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Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI

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Gabriel Demers
Gabriel Demers
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Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Vide
MessageSujet: Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Icon_minitimeLun 4 Mar - 18:49

Quel était mon bonheur d'entendre Lavita me dire que j'avais gagné une importante place en lui. Que je m'en sentait détendu et soulagé de l'apprendre, même si peut-être en étais-je déjà au courant. Il s'exprimait avec tant de facilité, que je souhaitais en faire autant. Mais je me découvrais une facette plus timide et renfrognée, que je n'aurais jamais cru ressentir un jour. Mais je me vis obligé de quitter la main de Lavita, manipulé par cette petite gène que je maudissais. Mais je me connaissais, et je savais que quoi qu'il arrive je la vaincrais. Me laisser dominer par quelque chose qui n'est pas concret ne me ressemble pas! Si ce n'est que les livres et les histoires qu'ils renferment, mais ce n'est pas la même chose. Les romans me font rêver et me permettent de m'évader alors que la gène m'emprisonne dans un cercle vicieux que je ne connaissais pas auparavant. Pour faire attraction sur un autre sujet je lui demandai s'il préférait se rendre au prochain cours tout de suite ou non, et je vis son regard se porter sur moi, une mine de réflexion au visage. Il semblait incertain de sa réponse et m'observait comme si j'étais sa muse, la personne qui lui apporterait sa réponse rien qu'en le regardant. Je me demandais en quoi la question l'embêtait autant, si ce n'était que de demander son avis propre. Or il répondit avec simplicité;

- Je suis bien trop ponctuel, et j'ai bien peur d'arriver en retard pour mon premier cour, je préférerais que l'on aille de suite !

J’acquiesçais en agitant positivement la tête et en lui souriant. Il baissa les yeux et ses joues devinrent cramoisies, et il reprit timidement la parole;

- Gabriel..Tu...As des amis proches ?..Enfin, en classe...!

Le sourire sur mes lèvres s'agrandit involontairement, et ma main se posa sur l'épaule de Lavita.

- J'ai des amis, oui, mais aucun ami proche. Tu es le premier. Personne avant ne m'a écouté comme toi tu l'as fais, et personne ne m'a aussi bien compris que toi!

Sur ce, pour ne plus trop tarder, je l'invitai à me suivre une seconde fois. Nous sortîmes de la salle de musique, en longeant les maints couloirs du lycée, et ayant droit en prime de quelques regards d'élèves qui se détournèrent en notre direction. Je savais que Lavita n'appréciait pas cela, et je souhaitais que ces indiscrets puissent regarder ailleurs. Je souhaitais pour une fois de ne pas attirer l'attention, qu'on puisse avoir l'air un tant soit peu ''normal'' à leurs yeux pour qu'ainsi ils ne nous observent pas. Après quelques minutes, nous arrivions finalement devant la salle de classe et la porte n'étant pas fermée, je me permettais d'entrer, suivis de Lavita. Je me tournai vers lui en souriant

- Voilà... C'est ici qu'aura lieu le cours. Si tu veux, je m'arrangerai pour que l'on soit assit à côté... Sauf si tu ne veux pas, bien sûr. Car en même temps ce serait l'occasion pour toi de rencontrer d'autres personnes... Enfin, tu fais comme tu le souhaites, je ne veux rien t'imposer.

J'avais peur de sembler possessif ou de lui imposer des limites, de trop en faire et d'avoir l'air protecteur... Ça ne me dérangeais pas en soi de l'être, mais je craignais plutôt que ça lui dérange, à lui. Selon ses dires il avait toujours été contraint à une autorité et des règlements stricts, coupé du monde réel... Et je ne voulais pas lui enlever la liberté qu'il venait d'acquérir en étant possessif à son égard. Mais c'était plus fort que moi, j'avais peur qu'il m'échappe entre les doigts, qu'il m'oublie en faisant de nouvelles rencontres... Je soupirai brièvement en m'étirant. Sur le coup, je ne savais pas quoi lui ajouter de plus. J'avais peur de dire quelque chose d'ennuyeux et dénudé de sens... Je triturai la manche de ma chemise, en réfléchissant vainement à ce que je pourrais lui dire. J'eus une idée, en hésitant toutefois. Mais j'osai finalement, le silence ne me plaisant guère;

- Alors, as-tu hâte que le cours commence? Ça doit faire tout drôle quand on est pas habitué à ce genre d'environnement... J'espère vraiment que ça sera à la hauteur tes attentes!

Je ne savais pas même si Lavita était stressé à l'idée de devoir apprendre en compagnie d'une vingtaine d'élèves autour de lui, s'il avait hâte ou si la peur le rongeait... Le moment serait idéal pour le savoir, et la question était heureusement bien posée, du moins je l'espérais. Et j'espérais aussi qu'il ne se sente pas mal à l'aise de m'en parler.

Je levai les yeux, et sursautai en voyant une jeune fille qui était, elle aussi, dans la classe. Comment avais-je pu ne pas la remarquer? J'adorais son habillement, il m'inspirait celui d'une fragile poupée, conçue sur mesure. Elle semblait être fait de finesse, ses longs cheveux bruns qui tombaient en cascades sur ses épaules, et sa robe qui dans son style me faisait penser aux gothiques lolitas. En réalité, elle devait très certainement en être une. On ne voyait pas des gens vêtus ainsi tous les jours. Et toute compte fait, son style s'accorderait à perfection à celui de Lavita et moi. Je lui lançai un sourire espiègle dans sa direction, avant de l'interpeller;

- Bonjour! Tu es nouvelle? À moins d'être aveugle il ne me semble pas t'avoir déjà vue!


