Heureuse. Il y avait déjà une semaine que je l'avais vu à l'hôpital et que j'avais découvert qu'il était dans le même lycée que moi. Mais depuis, plus aucune trace. Il devait être occupé par les cours ou peut-être par l'hôpital. Moi, entre-temps, j'avais eu le temps d'apprendre du français et j'avais du moi aussi partir à cet hôpital. Obligée de prendre un rendez-vous pour faire un examen et voir si je n'avais rien à cause de cette fausse couche. Dans trois jours, trois jours pour me préparer à l'examen et rester discrète. Dans tous les cas, je n'allais pas le voir si depuis une semaine je ne l'avais pas vu ?
Il était tard mais j'avais encore le temps de me doucher. J'avais eu le droit à deux heures de sport intense et je ne voulais pas faire le chemin jusqu'à chez moi en étant couverte de sueurs ! Ce serait assez gênant à marcher.
Les couloirs étaient vides, personne dans les alentours. Allais-je donc avoir la chance de pouvoir me doucher seule ? Non pas que j'étais très pudique mais c'était ces cheveux lâchés. Je n'aimais pas réellement me montrer plus d'une minute avec les cheveux lâchés devant une personne. On avait cette habitude que de me dire que je ressemblais à un ange et que j'avais cette moue mignonne. On ? Ces garçons. Ce garçon qui me violait en me détachant les cheveux. Ah. Il aimait me les détacher. C'était surtout pour cette raison que j'avais vraiment commencé à arrêter de me les détacher. Stupide excuse. Je chercha la salle de bains des filles pour ensuite me rendre compte que tout était partagé en une seule et même pièce. Je rougis faiblement de gêne, entra timidement dans cette salle en fermant aussitôt la porte. J'alluma la lumière en poussant un soupir de soulagement, retira mes ballerines en un silence des plus insoutenables et posa mon sac dans un casier. Je sortis une serviette pour les au cas où, ma boîte de shampoing et retira très calmement mon débardeur, mon short puis dégrafa mon soutien-gorge. Je posa par réflexe mes mains sur ma poitrine en ayant peur que quelqu'un arrive et mis aussitôt ma serviette autour de ma poitrine en faisant en sorte qu'elle cache aussi mon bas. Je retira finalement ma culotte, rangea le tout dans un casier, le ferma discrètement et me détacha finalement les cheveux en les laissant tomber à mi-dos. Je les regarda longuement, joua avec une mèche en gardant toujours la serviette autour de moi et posa la boîte près de l'endroit où j'allais me doucher. Je poussa un long soupir en étant pensive. Ca me rappelait toujours des mauvais souvenirs. Ces jours où, après le sport, je me faisais tripoter voire pire par ce garçon dans les douches. Des fois devant d'autres, des fois seuls. Mais les fois où j'étais seule avec lui était bien les pires moments de ma vie. Il en profitait, me lavait, me manipulait entièrement. Je fis couler l'eau sur moi en détachant ma serviette et la jeta à terre près de ma boîte de shampoing. Je ferma les yeux en me concentrant seulement sur le bien que ça pouvait faire et me rinça très longuement en profitant de cette eau chaude. Ca faisait du bien quand même le silence. Je savais que ce n'était pas vraiment mon genre que d'aimer le silence, je bougeait en permanence, rigolait pour un rien, souriait toujours. Oui, c'était bien connu. Tout le monde me voyait sous ces jours là, qui étaient vrai ! Mais j'avais besoin de me lâcher de temps à autres. Pourquoi avais-je cet état d'esprit ? Ca me rappelait le baiser d'Alexis. Je rougis violemment à cette image et secoua aussitôt la tête. Pourquoi je pensais à ça ? C'était bien le premier baiser que j'avais eu sans qu'il y ait une suite.

J'entendis soudainement des bruits de pas se faire dans les couloirs et stoppa l'eau en mettant une serviette sur ma poitrine. Je glissa doucement contre le mur en regardant discrètement qui allait entrer. Un garçon ? Une fille ? Mon attitude était enfantine, j'étais collée contre le mur en face de la porte à attendre que la personne entre. Si c'était un garçon, je pouvais le frapper. Oui.. mais imaginez a surprise envoyant Alexis. Je rougis violemment de gêne en laissant mon visage se décomposer par la gêne et lui sourit d'un air plus que gêné sans vraiment pouvoir bouger et oser le frapper :

« Ah .. ç .. ça fait longtemps .. »

