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Quand je me souviens de toi, ça a un goût de caramel.

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AuteurMessage
Linh Kinh Parker
Linh Kinh Parker
Messages : 63
Date d'inscription : 26/06/2013
Localisation : Ici

Nous voulons en savoir plus~
Âge: 20 ans
Orientation Sexuelle: Bisexuel
Petit(e) ami(e): Lukha prochainement
Quand je me souviens de toi, ça a un goût de caramel. Vide
MessageSujet: Quand je me souviens de toi, ça a un goût de caramel. Quand je me souviens de toi, ça a un goût de caramel. Icon_minitimeLun 1 Juil - 22:33

Invité a écrit:

Linh Kinh
Parker






Carte d'identité


Âge : 19 ans, sinon, quel âge suis-je censé avoir ? Un an ou deux de plus si tu le souhaites.

Sexe: Quatre fois par semaine...Quoi ? Homme ou femme ? Les deux ! Tous ce qui me tombe sous la main..!

Nationalité : Vietnamien.

Groupe : Extérieur.

Logement : Ailleurs.

Loisirs : Pratiquer du sport de chambre, chanter, élever des cochons sous le lit de mon colocataire, et élever des cochons. (Ceci est important )
& More.


Et ton avatar, c'est qui ? Valshe.

Et le code ? Validé par Ed' (Si ça gère pas comme code *o*)

Comment avez-vous trouvé le forum ? Et si je vous dis, yaoi ?~

Autres choses ? Comme je me nomme Linh Kinh Parker, ça se trouve que j'ai des gênes de spiderman ! Haha, j'ai juste le pouvoir de te faire sauter comme spiderman~ (En toute innocence :3)




Description Physique.


Une sorte de magie doucereuse enveloppait l'atmosphère. L'espace d'une nuitée agréable où les accords cuivrés semblaient caresser désespérément les étoiles. De leur âcre désir presque brûlant de goûter enfin au voluptueux nirvana qu'est la délivrance. Des accords syncopés subtilement feutrés creusaient le temps tantôt, y créant une crevasse, s'amplifiant jusqu'à tard dans la nuit. Une profonde gerçure doucement enveloppée dans des draps d'allégresse et euphorie. Sous les lumières dorées s'élançaient des silhouettes fantomatiques dansant les cents pas éphémères que tout connaissait si bien, au rythme des sonorités aiguës de sa voix féerique. Il se souvenait de ce jour là, comme il se s'en souviendrait, lui autre. Dehors les gouttes de pluie s'écrasant contre les fenêtres mal fermées, prenant une chaleureuse couleur dorée sous la lumière, créaient des symphonies silencieuse valorisant le fantastique de sa voix. L'atmosphère était chaleureusement embellie par les sourires épais des jeunes femmes aux cheveux crépus. L'endroit n'était point le plus luxueux, en vérité, il ne l'était en rien. Et l'étroite place peinte en noir sâle en était la plus grande preuve. Mais il y'avait ici, quelque chose qui l'attirait chaque soir, qui menaient et presque instinctivement ses pas vers cette ambiance là, qui était devenue pour lui presque habituelle. Non, il y'avait quelque chose ici, qui les liaient tous, alors qu'ils ne se connaissaient même pas, il y'avait ici quelque chose, qui les ramenaient encore chaque soir ici, sans même en être conscient. C'en était évident, cette atmosphère et ambiance était devenue pour eux aussi indispensable que de l'air. Ils prenaient goût à ces petites soirées passées en famille, alors qu'ils n'en étaient pas une. Ils savouraient ces illusions perdues et rêves bohémiens d'autre fois. Ils les partageaient tous. La réalité était, que chacun d'eux, n'avait ni présent ni avenir. Qu'ils se ressemblaient tous, bien qu'ils n'avaient pas le même âge, ni les mêmes visages. Ils savaient, qu'ils avaient les mêmes yeux. Qu'ils avaient ce même regard rêveur, puéril et innocent. Qu'ils souffraient de cette même asthénie enfouie au fond de leurs regard sous un masque d'optimisme. Chaque syllabe étaient pour eux une myrade de rêve et illusion. Chaque geste était fantasme et irréalité. Ils plongeaient dans une mer de voluptueuses attentes et espérances, sachant qu'au fond. Elles ne seront que vaines....Un soir pluvieux comme celui-ci..Il avait découvert cet endroit là...

