qui sortait de son casque. Enfin, "son" casque. Sa musique le maintenant dans ce calme, alors qu'il ne faisait rien d'autre. Pas le moindre mouvement. Il était incroyablement calme. Comme seul dans sa bulle, rien autour de lui semblait existait. Il savait qu'il y avait cette personne à côté de lui. Il avait entendu ses paroles mais il n'avait aucune considération pour ce dernier. Il l'ignorait, tout simplement. La présence du jeune homme se résumait à celle d'une petite fourmis. Il était bien là mais le rouquin ne le remarquait pas. Cependant, ce dernier avait encore des mots à dire. Il semblait, réellement, curieux à propos de ce dernier, et même après ce blanc, avait encore trouver quelque chose à demander.


«– Qu'y a-t-il de bien à martyrisé les autres. »

Le jeune homme avait prononcé ces mots sans semblait jugé son interlocuteur, sans condamné sa façon d'être. Non, tout semblait n'être que curiosité pour lui. Il semblait vraiment être curieux par cette personne qui semblait prêt de lui. Cette question, Axel l'avait bien entendu. Qu'y a-t-il de bien à martyrisé les autres ? L'esprit malade de ce dernier se le répétait alors en boucle. L'expression du jeune homme se changeait alors. Pour la première fois, il semblait vraiment réagir aux paroles du jeune homme. Pour la première fois, les paroles de l'homme semblait vraiment avoir atteint les oreilles de ce dernier. Il montrait enfin des signes de compréhension, alors qu'il se changeait. Il tremblait. Ses bras tremblait. Ses pulsions meurtrières venait de reprendre, alors qu'il venait prendre ses bras dans ses mains, les serrant fortement pour se calmer. Le bâtonnet en bois venait de se casser en deux sous la mâchoire de ce dernier, alors que son air si calme venait de changer. De la folie. C'était de la folie qui venait d'apparaître sur son visage. Un air suffisant pour montrer qu'il était pas normal. Qu'y a-t-il de bien à martyrisé les autres ? Il lâcha un petit rire. Un petit rire qui n'a rien d'innocent. Un petit rire froid, à faire frissonné n'importe qui. Un de ses rires angoissant. Qu'y a-t-il de bien à martyrisé les autres ? Cela l'avait amusé. Cela lui donnait l'envie de rire, de l'étrangler. Tout était amusant alors qu'il resserrait de plus en plus fort ses mains autour de ses bras, pour se calmer. S'il savait. Il tourna son regard, déposa ses yeux sur la personne à ses côtés. Son regard perçant le défiguré. Ce sourire flippant sur ses lèvres, ce regard fou... Il était la personnification de la folie, et c'est alors, que de sa voix froide, qu'il prit la peine de lui répondre.

«- J'ai envie de te faire du mal. »

Il laisse échapper un petit rire, à nouveau, suite à cette simple phrase sincère. Ses simples mots l'avait fait rire. Il était amusé désormais, en voyant cette personne. Sa curiosité. Il semblait vouloir en savoir plus sur lui et désormais, à son tour, il était intéressé envers cette personne... Mais pas pour les même raison. Il lâcha son regard, tournant son visage. Lentement, il venait de reprendre son "calme", lâchant ses bras. Cette personne... Que voulait-elle ? Pourquoi n'avait-il pas peur de lui ? A cette réflexion, sa langue vint lécher sa lèvre inférieur avant de retourné dans sa bouche. Il reprenait alors une expression plus neutre, plus normal. Il commençait à réfléchir, sur cette personne. A réfléchir sur qui il était. Il savait que cette personne était souvent seul. A vrai dire, il l'avait rarement vu discuter avec d'autres personnes. Etait-ce la raison pour laquelle il était venu le voir ? Cela donnerait sens à sa première question. Il voulait savoir si cela le déranger d'être seul, croyait-il qu'il était pareil ? Cette homme, là, commençait à l'intéresser. Cette air froid, cette expression neutre. Il donnait l'air de ne pas pouvoir être atteint par les paroles des autres mais Axel savait que souvent, ce n'était qu'une façade. Une mascarade. Cette personne, près de lui, était plutôt étrange. Il ne semblait pas être effrayé par sa présence et semblait même avoir un sentiment de curiosité envers sa personne. Pourquoi ? A son tour, Axel était curieux d'en savoir plus. Ce n'était rarement une bonne chose. Le fait que cette personne était encore là l'intriguait. Voilà que l'homme aux cheveux rouges regardait enfin attentivement la personne à côté de lui. Il le détaillé du regard, avec ses yeux verts qui n'inspirait rien de bon. Il cherchait à percer qui il était. Cette personne si soignée. Il semblait être tellement "faux", pensait l'homme en noir. Quelque chose clochait. Alors, le jeune homme laissa, à nouveau, sa bouche s'ouvrir, pour s'exprimer à nouveau, alors que son regard venait s'arrêter dans celui du blond.

