Un sourire idiot. Non, un sourire d'imbécile heureux. C'était quelque chose de péjoratif, mais dans les circonstances actuelles ça m'allait à ravir : j'étais la personne la plus heureuse du monde, et encore plus quand je pouvais embêter ma femme. Je ne pus que rire doucement quand elle me fit tomber sur le lit, visiblement mécontente que je la taquine à ce point. Je ris beaucoup moins cependant lorsque Kanako tira vivement sur mon pantalon et mon boxer pour me laisser nu devant elle.
- Impatiente ? La provoquai-je.
J'eus très vite ma réponse lorsque ma chère et tendre commença à faire de longs mouvements sur ma verge, frottant son intimité si humide contre moi. Je gémis longuement, mes mains sur ses hanches pour l'aider à faire de plus amples mouvements. Elle avait très envie de moi et la rigidité de mon membre laissait très vite entrevoir que moi aussi. Kanako lécha doucement mon cou, me faisant frissonner de toute part. Elle connaissait pas coeur mes points sensibles...
- Tu as vraiment envie d’être si lent Edward ? Puisque c’est comme ça je vais t’apprendre un peu ce qu’est vraiment faire languir…La réplique de Kanako me surpris beaucoup, mais je n'étais pas contre la voir aussi motivée à faire l'amour même si elle n'allait pas me dominer longtemps. Cependant il valait la peine de voir ce dont mon épouse était capable. Lorsque Kanako se redressa j'en fis de même pour voir ce qu'elle faisait. Malheureusement mon attention masculine fut attirée très vite par les seins de Kanako que le léchai doucement sans plus m'occuper de ce qu'elle faisait.
- Qu'est-ce que tu cherches mon ange ?Autant vous dire que la question n'eut plus la moindre importance quand Kanako m'embrassa vivement et laissa entrer mon gland en elle. Je gémis durement, son entrée me comprimant à un point que j'adorais. En tout cas, j'appris une grande leçon ce soir : Edward, ne laisse jamais ta femme détourner ton attention, car sinon, voilà ce qu'il va se passer. Un cliquetis résonna dans la pièce, et en moins de temps qu'il n'en fallait pour le dire mes bras menottés dans mon dos.
- Voilà à quoi serve les clés, elle ouvre ces menottes.Inconsciemment, je me mordis la lèvre d'excitation. Nous n'avions jamais rien fait de tel et j'avais grand hâte de voir ce que Kanako me réservait, même si je me doutais bien que les menottes n'étaient pas étrangères à sa menace de frustration. Sans me laisser une seule seconde de répit, Kanako noua un bandeau sur mes yeux, me laissant donc à la fois inapte à utiliser de façon efficace mes mains, et incapable de voir ce qu'elle me réservait. Frustration au niveau le plus élevé là.
- Détache-moi Kana, j'ai envie de caresser tes seins... Tu n'as pas envie que je te fasse gémir avec mes doigts ? Tentai-je de négocier.
Je gémis soudainement en sentant l'humidité de la langue de Kanako dans ma nuque. Jamais je n'avais frissonné à ce point à son contact, le bandeau y était pour beaucoup. Déjà que ce jour était le plus spécial de ma vie, si en plus Kanako rajoutait à ma sensibilité je n'allais pas pouvoir me contenter de jouir une seule fois. Mais ma femme ne s'arrêta pas là : sa langue plongea jusqu'à mon torse où passait juste après elle un petit objet vibrant qui me faisant déjà perdre la tête d'avance. Je ne parvenais pas à en deviner la forme mais de toute évidence ça allait me plaire.
Mais cela ne lui suffit pas encore : elle lécha longuement mon membre en m'arrachant de longs gémissements incontrôlés. Sa langue chaude et humide passait bien sur toute ma longueur alors que le petite objet vibrait encore sur mon bas ventre. je perdais la tête, bougeais des hanches pour essayer de faire entrer mon gland entre ses lèvres et qu'elle me donne encore plus de plaisir. Si mes mains avaient été libres cela aurait été un millier de fois plus simple, mais laisser Kanako faire les choses exactement comme elle le souhaitait avait un charme encore différent. Les bruits que faisait l'entrée de Kanako me laissèrent deviner qu'elle se faisait du bien, mais aussi qu'elle était très humide.
- J'ai envie de te baiser toute de suite Kana... Enfonce-toi sur m...Ma phrase fut coupée par un long gémissement causé par les lèvres de mon épouse qui entourèrent mon membre subitement. L'objet vibrant, que j'assimilais à un anneau, quant à lui se trouvait contre la base de mon membre, me rendant encore un peu plus fou de désir. Sachant pertinemment que je ne parviendrais pas à m'en empêcher, je fis des mouvements dans sa bouche qui me tuèrent de plaisir. Quand elle décida qu'il était temps de se retirer, décision que je ne pouvais approuver, elle plaça l'anneau bien sur la base de mon membre cette fois-ci et l'y laissa. Je tremblais de plaisir, tout mon corps victime de vagues de chaleur assez improbables.