Dernière édition par Gabriel Demers le Dim 21 Avr - 22:02, édité 1 fois
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Lavita Kim Iren
Lavita Kim Iren
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Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Vide
MessageSujet: Re: Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Icon_minitimeLun 4 Mar - 23:57

Sa réponse, ne faisait que nourrir une part plus égoiste de moi. En effet, Gabriel avait vite gagné une place dans mon coeur, pour moi il était assurément le triomphe de l'intelligence et de bons gouts raffinés sur la bêtise humaine. Et jusqu'à quel délà, s'étendait la bêtise humaine ?! Aujourd'hui, j'en avais vu des genres, que je ne croyais même pas être existant ! Alors que nous marchons tranquillement jusqu'à la salle de classe, je crut entendre des termes qui m'étaient encore inconnus. Dans quelle langues, s'exclamaient ils ? Et pourquoi tant de laideur et de grossièreté ? Je n'aimais point la bassesse, comme je croyais que personne ne pouvait l'apprécier. Il était évident, que la vulgarité et la laideur, n'était faite que pour donner une certaine valeur à la beauté, vus que si l'on ne pouvait pas la comparé, elle n'aurait plus aucun sens. Dans le cas de Gabriel, il était l'incarnation de la beauté de l'âme, et si ces vulgaires personnes autour de moi, avec leurs langage si peu charmant, dénué de tout sens et ésthétique, n'existaient pas. Sa perfection n'aurait plus aucun sens...Elle s'userait, se fanerait, comme une magnifique rose rouge dans un champ de fleurs in-désirées. Il étaient de nature si futile..Et lui si profond, il contrastait à merveille avec ces créatures malfaisantes et barbares. Gabril fut tout simplement la liaison entre le médival et le moderne, ce fil les liant et les séparent..Peut être, parlais-je ainsi, car je ne connaissais que lui ? Peut être me semblerais-il beaucoup moins charmant dans les quelques heurs à venir ? il était clair que je n'en doutais guère. Si la vie ici serait si facile, alors je m'abstiendrais de nouer aucun lien quelconque avec n'importe quel autre personne que Gabriel, mais je me sentais...Forcé à le faire. Peut être que ce monde, me réservait il d'autres surprises ?

Lorsqu'il m'avoua que j'était son ami le plus proche, mon coeur fit un bond, et oh que j'était heureux ! Oh que je fus honoré...Mais j'était en même temps, très embarrassé, vus que je prenais une périlleuse responsabilité : celle de garder ma place dans son coeur, et je comptais le faire. Une fois arrivé devant la classe, il ouvris la porte. La salle était plutôt étroite, et il y'avait plusieurs chaises, l'idée d'étudier avec plusieurs autres personne me gênait un peu, et j'avais un tout petit peu le trac...

- Voilà... C'est ici qu'aura lieu le cours. Si tu veux, je m'arrangerai pour que l'on soit assit à côté... Sauf si tu ne veux pas, bien sûr. Car en même temps ce serait l'occasion pour toi de rencontrer d'autres personnes... Enfin, tu fais comme tu le souhaites, je ne veux rien t'imposer.


Je lui fis comprendre que je voulais m'asseoir près de lui, en hôchant négativement la tête vers la fin de sa phrase. Un Silence bien trop lourd c'était installé dans la salle. Et je la balayai du regard, cherchant l'ombre d'un être humain, mais je ne voyais guère personne. J'avais peur, que l'on ne m'accepte pas, que ma différence puisse aisement se lire. A vrai dire j'ai toujours aimer être différent par contre j'ai toujours un peu eu peur d'affronter ma différence....De lui faire face. En quelque sorte, je savais que l'on allait me rejeter à cause de ça, mais tant que Gabriel était a mes cotés, tout allait bien...Du moins pour le moment présent. Sa douce voix m'interpella de nouveaux ;

- Alors, as-tu hâte que le cours commence? Ça doit faire tout drôle quand on est pas habitué à ce genre d'environnement... J'espère vraiment que ça sera à la hauteur tes attentes!


C'était étrange, comme ses yeux semblaient comprendre le langage des miens...Je n'avais même pas besoin de parler, de m'exprimer ouvertement pour qu'il puisse lire si facilement en moi, c'était assez...Choquant. Il avait compris mon trac, ma peur...Chaque minute nous séparent du début de cours semblait aussi longue que des semaines. Les secondes s'écoulaient pareille à des lustres, et ça m'était insupportable. J'hésitai à lui en parler, finalement, je n'avais pas a autant me plaindre, c'était fort mal poli, mais je finis par avouer tout de même ;

-Pas vraiment non, j'ai surtout...pe..Je ne sais pas. Ceci est un étrange sentiment qui me parcours, et je ne le connais guère.


Je ne savais si ce que je ressentais était de la peur, ou autre chose. Tout ce que je savais était que mon coeur se serrait, et que celà faisait très mal. J'avais lu dans les romans, quelques chose de ce genre, mais je ne sût réellement y mettre un nom. Mon regard était fixe dans le plafond, comme si je tentais d'y voir une quelconque réponse aux milles et unes questions se posant dans ma tête. Quand la voix de Gabriel me ramena à la réalité;

- Bonjour! Tu es nouvelle? À moins d'être aveugle il ne me semble pas t'avoir déjà vue!


Je regardais autour de moi, tenant de voir à qui pouvait il parler. Et je fus surpris de voir une charmante jeune fille, faisant presque mon âge. Elle fut d'une beauté à en coupé le souffle, loin de moi ces filles vulgaires sans aucun charme ni réelle joliesse. Imaginez une jeune fille de seize ans à peine, avec une figure comme une fleur, de jolis cheveux gracieusement bouclés et châtins, retombant sur ses frêles épaules de poupée. De fins traits nobles, et un regard des plus orgueilleux, plein de fierté et de malice. Je ne pouvais rester de marbre, devant une telle beauté. Et ses habits! C'était ceux d'une poupée en porcelaine. Mes yeux n'avaient jamais vu rien de telle. Ni la palette d'un peintre, ni les verres d'un poète ne pouvaient d'écrire la beauté de ses yeux de verre. Mais la façon de parler de Gabriel me choquait. Comment parlait-il ainsi à une fille ? Comme pour me faire excuser de son comportement, je lui dis sur un ton plutôt ironique;

-Mais voyons, Gabriel...C'est évident, qu'elle est nouvelle. Comment ignorer, une telle beauté ? L'oeil ne peut qu'être charmé, et il n'y a que la vraie beauté, vous mettant les larmes aux yeux qui n'est point capable d'être ignorée.


Je m'inclinai ensuite, et pris sa main, avant de la baiser avec respect, comme signe de respect envers sa beauté. En effet, j'ai eu une assez dure éducation, m'obligeant ainsi à être galant avec les filles mais aussi, je ne pouvais rester de marbre, lorsque je voyais une telle preuve de l'existence d'une dévinité dans son regard amande.

