- Dépêche-toi Kana, Edward va t’attendre si tu traînes, me souffla Setsuna en me faisant bougonner.
- J’arrive.

Mes joues étaient rouges alors que le grand jour était arrivé. Ce jour où j’imaginais que ma vie allait un peu changer, j’allais devenir la femme d’Edward. Je rougis et idiotement enfouissait ma tête dans un coussin alors que j’étais vautré sur un canapé en sous-vêtement, assez stressée je devais l’admettre. Mon cœur battait fort alors que j’avais réservé plusieurs surprises à Edward dont la première : ma robe de mariée. Au départ nous avions décidé de ne pas faire trop de dépense…mais disons que j’avais de l’argent de côté et j’avais réellement envie qu’il se souvienne de ce jour alors même si ce n’était pas grand-chose j’avais fait en sorte peut-être d’être un peu plus féminine et sexy…j’avais aussi fait en sorte que la cérémonie se passe là où tout avait commencé…là ou il m’avait embrassé pour la première fois…je souris en repaissant que nous avions ainsi fait l’amour sur un coup de tête et que depuis je ne pouvais plus me passer de ses bras.

Je regardais sur le côté un longue robe verte pâle très moulante, qui selon les dires moulaient très bien mes peu de forme. J’avais choisis une robe vert plutôt que blanche car je n’aimais pas vraiment les traditions et puis le blanc symbole de pureté…quand j’avais prévu de le faire perdre la tête ce soir…je rougis un peu plus encore tandis que j’avais acheté plusieurs chose…qui j’espérais lui plairait tel qu’une nuisette totalement transparente, des sous-vêtements plus qu’aguicheur…je enfouis ma tête dans mon oreiller alors qu’on frappait à ma porte en me disant de m’habiller.

Mon cœur battait fort et j’avais dû mal à réellement réalisé, mais je suppose qu’il fallait que je le fasse. Je me redressais et attrapait la robe l’enfilant rapidement veillant à ne pas décoiffé mes cheveux pour une fois soigneusement peignée et tiré un peu en arrière pour dégagé mon visage non maquillée. Je n’avais pas envie de l’être. Doucement le tissu fin et délicat colla ma peau légèrement halé et je devais admettre que pour une fois je me trouvais plutôt jolie…je soupirais de plus en plus nerveusement en voyant l’heure défilé.

- Tu es superbe…

Surprisse d’entendre cette voix bien trop familière je reculais légèrement en me retournant. Mon frère. Je me crispais réellement alors qu’il n’avait cessé de nous harceler depuis l’annonce de nos fiançailles, il m’avait appelé souvent et je m’étais toujours réfugié derrière Edward car désormais il m’effrayait réellement. Je buttais contre le mur et y restait adossé en le regardant entre peur et colère envers lui : il ne devait pas tout gâcher, ce jour était important pour moi.

- Sors d’ici Jonathan, soufflais-je alors qu’il s’approchait de moi. Tu n’as rien à faire ici.
- Si, te récupéré, tu es à moi.

Durement il posa vivement sa main sur ma bouche, le tissu qui recouvra mon nez m’indiqua immédiatement ce qui allait se passer : j’allais m’endormir. Et ce fut le cas, je tombais dans les bras de mon frère sans même pouvoir me débattre. Tout était gâché. Il gâchait tout ce qui me comblait de bonheur…mon sommeil fut lourd mais je savais que c’était peut-être mieux sinon j’allais pleurer, pleurer et encore pleurer…

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Je passais mes doigts dans ma tempe alors que ma tête était lourde mais je fus un peu rassuré de reconnaître l’endroit où nous étions : mon ancienne chambre. Rien n’avait changé…hormis la chaînes maintenue à ma cheville droite, j’y portais mes doigts sans grande conviction et finis par remonter mes jambes contre mon ventre mes larmes coulant sur mes joues. J’avais peur. Peur de la réaction d’Edward…penserait-il que je m’étais enfuie ? Je ne voulais pas…je pleurais plus fort alors que j’étais impuissante…j’étais inutile encore une fois et mon frère avait sûrement réussis : Edward ne voudrait sûrement plus jamais de moi.