Ses minces et longs doigts vinrent enlacer fiévreusement le microphone qu'il porta à ses minces lèvres bleutées. Il adressa un furtif sourire aux airs sympathique au pianiste frappant avec nonchalance les touches de son piano à ses cotés. Il lui semblait que personne autour de lui n'existait, il ne voyait que leurs sourires, et cris, se fondant dans l'ambiance chaleureuse.

I see the crystal raindrops fall
And the beauty of it all
Is when the sun comes shining through
To make those rainbows in my mind


Sa voix féerique emplissait toute la salle, sous le regard fixe d'un certain brun, que le vietnamien ne remarquait même pas. Son corps était élancé, et il se tenait parfaitement droit. Personne ne pouvait nier le charme et sensualité dont il faisait preuve. Il était quelqu'un de particulièrement charismatique. Et celà n'étonnait pas ses partenaires, que certains clients venaient juste pour le voir. Sa venusté fut propre à lui, ses gestes étaient presques félins tellements ils étaient précis. Et sa peau ; une mer de café paisible, aussi pure que de la soie. Semblant presque intouchable. Alors que ses cheveux ondulaient parfaitement jusqu'à la naissance de sa nuque, ils étaient tel la crinière d'un lion, ayant la couleur de l'argent. Caressant son menton imberbe à chaque geste de tête. Au rythme de la musique, il faisait presque partie de chaque mot qu'il prononçait, il en était parfaitement conscient, et semblait sorcier à cet instant là. Son visage fut teinté d'une allégresse dont lui seul avait le secret. Le mystère d'une sensualité et innocence nonchalante. Il semblait avoir tout, beauté et jeunesse, jamais les yeux du jeune brun n'avaient vu pareil. Un tel subtil mélange. Le visage du vietnamien était éclaircit tel une étoile luisante dans un ciel ébène, ses traits étaient distinguement fins. Alors que ses yeux...Dans ses yeux noirs, se reflétaient comme dans un miroir toutes les peines et joies des jeunes gens applaudissant suivant le rythme de sa voix. Toutes les lumières semblaient être faites pour lui, quand les femmes aux lèvres épaisses lui souriait, il leur rendait un sourire insouciant et optimiste, qui ferait n'importe qui succomber à son charme asiatique.

Just the two of us
We can make it if we try
Just the two of us


Quand il chantait le refrain, les jeunes filles peau café se déhanchaient au rythme des paroles de Bill Withers, alors que les hommes partageaient leur danse. Le jeune homme lui semblait dans son propre monde, à lui, et aux notes cuivrées mettant un peu de mouvement dans la rue si peu peuplée et presque vide de la nouvelle Orléans. Le torse du jeune chanteur était finement musclé, alors que ses jambes semblaient interminables. Les boutons de sa chemise blanche étaient ouverts, laissant paraître un tatouage en plusieurs notes de musique. Et il n'avait pas senti, même pas, le regard du brun le dévorant tel un loup hâtant sa proie. Il se contentait tout simplement de chanter, à toute aise, à en perdre la voix, même. Et il y prenait un vrai plaisir jouissif.

Just the two of us
Building big castles way on high
Just the two of us
You and I


Quand la chanson prit fin, son visage fut nappé de lumières bleutés. Les applaudissement lui firent afficher un sourire satisfait. Alors que sa main se perdit avec nonchalance dans ses cheveux argentés. Avant de sentir le coude de son partenaire contre son bras. D'un bref signe de main, il remercia les musiciens avant de se glisser subtilement pour disparaitre sous les longs rideaux qui rappelaient au jeune brun la couleur cauchemardesque du sang. Nine savait que le début de son aventure, se trouvait ici. Que son avenir et présent, étaient prisonniers de ce club de jazz sur peuplé de jeunes éphémère esclaves. Qu'une douce pluie sauvage, viendra laver les impuretés de son âme...Et la magie du monde féerique continua jusqu'à atteindre l'aube de leurs rêves..