-A qui me vaut l'honneur, votre magnificence. Excusez mon manque de politesse, et mon oeil ayant abuser de votre beauté. D'ailleurs, Vous me remémorez deux exquis vers qui disent "Elle est hautaine et belle, et moi timide et laid :
Je ne puis l’approcher qu’en des vapeurs de rêve. Malheureux ! Plus je vais, et plus elle s’élève . Et dédaigne mon cœur pour en œil qui lui plaît."
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MessageSujet: Re: Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Icon_minitimeMer 6 Mar - 19:11

Seule comme toujours dans une salle remplit d'élèves au langages plus que vulgaire les yeux rivé sur moi comme si j'était un monstre de foire, je ne trouve pourtant pas mon habit si étrange que cela..Ou serrais-ce moi qui est fait quelque chose de répréhensible ? Je ne sais pas et je ne souhaite pas le savoir, mon regard se perdis donc vers la seule chose qui me parut être un échappatoire. La fenêtre je regardait le ciel et remarqué qu'il êtait d'un beau bleu azur si je m'approchais j'aurais l'impression de me noyer dans un océan de larmes. Je me perdit dans mes pensées plus qu'étourdissante pour des humains de leurs niveau intellectuel rêvant de poéme de recueil de conte et de ciel étoilé j'aurais aimer être dans un des contes de mon enfance, certainement celui du petit chaperon rouge.. Mais dans ma version, une version certainement plus sombre que celle qui est raconter au jeune enfant d'aujourd'hui.



Moi qui est était élevée dans une famille plutôt noble et qui n'avait que pour seul amis quelque livre en tous genre je rêvé de trouver des amis, Ou même l'amour vous savez cette choses qui refait battre vôtre coeur ou même qui accélére son battement. Pour ma part mon coeur n'a jamais ressentit cela, seulement de la frustration celle de ne pas savoir jouer correctement d'un instrument, de ne pas être une bonne écrivain ou d'autre choses du même calibre, ne rien savoir faire, juste dire ce que l'ont pense c'est médiocre idiot et insensé ..Je restait donc là dans un coin de salle à rêvassant, pensant à une chanson que j'aime tout en la murmurant je fixer le ciel. A quoi pouvait pensait les personnes autours de moi eux, qui fixaient le moindre de mes faits et gestes ont-ils un quelconque problème avec moi..? Cette ambiance pèse trop lourd à mon goût, et je ne veut pas craquer cela leurs ferrait beaucoup trop plaisir j'oublie donc, je pense, je lis , j'attend j'étouffe, les remarques fusent, et j'use de l'énergie pour rien à vouloir les effacer de ma mémoire..

Mais une voix assez masculine me sortit de ma rêveris et de mon cocon de soie...

- Bonjour! Tu es nouvelle? À moins d'être aveugle il ne me semble pas t'avoir déjà vue!


Pardon..? Pourquoi venait-il me parlait ? Ai-je encore fait quelque chose de répréhensible .? Oui je suis nouvelle dans cet établissement et..? Pourquoi je marque les personnes à ce point..? Pourtant il n'avait pas l'air comme les autres, il n'était pas dépraver et cherchant à séduire la gente féminine mais je restais distante avec lui on ne sais jamais..

-Effectivement, mais je n'estime pas que je sois si voyante que ça . Et à qui ai-je l'honneur monsieur .?

Un autre garçons semblant un peu plus jeune s'approcha de moi également me détailla je rester devant-eux les mains derrière le dos, j'était atrocement paniquer de voir deux homme s'approcher ainsi de moi, je détailla le plus jeune il devait avoir la quinzaine des cheveux partant vers le roux, et des beau yeux d'une couleurs dorée, un physique peu commun mais tellement attirant, Bon je me reprend il me détailla donc du sol au plafond à vrai dire je devenais rose framboise je paniquais également oui je l'est déjà dit mais nom de dieu que devais-je faire !

-Mais voyons, Gabriel...C'est évident, qu'elle est nouvelle. Comment ignorer, une telle beauté ? L'oeil ne peut qu'être charmé, et il n'y a que la vraie beauté, vous mettant les larmes aux yeux qui n'est point capable d'être ignorée.

Beauté...Attendais mon coeur s'arrêta quelque seconde, avais-t'il dit qu'il me trouvé charmante..? Moi que tout le monde trouvais jadis laide et repoussante, ça me paraît presque impossible qu'une personne me trouve attirante..
Le jeune homme s'inclina vers moi et me prit la main puis l'effleura de c'est lèvres et me dit avec respect.

-A qui me vaut l'honneur, votre magnificence. Excusez mon manque de politesse, et mon oeil ayant abuser de votre beauté. D'ailleurs, Vous me remémorez deux exquis vers qui disent "Elle est hautaine et belle, et moi timide et laid :
Je ne puis l’approcher qu’en des vapeurs de rêve. Malheureux ! Plus je vais, et plus elle s’élève . Et dédaigne mon cœur pour en œil qui lui plaît."


Il me citait bien Émile Nelligan ? J'aime beaucoup ce poète je ne puis lui répondre sans finir ce poème.Je leurs sourit à tout deux et me mis à conter :

-"Voyez comme, pourtant, notre sort est étrange !
Si nous eussions tous deux fait de figure échange,
Comme elle m'eût aimé d'un amour sans pareil !

Et je l'eusse suivie, en vrai fou de Tolède,
Aux pays de la brume, aux landes du soleil,
Si le Ciel m'eût fait beau, et qu'il l'eût faite laide !"


Je fit un légère révérence et repris ma respiration pour tenter de noué de nouveau contact..

-Excusez moi je me suis très légèrement emporté, Je me nomme Ayumi, Ayumi Reilly.. Et à qui donc ai-je l'honneur, j'ai crus comprendre que le jeune homme brun se nommais Gabriel, et bien enchanté de vous connaître. Et vous puis-je savoir vôtre humble nom messire ?


Je refis une légère révérence avant de leurs sourire à tout deux.


Spoiler:
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Gabriel Demers
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MessageSujet: Re: Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Icon_minitimeMer 6 Mar - 20:24

Je ne m'en étais peut-être pas rendu compte d'ici là, ou à ce point-ci, mais je réalisai lentement que je m'étais réellement attaché à Lavita, plus que je ne l'aurais cru. Tant qu'il m'aurait été possible de souhaiter d'être la seule juste personne à ses yeux, l'unique qui aurait su détenir son attention et attirer son regard d'or vers le miens. Penser ainsi m'effrayait de plus en plus... Que m'arrivait-il réellement? Quel fut ce sentiment me nouant la gorge lorsqu'il ne le fallait pas? La seule personne à m'avoir fait remettre sur questions de cette façon avait été Lavita, jamais quelqu'un n'avait su me rendre si curieux et jovial à l'idée d'être à ses côtés. Était-ce normal, de se sentir ainsi, en la compagnie d'une personne? Je ne le savais plus moi-même. Or dans un autre sens, je ne voyais pas le mal de se sentir bien, alors je décidai d'envoyer paître les questions inutiles et de profiter de ces instants qui ne me seraient peut-être pas toujours offerts.
Lorsque je demandai à Lavita s'il avait hâte que les cours débutent, il fallut quelques instants avant que sa voix ne se fasse entendre de nouveau. Il avait semblé surpris que je pose une telle question, comme si j'avais récupéré les paroles coulant dans le fil de ses pensées et que je les auraient citées à voix haute. Peut-être que je possédai un don pour cela, après tout, je n'en savais strictement rien. Je n'avais jamais eu de difficulté à comprendre les gens, de saisir leurs tourments et leurs divers tracas, cependant il ne fallait pas en imaginer moins d'une personne de mon type. Ce genre d'être qui passait beaucoup de son temps à observer et comprendre des émotions décrites sur papier ou dans le monde réel.