Sa voix. Il était là. Edward était là. Mes larmes n’avaient fait que redoubler alors que je ne savais pas ce qu’il se passait à l’extérieur de ma chambre, je n’entendais rien et ne faisais qu’appeler le nom de celui que j’aimais ayant réellement besoin qu’il me prenne dans ses bras là maintenant. Je me fichais de ce qui pouvait m’arriver, tout ce qui m’importait était l’amour d’Edward, j’avais tellement peur qu’il ait pensé que j’avais fuie alors que je ne désirais qu’une chose : devenir sa femme. Je pleurais un peu dans mes mains en me sentant totalement impuissante et comme un poids pour lui, mais alors que je ne cessais de murmurer son nom la clé dans la serrure m’indiqua que quelqu’un allait entrer.

Un peu anxieuse à l’idée d’avoir rêvée et que ce soit mon frère qui entre je me crispais réellement, froissant ma robe. Mais dès que les lèvres d’Edward se posèrent sur les miennes je redoublais simplement de larme alors que c’était bien lui. Je nouais mes bras autour de son coup et approfondissant le baiser ayant extrêmement besoin de sa présence…j’avais tellement besoin de lui…il était devenu un tout pour moi et je savais que si on m’enlevait se tout d’une quelconque manière je me sentirais brisée. Je riais malgré moi en le voyant aussi les larmes aux yeux et embrassait son nez rassurante sur mon état, c’était plus de l’anxiété qu’une douleur physique.

- Je suis désolé Kanako... j'aurais dû empêcher ça et plus me méfier de ton frère... Pardonne-moi pour le moment je suis loin d'être un mari extraordinaire...

Je tapais doucement son épaule en embrassant sa joue où s’écoulaient quelque larme puis nouait un instant nos doigts. Il disait n’importe quoi. Il n’était nullement fautif et il était un mari extraordinaire, il m’avait fait confiance et était tout de suite venue me chercher…je souris en me blottissant dans ses bras quand il eut retiré la chaîne à ma cheville. Je respirais longuement son odeur, profitait de son corps chaud contre le mien avec délice. Je pleurais malgré moi en le remerciant un nombre incalculable de fois autant pour m’avoir sauvée que d’avoir crus en moi et en mon amour pour lui.

- Je t’aime, bougonnais-je en séchant mes larmes rapidement. Tu dis des idioties, tu es l’homme le plus parfait que je puisse avoir…j’ai une chance incroyable…

Je posais mon doigt sur le bout de son nez avant de venir l’embrasser vivement. Ma langue glissa contre la sienne et je serais mes doigts sur sa chemise avec délice…j’avais crus perdre ça…ce sentiment doux quand il m’embrassait…je pouffais un peu totalement calme dans ses bras, quand il me souleva pour m’emmener jusqu’à sa voiture. Je n’aimais pas beaucoup être trimbalé comme un sac à patate mais là je le trouvais juste incroyablement adorable, je nouais mes bras autour de lui et enfouissait ma tête dans sa nuque la mordillant taquine.

Rapidement nous fûmes devant nôtre appartement où il y’avait visiblement un sacré remue-ménage…j’avais dû inquiéter tout le monde il allait falloir que je m’excuse…mais me surprenant un peu Edward me repris dans ses bras et je passais ma main dans ses cheveux en fermant les yeux. J’avais l’impression que rien ne c’était passé. S’il était là tout s’effaçait, tout ce que je voyais, tout c’à quoi je pensais était là devant moi : lui. Je le laissais coller nos corps même si il me faisait légèrement le désiré un peu trop…je caressais son dos en douceur pour le rassuré, pour lui montrer que tout allait bien. Mais les larmes dans ses yeux me firent gonflé un peu les joues…mais je suppose que c’était parce que je réalisais mal ce qu’il c’était passé…je suppose que ça avait dû être horriblement inquiétant pour lui, je posais donc un petit baiser sur son nez en prenant sa main dans la mienne.