«- C'est quoi ton nom ? »

Lâcha-t-il, alors, de nouveau, tandis que son regard plongé sur le sien était censé le mettre mal à l'aise. Enfin, c'est ce qu'il était entrain d'essayer de juger, à cette instant. N'importe qui n'arriverait pas à tenir son regard et chercherait à le fuir le plus rapidement. Il voulait voir la réaction de cette personne, alors qu'encore une fois, il voulait comprendre les motivations de cette personne, l'analysait. Qu'est-ce qu'il allait faire de lui ? Voilà une autre question qui lui venait dans sa tête. Il voulait lui faire mal, mais pas n'importe comment. Non, il s'amusera tranquillement avec lui. Un soupire. Il venait de lâcher un soupire, avant de finalement le laisser tranquille avec son regard, en fermant les yeux, pour mieux réfléchir. Pour sur, il en prendra "soin" de cette personne. Une pensée venait lui soutirait un de ses sourires plein de sadisme. «- J'ai envie de le détruire» se disait-il, intérieurement. Il bouillonnait intérieurement. Il voulait lui faire du mal, il l'avait dit. Il voulait le torturer, le détruire, tout ça parce qu'il était "intéressant". Il venait de placer ses mains dans ses poches, afin de s'empêcher de perdre le contrôle de lui même, et il pencha sa tête en arrière pour lâcher un long soupire, afin de se sortir de ses pensées. Son regard fou se tourna alors à nouveau vers cette homme, là, devant lui. Vers sa nouvelle proie, et une nouvelle fois, sa voix perçante prit la parole.

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MessageSujet: Re: Une glace pour oublier le sang [libre] Une glace pour oublier le sang [libre] Icon_minitimeLun 4 Aoû - 8:09

Un silence, rien qu'un silence pouvait rendre ton corps malade, malade de toi. Rare était les fois où tu oubliais qui tu était réellement, un fils non voulu, un homme que l'on juge par sa simple existence. Aujourd'hui n'en faisait pas exception, aujourd'hui semblait pire qu'hier et hier n'avait pas été une très bonne journée pour toi. Un rien peu te faire retomber dans l'abysse que tu as tant tenter d'en sortir. Pourquoi toutes ces personnes sont-ils stupides? Voilà ce que la majorité des gens se disent, reportant tout leur problème aux autres, se disant qu'ils sont meilleurs que les autres, qu'ils n'ont rien à se reprocher, que la personne qui les a blessé est en faute, complètement en tord et que ces autres personnes ont la vérité absolue. Tu aimerais tant être comme eux, penser que les gens qui te blessent, qui harcèles, t'insulte, te jet par terre et te détruit, tu aimerais croire que ces personne ne sont que des imbéciles qui font cela parce qu'ils ne te connaissent pas. Tu aimerais avoir un autre sentiment qu'une haine envers toi-même. Pourtant, que peut faire un homme que l'existence n'a jamais été voulu et qui a détruit la vie de sa propre mère, qui l'eut gardé en sachant très bien que son entourage et sa famille n'allait jamais accepter cela. Qui pourrais ne pas se sentir fautif alors que toute son existence n'a été que malheur pour ceux qui ont pris soin de l'élever. Tu ne pourras jamais blâmer les autres puisque tout le mal qui t'arrive, tu n'as fait que le mériter, à cause de ta naissance. Si tu n'était pas né, si tu serais mort dans le ventre de ta mère, elle n'aurait jamais eut cette tristesse, elle n'aurait jamais pris des médicaments pour se calmer, elle n'aurait jamais eut un manque de confiance en elle aussi grave, elle n'aurait jamais eut à travailler dans ces circonstance et ton père ne l'aurait pas quitté. Tout est de ta faute et ça te rends atrocement malade. Pourtant, ces regrets d'exister, ils avaient toujours été présent jusqu'à aussi loin que tu te souviennes et ce n'est pas aujourd'hui qu'ils allaient disparaître de si tôt. Il semblerait que tu t'aies habitué à être qu'un déchet et au lieu de prouver à tous que tu l'étais réellement, ce serait être plus qu'un être inutile que tu es, ce serait littéralement être nuisible, bien plus de ce que tu étais déjà. Alors, tu essayais d'être une personne discrète et au moins essayer de ne pas être un boulet et de faire quelque chose pour les autres, la société en particulier.