Chaud … La chaleur …. Etouffante. Le soleil tapait sur le lycée Suki Gakuen en cette belle journée d’été. Je n’avais beau être qu’en train de dessiner, j’étais trempé à cause du soleil qui tapait sur mon visage… C’était bien désagréable …
De plus, je ne pouvais m’empêcher de penser à elle… Elle … Amber … A chaque fois que son nom sortait de ma bouche sans le vouloir, comme pour s’échapper, j’agonisais de l’intérieur… Je ne sais pas ce qu’elle m’avait fait, mais elle m’avait transmis une émotion qui ne me plaisais pas, j’avais trop souvent aimé sans retour apparent, sans que la fin de l’histoire soit belle… Oh Amber, ne pouvons- nous pas faire un comprit ?... J’aimerais temps vous revoir, jeune demoiselle … Persuader que vous êtes, malgré vos souffrances, issus vous comme moi de bonne famille noblesse et tragédie…
Je fixais mes carnets de croquis … J’irais, à la place ou se trouverais habituellement ma sœur jumelle, Amber… En déesse, en elfe, en ange … Je l’avais fait sous toute les coutures … Je crois que cette maudites chaleur me faisais perdre la tête. Je regardais les élèves ayant cours d’EPS courir sous la chaleur… Comment faisait-il ?... Un simple pas m’aurais fait perdre connaissance, bien que je sois force comme le diable. La santé de ma mère et la force de mon père, ironie…

Les cloches des cathédrales retentirent…. 11h. Mon père et moi passions des après-midi entière allongé dans les vastes champs à les écouter… Toutes ces histoires qu’il me comptait des temps ancien, je n’en ai jamais oublié un seule mot, au plus petit détailles jusqu’au plus insignifiant …

« Les cathédrales ne sont pas faites que pour donner l’heure où aller prier. Ces cloches sont aussi faites pour faire comprendre que votre destin à prit un nouveau chemin. »

Elle revenait de sonner au moment même où cette phrase mettait revenu. Je virais peu à peu au rouge pour m’énerver, balancer mes calepins par terre et m’en arracher les cheveux… Je perdais de plus en plus patience, une semaine sans elle, juste une, et j’étais déjà une loque. Je pensais à notre baiser, un peu brutal mais …. Mais …
Je me relevai d’un coup, balançant mes affaire dans mon sac, énerver fatigué et ... amoureux…. Cette fille n’était pas normale, et moi, j’étais un bel idiot ! La vie m’avais pourtant apprit … Je n’en avais rien retenu ?!

Je filai vers les salles de bain, personne ni serais à cette heure-ci … A part elle ? La bonne blague, jamais je ne la reverrais à moins que … Combien de temps devrais-je encore suffoqué de ne plus la voir ? Amber … J’entrai dans les pièces, verrouillant la pièce avec une chaise, le temps que quelqu’un arrive à ouvrir la porte, j’aurais pu trouver une excuse valable. Installant mes affaires dans un des nombreux casiers, je me déshabillai rapidement et passa une serviette autour de ma taille à la façon japonaise. Je pris mon matériel de douche quand … Je fis tout tomber, certes j’avais posé mes lunettes sur le haut de ma tête, me donnant un air encore plus charmeur et révélant mon visage de duc… Mais, j’en étais sur : c’était elle. Yeux dans les yeux, elle était … nu sous sa serviette. Un peu comme moi en fait …


« Ah .. ç .. ça fait longtemps .. »

Je m’étouffai à moitié de rire quand je lâchai un sourire de joie, m’accroupissant sur le sol.

« Oh oui, tellement longtemps ... Tu ne peux même pas t’imaginer … »

Je relevai la tête, en la regardant les yeux bleu brillant. Les souvenir de notre rencontre revenaient peu à peu, et mon teint rose aussi.

Je ne pouvais pas vraiment analyser la situation. J’étais plus que troublé … Comment expliquer l’émotion … le sentiment que je ressentais ? C’était juste impossible et incompréhensible de mon point de vue ! Juste … inacceptable de ressentir ça, pour moi un Duc… Autant en la voyant, ma poitrine me faisais souffrir le matir et mon cœur s’affolait à n’en plus finir, autant j’étais tellement heureux de la voir que j’aurais préféré mourir… Ma vision … Je ne voyais qu’elle, je ne pouvais que la regarder … Elle avait cette fois ci, ses cheveux détaché … Une envie irrésistible de les toucher me venais en tête.