- J'ai eu vraiment peur de te perdre... Ton frère est détraqué. Je ne le laisserai plus jamais te faire du mal Kana, je t'en fais la promesse. Dis... Tu veux toujours te marier ou tu préfères reporter..? Je comprends si tu te sens trop bouleversée, enfin...

Je secouais vivement la tête négativement, je ne voulais absolument pas repousser. Surtout pas à cause de mon frère. Ma seule envie était de dire oui à une question. Je rougis un peu alors que je me rendais compte qu’Edward avait vu la robe que j’avais choisis un peu sans son avis…je bougonnais mécontente avant de rire. Tout allait bien. Je l’aimais et il m’aimait. C’était suffisant pour me combler de bonheur. Je nouais mes bras autour de son coup en plantant mes yeux dans les siens.

- Te chercherais-tu une excuse Edward Lunster ? Demandais-je espiègle. Tu n’as plus envie de savoir ce que je t’ai réservé pour nôtre nuit de noce ?

J’étais naturelle. C’était peut-être étrange alors que je venais de pleurer pendant de prêt d’une heure mais j’étais rassurée. Je savais que désormais tout irait bien. J’embrassais plus langoureusement Edward, ma langue jouant avec la sienne avec désire pendant que je déboutonnais un peu la boucle de sa ceinture…je caressais quelque seconde son membre avant de m’écarter, j’ouvris la porte de la voiture et lui tirait la langue enfantine. J’aimais jouer avec lui et le faire durcir juste avant la cérémonie était tentant. Je riais avant de me pencher et de l’embrasser une dernière fois.

Mais je voulais réellement qu’il comprenne que tout allait bien alors avant de m’écarter je plantais bien mes yeux dans les seins en cessant un peu d’être enfantine. Il avait dû avoir très peur et je ne voulais pas qu’il se sente stressé pendant toute la cérémonie, alors je gardais un sérieux maximum même si je n’avais qu’une envie : sourire de bonheur.

- Je veux me marier avec toi Edward, personne ne me fera perdre mon sourire pour ça, je vais devenir ta femme.

Je souris malgré moi avant de s’écarter, je remontais rapidement à nôtre appartement en lui soufflant de se tenir prêt. Que nous allions nous marier définitivement. Et mon cœur s’emballa à nouveau entre joie la plus totale et nervosité que je ne pouvais contrôler…tout désormais devait être parfaite.

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- Détend-toi, me souffla Setsuna en me tenant les mains. Tout ira bien.
- Beaucoup de gens ? Questionnais-je réellement très nerveuse.

Setsuna leva les yeux aux ciels exaspéré et je lui envoyais un coup de coude dans les hanches qui la fit sourire vaguement. Elle était mon témoin…et j’en étais vraiment heureuse. Tout comme Martham pour Edward, elle était une amie proche. Je serais sa main et elle me sourit plus franchement, elle était heureuse pour moi je crois. Je hochais finalement la tête en acceptant enfin de franchir l’allé qui me conduirait tout droit sur mon futur marie…

Je pris une profonde inspiration et alors que la musique débutait je baissais la tête les joues rouges alors que Setsuna me donnait son bras pour m’accompagner. Je gardais mes yeux rivés sur mes chaussures ayant réellement peur de me vautrer avec mes talons, mais quand je relevais quelque seconde les yeux vers Edward je ne pus plus retirer mes yeux des siens. Me trouvait-il joli ? Je souris en me disant que l’effet de surprisse pour la robe était un peu raté mais que le reste restait à découvrir pour lui. Doucement je marchais entre les allés de banc et sur le sol recouvert de pétale de fleure blanche…puis enfin je fus face à Edward, je pris sa main nerveuse pour me rassuré même si ce n’était pas vraiment orthodoxe je suppose…je n’osais pas le regarder mais serrait fort ses doigts mon cœur battant la chamade.

- Nous sommes ici aujourd’hui rassemblé pour unir ses deux personnes par les liens sacrés du mariage, commença le prêtre alors que j’arrêtais rapidement de l’écouter pour regarder en biais Edward qui était magnifique. Edward Lunster consentez-vous à prendre Kanako Solfing comme épouse pour le meilleur et pour le pire ?