Tu le regardais, il finissait sa glace et lorsque celle-ci fut terminée, une lueur... Maléfique? Elle n’émanait non pas de ses yeux, mais de tout son corps, son sourire était tout sauf rassurant. Il semblerait que son apparence, celle que tu voyais en train de manger une glace, tranquillement, presque comme un enfant, s'était effondré, laissant un tout autre personnage prendre place, un personnage que personne ne voudrait voir, excepté ta personne. Pourquoi ne le craignais-tu pas comme les autres? Tout simplement puisque tu n'en n'avais rien à foutre de devenir de la pâté pour chien, de mourir, d'être massacré, en particulier en ce moment, où tu le souhaitais presque de tout ton cœur. Tu frémissais même à cette idée, non, tu n'étais pas masochiste, mais, les penser, les souvenir qui venait de refaire surface, t'avaient redonné cette envie de te faire frapper par une voiture, de souffrir physiquement, autant que ta mère avait souffert pour t'avoir. Peut-être, oui tu étais un idiot de penser ça, mais tu avais cette conviction depuis ta première tentative de suicide, cela soulagerait cette femme que de savoir que la cause de ses souffrances soient mort, que cette personne qui n'avait vécu pour rien, pouvait enfin connaître le repos qu'il méritait, que tu pouvais, en mourant, lui enlever ce poids qu'elle avait sur ses épaules depuis 19 ans maintenant. Personne, non, personne ne pourrait comprendre la tristesse qu'entourait ton cœur rien qu'en respirant. Combien de fois par jour te demandais-tu la raison de ta naissance? Était-ce le résultat que ce dieu, comme l'appelait-on, voulait créé comme punition à ta mère pour son adultère? Était-ce la raison de ton existence? Alors pourquoi étais-tu toujours en vie?

Ce silence tomba lorsque l'autre avait ri, non pas quelque chose de chaleureux, loin de là. Ces sons collait parfaitement avec ce regard et tu ne pus t'empêcher de frissonné, comme si ce rire dément venait de refroidir la pièce d'un seul coup. Ton regard s'était transformé de froid et à l'allure désintéressé, à une expression de surprise, oui, tu ne t'attendais pas à ça. Déjà, tu avais eu une absence durant les longues secondes qui avait passé, ton visage avait probablement du se déformer légèrement en regardant un point fixe, fronçant probablement les sourcils et se mordre les lèvres inconsciemment. Tu resta ainsi quelque secondes, regardant cette personne dans les yeux et retrouvant peu à peu ton visage normal, froid.

«- J'ai envie de te faire du mal. »


Tu fus surpris, de nouveau, mais cette fois, tu ne montras aucune réaction. Enfin, un sourire se dessina sur tes lèvres, mais qu'avais-tu à foutre dans cette vie. Alors que tu allais lui répondre, un nouveau rire déchira le silence de l'endroit. Tu entendit même quelques élèves passer en courant devant la porte de la cage d'escalier, disant que cet escalier était hanté, mais tu n'y portais aucune attention. Tu ne faisait que regarder divagué et avec une certaine lueur de défi, non, juste une lueur d'un ''fait ce que tu veux'', à la manière Alexis, tu lui dis :

- Vas-y.

À la fois, il ne regrettait aucunement ces deux qu'auraient probablement jamais prononcé quiconque, aillant peur de cet aura noir, pourtant si mystérieuse, cachant probablement un passé où il a été rejeté, battu, insulté, où tout ces éléments en même temps. Une personne qui aime procurer de la douleur aux autres est quelqu'un qui a tant de souffrance à l'intérieur qu'il doit le sortir. Enfin, c'est bien ce que tu croyais. Tu ne savais pas sa vie, mais, ce sentiment que vous êtes lié se creuse de plus en plus, peut-être, qui sait, peut-être était-ce lui qui allait te donner le coup final, peut-être était-ce lui qui allait éradiquer toutes tes souffrances en un seul coup. Peut-être était lui qui allait pouvoir te sauver de ces penser qui ronge ton esprit, mais ça, tu n'en n'était que très, très peu persuadé. La curiosité envers cet être sombre, mystérieux, étrange, mais aussi charmant dans un sens, s'agrandissait de plus en plus. Et cela semblait réciproque dans un sens, puisque tu avais de nouveau droit à ce regard venu tout droit des abysses, et une question en prime. Ton nom, il voulais ton nom. Après quelque secondes le regardant toujours dans ses yeux, tu lui répondit un simple :

- Alexis, en poursuivant avec, et toi t'es Axel pas vrai?