« Idiooot ! »

Ah ?... Ah … Oui, je sais … Ma sœur me le disais souvent … Que j’étais un idiot… Je n’ai jamais compris pourquoi… Ma mère me disait que c’était à cause de ma gentillesse infinie, et mon père qu’elle rigolait juste. Le temps que je reprenne mes esprits, j’étais allongé sur le dos, dans les salles de bains du lycée. Ma tête me faisait énormément souffrir, je me soupçonnais d’être tombé et ou d’avoir glissé pour recevoir un choc à la tête. Oui, j’étais un bel idiot. En quelques secondes à peine, mon corps fut parcouru d’une douleur horrible, comme une immense crampa, je me relevai d’un coup, dans un mouvement rapidement. Elle était encore là. J’aurais pourtant juré avoir vu un mirage tout à l’heure. En quelques nouvelles seconde, j’analysais la situation, c n’est pas moi qui était tombé mais : elle. Enfin … La position était … gênante. Je n’ai même pas préféré y pensé, don je n’ai trop rien à dire dessus …
Posant ses bras au sol, elle réussit à e décoller de moi, j’étais planté comme un idiot à la regarder, je ne pouvais que la regarder comme un idiot, que faire d’autre ? La position était assez … Chaude.

« Ça va ? Tu ne t’es pas fait mal ?... »

Je ne pouvais pas me relever, ça aurais été trop gênant … De plus, ma serviette aurait pu tomber ou se détacher. Je la remontai donc sur moi et roula sur moi-même pour qu’elle se retrouve sur le dos, et moi au-dessus. Mon regard aux pupilles bleus ciel se posa tendrement dans le sien. Je fis une pompe pour me remettre debout, serviette toujours en place, ouf. Je tremblais, j’étais en manque … C’était inscrit dans mes gènes, nous étions née pour le sexe … Et la, la situation me mettais dans tous mes états.

« Evite de refaire ça, n’importe quel garçon ne saurais pas garder autant son calme que moi. »

« Evite de refaire ça, n’importe quel garçon ne saurais pas garder autant son calme que moi. »
« Je le sais bien .. Mais j'ai pas fait exprès euh ! »

Elle n’avait pas compris quoi je parlais… Tant pis. J’avais des sueurs froides. Tomber comme ça de tout son long, n’importe qui aurait trouvé ça drôle … Mais pas moi. Je ne la regarder même plus. M4approchant d’une douche murale, mettant l’eau gelé au maximum pour y passer ma tête. Ça me calmais un peu, m’apaisais… Il fallait que je pense à autre chose. Je n’allais pas rester de toute façon, j’étais prêt à repartir, même en simple serviette… Elle me faisait plus que de l’effet, je n’étais pas attiré que corporellement. Ah, mon pauvre Alexis, tu es bien bête … Que dirais ton pauvre père en te voyant ? Où est passé le fils Slingby qui a couché la première fois à 15ans ? La bête sauvage ? Parti, je ne l’étais plus, je l’avais laissé mourir.
Oh âme sans image … Ou est passé ma raison de vivre ?... Ou le chant des oiseaux est parti émerveiller nos oreille si c n’est loin de nous ? Qu’avons-nous fait pour mériter cela si ce n’est qu’avoir aimé trop abusivement ? D’avoir crus en des espoirs vint ?... L’affection porté aux autres … Qu’elle belle chimère d’autrefois si ce n’est qu’accepté de souffrir pour eux.

« Al .. ale .. xis .. je .. je .. »

Mes idées stoppèrent net. Le ton de sa voix, ces mots … Je les avais déjà tant de fois entendu dans ma triste vie… J’aurais aimé lui hurler d’arrêter, de m’oublier et de partir loin de moi, je connaissais la fin de l’histoire, souffrance. Doucement, je passai ma main dans mes cheveux, pour envoyer mes mèches en arrière et me donner l’air sérieux de mon grand-père. Mon nez pointa vers le ciel, fixant le plafond, je tachais de faire le vide dans ma tête… M tournant lentement vers elle d’un air fade. Elle avait baissé la tête.

« J-je .. crois que .. je .. je .. t'aime .. »

Mes yeux s’écarquillèrent. Comment osait-elle ? Moi qui m’étais promis de ne pas retomber dans ce genre d’histoire … D’enfin laisser ma famille tranquille et de ne pas donner d’héritier, donc de ne pas avoir de femme ! Elle réduisait mes plan à néant … J’aurais fini par l’oublier ! J’aurais préféré qu’elle se taise… Serrant les dents, en colère contre moi-même…

« Ah bon, tu crois ? Ou en es-tu sure ? »

Je m’approchai rapidement d’elle, me postant en face, je me rendais compte à qu’elle point elle était petit comparer à moi, une tête voir deux de moins. Je pris délicatement son visage entre mes mains pour lui relever la tête en douceur. L’un de mes mains passa sous son front, l’autre autour de sa taille. A elle d’assumer et de supporter … A elle de comprendre sans les mots qui vont avec… Mon genou passa entre ses deux cuisses, délicatement pour venir lui caresser l’intérieur de ses jambes.
Déposant un chaste baisé sur ces lèvres, une douleur au cœur me traversa, j’avais au moins ma réponse. C’est elle que j’aimais, et ça rien n’y changerais. J’avais les yeux à demi-fermé, je voulais voir son visage, et mon regarda pervers vint profité de la vue, remarquant que sa serviette commençais à tomber… Haha vive les femmes.