Je rougis plus violemment encore mon cœur battant la chamade, je redressais un peu le visage vers lui et souris un peu trop fortement je suppose…j’étais tellement heureuse. Je le laissais répondre plantant mes yeux dans les siens plus douces et plus assurée…je l’aimais. Je l’aimais à en mourir.

- Kanako Solfing consentez-vous à prendre pour époux Edward Lunster, de l’aimer et le chérir pour le meilleur et pour le pire ?
- Oui, soufflais-je rougissante.

C’était fait. J’avais dit oui. Je baissais les yeux alors que doucement je passais la bague au doigt d’Edward les mains un peu tremblante et les larmes aux yeux. Désormais c’était officiel j’étais : Kanako Lunster.

- je vous prononce officiellement mari et femme. Vous pouvez embrasser la... Bon il n'a pas attendu.

Je souris en passant mes bras autour de son coup avec douceur, je l’aimais tellement. Mon cœur battait fort et j’avais un sourire sur les lèvres qui ne partiraient pas, jamais. J’en étais persuadée. Tout le monde riait alors que moi je n’arrivais pas à penser à autre chose : je t’aime. Je glissais ma langue contre la sienne avec désire, j’étais sienne et il était mien…je serais plus fort mes bras quand il m’enlaça alors que j’avais la sensation que nous étions dans notre monde. Je collais ma poitrine à son torse et finit par rire franchement alors que nous nous écartions enfin…je serais ses doigts entre les miens alors que c’était fait. J’étais désormais sa femme.

- Je ne vais pas m'en remettre je crois. Kanako je suis tellement heureux...

Je riais un peu alors que mes joues rougissaient un peu plus et venait de nouveau me lover dans ses bras en posant un petit baiser sur son nez. Moi aussi. Moi aussi j’étais dans un état de bonheur tellement fort que je me demandais comment j’allais pouvoir arrêtée de sourire ainsi mais visiblement Edward était dans le même état que moi alors je ne me sentais pas gênée. Ce bonheur était doux et chaud, je n’avais qu’une envie le préserver des millions d’année, je posais mon front contre son torse en soupirant. Je n’arrivais pas à le croire je crois, je venais d’être officiellement marié à lui…je grognais en me redressant vivement, je serais vivement ses doigts dans les miens et l’embrassaient avant de m’écarter au sifflement. Je rougis et bégayait avant de me cacher derrière Edward gaminement.

Nos amis nous entourèrent, riant et nous éloignant un peu mais sa main resta dans la mienne en me rassurant. Je n’avais pas envie de m’écarter de lui, j’avais juste envie de me blottir dans ses bras et de savourer tout ça. Je serais plus doucement mes doigts dans les siens en le regardant sans arrêt, je finis par gonfler un peu les joues boudeuses quand on se moqua de moi qui ne faisais que regarder mon fiancé et je fus réellement soulagé quand enfin Edward m’attira avec lui pour danser. Je posais mes mains sur ses épaules en lui souriant malgré que mes joues ne cessent de rougir. Je riais quand il marcha un peu sur ma robe alors que j’adorais ça chez lui…

Non. J’adorais tout. Tout ce qu’il était. Sa douceur, son petit côté pervers parfois qu’il n’exprimait qu’avec moi, ses actions parfois un peu fonceur, sa gentillesse, son amour pour moi, sa maladresse, son côté enfantin, tout. Tout ce qui fessait qu’il était lui. Je souris plus doucement alors que je le regardais. J’avais une chance immense de l’avoir prêt de moi et jamais je ne serais suffisamment reconnaissante de l’avoir dans ma vie, il était la personne la plus merveilleuse qui existait.

- Mon cœur bat fort, grognais-je en tapant un peu sur son torse en souriant. Tu me rends folle, jamais je n’aurais crus qu’il était possible d’être si heureuse.