J'aurais tant aimé resté rien qu'en la compagnie de Lavita, mais mes yeux s'étaient portés vers une jolie jeune fille dans un coin de la classe. Seule dans son coin, qui semblait vouloir affronter l'univers mais qui n'avait pas le courage de le faire. Une fille que je n'avais jamais vue, et que la voyant si solitaire, je ne pus m'empêcher de l'aborder de manière quelque peu... Brusque ou familière, mais qui à mon avis l'aurait aidé à se sentir plus à l'aise. Elle sembla d'abord surprise, et par dessus tout distante. J'étais naturellement, et en règle général, plutôt doué pour faire vaincre leur timidité aux plus renfermés, mais celle-ci me semblait être si fragile que j'en aurais presque eu peur de la casser au simple effleurement du bout des mes doigts. Or je ne croyais en aucun cas avoir mal agit, et ce d'une quelconque façon, j'avais même confiance en ma façon d'agir.

Mais je n'aurais jamais cru, pas même en cent ans, que les paroles de Lavita puisse me faire aussi mal. Sa voix s'éleva, sur un ton ironique que je ne lui connaissais pas;

- Mais voyons, Gabriel...C'est évident, qu'elle est nouvelle. Comment ignorer, une telle beauté ? L'oeil ne peut qu'être charmé, et il n'y a que la vraie beauté, vous mettant les larmes aux yeux qui n'est point capable d'être ignorée.

Il s'approcha, s'inclina et baisa la main de la jeune fille.

- A qui me vaut l'honneur, votre magnificence. Excusez mon manque de politesse, et mon oeil ayant abuser de votre beauté. D'ailleurs, Vous me remémorez deux exquis vers qui disent "Elle est hautaine et belle, et moi timide et laid :
Je ne puis l’approcher qu’en des vapeurs de rêve. Malheureux ! Plus je vais, et plus elle s’élève . Et dédaigne mon cœur pour en œil qui lui plaît."


Jamais je ne serais en mesure d'oublier le bruit de mon coeur se fracassant sur le sol, violemment, et la douleur qui me parcouru tout le corps à ce moment. Plusieurs sentiments se bousculèrent par la suite en moi, dont les plus imminents; la peur et la jalousie. Je n'étais pas en mesure de bouger ou de parler, je ne pouvais que les observer, eux... J'avais tout bonnement déçu Lavita par mon comportement, mes paroles si légèrement dites. J'avais cru agir de bon coeur, de la sauver de sa solitude car dieu sait à quel point être seul peut être angoissant... J'étais confus, et je ne comprenais d'abord pas le propre comportement de Lavita. J'en devinais simplement qu'il avait eut le coup de foudre pour cette adorable jeune femme, au point où les mots lui avaient échappés et qu'il lui avait récité ce beau poème... Qui d'ailleurs, eut une réponse plutôt rapidement;

- "Voyez comme, pourtant, notre sort est étrange !
Si nous eussions tous deux fait de figure échange,
Comme elle m'eût aimé d'un amour sans pareil !

Et je l'eusse suivie, en vrai fou de Tolède,
Aux pays de la brume, aux landes du soleil,
Si le Ciel m'eût fait beau, et qu'il l'eût faite laide !"


Je voyais un amour naître sous mes yeux propres, et sans savoir pourquoi, ça me rendait fou de rage, énervé, jaloux, envieux, et plus que tout j'aurais aimé sortir de cet enfer de classe et les laisser seuls. Pour quelqu'un qui lisait souvent, je savais reconnaître comment la romance s'installait, comment les sentiments s'enflammaient et que les plus belles paroles savaient s'échapper de nos lèvres à notre insu... Nous surprenant, par les émotions qui étaient réciproques...

Je fronçai les sourcils, détournant le regard et n'osant plus bouger, de peur de briser le moment. En un sens, j'aurais désiré le faire, mais je ne voulais pas blesser Lavita. Je ferais preuve d'un tel égoïsme et d'immaturité en agissant ainsi, et pour rien au monde je ne voulais gâcher le bonheur de Lavita.

- Excusez moi je me suis très légèrement emporté, Je me nomme Ayumi, Ayumi Reilly.. Et à qui donc ai-je l'honneur, j'ai crus comprendre que le jeune homme brun se nommais Gabriel, et bien enchanté de vous connaître. Et vous puis-je savoir vôtre humble nom messire ?

Les paroles qui s'étaient élevées me sortit de mes pensées, faisant éclater la bulle dans laquelle je m'étais enfermé. Elle nous offrit un sourire, à Lavita et moi et ne voulant pas les ennuyer j'enfouis dans mon fort intérieur les nouveaux sentiments qui bouillaient en moi. Je souris à mon tour, avec une certaine difficulté que j'espérais bien dissimulée.

- Effectivement, je m'appelle Gabriel. Enchanté de faire ta connaissance, Ayumi. Pardonne-moi d'avoir... Été grossier en t'abordant tout à l'heure, ce n'était pas mon intention, mais ce fut une erreur de ma part.

Je baissa légèrement ma tête, honteux de m'excuser pour lui avoir parler familièrement. Si ce n'était que de moi, je ne l'aurais pas fais, car je ne voyais aucun mal en soi de parler sans les courtoisies à certains moments. Mais malgré tout, même si je la jalousais, je ne pouvais pas la détester. J'étais certain qu'elle était d'une infinie gentillesse.
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Lavita Kim Iren
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Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Vide
MessageSujet: Re: Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Icon_minitimeSam 9 Mar - 16:43

Et je trouvais dans son génie toute la vénusté d’une belle danseuse, la vivacité d’un poète, la raison d’un philosophe...