« J - Je .. crois que .. je .. je .. t'aime .. »
« Ah bon, tu crois ? Ou en es-tu sure ? »

Mon corps parlait de lui-même. Aussi vrai que la Terre a besoin du soleil pour vivre, j’avais besoin d’elle dans ma vie pour arrêter mes baisses de tensions. Je jouais un peu avec ces réactions en lui faisant quelques gestes de mon registre… Les plus beaux de ma vie d’après moi. J’aimais la voir aimer … La voir prendre du plaisir… Je ne pouvais pas manquer la tremblote de ses jambes, elle avait encore mal, mais j’avais surement, en ma possession, de quoi la soulager.

Ma jambe entre ses cuisses la fit gémir, je sentis une vague chaleur sur mon genou... Hm… Je vois, je commençais à l’exciter … Mais je ne voulais en aucun cas la brusquer ou quoi que ce soit, je voulais être le plus gentil et le meilleur pour elle… Celui qui sècherais ses larmes et qui la protègerais de sa fine lame d’épée. Si j’étais le duc, impossible qu’elle ne soit pas ma duchesse…
Mon baiser fut long et doux … Utilisant parfois la langue sans la brusquer pour autant, je voulais qu’elle y prenne autant de joie et plaisir que moi. Sa serviette tomba lentement pour laisser sa poitrine à l’air… Je la collais un peu plus contre moi pour la cacher, je n’allais pas non plus lui caresser les seins, je ne voulais pas qu’elle me frappe… Bien que ce suçons m’intriguais fortement … Je m’occuperais de ceci plus tard, ça ne me dégoutait point, ça prouve que nous n’étions plus des enfants l’un et l’autre… Moi, j’essayais de me calmer et je puisais dans mon fort mental pour ne pas faire de bêtise.

Elle releva doucement la tête, je fermais complètement les yeux, continuant un peu le baiser. Seigneur, faite que plus personne n’ouvre cette porte et que le temps s’arrête … J’ai une folle envie de l’allonger sur le sol… Elle s’agrippait à moi, les bras autour de mon cou, ça me remplissait de joie ! Puis, je stoppais le baser … Elle m’en refit un autre.
Elle finit à genoux par terre, en larme. Je m’accroupis aussi tôt pour lui frotter le dos et un tant soit peu la calmer…

« A .. lexis .. »

Elle était presque nu, ma raison faisais ce qu’elle pouvait mais je la savourais des yeux … La vue était exquise. Elle essayait quand même de se cacher … Mais une telle beauté n’a même pas le droit d’exister sans qu’elle soit à moi.

« J - Je .. »

Je la pris dans mes bras en princesse, en faisant attention de ne pas la dénuder plus ou de ne pas lui faire mal. J’allai m’assoir sur les canapés de marbres sur le bord du mur et prit un coussin d’eau. Je le posai sur mes genoux pour la posé de suite dessus. Qu’elle soit au moins à son aise, j’allais l’aider … Je ne voyais que ça pour la soulager un peu et qu’elle se relaxe un maximum. Couvrant son visage de baiser, du front jusqu’au menton, j’en déposai un dernier sur son oreille...

« Je crois aussi que je suis fou amoureux de toi… Mais il faut que tu me fasses confiance… Je ne suis pas comme ceux qui ton abuser, mais moi aussi j’ai des envies… Enfin… » Je soupirai pour poser ma tête sur son épaule, front coller dans un creux.

Je déposais un baiser dans son cou, doucement, pour ne pas l’effrayer… Même moi j’avais peur de ce que j’allais lui faire, je n’avais pas … pratiqué depuis longtemps. Je posais sa tête sur mon épaule gauche, j’avais besoin de ma main droite. Ramenant d’autre coussin plastifié remplis d’eau, je les déposai à côté de moi pour ensuite lui allonger les jambes et lui caresser doucement pour la détendre.