Doucement la musique changea et Edward me ramena plus près de lui. Nous étions dans notre monde. Je posais ma tête vers son épaule me lovant contre lui. Je soupirais doucement à son oreille quand il mordilla ma peau…j’avais hâte de passer nôtre nuit de noce…j’avais organisé cette soirée pour essayer de faire quel soit inoubliable, même si je doutais de pouvoir l’oublier. Dans tous les cas je nous avais réservé une chambre dans un hôtel prêt de l’aéroport…sa plus grosse surprisse serait que demain nous partirons tous les deux en Australie. Je savais que ce pays le fascinait et j’avais travaillée en cachette pour pouvoir lui offrir le voyage en tant que cadeau de noce dirons-nous. J’avais hâte de lui donner les billets, j’espérais réellement que cela lui plairait.

Mais pour le moment il occupait mon esprit à m’excité en jouant ainsi avec la peau nue de mon cou. Espiègle je portais mes mains sur sa taille jouant avec la bordure de son pantalon, collant plus fortement ma poitrine moulée par la robe contre son torse en le regardant doucement nos souffles se mélangeant tant nous étions proches. Je lui tirais la langue avec de la mordillée sous ses yeux taquines.

- Alors Madame Lunster, que m'avez-vous réservée comme surprise pour ce soir ?

Je rougis violemment. Madame Lunster. J’aimais ça. Je mordillais son nez boudeuse avant de passer ma langue sur le bord de sa lèvre. S’il voulait me taquiner je pouvais en faire autant. Je finis par l’embrasser longuement, ma langue jouant avec la sienne…puis je sortais de mon soutien-gorge, rangement le plus simple dans ma tenue, une petite clé que je lui glissais dans la main sans lui donner plus d’explication. Me doutant qu’il allait me questionner je me contentais de m’écarter un peu alors que la musique s’arrêtait.

- Tu comprendras bien vite l’utilité, souris-je. Je te laisserais le choix de comment l’utiliser.

Des menottes. C’était la première chose que j’avais choisis en me rendant dans un endroit peu catholique pour cette soirée…j’avais été incroyablement gênée quand j’avais achetée plusieurs jouets pour cette occasions, le vendeur avait dû bien rire en me voyant acheté du lubrifiant à la fraise, un anneau, des petits jouets diverses et varier…je rougis à nouveau en repensant à tout cela. Je tirais un peu la langue à Edward alors que Martham me tendait déjà le bras en m’invitant à danser. J’acceptais un peu pour embêter Edward qui devait sûrement vouloir en savoir plus mais je ne dirais pas un mot. Je voulais vraiment le surprendre ce soir.

Mais j’avais vraiment hâte de partir…je le voulais. Je le voulais vraiment et la soirée me parut incroyablement longue en attendant ce moment intime. Toute la soirée je le taquinais, laissant mes doigts couvrirent sur ses cuisses quand nous étions à table, remontant parfois trop haut caressant son membre que je voulais faire durcir…si la soirée fut magique je n’avais qu’une hâte : que nous soyons seul tous les deux. Doucement alors que nous étions à table je me penchais pour chuchoter à son oreille :

- Tu n’as pas envie d’y aller ? Demandais-je. Je n’en peux plus d’attendre, j’ai envie que mon mari me face l’amour.

Je rougis un peu avant de me lever pour m’assoir sur ses genoux. Personne ne nous dit rien de toute façon tout le monde commençait à fatigué ou avait un peu trop bu de champagne je suppose. Je frottais doucement mes fesses contre son membre en prenant sa main dans la mienne pour la faire passer contre le tissu fin de ma robe contre ma cuisse…je bougeais discrètement contre lui pour l’excité avant de me lever et de tirer sa main en le regardant. Pas une seule seconde je n’avais cessé de sourire. Je posais mes lèvres sur les siennes et mordillait son oreille.

- Je suis toute humide, ça ne te donne pas envie ?

Je riais avant de m’écarter. Je l’aimais. Je voulais encore ce soir le rendre fou en faisant l’amour avec lui. J’allais faire l’amour avec mon mari…celui que j’avais choisis pour faire toute ma vie. Je serais sa main dans la mienne alors que nous saluions nos amis en nous excusant, ayant tous deux hâte d’être à l’hôtel.