Tu aimais son aura, sa posture d'une personne qui ne pouvait que réussir à ne pas se faire marcher sur les pieds. Cet aura sur de lui-même, cette confiance qui se dégageait de lui était terrifiante, dû, en parti, à son physique imposant. Tu étais atrocement jaloux, étrangement, un partie de toi voulait vivre, mais dans un autre corps, comme si l'apparence allait faire quelque chose face au déchet inutile et sans espoir que tu es et que tu seras à tout jamais, ce, même mort. Tu enviais tant de gens, et toi, que t'enviait-on? Rien, parce que tu ne valais rien de plus que de pourrir dans un sac poubelle, dans un dépotoir, mangé par des chien errant ou des oiseaux.

«- On va être pote tout les deux. »


Ça non plus, tu ne t'y attendais pas, mais pas du tout, ce qui eut pour réaction de te faire rire légèrement, silencieusement. Pote? Être copain avec un mec qui :

- Tu sais que tu viens de me dire que tu veux me faire du mal et maintenant tu aimerais qu'on soit copain? Puis-je te demander pourquoi? Me détruire de l'intérieur peut-être?

'' trop tard, c'est déjà fait'' pensas-tu à ce moment, retrouvant ton air froid que tu avais, tout sourire ayant disparu. Ta voix n'avait aucune froideur, ni grande moquerie, tu n'avais fait que dire les faits étranges.

- Mais j'aimerais bien.
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Axel Manea
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MessageSujet: Re: Une glace pour oublier le sang [libre] Une glace pour oublier le sang [libre] Icon_minitimeJeu 7 Aoû - 2:54

«- Vas-y. »

Des mots si étrange. Si étrange qu'aucune personne ne les aurait jamais prononcé envers cette homme. Du moins, aucune personne pourvu d'intelligence, et ce blond, là, semblait en faire partit. Alors, que diable, pourquoi ? Pourquoi ces deux mots. Deux mots si étranges. Deux mots si fou. Comment pouvait-on dire à cette homme d'y aller alors qu'il venait de vous avouer qu'il commençait à éprouver l'envie de vous démolir. Ces mots résonnaient dans la tête de l'homme aux cheveux rouges, qui cherchait à se calmer l'esprit. Ces pulsions reprenait de plus belle en lui, à l'intérieur de lui. Son cerveau malade commençait à s'activer, à devenir fou. Le sang, la douleur, la destruction. Tout ce qu'aime le jeune homme. Tout ce qu'aime ce démon aux apparences humaines, ou cette humain aux apparences démoniaque. Il bouillonnait intérieurement et à ces instants, son regard, son visage, rien n'avait une once d'humanité. Non, il était effrayant. Il était un démon, c'était pour sur. Pourtant, cette homme, face à lui, ne semblait pas en avoir peur. Ou du moins, n'éprouvait pas que de la peur. C'est ça. C'était comme si cette homme était fasciné par lui. Son regard n'avait pas l'air d'être celle d'un défi. Non, cette homme semblait vouloir vraiment être détruit. A ces instants, l'homme à la crinière rouge ressentait une curiosité à son égard. Il voulait s'amuser, c'était désormais une évidence. Ce blond, avec son air étrange, piquait sa curiosité. Il n'était pas comme les autres humains. Non, jamais personne n'avait réagit de la sorte. Le regard d'Axel se posait sur cette homme. Sur cette étrange personne. Une personne qui semblait tant être intéressé par lui. L'intérêt du démon le poussa à lui demander son nom. Généralement, l'homme à la chevelure rouge ne s'intéresse pas à connaître le nom de ses victimes, mais pour une fois, il voulait savoir le nom de cette étrange personne. Ce blond. Alexis. L'homme à la chevelure de flemme ne l'oubliera pas. Son regard continuait à scruter le moindre des mouvements et réaction de son interlocuteur. Bien sur, ce dernier lui avait demander confirmation qu'il s'appelait bien Alex, mais ce dernier ignora tout simplement la question. Il en avait que faire de lui donner son prénom, d'autant plus que cette question sonnait plus rhétorique qu'autre chose.