« Je vais essayer de te détendre… Je ne te ferais rien moi-même, j’utilise juste mes mains, d’accord ?... Tu as le droit de me griffer ou même de me baffer si tu veux … Je … Je vais te faire du bien, tu verras… tu ne penseras plus à la douleur… Fait moi signe dès que tu veux et j’arrêterais sur le champ ! » J’en rougissais de honte, jamais je n’avais été comme ça d’ailleurs…

Doucement, ma main écarta les siennes pour venir se poser sur sa poitrine et lui caresser. Mes lèvres elles, se posèrent sur ses lèvres, puis sa joue et s’occupèrent de son cou, je la parsemais de baiser doux et chaud. Doucement, je vins embrasser l’un des suçon dans son cou, lui faire comprendre que tout cela m’importait pou, que pour moi, elle était pure et innocente… Retournant l’embrasser, et la tenant de mon bras gauche. Ma main droite, baladeuse, fini de détacher sa serviette pour venir lui caresser les hanches … Je préférer stopper la pour le moment, mais je ne regardais que ces yeux … doux yeux… Je pris un air un peu triste, voir dépiter, je savais qu’elle avait mal, je voulais l’aider, et cette façon pouvais lui paraitre dégoutante, je voulais son avis, son feu vert…

« J - Je .. »

Il me caressait le dos pour essayer de me calmer mais ça ne faisait que d'empirer mes larmes de douleurs et de culpabilité. Avant que je n'ai le temps de parler, le beau blond me porta doucement en princesse en faisant au moins attention à ne pas me dénuder encore plus. Où allait-il me poser ? Je garda malgré tout mes bras sur ma poitrine de gêne en tremblant légèrement, le froid et la douleur ne m'aidait vraiment pas. Qu'allait-il me faire ? C'était trop de questions qui me venaient en tête. Impossible à me calmer sur le moment. J'avais toujours aussi peur de lui sans le vouloir. Peur qu'il en profite quand même. Il s'assit finalement sur un de ces bancs en marbre et déposa un coussin d'eau pour que je m'y asseoit ensuite. Alexis me couvrit ensuite de baisers de plus en plus nombreux, comme si il ne voulait rien laisser. Je rougis violemment de gêne en me laissant faire, je ne voulais pas me débattre pour lui et j'avais ce maudit réflexe qui faisait que je le laissais. Pourquoi ?

« Je crois aussi que je suis fou amoureux de toi… Mais il faut que tu me fasses confiance… Je ne suis pas comme ceux qui ton abuser, mais moi aussi j’ai des envies… Enfin… » 

Je rougis encore plus violemment et le regarda soupirer puis déposer sa tête sur le creu de mon épaule. Je lui sourit faiblement et retira l'un de mes bras pour me serrer un peu plus contre-lui. C'était vraiment .. vraiment gênant. Il déposa ensuite un baiser dans mon cou en me faisant une nouvelle fois frissoner en me recouvrant de cette chaleur nouvelle pour moi. Je le regarda poser d'autres sortes de coussin sans le comprendre et me crispa légèrement quand il allongea mes jambes dessus. C'était douloureux. Malgré ses caresses, ça restait douloureux.

« Je vais essayer de te détendre… Je ne te ferais rien moi-même, j’utilise juste mes mains, d’accord ?... Tu as le droit de me griffer ou même de me baffer si tu veux … Je … Je vais te faire du bien, tu verras… tu ne penseras plus à la douleur… Fait moi signe dès que tu veux et j’arrêterais sur le champ ! » 
« J.. d .. d'accord .. »

Je le regarda rougir de honte sans vraiment comprendre. J'étais à la fois confuse et honteuse de me retrouver à .. comme l'obliger de le faire ..
Il poussa doucement ma main restante pour la remplacer et me laissa gémir une nouvelle fois maladroitement de plaisir. Je ferma les yeux pour ne pas qu'il me voit, réaction enfantine hein .. je continua de gémir sans réussir à m'en empêcher, c'était embarassant et ma poitrine qui se gonflait de plaisir. Je voulais protester contre ça mais je n'en avais pas le courage et ce n'était pas comme si mon corps le rejetait. Je me laissa ensuite embrasser en m'aggripant légèrement sur lui. Ses baisers me parsemèrent une nouvelle fois et me laissa me sentir encore honteuse des suçons sur mon corps. Encore heureux qu'elle ne voit pas ceux qui étaient les plus osés hein. Qu'il arrête juste un peu .. je me sentais toujours aussi sale et rien ne pouvait le changer. Sa main droite se balada rapidement avant de détacher ma serviette. Je poussa de nouveaux gémissements encore plus violents et maladroits que les précédents, pourquoi faisait-il ça ? Je ne comprenais pas totalement. Je serra mes bras autour de son cou et cacha ma tête dans son torse de gêne. Quand il se stoppa, je le regarda en versant toujours un peu des larmes, pourquoi prenait-il lui aussi un air triste ? Il me fit encore plus pleurer et je secoua la tête pour dire que c'était rien. Je comprenais finalement qu'il faisait ça pour m'aider mais il m'était encore dur de me l'admettre complétement. Et même si je lui demandais d'arrêter tout ce qu'il faisait, mon corps lui, n'était pas du tout d'accord. J'haletais, j'étais rouge. Je bougea légèrement mes jambes pour qu'il continue, je préférai suivre mon corps que mon esprit pour une fois. Je m'approcha de lui et l'embrassa très doucement sans oser y pénétrer ma langue. C'était encore dur pour moi.
Je baissa doucement ma tête sans plus oser le regarder et marmonna très faiblement une phrase, assez forte pour qu'il l'entende. Seul lui pouvait l'entendre.