Description mentale.

90 Mots Minimum.

-T'as assuré Rain !

Lui lança le pianiste sur un ton flatteur, Linh se contenta de sourire comme toute réponse. Se rappelant la raison pour laquelle on l'avait surnommé Rain. Le jour par le quel il était venu était pluvieux comme celui-ci. Par ce jour là..Ce jour de décembre..Sa vie fut chamboulée. Il se rappellait de ses cheveux noir jais collés contre son front. Et de la croix argentée luisant sous la lumière au clair de lune. Que le vent venait agiter à chaque soufflement. Douce pluie, brillant comme du cristal, douces nuits d'insomnies...Il s'était allumé une dernière cigarette, sous les lumières vertes et roses allumant la citée. Il faisait l'aller retour de la petite ruelle surpeuplée de la nouvelle-orléans. Il ne connaissait pas les endroits. Mais son optimisme et instincts bohémiens reprenaient le dessus. Sa nature originelle et barbare le gagnait. Elle le rendait mille fois plus sauvage, mille fois plus jovial, mille fois plus terriens. Ses manières étaient purement animales à cet instant ci. La cruauté de son regard songeur était criminelle, et ses yeux brumeux avaient quelque chose de charnel. Quelque chose de cruel. Il était tout autre ce jour là, ce jour ou il avait tout vendu pour gagner une nouvelle vie. La pluie noire lui voilait la face, la cruelle pluie retombant comme des cordes, cette même cruelle pluie d'un lointain automne..

Il vivait la bohème, depuis le jour où il avait quitter son pays. Mais il ne se sentait même pas malheureux, par ce jour pluvieux. La pluie semblait le laver de toute souillure. Un sourire fendait ses lèvres alors qu'il vivait le jour au jour. Comme oiseau libre. Il aimait la liberté, il n'avait point de contraintes, il voulait voler de ses propres ailes. En vérité, il était quelqu'un de très optimiste. Jamais Nine, n'avait connu plus optimiste que Rain.
Cherchant la présence des autres, il était assez social, assez pour s'intégrer dans ce petit club dès sa venue. Rain, était porté vers des voeux idéalistes, son imagination et sens de l'art étaient assez développées. Même si ça ne l'empêchait pas de voir loin, et garder les pieds sur terre. Ce n'était point un rêveur, ni un réaliste. Il était aussi doté d'une grande sensibilité. Bien qu'a son apparence naïve, il savait comment mettre en avant ses intêret. En vérité, c'était quelqu'un de très confiant, d'assez serein et rêveur. Mais ça ne l'empêchait pas d'être assez calculateur. De l'extérieur, il semblait être queqlu'un d'assez facile. Enfin, c'était ce qu'il laissait paraître, impulsif, franche, voir même matérialiste.
Se délaissant de sa scolarité, il s'est retourné vers une impossible vie amoureuse. Vers l'amour du jazz et peinture. Il rêvait d'une vie sans contraintes,  ou personne n'était là pour lui interdire de faire ce qui bon lui semblait. Ce soir là, on l'avait nommer "Rain"...Il était venu par un jour de pluie..Une nuit où son destin s'était manifesté.

Il souffla négligemment sur une de ses longues mèche de cheveux, avant de sourire à pleines dents à son ami et déclarer d'un air béat;

-Pardon, tu disais ?


Le jeune garçon soupira, puis riva ses yeux dans les siens, en pointant quelque chose au loin;

-Irréparable ! Cet homme là bas t'avait demander...





Lui savait parfaitement que le paradis et l'enfer n'étaient qu'à un pas l'un de l'autre...