Partout dans mon imaginaire...Je voyais des êtres réels..Et je m'amusais à les dessiner dans mes rêves, à en faire mes confidents, et mes amis. A rêver de liberté, à rêver du lendemain. A rêver de la vie à l’extérieur...Et je ne l'avais jamais imaginer aussi..Différente, mais plus j'y pense, moins je trouves celà moins tragique. Quand je vis la jeune fille, je savais cépendant que j'était face à quelqu'un qui saurait marquer ma vie. Elle n'était point comme toutes celles que mes parents m'avaient présenter, vus qu'elles n'étaient que superficielles. Et même ma fiancée, n'était pas d'une telle beauté d'esprit. Sa peau fut aussi laiteuse que la profondeur de sa pensée innocente. Elle était d'un charme angélique, aussi douce qu'une poupée. Si petite, si menue que l'on croirait pouvoir la blesser en la laissant échapper de nos mains. Elle était faite en porcelaine. Et ses expressions étaient timides et adorables. Son regard rêveur se reflétant dans la fenêtre fut la première preuve de la largeur de son imagination. Et c'est de l'imagination que naquit quelqu'un d'exceptionnellement remarquable. Elle regardait la fenêtre, sereine. Comme emportée dans une douce illusion. Sa beauté fut propre à elle même. Et sa voix, était une des plus belles de mélodies. On dit que les plus belles personnes, autant extérieurement qu'intérieurement. Sont eux seuls capables d'être présent dans votre art..Sont eux seuls capable de vous arracher de force deux vers de poésie, une peinture, une mélodie. Seuls eux sont capable de vous apprendre la réelle valeur de la beauté. Seuls eux sont capables d'ignorer leurs beauté et de voir celle des autres...

Gabriel lui, ne semblait pas si intérésser par cette beauté. Peut être l'avait il déja rencontrer ? Peut être avait-il vu plus beau ? J'avouerai, que ma fiancée était d'un charme rare, et d'une âme posée et sage. Mais l'amour n'était point là, du moins on m'avait dit que celà viendrais après. Je la voyais tellement que le blond de ses longs cheveux bouclés ne me faisaient plus aucun effet. Que le bain céruléen de ses yeux m'était indifférant. Et que ses efforts pour me charmer ou me comprendre, devenaient complètement vains. Il me fallait de nouvelles personnes, de nouvelles rencontres...De nouveaux visages, de la différence, et j'en avais tellement besoin ! Et j'était servi. J'avais découvert un monde qui ne m'était guère familier, et des personnes aussi étranges les unes que les autres. Et je suis sur qu'avec l'aide de Gabriel je ne saurait me perdre. Quand je lui baisai la main, elle pris un air surpris au début. Quoi, n'était elle pas une fille de noble famille ? A la voir habillée ainsi, je dirais presque que si. Mais elle semblais choquée par mon comportement. Finalement, elle nous illumina de son sourire, un sourire qui était devenu pour moi à cet instant la, le plus dangereux, le plus exquis des opiums. De son sourire, elle faisait naitre en moi des papillons et des colombes. Elle faisait ravivre la beauté someillant dans mon être...Elle était présente partout depuis ce moment là, et dans l'art des mots que je prononçais..Et ô que ma surprise fut grande ! De la voir récite d'une voix ressemblante au chant des sirènes les plus belles des paroles.

- "Voyez comme, pourtant, notre sort est étrange !
Si nous eussions tous deux fait de figure échange,
Comme elle m'eût aimé d'un amour sans pareil !

Et je l'eusse suivie, en vrai fou de Tolède,
Aux pays de la brume, aux landes du soleil,
Si le Ciel m'eût fait beau, et qu'il l'eût faite laide !"


Mes yeux s'illuminèrent d'une lueur dont j'ignorais le nom. Et en cet instant, elle était devenue pour moi le plus beau des chants. C'était incroyable, un tel don de mémorisation...Jamais au grand jamais je ne me serais rappeller de ce passage par coeur ! Elle était..Surprenante. Sa voix se fit entendre de nouveau, encore plus douce,

- Excusez moi je me suis très légèrement emporté, Je me nomme Ayumi, Ayumi Reilly.. Et à qui donc ai-je l'honneur, j'ai crus comprendre que le jeune homme brun se nommais Gabriel, et bien enchanté de vous connaître. Et vous puis-je savoir vôtre humble nom messire ?

Ayumi ? C'était un très joli prénom. Cépendant je n'avais jamais entendu parler de sa famille...Elle devait être japonaise, avoir un tel prénom. Je lui rendis son sourire, avant de hocher négativement la tête.

-Non, au contraire. Vous faites preuve de beaucoup de charme et de bon goûts, mademoiselle Reilly. Et vous avez un très joli nom également. Pour être fanc, vous m'êtes exquise. Enchanté de faire votre connaissance. Et si réciter de si beaux poèmes est votre manière de vous "laisser emporter". Alors, faites moi plaisir, et laissez vous emporter plus souvent en ma présence. Pour ce qui est de mon nom, excuser mon manque de politesse, j'aurai du vous le dire plus tôt, mais votre beauté m'avait fait oublier tout signe de politesse. Moi c'est Lavita Kim Iren. Ravi de vous rencontrer mademoiselle, ou.. par mal-fortune, madame peut être ?

Et il était vrai qu'a cet âge la, certaines filles de bonne famille étaient déjà mariée. Je voulais vraiment me nouer d'amitié avec elle...Elle m'avait l'air très agréable. Et je suis sûr que Gabriel l'appréciait autant que moi, il afficha également un sourire. Avant d'ajouter ;

- Effectivement, je m'appelle Gabriel. Enchanté de faire ta connaissance, Ayumi. Pardonne-moi d'avoir... Été grossier en t'abordant tout à l'heure, ce n'était pas mon intention, mais ce fut une erreur de ma part.


C'était étrange ! Gabriel parlait toujours aussi familièrement avec les autres....C'était plutôt surprenant. Mais peut être aussi que tout le monde parlait ainsi ici ?...Je n'en savais rien! Si c'était ainsi alors pourquoi Ayumi parlait elle comme moi ?! Je n'en savais rien non plu, j'était perdu. Et j'avais peur de perdre Ayumi a la fin des cours...Je me décidais donc de lui dire tout simplement ;

-Mademoiselle Reilly, voudriez vous bien, accepter ma sincère amitié ?...