- Tu aimerais me doigter ? Mon vagin à vraiment envie de tes doigts, j’ai envie que tu défonce mon vagin Edward…j’ai vraiment envie que tu me prennes comme je le mérite après avoir autant taquiné ta queue toute dur…Je me mordis la lèvre, très frustré de ne pas voir Kanako lorsqu'elle était si provocante. Un parler très cru mais qui correspondait point pour point à ce que je voulais lui faire. Fort heureusement, elle décida peu après cette réflexion intérieure de défaire le bandeau. Je pus voir juste au-dessus de mon visage son intimité si humide, et ses doigts jouant à l'intérieur...
- Dès que tu m'auras détaché crois-moi tu ne seras pas déçue... Je vais te faire gémir comme jamais, tu n'en pourras plus à la fin...- Lèche moi. Je veux que ta langue me fasse jouir…Mon corps fut parcouru d'une intense vague de plaisir, qui fut d'ailleurs intensifiée lorsque Kanako glissa mon gland dans sa bouche en jouant avec l'anneau autour de mon membre. Je gémis durement, me crispant sur les draps tant elle me tuait de plaisir. Et dire que ce n'était que le début, je n'osais même pas imaginer la suite...
Faire jouir Kanako était pour le moins tentant. Je me redressai tant bien que mal en m'aidant de mes coudes pour lécher l'intimité de Kanako. Ses doigts restaient bien dans son entrée pour le moment alors que ma langue passait vivement sur son clitoris. Parfois je le suçais très légèrement, le pinçant de mes lèvres en douceur avant d'y appliquer de nouveau ma langue. J'étais pour ma part totalement à bout avec Kanako qui léchait avec tant d'assiduité mon membre...
- Tu es totalement trempée... Tu es sûre de réussir à me faire languir dans ces conditions ? La provoquai-je.
Même si en réalité il était évident qu'elle m'avait déjà fait languir plus que jamais et que je n'en pouvais absolument plus. Pour autant, je n'avais pas vraiment d'autres choix que de me montrer patient puisque mes mains n'avaient accès à rien d'autre que les draps. Pour me venger un peu je me mis à bouger des hanches dans sa bouche, profiter de sa chaleur et de son humidité inconcevable. Je l'aimais tellement... J'avais l'impression de ne plus savoir où j'étais, perdu dans un plaisir et un bonheur incomparables.
Je me redressais un peu plus encore sur mes coudes et, espérant surprendre Kanako, ma langue joua avec son autre entrée. J'avais adoré la prendre de ce côté-là après lui avoir fait ma demande en mariage et lui procurer ce plaisir pouvait faire ressurgir ces agréables souvenirs de notre proximité grandissante de jour en jour. A chaque fois que je devenais plus proche de Kanako, j'avais cette impression intangible que nous ne pouvions plus être plus proches que ça, que nous avions atteint ce qu'il se faisait de mieux. Mais, régulièrement, mon épouse me surprenait davantage en me prouvant que notre amour était infini, et que sa limite ne serait jamais atteinte.
- J'avais envie de te faire languir mais je n'en peux plus... Suce-moi bien Kana je vais jouir dans ta bouche...Je retournai cette fois-ci à son clitoris, jouant parfois à glisser ma langue à l'entrée de son vagin de façon très perverse. J'adorais sentir ainsi son humidité grandissante, la voir rouler des hanches d'excitation... Et moi non plus je ne pouvais plus tenir. Je me concentrais sur son clitoris tandis que mon corps était parcouru de vagues intenses de plaisir. J'allais jouir d'un instant à l'autre tant elle me faisait perdre la tête. Le paroxysme du plaisir ne se fit plus prier.
Mon membre palpita dans sa bouche à plusieurs reprises, et sans même essayer de me retenir je jouis entre ses lèvres en quantité. Dans un râle rauque, je bougeais doucement des hanches pour appuyer mon membre contre sa langue en jouissant, mes lèvres toujours occupées sur son clitoris pour la faire jouir. Je faisais de mon mieux pour la rendre aussi folle que moi, et elle finit par jouir de cette manière peu après que j'ai joui dans sa bouche... Comme si ça l'avait excité de recevoir ma jouissance si soudainement.
-Je veux te baiser je n'en peux plus... Détache-moi maintenant, je vais te rendre totalement folle de plaisir.J'espérais réellement qu'elle allait me détacher. j'avas envie de la saisir par la taille pour la plaquer à un mur, ses jambes autour de ma taille, et la prendre comme ça sans ménagement. Elle était tellement humide et elle avait si bien mouillé mon membre... J'étais à bout.