« C – Continue .. c'est .. rien .. je te .. jure .. »

Je plia avec difficulté mes jambes pour être un peu plus confortable mais découvrit rapidement que sa main commença à glisser. Je la prit assez violemment en me renfermant sur moi-même en ayant toujours aussi peur. Mais je ne devais pas avoir peur, si je ne lui donnais pas le feu vert alors qu'il pensait me faire du bien, jamais je ne pourrais le lui donner hein ?
Je m'excusa en silence et secoua violemment la tête en trouvant toujours mes cheveux comme .. horribles. Ils se déposèrent à la fois sur mes épaules et sur mon dos pendant que je commença à lâcher sa main en restant toujours aussi peureuse.

« S'il .. te plaît .. »

Je me stoppais. Je ne voulais en aucun cas la brusquer ni la forcer… J’espère au moins qu’elle avait compris que je ne lui ferais rien, que je la toucherais juste avec mes mains… Je voulais lui réapprendre tout. Lui apprendre la vie, l’amour. Lui faire oublier les douleurs et malheureux qu’elle a dû endurer toutes ces années. Je l’aimais, je voulais le mieux pour elle… Mais même moi, je commençais à avoir honte de ce que j’allais lui faire, pensant lui rappeler de très mauvais souvenir … Qui plus est douloureux, horrible et stressant, surement. Les yeux fermé, j’attendais et prier Dieu pour qu’il me pardonne de ma future faute. J’eus assez vite ma réponse en sentant es douces lèvres sur les miennes… Ces baisés était un supplice… C’était un supplice. Si elle avait été un coup d’un soir, je l’aurais directement allongé et prit sur le champ. Mais là, je l’aimais trop pour lui faire cela, je passai délicatement ma main sur sa joue.

« C – Continue .. c'est .. rien .. je te .. jure .. »

Elle déplia doucement ces jambes, avec difficulté. Je ne comprit pas vraiment, mais elle attrapa ma main.. ?..En tout, cas elle me donna son feu vert pour continuer. Je repris le contrôle de ma main et la prit par le menton pour l’embrasser langoureusement. Ma langue dansais en parfaite harmonie avec la sienne, j’y allais doucement. A chaque fois que nous avions besoin de respirer, je sortais ma langue, laissé s’écouler quelque minute et recommençais … J’adorais ça.

« S'il .. te plaît .. »

Je la serra un peu plus contre moi, et le mit un peu plus en arrière, qu’elle soit un peu plus allongé. Doucement, mes lèvres revinrent sur son cou, le dévorant. Mon index droit se posa sur l’endroit où nous, homme, avais la pomme d’Adam. Il se mit à descendre lentement en passant entre ces deux sang, son ventre, son nombril, et enfin.. Doucement son bas ventre. Je voulais l’entendre gémir de plaisir. Lui faire plaisir … Lui faire l’amour aurais été trop … Je me retenais donc sur ce point-là.
Après mainte et mainte caresse sur les hanches et baiser dans le coup et sur les lèvres, j’eus enfin le courage… Je vins poser ma main sur son intimité, sans regarder. Je ne voulais pas plus la gêné. Je pense qu’elle l’était déjà assez… Et moi aussi. Je la caresser sans pour autant entrer dans cette cage au trésor. Ma main, ma seul main libre, vint relever un peu sa jambe, dans le but de les écarter, ce sera plus facile comme ça. Doucement, je vins passer mon doigt sur sa boule nerveuse, son clitoris … Sa perle plus poétiquement parlant. Appuyant légèrement dessus, je voulais au plus profond de moi-même l’entendre gémir … Mon bas baissa un peu le niveau et passa plus bas, pour se rendre compte qu’elle était mouillé… Ce n’est pas la première fois que je constatais ce genre de chose, je ne rêvais pas, elle aimait ma façon de faire…

« tu ferais mieux de t’accrocher à moi… »

Je vins prélever un peu de liquide avec mon index et le frotta contre sa boule nerveuse… Gémissement … Gémissement … J’entrai lentement, délicatement et doucement mon doigt en elle, mon majeur… Ne bougeant pas dans un premier temps pour qu’elle s’habitue. Elle avait surement connus plus pire mais, mes doigts n’était pas fin non plus. La voire dans tous ces états m’existait… Encore une chance qu’il y avait ce coussin d’eau entre elle et mes parties… Sinon, elle aurait pu constater d’elle-même son effet sur moi.