J'était vraiment gêné de dire ça...Et je baissai les yeux égalemment.
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Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Vide
MessageSujet: Re: Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Icon_minitimeDim 10 Mar - 17:47

Enfermée....Quand je suis seule je me sent enfermer dans un cocon de soie, j'ai l'impression que personne ne peut me sortir de cette état de réflexion profonde, ou je vois des choses inconnus d'autre personne, que je m'imagine vivre dans un autre espace temps. Ou un endroit où la différence est accepter..Là ou personne ne te rejette à cause de ton apparence, mais hélas j'ai bien peur que cet endroit n'existe pas..Comme le son d'un piano mes rêveries prirent fin petit à petit, et cette mélodie, une mélodie qui me rappelle des souvenirs, je l'est de nouveau dans la tête et je l'entends, je me rappelle de chaque phrase, de chaque mots et de chaque syllabe, mais comme tout, la mélodie s'efface rapidement et les paroles de cette berceuse également, comme la beauté elle était éphémère...Je ne me rendait pas compte que je n'était pas seule, mais je me perdais encore dans mes pensées, cette fois je m'imaginer dans une majestueuses bibliothèque remplis de tout les livres de contes de l'univers mais la voix d'un des jeunes hommes me sortit en un claquement de doigt de ma rêverie...

-Non, au contraire. Vous faites preuve de beaucoup de charme et de bon goûts, mademoiselle Reilly. Et vous avez un très joli nom également. Pour être fanc, vous m'êtes exquise. Enchanté de faire votre connaissance. Et si réciter de si beaux poèmes est votre manière de vous "laisser emporter". Alors, faites moi plaisir, et laissez vous emporter plus souvent en ma présence. Pour ce qui est de mon nom, excuser mon manque de politesse, j'aurai du vous le dire plus tôt, mais votre beauté m'avait fait oublier tout signe de politesse. Moi c'est Lavita Kim Iren. Ravi de vous rencontrer mademoiselle, ou.. par mal-fortune, madame peut être ?


Moi, faire preuve de beaucoup de charmes et de bon goûts..? Ce moquait-t'il de moi ? Jamais je n'avais entendu une personne parler si joliment de moi ça me perturber presque mais je ne rougissaient pas, je me contenter d'écouter.. Non, je n'était pas encore marier, et heureusement car je n'aurais sans doute pas supporté d'être marier si jeune, mon père aurais était néanmoins bien content, Alors comme ça se jeune homme se nommée Lavita... Son nom de famille me fait néanmoins pensé à quelque chose.. Kim Iren ..Ou ai-je entendus ce nom, c'est une famille assez connu je pense...Et respecter aussi...Mais Gabriel prit la paroles avant que je ne puisse répondre..


- Effectivement, je m'appelle Gabriel. Enchanté de faire ta connaissance, Ayumi. Pardonne-moi d'avoir... Été grossier en t'abordant tout à l'heure, ce n'était pas mon intention, mais ce fut une erreur de ma part.


Je souriait confuse, tout à l'heure il n'était pas grossier j'avais juste peur, je leurs répondit donc chacun leurs tours et triturant nerveusement ma robe..
Puis je fit une légère courbette

Enchanté également, Non vous n'avez pas été grossier, loin de là j'était simplement assez méfiante, veuillez me pardonné Gabriel, S'il vous plait . Je n'est pas l'habitude d'être aborder, veuillez m'excusez de ma réaction.

Je baissais la tête également en m'inclinant, Puis relevait la tête pour répondre à messire Lavita..

Merci bien...Et pourtant vous ne faîte pas preuve de manque de politesse messire Lavita, C'est Une joie de vous rencontré, je me ferrait un plaisir de vous réciter des vers, à chaque fois que j'en aurrais l'occasion ne vous en faîte pas..Effectivement pour un moment certain c'est mademoiselle..Malgré que la famille veulent à tout prix me marier, mais passons je vous prit..


Lavita baissa les yeux gêné, ce jeune homme était vraiment d'une beauté extrême ce qui est rare de nos jours mais, il se décida à Parler..

-Mademoiselle Reilly, voudriez vous bien, accepter ma sincère amitié ?...

Sa sincère amitié..? Comment cela ? Je n'y voyais évidemment aucun problème..Mais Pourquoi disait-il cela si rapidement..? Je n'en avais aucune idée..Mais Je lui répondis..

- C'est avec plaisir que j'accepte..Mais j'aimerai aussi avoir pour amis messire Gabriel, ça serrait un honneur si vous acceptiez tout deux..

Je croit que je viré sans doute au rouge carmin, mais Que dire..J'était tout simplement intimider part eux..
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Gabriel Demers
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MessageSujet: Re: Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Icon_minitimeLun 11 Mar - 3:55

Aujourd'hui était un jour de changements que je n'avais jamais même en pires cauchemars imaginé. Ou peut-être devrais-je plutôt parler de rêves, de beaux songes, mais au point où je m'étais enfoncé, il n'y avait que confusion et je ne savais plus quoi ressentir... Je n'étais pas sur mon lit de mort en attendant la grande faucheuse ou en pleine dépression qui m'avait fait perdre goût de la vie, mais je sentais bien qu'à quelque part, j'avais mal. Le résultat était sans doute causé par un mélange de colère et de jalousie, la fébrilité et la peur, et plus les minutes s'écoulaient, plus je me découvrais une facette possessive que jamais en cent ans je n'aurais cru posséder. Et je me sentais si mal, si honteux d'être jaloux d'une fille adorable comme Ayumi. Je n'étais pas en mesure de la détester pourtant, et en la voyant, pleine de bonté et de gentillesse, je me dégoûtais de la jalouser, de ressentir cette émotion digne de la plus basse sagesse d'esprit de l'humain... J'aurais vraiment voulu participer pleinement à la conversation, de m'y intégrer aussi facilement et aisément que j'avais l'habitude de le faire normalement, mais aussi faible que j'étais, j'étais persuadé de ne pas en être capable. De les voir, sur la même longueur d'ondes et de si bien s'entendre, de me sentir si inférieur et impuissant, incapable et que sais-je encore, me faisait perdre l'équilibre et me déstabilisait. J'étais pourtant si de nature jovial et enthousiasme, que dans une autre situation retrousser les lèvres aurait été la plus simple des tâches, et que pourtant là elle me semblait être la plus laborieuse. J'étais jaloux d'Ayumi, si jaloux, rien que parce que je m'étais un tantinet trop attaché à Lavita. Quelle honte, alors qu'il venait probablement tout juste de rencontrer son âme-soeur! Je devrais m'en réjouir, et en un sens c'était bien le cas, car je ne pourrais pas lui en vouloir pour si... peu.

