L'histoire commence de l'amitié entre deux hommes, dont l'un d'eux devint mon père, qui malgré leurs différences sociales continuèrent d'être se que l'on peu appelé de Véritables amis, une amitié qui avec les années ne flétrissait jamais et cela jusqu'à la fin ... Malgré que j'ai connaissance des détails, la plus part sont bien flou depuis la tendre époque où mon père et oncle Cristiani nous racontaient leurs petites aventure de jeunesse, le seul fait d'y repenser met un sourire à mes lèvres, surtout quand j'y repense que nous avons pratiquement refait leurs parcours ... Enfin bon, je me nomme Gilberto Audizi, fil de Tobia Audizi, mon défunt père, mon histoire commence il y a trente ans... Bon sang, j'ai déjà l'impression d'être vieux en disant cela, je naquis un 13 Novembre à Venise . Jusqu'à là c'est très peu d’intéressant n'est-ce pas ? Et bien ma vie est plate et peu intéressante à enrichir alors je ne vous retiens pas, si vous voulez ... Non ? D'accord je continu, mes premières années de vies furent agréables d'aussi loin que je me souviens, il a toujours été avec moi, nous faisions nos mauvais coups ensemble, nous nous fessions prendre ensemble, nous n'étions pas vraiment doué, mais aussi nous étions toujours là pour l'autre . Lors des batailles l'on surveillaient les arrières de l'autre et lors de peine on essayait, du mieux que des garçons le peuvent, de se consoler .

Tel nos pères avant nous, nous étions devenu ami, Ares Cristiani, prénommé à même le nom du dieu de la guerre, il faut le dire se prénom lui allait très bien! Cela pris beaucoup de temps avant que notre petite vie paisible change . Nous habitions en campagne, casiment caché de tous, c'était agréable, mais je m'en souviens encore de cette journée ... Tout était bien parti pourtant, la jeune fille que j'aimais avait finalement entendu mes sentiments et les avaient accepté et même elle les partageaient... J'étais heureux et Ares l'était pour moi, c'était alors de mes 18 ans, Ares lui en avait 16, quelques mois avant la fin scolaire et malheureusement le temps ou j'allais devoir quitté la région pour pouvoir aller étudier en ville pour mes futures années Universitaires, j'avais même décroché une bourse pour me permettre de vivre là-bas et ce même si Oncle Cristiani voulait me payé les études, mais j'ai toujours refuser avec politesse et lui disait en riant que j'étais aussi têtu que mon père .

Nous revenions de l'école, avec ma sœur, qui avait 7 ans à l'époque, lorsque qu'un groupe hommes nous encercla, nous étions quasiment chez moi, nous passions comme à l'habitude sous les arbres pour nous caché du soleil qui plombait et ainsi avoir un peu d'ombre, nous étions à l’abri des regards, ma sœur inquiète se rapprocha de moi et c'est alors que Ares et moi, nous regardâmes légèrement inquiet ... De 1: Qu'avions-nous fait ? Aucun des hommes ne nous disaient de quoi sur un ancienne bataille et de 2: Ma petite sœur pourrait se retrouver dans la mêlée si jamais elle déclenchait et là elle serait plus en danger que nous . Tandis que des solutions nous traversâmes l'esprit, les inconnus, eux, sortirent leurs armes, leurs buts étaient maintenant clair comme de l'eau ... peu importe la raison, ils ne voulaient probablement pas juste nous donner une bonne leçon ... Alors qu'ils chargèrent et que nous deux prenions une pose défensive autour de ma sœur, un coup de feu retentit suivit de cinq autres . Six de nos ennemi était par terre sans vie et les quelques derniers furent abattu dans les secondes restantes par une autre personne .

Je reconnu l'un d'eux comme étant un des hommes de main du père d'Ares et l'autre était carrément mon père avec un revolver en main qui terminait de le recharger . Sans vraiment d'explication ils nous firent les suivre, se que nous fument . On n’eut même pas le temps de retourner chez moi que nous étions en voiture ... Ares, ma sœur, mon père et moi, l'homme de main était resté en arrière ''Faire du ménage'', sa ne sonnait rien de légal, mais j'ai appris depuis bien longtemps à ne pas questionné les activités de la famille à Ares et de leurs homme de main . Se ne fut que plusieurs heures plutard malgré nos questionnements, lorsque nous arrivâmes à un hôtel, que mon père répondit finalement ... Cette journée qui passait si bien à fini comme la pire de ma vie ... M.et Mme Cristiani étaient morts, exécuté par une famille rivale qui avait le gout de prendre le contrôle de leurs affaires . Oncle Cristiani avait toujours été malhonnête vis-à-vis la société, chef de la mafia locale, son nombre d'homme augmentait comme son influence son champs d'horizon, voyant cela, une plus grosse famille qu'eux eu peur de perdre leurs influences et d'une jour se faire assassiner par les Castiani, ma mère avait été tué dans la fusillade et mon père qui s'en était sorti de justesse avait fait un promesse a son ami que son fil serait en sécurité, allant par delà de la Vendetta qu'il avait en tête .

Malgré le choc et la Tristesse nous avons survit, je ne mentirais pas en disant que nous avons pleurer toutes les larmes de notre corps, mais nous avons survécu ... Enfin tous les trois, mon père ne put s'empêcher éventuellement de vouloir apporté vengeance à son ami ... Cela fut stupide, mais noble ... enfin selon moi ... Ils nous avaient confié toutes ses économies et m'avait donné la tâches de terminé sa promesse ... Garder Ares et naturellement ma cadette sains et saufs ...

Les années passèrent, nous n'avons pas resté longtemps après cette évènement en Italie, étant nostalgiques de notre famille perdu et donnant des petites envies de Vendetta à Ares, dieu de la guerre pas pour rien, nous avons trouvé un nouveau chez soi en France, dans la ville de Versailles . J'ai continué mon rêve de Littérature et pu finalement rentrer à l'université comme je l'ai voulu, tout en travaillant bien sûr, c'est bien beau une bourse et des économies de père, mais elles ne sont pas éternelles et nous étions trois à vivre dessus .
Voilà vous savez toute l'histoire, elle n'a rien de drôle et ne crois pas qu'elle serait une bonne biographie, mais c'est le mieux que je puisse faire en si peu de temps . Ravi de vous rencontrer!-