« Je n’utilise que mes mains … Si tu ne veux pas, repousse moi, je ne te force pas… » Lui-fis-je d’une voix douce et rassurante. « Dit le quand je peux commencer à bouger… »

« Je n’utilise que mes mains … Si tu ne veux pas, repousse moi, je ne te force pas… Dit le quand je peux commencer à bouger… »

Je voulais juste qu’elle se calme. De toute façon, sa douleur devrait commencer à passer maintenant … au bout de 10minute… Je ne bougeais plus, mais … Elle était si chaude à l’intérieur. Elle ne me rejetait pas, j’en étais si heureux quelque part… Elle se mit même à bouger seule en écartant les jambes. J’avais passé mon bras sous son genou, je l’aidais donc un peu quand même… Je savais un peu près ce qu’elle avait vécu, je n’allais pas la faire endurer ça toute seule. Elle se mit à me regarder de ses jolis yeux enfantant, oh Dieu, si je n’avais pas ses lunettes je n’y verrais rien…

« M .. maintenant .. »

Sa main vint caresser mon torse… Un frisson me parcourus. Seigneur, si je n’avais pas juré de ne rien lui faire, à part avec cette main droite … Je l’aurais fait mienne, dans son état actuel.

« Je .. t .. »

Je lui souris tendrement, toujours sans bouger. Mon index vint doucement caresser son clitoris pendant que j’étais occupé à l’embrasser passionnément, à son rythme. Je relevais un peu la tête, pour enfin la regarder nu… Je vus devant moi le corps parfait. On aurait dit une déesse, et je ne cachais pas mon regard baladeur. Commençant à faire des va-et-vient avec mon majeur, tout doucement pour la faire suffoquer de plaisir… Ma bouche vint se placer juste à côté de son oreille pour lui susurrer des mots doux.

« Tu es magnifique Amber … Je crois que j’ai fait le bon choix en tombant amoureux de toi… Tes gémissement sont si beau… »

L’embrassant sur le front, mes va-et-vient s’accélérer, pour glisser quelques minutes plus tard mon index en elle pour tenir compagnie à mon majeur. Toujours un peu plus profond à chaque fois, plus en caressant les bords, les points sensibles de sa féminité. Je n’avais plus qu’à attendre qu’elle atteigne le plaisir ultime maintenant. Pour accélérer les choses, je déposais des baisers dans son cou, encore et toujours plus, remontant parfois sur ses oreilles…

« Laisse toi aller … Je marquais une longue pause, tout en continuant mes nombreuses actions. I love you … »

« Je .. t .. »

Il me sourit tendrement sans vraiment bouger. Je baissa finalement mon regard sans pouvoir rien faire et me laissa embrasser en gémissant de gémissements étouffés. Je le laissa ensuite contempler mon corps nu en rougissant toujours autant. Je m'aggripa un peu plus contre Alexis et gémis de plus en plus fréquemment sans pouvoir m'en empêcher. Serrant légèrement les poings pour continuer de me retenir. Mon corps avait toujours du mal à s'habituer de tout cela et me donnait donc ce réflexe à me retenir au maximum. Ce qui était bien dur maintenant. Je ferma les yeux de gêne pour continuer à me cacher et l'écouta me susurrer à l'oreille tout en rougissant :

« Tu es magnifique Amber … Je crois que j’ai fait le bon choix en tombant amoureux de toi… Tes gémissement sont si beau… »
« M .. mes gémissements … beaux ? »

Je rigola faiblement en lui souriant gentiment et recommença à gémir sans pouvoir m'en empêcher. Je le regarda timidement en le laissant m'embrasser sur le front et poussa des gémissements encore plus forts. Je me serra assez violemment contre le jeune blond et trembla énormément de plaisir. Est-ce que j'allais au moins pouvoir tenir debout après ? Toutes mes forces me quittaient par le plaisir que je ressentais. J'haletais de plus en plus, tout, tout de lui me plaisait. Je me sentais bien nulle, à n'avoir aucune manière. Même lui paraissait encore plus noble que moi, moi, une noble de Londres.
Quand il introduit un second doigt en moi, je n'arrivais vraiment plus à me contrôler. Un cri de plaisir m'atteignant très rapidement. J'étais bien au maximum de tout.