Son regard, vert, perçant, dévisagé le jeune homme. Il scrutait la moindre expression faciale du jeune Alexis. Un regard effrayant que personne n'osait soutenir, sauf lui... Bien étrange, il est vrai. D'autant plus que le regard que lui offrait ce dernier n'avait rien de celle d'une personne courageuse qui osait venir le défier du regard. Non, étrangement, il ressemblait plus à un lâche. Il scruta longuement son regard, avant de lâcher un soupire et quittait son regard de cette Alexis. Il avait comprit. Ce type, il le regardait étrangement. Comme s'il éprouvait de la fascination envers lui, ou plutôt, comme s'il l'enviait. Pourquoi ? Avait-il un rapport avec lui ? Pourquoi voulait-il devenir comme lui ? Il en était en tout cas certain. Cette homme était lâche. C'est cette impression qu'il éprouvait pour le blond en face de lui. Une personne faible, malgré sa forte apparence. Il semblait froid, insensible, mais finalement, l'homme aux yeux vert perçant était assuré d'une chose : il était faible. «- J'ai envie de le détruire». Ces mots résonnait dans son crâne, alors que son sourire plein de sadisme retrouvait ses lèvres. Oui, son but était de détruire cette homme, l'écraser. Il s'y prendra lentement. Cette homme est faible, il viendra pas le détruire intérieurement, le faire douter. Lui faire briser sa carapace et s'amuser à le détruire encore plus qu'il ne l'est déjà. Car oui, l'homme en face de lui était détruit. Il ne le trompera pas. Il ne voyait pas un homme, aussi faible soit-il, en face de lui. Il voyait un esprit en miette. C'était comme si l'homme en face de lui était, en réalité détruit. C'est un sentiment étrange qu'il dégageait au fantôme de la cage d'escalier. Il rangea ses mains dans ses poches. Il se refusait de lui faire mal physiquement. Ou du moins, pas tout de suite. Non, cette homme devait être détruit psychologiquement, mentalement. Etre torturé mentalement, avoir son esprit réduit en pièce. Oui, ce serait beaucoup plus marrant. Il en était sûr. Et puis, son regard se reposa sur ce jeune homme. Sur cette carcasse à ses yeux, et sa demande fut explicite : deviens mon ami. Ce n'était pas une demande. De sa voix perçante, il était clair. Il ne lui laissait pas le choix. Un léger rire avait eu l'homme en face de lui, mais l'homme au cheveux rouge n'eu pas de réaction face à ça. Non, ce n'est pas comme si son avis importait dans sa décision. Ce n'était pas comme si sa définition du mot "ami" était la même que celle de tout les autres humains. Non, un "ami" pour lui, c'est juste une proie plus intéressante que la moyenne. Tout ce qui avait eu le droit d'être désigné de la sorte, soit qu'une poignée de personne, l'avait tous amèrement regretté et espérait la mort la plus rapide de tous. Deux ont vu leur voeu exaucé, un autre a fini comme un légume humaine à force de subir les expériences du jeune homme.

«- Tu sais que tu viens de me dire que tu veux me faire du mal et maintenant tu aimerais qu'on soit copain? Puis-je te demander pourquoi? Me détruire de l'intérieur peut-être?  »

Ce blond n'était vraiment pas idiot. Il le savait et désormais, le jeune homme venait de le convaincre. En même temps, c'était pas bien difficile de comprendre qu'Axel n'est qu'un monstre. Qu'il n'a rien de bon en lui. Cependant, comprendre les intentions de ce dernier, ce n'était pas donné à tout le monde. Non, en règle général, les gens préfèrent fuir dès qu'ils se rendent compte à quel point il est démoniaque, mais ce sont déjà coincé le pied dans ses filets. Tels une araignée, il ne laisse pas de chance à la bête de s'en sortir, qu'elle est déjà bloqué dans sa toile qu'elle comprend à peine à quel sauce le monstre commence à la cuisiner. Cette homme était bien plus malin que la moyenne, bien qu'il venait malgré tout ajoutait ces si étrange paroles. Il aimerait bien l'être, avait-il laissé échappé, de son regard à nouveau froid, bien que sa voix n'en avait pas l'air. Elle exprimait juste sa sincérité la plus total. Bien sur, le jeune homme à la chevelure rouge ne répondit, une fois de plus, pas à ses questions. Non, il continue à le regardait. Ce jeune blond, qui venait à nouveau affichait ce regard froid et distant. Cette fausse facette, pensait-il à cette instant. Cela ne donnait qu'une envie plus violente au géant de le démolir, le voir souffrir, mais ce ne sera pas pour cette fois. Non, il n'est pas soumis à ses pulsions, et préfère le cuisiner lentement mais sûrement, d'autant plus que ce dernier, malgré sa compréhension sur la situation, ne le fuyait pas. Enfin, dans l'état actuel des choses, il était peut-être bien plus malin pour lui de faire ça. Après tout, Axel n'était pas du genre à discuter. Cela ne rimait donc à rien de contester ces paroles, aussi surprenant qu'elles soient.