Il se glissa doucement sous les rideaux. Se demandant si ce n'était pas encore une des nombreuses groupies. Ou encore, un de ses nombreux vieils hommes qui ne venaient que dans l'espoir de l'avoir dans leurs lit. Et qui ne voulaient guère comprendre que .."Non ! Il ne voulait pas coucher avec eux." A vrai dire, Rain n'avait plus le gout à ça. Il n'avait même plus le goût à penser à ça, ni même a entamer une relation sérieuse. Il ne comprenait même plus le sens des paroles qu'il prononçait, il n'y réflichissait plus. Même s'il savait parfaitement que chaque mot qu'il prononçait représentait l'histoire de sa vie et mettait à nue ses sentiments intérieurs. Sa tête se lassait des discours sans fin qui se basculaient la dedans. Et seul dieu comprenait le chao qu'il y'avait dans tout son être. Ses sens le quittaient, son âme, elle, tentais désespéramment de sauver ce qui lui restait de ses sens. Et sa surprise ne fut que grande, quand il vit la personne qui l'attendait. C'était un grand brun, faisant environ une tête de plus que lui. Ses cheveux cachaient négligemment sa vue. Ses grands yeux de jades furent voilées par les filets couleurs jais. Il laissa tomber sa cigarette, et Rain eu un mouvement de recul. En ce moment-ci, tant de sentiments le frappaient. Il sentit son coeur se briser de nouveau, comme autre fois. Et d'âcres souvenirs lui revinrent en mémoire. Il se rappellait très bien, le sensuel de ses lèvres, ses gestes presque violents, et la douceur avec laquelle il l'embrassait à chaque fois. Il ferma les yeux, comme pour se calmer. Dans ses yeux, des larmes invisibles avaient pris place. Il voulait crier, il n'en avait pas la force. Il voulait faire demi tour, et s'en aller. Ne sachant pas où, mais loin...

Des fragments de souvenirs lui firent l'effet d'un éclair en plein être. Il voulait pleurer et les larmes ne vinrent pas, crier, mais sa gorge refusait. S'enfuir, mais ses jambes le trahissaient...C'était lui, l'homme pour lequel il avait quitter son pays, sa famille, et ceux qu'il aimait le plus au monde. Cet homme là, pensa-il, m'avait appris les pires des habitudes. M'avait appris à aimer comme un fou, à aimer à en souhaiter ma mort, à aimer à en perdre la raison. Mais aussi, à haïr au point de vouloir disparaître. Mais être assez las pour ne point le faire. Mais parfois, et là, il s'était arrêter, au milieu de ses pensées. Et quand il le voyait aujourd'hui, il ne pouvait s'empêcher de se dire ; C'est pour cet homme que j'ai abandonné toute ma vie ? C'est pour lui que j'ai fais tant de sacrifice ? C'est pour cet putain d'enculé que je suis devenu ainsi ? Mais il se taisait. Car il se rappelait leurs première rencontre, comme si c'était hier. Et cette sensation qui naquit dans son bas ventre quand il l'avait vu pour la première fois. L'admiration avec laquelle il l'avait vu chanter. La joie qui le parcourrut quand il toucha sa main. Pour lui, Nine était une légende. L'homme le plus admirable sur terre, et il était amoureux de lui, même avant leurs rencontre. Il avait tant rêver de lui serrer la main, il avait imaginer ce jour maintes fois dans sa tête. Et l'amour lui brûlait l'estomac, il se sentait incendié, a chaque fois qu'il le touchait. Jamais il n'oublierai, l'amour avec lequelle il rivait son regard bleuté dans le sien. Jamais lui n'oublierait...L'amour qu'il éprouvait pour lui autrefois. Nine riva son regard dans le sien, et Linh eu comme reflexe de le détourner. Le jeune homme ouvrit la bouche, et d'un air désolé prononça ;

-Linh, ça fait longtemps que je te cherche ! On a a se parler, écoute...Je vais t'expli-

-Ne me parle pas !..Vas t'en, ne t'approche pas de moi. Disparait de ma vie, tu n'es qu'un enfoiré...