« Laisse toi aller …  il marqua une pause en me laissant toujours autant gémir, I love you … »

Je le regarda en rougissant encore plus et cria une nouvelle fois, mon rythme cardiaque s'accélérait tout autant que ma chaleur corporelle. Je n'allais vraiment plus pouvoir me contrôler. Je ne contrôlais plus rien, tout passait bien trop vite pour moi. Comment avait-il fait ? En si peu de temps il avait réussi à me rendre au stade ultime. Je voulais pas non plus croire qu'avec la seule aide de sa main il aurait réussi à me donner l'orgasme. Je me serra encore plus contre Alexis et laissa une chaleur encore plus grande m'atteindre, me faisant crier de toute ma voix et me laissant me cambrer assez violemment. J'avais réussi à atteindre la jouissance. Une fois finis, ma tête se laissa tomber sur son torse pendant que j'haletais toujours autant. Je bougea légèrement des hanches pour qu'il se retire, étant plus qu'épuisée. On disait que j'avais du souffle malgré que mon corps dévie facilement mais il ne fallait pas oublier que juste avant, j'avais du courir comme une folle dehors en cours de sport. Je le regarda doucement en ne sentant quasiment plus la douleur à mes jambes. C'était de ça qu'il parlait ? Je lui sourit amoureusement et déposa doucement ma tête contre son torse. J'étais vraiment crevée maintenant. En espérant qu'il ait retiré ses doigts de moi, je me releva doucement pour être à son niveau et lui tira très gentiment la joue :

« Méchant ! Tu me fais faire un orgasme aussi facilement ! Méchannnnt ! »

Je rigola enfantinement et m'appuya doucement sur lui pour réussir à me lever. Je chercha ensuite ma serviette du regard en rougissant de nouveau de gêne. Malgré ce qu'il venait de se passer, je ne pouvais pas m'empêcher de me sentir gênée avec tous ces suçons sur le corps. J'attrapa rapidement ma serviette en me l'enroulant tout autour de moi.

« La prochaine fois, tu entres ! Je m'en fous tu entres en moi ! »

C'était gênant de parler de ça, mais que voulez-vous ? C'était tout aussi frustrant d'avoir joui sans vraie pénétration.

Rien que de l’entendre gémir m’excitait au plus haut point… Mais j’avais promis et je tenais bon, l’écoutant me faire un concerto de gémissement, le plus beau que je n’eus jamais entendu de toute ma courte vie ! Ses cris de plaisir étaient comme du vin pour moi, j’en aurais bus par litre… Jusqu’à en être totalement drogué.

« Laisse toi aller … I love you … »

Je ne pouvais faire attention à ses réactions. J’étais trop occuper à lui faire sortir ces magnifiques gémissements. Ce moment était magique, juste à nous. Son intérieur était aussi doux que du velours et aussi chaud que de la braise, mes doigts m’en brulaient… Elle était juste magnifique, peu importe que d’autre homme l’est vu, elle était tout à moi à présent. Ils ne seraient que regretter d’avoir fait du mal à une si belle créature que voilà !
Elle se cambra sur moi, j’avais réussis à la faire jouir… J’étais content de moi, juste avec deux doigts, j’avais réussis à lui faire attendre le plaisir ultime… Je n’étais pas si mauvais au final. Elle bougeait les hanches pour que je fasse sortir mes doigts, je les fis délicatement glisser pour les remonter à mon visage et les lécher. Je voulais tout d’elle, et si ma langue n’eus pu aller se servir à la source aujourd’hui, j’avais un aperçu avec ceci… La laissant reprendre son souffle. Elle se releva par la suite, emportant avec elle la pression exercée sur mes parties… Une douleur m’envahit, mais je ne voulais pas jouir devant elle, ni lui montrer que j’étais au bord du plaisir moi aussi. Elle me tira les joues et j’en rougis.

« Méchant ! Tu me fais faire un orgasme aussi facilement ! Méchannnnt ! »

Nous eurent un fou rire générale, pourquoi le cacher ?... Je la sentais plus détendu que jamais. J’appuyais tant bien que mal sur les coussins d’eau posé sur mes cuisse, le temps que madame aux airs noble se rhabille.

« La prochaine fois, tu entres ! Je m'en fous tu entres en moi ! »

Une proposition… J’en fur fort heureux, mais ce ne serais pas pour tout de suite. Je me levai doucement, remettant mes mèches blondes en place, il fallait que j’aille aux toilettes, et au plus vite.

« La prochaine fois … Je prends ça pour une invitation. J’espère au moins que ça t’as plus, enfin, si tu en redemande… Eh bien eh bien, j’étais venu pour une douche, mais au final, j’ai fait des soins ! » Fini-je dans un rire cristallin.

Je parti donc en direction des toilettes, en passant par la case casier pour récupérer mes affaires… Je stoppai net avant de passer la porte. Je la regardai par-dessus mon épaule avec un sourire charmeur.

« Une dernière chose, assume, tu viens de te trouver un bon parti ~ »

Je ne lui en dit pas plus et je parti, je savais à quel point ça allais la travailler … Et Moi, direction toilette pour une séance auto-soin… Ah Amour quand tu nous tiens… Vive le plaisir.