Une jeune fille arriva à vif allure vers les escaliers, avant de s'arrêter net en remarquant les deux hommes qui étaient là, assit, sans rien dire, alors que le blanc produit par leur silence donnait un air pesant aux alentours. La jeune fille remarqua alors le géant, aux cheveux rouges, qui fixait toujours le jeune blond de son regard perçant, sans dire le moindre un mot. Elle pu remarquait son sourire sur ses lèvres, qui te glâcifie le sang instantanément. Ce type n'est pas normal. Son regard, son sourire, son visage... C'était lugubre. Ce type, cela se voyait qu'il semblait s'amusait à imaginer les pire scénarios pour l'homme en face de lui. Elle ne pouvait oser passer entre les deux. Elle avait peur de se faire démolir à la seconde où elle passerait devant lui car elle le ferait quitter ses pensées. Même si elle était en retard, elle préféra courir vers d'autres escaliers plutôt que passait devant ce monstre et ce type étrange, qui restait là, malgré tout, à soutenir son regard. Le démon cherchait à tester son "ami", jouait avec son esprit, alors qu'il continuait à le fixer de cette air terrifiant, si naturel chez lui. Il voulait lui faire du mal, il en mourrait d'envie, alors qu'une de ses mains sortit de sa poche pour venir passer sur sa chevelure aux couleurs du sang, pour les plaquer en arrière, avant de prendre une nouvelle fois la parole, de sa voix perçante et froide.

«- Au fond, tu n'es qu'un lâche, n'est-ce pas ? »

Sa question, direct, n'avait pas pour but de provoquer le jeune homme, bien qu'Axel était curieux de voir comment ce dernier le prendrai malgré tout. Il lâcha un soupire, fermant les yeux, avant de changer d'expression et tourner son regard vers le couloir vide. La réponse du jeune homme n'avait, à ses yeux, aucune importance. Il ne faisait que dire ce qu'il pensait honnêtement, comme toujours. Bien sur, il y avait cette volonté, aussi, de blesser la personne intérieurement. D'autant plus que cela devait être plus efficace avec des personnes, comme lui, qui cherche, pathétiquement, à cacher leur sentiments des autres. M'enfin, il n'aura pas le temps de le cuisiner d'avantage, puisque la pause de 10 heures est sur le point de se terminer. Bien que cela n'est pas utile pour lui d'aller en cours, il préfère y aller pour continuer à semblait d'être un type réglo, du moins dans ses dossiers, seul trace valable pour prouver quoique ce soit contre lui. Axel soupire. Il est temps de quitter cette place. Il se lève alors lentement, les mains dans les poches, pour se retrouver à nouveau debout, légèrement courbé vers l'avant. Même s'il est pratiquement toujours courbé en avant, il en reste pas moins imposant pour tout ce qui lui font face. Il se ressaisit uniquement lorsqu'il est sur le poing de frapper quelqu'un, pour l'écraser par sa grandeur et sa prestance étouffante. Il l'est déjà trop lorsqu'il est courbé de cette manière. De sa grande taille, le jeune homme fixe quelques secondes le jeune homme assit plus bas que lui, comme s'il pouvait lire à travers son esprit. Ses yeux verts n'affichent aucune expression, si ce n'est celle d'un prédateur guettant sa proie. Un bref instant s'écoula, et un sourire se dessina une nouvelle fois sur ses lèvres. Un sourire malsain. Encore une fois, son aura démoniaque resurgissait. Encore plus intensément, maintenant qu'il était debout. Il ferma alors lentement ses yeux et remit le casque, qui n'était pas à lui à la base, sur sa chevelure, afin de recouvrir ses oreilles de son étrange musique, et sans dire le moindre mot de plus, descendit les deux marches devant lui pour se retrouver face à l'homme à la chevelure blonde. Il se retourna alors légèrement vers lui, avant de se pencher en avant pour venir déposer ses lèvres contre celle du jeune homme, sans y mettre un quelconque intérêt ni la moindre hostilité, avant de se relever très rapidement. L'homme à la chevelure rouge le regarda alors avec un sourire psychopathe sur ses lèvres, avant de retourner suite à ces simples mots.