Il sentit les larmes lui monter aux yeux, mais il les baissa, il ne voulait pas qu'il le voit dans un tel état. Autre fois, il avait quitter sa famille, pour vivre avec lui...Il se rappellait comme il était fou amoureux, quand il le comblait de caresse, quand ses mains l'entouraient sensuellement. Ses cheveux dans lesquels il passait sa main, et ce torse contre lequel il se blottissait. Et les larmes coulèrent argentées sur ses joues, mais ils n'étaient point visible.

-Reviens, je t'aime sincèrement, je l'ai réalisé je suis vrai-

-Assez ! Assez...cria il la voix frémissante. Laisses moi tranquille, n'importe qui fera l'affaire, n'est ce pas ? Un bon coup d'un soir tu t'es dis ? Ou plus ? Et combien de fois as tu vu d'autres gens ? Alors que tu me disais que tu étais au travail, menteur ! Dire que j'ai abandonné ma famille..Dire que tu as voulu m'injecter ta putain de germe ! Je ne suis pas ta salope ! Je ne suis pas ta pute Nine..Revenir quand tu me dis de revenir...Je préfères plutôt mourir que revenir avec toi...Ordure...


Son coeur se brisait en mille morceau, et l'entaille qui commençait a se fermer, s'approfondit quand Nine vint le presser contre le mur. Rain tenta de se débattre, mais il était clair que ça n'allait servir à rien, il était mille fois plus fort que lui. Nine écrasa ses lèvres sur les siennes, et là, Rain se sentit fondre. Ses lèvres avaient toujours ce gout caramélisé, le même qu'autre fois. Ses bras entouraient sa taille, alors que le brun passait son genou entre les jambes du vietnamien qui gémit de mécontentement. Il n'avait jamais été embrassé ainsi. Ses lèvres le brûlaient, tout comme son âme qui mourrait à petit feu. Il posa mollement ses mains sur son torse, et le repoussa. Les yeux larmoyants, il esquissa un sourire, un sourire amer. Puis il s'exprima la voix teintée de regret ;

-Je t'aime..Je t'aime Nine, comme je n'ai jamais aimer. Et c'est pour cette unique raison, que je ne veux plus revenir, que je veux que tu disparaisse à jamais. Et je t'aime encore, mais je suis fatigué, je ne veux plus te voir, ça sera mieux pour moi, pour nous deux.

Puis il l'écarta avant de s'éloigner, le laissant derrière lui. Il pris sa guitare, l'air calme, presque serein. Son ami le pianiste, s'approcha de lui l'air interrogatif, alors qu'il ouvrait la porte ;

-Rain ?! Qu'est ce qu'il y'à ? Ou vas tu ?

Il se retourna une dernière fois, un sourire amer fendait ses lèvres, comme s'il lui disait adieu. Il regarda tout cet endroit qui était devenu sa seule famille. Et les gens un à un, comme s'il faisait ses aveux. Une unique larme, roula sur sa joue pour mourir a la naissance de ses lèvres souriantes. La voix calme, ne laissant échapper aucun sentiment, il répondit ;

-Je ne sais pas, mais..Loin..

Il ferma ensuite la porte, laissant derrière lui ses rêves et ambitions, et tous ceux qu'il avait aimer autre fois. Afin de renaître à nouveau, dans un nouveau pays, avoir une nouvelle vie....
Ce jour là, il s'était endormi, les cheveux dans les yeux, rêvant d'atteindre l'horizon
.
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Saaya Kadàr
Saaya Kadàr
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MessageSujet: Re: Quand je me souviens de toi, ça a un goût de caramel. Quand je me souviens de toi, ça a un goût de caramel. Icon_minitimeLun 1 Juil - 22:57

épouse moi é.è !
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Quand je me souviens de toi, ça a un goût de caramel.

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