Mon regard qui était perdu jusqu'alors au travers de la fenêtre, lointain, la voix d'Ayumi qui s'éleva me fit sortir de mes ''rêveries'' et je l'observai alors, la voyant faire une courbette;

- Enchanté également, Non vous n'avez pas été grossier, loin de là j'était simplement assez méfiante, veuillez me pardonné Gabriel, S'il vous plait . Je n'est pas l'habitude d'être aborder, veuillez m'excusez de ma réaction.

Sur le moment, les mots me manquèrent, tant j'avais été un peu plus tôt absorber par mes pensées. Je ne pus que secouer négativement la tête, voulant lui dire qu'elle n'avait pas à s'excuser, mais lorsque je voulu prendre la parole il fut déjà trop tard;

- Merci bien...Et pourtant vous ne faîte pas preuve de manque de politesse messire Lavita, C'est Une joie de vous rencontré, je me ferrait un plaisir de vous réciter des vers, à chaque fois que j'en aurrais l'occasion ne vous en faîte pas..Effectivement pour un moment certain c'est mademoiselle..Malgré que la famille veulent à tout prix me marier, mais passons je vous prit..

Voyant qu'elle s'adressait à Lavita, je détournai le regard une énième fois et serra contre moi mon livre que j'avais conservé en ma possession, Cyrano. L'une de mes sources inépuisables de courage, qui me permettait d'avancer la tête haute... Et pourtant, il aurait été d'une grande impolitesse de me mettre à la lecture en pleine conversation. Ainsi je ne pouvais qu'observer légèrement la couverture, m'imaginer les multiples vers du talentueux Edmond Rostand. « Mortel sans le vouloir, exquis sans y songer, Un piège de nature, une rose muscade Dans laquelle l’amour se tient en embuscade ! Qui connaît son sourire a connu le parfait. » Ma source de réconfort, je ne pouvais que la désirer, et m'en tenir loin et endurer la douleur, encore légère mais naissante en moi. Mes doigts se crispaient dessus, sans que je m'en rende compte. Mais je savais être un minimum poli, et je ne voudrais décevoir qui que soit en me retirant si facilement de la conversation pour me perdre au travers des mots de ce livre. Je me trouvais déjà bien impoli de la tutoyer, Ayumi, alors que Lavita et elle se vouvoyait presque gracieusement. C'était d'ailleurs l'une des raisons pour laquelle je me taisais, j'avais peur de parler de façon grossière à leurs avis et d'avoir encore plus honte.

Dans un long soupire que j'espérais subtil, je levai les yeux, pour voir Lavita baisser les siens et rougir. Curieux, je restai attentif à ce qui se produisit ensuite;

- Mademoiselle Reilly, voudriez vous bien, accepter ma sincère amitié ?...

Un léger sourire réussit à tracer son chemin sur mes lèvres, de manière un peu nostalgique et je baissai la tête. Moi aussi, j'aimerais devenir ami avec elle. J'avais envie de la connaître, moi aussi. Moi aussi... Mais j'avais peur que la jalousie ne prenne le dessus et me fasse commettre une erreur. Cependant, je n'avais jamais laissé les émotions me guider; après tout, qu'importe la situation, je restais le chef de moi-même... Alors s'il le fallait, je ferais des efforts surhumains pour enterrer mes sentiments, loin, loin...

- C'est avec plaisir que j'accepte..Mais j'aimerai aussi avoir pour amis messire Gabriel, ça serrait un honneur si vous acceptiez tout deux..

Je fus réellement soulagé, en réalité, qu'elle me le demande. Si j'apprenais à la connaître, peut-être qu'au fond ma jalousie s'estomperait, et disparaîtrait à petits feux? Je m'efforçai ensuite de sourire de manière sincère, même s'il m'en était difficile. Mon étreinte sur le livre collé contre moi se fit moins intense, me sentant calmé et plus détendu.

- Bien entendu, il serait un plaisir pour moi de devenir ton.. Votre amie, Ayumi. Comment pourrais-je refuser une telle invitation?

J'avais décidé de la vouvoyer aussi, question de ne pas plus m'enfoncer dans mon impolitesse. J'avais envie d'ajouter quelque chose, dire quoi que ce soit, mais rien ne me venait à l'esprit. Et pourtant, je devais essayer...

- Selon ce que j'ai pu comprendre... Vous aimez la poésie, n'est-ce pas, Ayumi? Je suppose que vous avez ainsi lu plusieurs poèmes. Avez-vous un auteur préféré? Peut-être que je vais le connaître...

Le sujet était facile à aborder, mais d'une certaine façon, je trouvais cela TROP facile, justement. J'avais peur de sembler idiot, incapable de trouver un meilleur sujet.
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Lavita Kim Iren
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Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Vide
MessageSujet: Re: Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Icon_minitimeJeu 14 Mar - 15:38

Confusion totale, et incertitude. Je voyais en elle, la sagesse d'un poète, la beauté d'une rose, le charme d'une ballerine. Son corps semblais être fait pour cet noble art qu'est le ballet. Cet absurde...Sombre, et majestueux art. En effet, j'ai déjà eu "l'honneur". D'accompagner Judy -Ma fiancée- à ses cours de ballets. Et ce fut assez pour que je découvre, à quel point cette joliesse et souplesse dans ses pas de danses, son corps étendu et harmonieux, avaient un prix à payer. En effet, la beauté cachait de la peine. Un entrainement inhumain. Et je me rappelles, que celà m'avait dégoûter de cet art. Et Ô que je fus sot ! De penser celà. Vus que jamais je n'oublierais cet auguste poème que ce magnifique spectacle de ballets m'avait offert, le jour de la performance de ma fiancée. Je fus ému, jusqu'au larmes. Et c'est justement, la vraie beauté qui elle seule est capable de vous émouvoir jusqu'aux pleurs. Parce que cette femme que je voyais, cet homme que je percevais, n'en était plus un. Le ballet n'était que l'art de l'écriture corporelle. Que cette belle ballerine, était devenue une métaphore, et que chaque position liée qu'elle nous offrait, était une phrases, et que chaque danse représentait un acte poétique...Et seul quelqu'un ayant un minimum de connaissance dans ce domaine, peut apprécier cette danse à sa juste valeur. Vus qu'un public ordinaire, ignorerait que la danseuse s'exprime par ses pas. Et peut même y voir, quelque sorte de la bêtise humaine, ou même -et ce que je ne tolérerais guère- de la vulgarité. Peut être que ces gens là, agissent plus par l'ouï, que par la vue ? Mais non! Le silence, n'était que le seul luxe après les rimes...! Et je peux encore me remémorer, la gracieuse musique de "Tchaikovsky". Une de ses compositions que je préférais "Le Lac Des signes". Chaque pas de danse, racontait une histoire. "Oh ! Voici un glose ! En voilà une métaphore!" disais-je. C'était tout simplement le plus beau des spectacles. Et le corps d'Ayumi, me rappellais la grace et harmonie d'un corps de danseuse. Et après ces longs pensées sur le ballet, je me rendu compte que j'en avais peut être un peu trop fait. Et que je m'étais mis à rêvasser....