«- On va bien s'amuser tout les deux. »

Suite à ces mots, il s'en alla, les mains dans les poches, à nouveau. Comme si de rien n'était, perdu à nouveau dans son désintérêt la plus total et terrorisant, par sa seule prestance, les élèves et professeurs qui ont le malheur de le croiser dans les couloirs et qui vont jusqu'à se coller au mur pour lui laisser la voie libre pour marcher, lentement, vers son prochain cours.
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Alexis A. Lambert
Alexis A. Lambert
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MessageSujet: Re: Une glace pour oublier le sang [libre] Une glace pour oublier le sang [libre] Icon_minitimeJeu 7 Aoû - 9:39

Toujours ce regard froid, ce regard perçant, se regard qui traverse le cœur et ferait peur à n'importe qui qui ne s'appelait pas Alexis Abel Lambert. Pourquoi cet homme ne te faisait pas peur, tout simplement parce que tu n'avais rien à perdre, tu allais mourir un jour ou l'autre et tu espérais bien que ce soit le plus vite possible, éradiquer ton existence de la terre ne marchait pas seul, mourir en tentant de te suicider, on ne voulait pas t'accorder le repos, alors tu t'en fichais, tu n'avais pas peur outre la phobie de blesser de nouveau quelqu'un. Ça, tu ne le supporterais jamais, tu avais déjà détruit la vie de ta mère, de ta grand-mère et tu ceux qui entouraient ces personnes, tu as même peut-être brisé des couple parce que ta mère couchait avec tout les hommes qu'elle rencontrait et probablement des hommes mariés, qui se sont divorcé à cause de la tromperie. Ta mère n'avait jamais rencontré l'amour par ta faute, car tu intervenait souvent lorsque les hommes venait à ta maison jeune. Tu n'avais rien à perdre dans cette vie misérable, tu n'avais rien à gagner non plus. Alors pourquoi craindre la mort alors que tu n'as aucune raison de vivre? Pourquoi craindre d'autre chose alors que que tu n'avais aucune raison d'avoir peur? Pourquoi être effrayer d'un homme qui ne faisait qu'être ce qu'il était, ou qu'il se donnait cet apparence pour ne pas être plus blessé qu'il ne l'était, un peu comme toi tu le faisais.

Tu ne savais pas pourquoi, mais on dirait que cet Axel pouvait voir au travers de ton âme et c'était légèrement stressant. Tu n'en montrais guère de tes sentiments, pourtant, ses yeux étaient si persistant qu'il pouvait faire trembler n'importe qui tellement il semblait lire dans les penser. Puis, on dirait qu'il savait, tout, absolument tout sur toi et semblait détacher son regard, comme si sa mission était complétée. En même temps, la logique des action et du comportement pouvait bien être facile à discerner pour des personnes comme lui. Personne ne pouvait avoir un aura aussi noir, s'il était né dans une famille qu'il l'aimait beaucoup et le couvait. Non, déjà, même de l'intimidation ne pouvait pas être la cause. Et les parents définissent avant tout qui vous êtes et sur quel chemin vous allez vous lancer, votre confiance en vous commence de cette façon. Toi, elle a complètement été détruite par ta mère qui te criait dessus pour des banalité. Il devait avoir une pression social de plus, pour que son caractère son différent du tien. Il avait du connaître la violence très jeune ou l'abandon, peut-être même les deux. Tout ça le rendait terriblement intéressant. Tu voudrais tant savoir pourquoi il ressens ces vagues meurtrière, ces envies de vouloir détruire tous ceux qui rencontre son chemin, tu voulais savoir pourquoi tous à une seule exception près était effrayer par cet aura noir, pourquoi il semblait si détaché du monde, pourquoi il était seul par choix, pourquoi sa vie était-elle si triste. En fait, tu trouvais qu'il était à la fois tout l'opposé de ta nature. Tu étais un être pacifique alors qu'il était un être qui démolit tout sur son passage, aider une personne te fais le plus grand bien alors que lui, détruire celle-ci semble lui faire le même effet. Pourtant, il cachait sa nature, sa faiblesse, car tous les humains en ont. Il la cache si bien, mais justement, probablement que cette faiblesse soit son passé, qu'il cherche à apaisé cet abandon par ces poings. Si c'est bien cela, sa faiblesse est en fait la plus visible, lui-même. Il y avait tellement de possibilité et ta curiosité s'agrandit au fur et à mesure que les scénario s'enchaîne dans ta tête. Il semble, certes, être l'opposé de ta personne, mais tout aussi semblable si on mettait certaines pièce de ce casse-tête sans fin.

Ma réponse semblait bien hasardeuse, mais avec une personne comme celui-ci, c'était terriblement probable. De plus, ne t'avait-il pas avouer qu'il voulais te faire du mal, alors pourquoi voulait-il soudainement devenir ton ami et le savant très hors de ce monde, car qui ne l'aurait pas remarqué, quel était sa définition d'ami à lui, comment il les traitait ses potes? Tu ne le savais pas, tu ne savais rien sur ce ''démon'', cet humain blessé à un tel point qu'il en n'était plus qu'une carcasse vivant à se venger, mais lui, il semblait tout savoir sur toi.

«- Au fond, tu n'es qu'un lâche, n'est-ce pas ? »

Lâche. Toi. Évidemment, tu n'étais qu'une pourriture qui avait donné sa vie à la mort. On pouvait dire que tu l'étais. On te l'avait aussi souvent dit au cours de ta vie, souvent par ta mère, quand tu lui répétait que tu ne pouvais pas cuisiner, que tu étais trop petit pour la cuisinière et que tu ne savais aucunement faire quoi que ce soit. Tu étais lâche de laisser ta mère se faire du mal, tu étais lâche d'aller manger chez des amis, tu étais lâche de perdre confiance à la vie. Oui, tu avais tout abandonné, tu étais, en effet un lâche et cette constatation te fit sourire, légèrement alors que tu regardais le plafond, à la recherche de tes idées, de quoi répondre.

- Je pourrais te retourner la question, enfin, plutôt la constatation.

Tu regardais l'heure, tu allais être en retard. À la limite du possible, tu t'en fichais, tu allais peut-être faire une folie pour une fois et sécher un cours. Ouais, tu allais ensuite avoir une retenue et rencontrer de nouveau des personnes agréables qui ont probablement voulu ou déjà tenté de t'encastrer dans un mur et te frapper. Tu t'es toujours défendu, mais tu le savais, si lui voulait te faire du mal physiquement, tu n'allais rien pouvoir y faire. Ces personne qui tente de s'attaquer aux faibles le sont eux aussi, terriblement, mais lui, il est pire, pire qu'être faible, il est abattu, comme un chien blessé près d'une route si on suit cette logique paradoxalement pleine et sans aucun sens. Cette personne est tout simplement faible de cœur, elle est lâche, mais c'est ce qui en fait sa force qu'il utilise très bien. Toutes ces options qui se dessine das ta tête s'embrouille et se mettent à s'approfondir sur la faiblesse d'Axel qui s'était levé. Il était bien plus imposant ainsi qu'assis. Il descendit ces deux marches pour te rejoindre, c'était penché vers toi et avait posé ses lèvres contre les tiennes. Tu étais surpris au début et il se releva. Au début, tu avais pensé qu'il se jouait de toi, qu'il essayait peut-être de prouver quelque chose, un quelconque gage de vrai amitié, tu ne savais pas, mais tu avais vu le sourire, un regard que tu n'aurais peut-être pas voulu voir avec le geste précédent. Pourtant, idiot et suicidaire comme tu es, cela ne fis que te faire sourire alors que sa bouche dit de nouveau des paroles si peu rassurante pour des oreilles normales, mais pas pour quelqu'un qui avait ton cerveau.

«- On va bien s'amuser tout les deux. »

Tu le regardais tranquillement partir alors que tu ne t'empêchais pas de sourire. Tu accotas ta tête doucement contre le mur et regardas en face de toi comme une collégienne qui venait de savoir que son amour était réciproque, mais pour toi, ce sentiment qu'on enlève quelque chose de ses épaules étaient si présent, comme si cette personne se rapprochait le plus de ce qui pouvait être ta mort. Tu décidas d'être un bon élèves et d'aller en cours. Tu montas donc les escaliers et atteins ta classe quelque minutes après la cloche.

Fin
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