Sa beauté était absorbante...Tellement qu'elle m'emmenait vers d'autres univers..Elle était si..Unique à elle même, et je voyais en elle, le projet d'une danseuse, d'un poète, d'une actice, chanteuse, musicienne. Je voyais tout en elle. Chose qui m'était impossible de voir dans toutes les filles que j'avais pu apercevoir dans les couloirs. Qui représentaient le triomphe de la bêtise humaine sur tout charme et beauté. Elle était un mélange si rare, si modeste, si charmant. Du vent de l'est asiatique, et l'ouest. Je bougeais la tête légèrement comme chassant toute inspiration de ma tête. Et elle me donnait envie de m'en aller d'ici. De me mettre au piano et de jouer, ou bien de tenir ma plume et écrire. Elle était une muse. Je voyais la jeune fille s'incliner, faisant une courbette presque respectueuse. Tenant sa robe de chaque coté et pliant déjà le genou, alors que sa voix lointaine semblait trancher la nuit d'insomnie de mes pensées en deux, une voix aussi douce que le chant des rossignols me dévoilant son enchantemant de ma connaissane, et j'en fus pareil.

- Merci bien...Et pourtant vous ne faîte pas preuve de manque de politesse messire Lavita, C'est Une joie de vous rencontré, je me ferrait un plaisir de vous réciter des vers, à chaque fois que j'en aurrais l'occasion ne vous en faîte pas..Effectivement pour un moment certain c'est mademoiselle..Malgré que la famille veulent à tout prix me marier, mais passons je vous prit..


Gabriel, lui, semblait silencieux, et je me demandais pourquoi. Mais après tout , peut être était il comme ça tous les jours. Vus que je ne le connais même pas depuis une heur. Une immense joie inconnue, me parcourrut vers la fin de sa phrase. Je levais la tête brusquement, et mes yeux s'illuminèrent. Alors que mon coeur faillit rater un battement, tout celà, parcequ'elle n'était pas engagée en mariage ? Et en quoi celà me regardait il ? J'était en effet de nature possessive et jalouse, et je ne voulais même pas, que l'absurdité et l'injustice d'un mariage arrangé, vienne ternir sa beauté. Et sans même réfléchir avant de parler, ma voix se fit un ton plus haut ;

-Mais c'est formidable !

Je sentis le rouge me monter aux joues et ô que je fus honteux ! D'agir ainsi face à une fille. Je me mordis nerveusement la lèvre, et me passe la main dans les cheveux comme pour atténuer ma balourdise. Je toussais nerveusement. Puis j'ajoutais en bégayant un peu, et en tentant d'avoir une voix plus grave et sérieux ;

-Je..! Je voulais plutôt dire "Ah, vraiment ?!".


Je repensais ensuite à ce qu'elle venait de dire "Ses parents veulent à tout prix la marier" ? C'était absurde. En effet, même si j'était destiné à épouser Judy depuis la naissance. Mais d'un certain coté pas si tragique que ça, vus que elle et moi on s'entendait plutôt bien. Même si je ne la trouvais pas si charmante que ça. Même si elle fut d'une vénusté rare. Ses cheveux étaient pareils aux rayons dorés du soleil. Bouclant parfaitement et retombant jusqu'à son fessier. Alors que dans ses yeux se reflétait le bleu d'un ciel infini. Mais en ce moment j'avais tellement peur qu'Ayumi m'échappe;

- Mademoiselle Reilly, voudriez vous bien, accepter ma sincère amitié ?...


Et que j'était sot ! Morbleu ! Pourquoi était-je si brusque ? Adieu ma bonne impression...J'avais vraiment l'air gêné, et je l'était réellement. Je serrais les poings me sentant très ridicules pendant que j'enviais Gabriel d'être aussi calme et posé...J'enviais vraiment son calme ! La jeune fille semblait un peu gênée cépendant, et je me maudit maintes fois;

- C'est avec plaisir que j'accepte..Mais j'aimerai aussi avoir pour amis messire Gabriel, ça serrait un honneur si vous acceptiez tout deux..

Han ? Pourquoi parlait-elle de Gabriel là ? Ca se trouve c'est...Une des scènes d'amour que je connais par coeur et qui se passe tout le temps dans les romans...Ca se trouve Mademoiselle Ayumi apprécie beaucoup Gabriel, et...Vus qu'ils se souriaient on aurait pu croire que...Non, jamais, Gabriel m'avait promis d'être mon "ami le plus proche". Jamais il ne ferait ça, je semblait très mal à l'aise, je me tint le bras gauche et hôchais simplement la tête.

- Bien entendu, il serait un plaisir pour moi de devenir ton.. Votre amie, Ayumi. Comment pourrais-je refuser une telle invitation?


Je m'éfforçais d'avoir l'air le plus naturel que possible pour que ça ne sois pas impoli de ma part. Alors que mon regard était fixe sur Gabriel comme si je ne voulait pas qu'il sois ami avec elle, de peur qu'il aille moins de temps à m'accorder ? De peur qu'il commence à apprécier Mademoiselle Reilly ? C'était très laid et égoïste de ma part. Elle était certes belle, mais celà ne signifiais rien de celà, et c'était très mal de ma part. D'être aussi possessif, envers elle, et envers Gabriel. Pour me rattrapper, je fis aux deux un grand sourire. C'est là que Gabriel repris.

- Selon ce que j'ai pu comprendre... Vous aimez la poésie, n'est-ce pas, Ayumi? Je suppose que vous avez ainsi lu plusieurs poèmes. Avez-vous un auteur préféré? Peut-être que je vais le connaître...


Ce qu'il aiamait parler de littérature. J'aimais bien aussi, mais seulement, pas toujours. Très sincèrement, c'est Johann qui me forçait à lire au début, mais après j'ai commencer à my intéresser. Bien que ce fut la musique qui m'interessait le plus. Et c'est là que mon regard s'attarda sur les fines mains de la jeunes filles que je saisis sans même m'en rendre compte, je les regardais d'un air sérieux, je m'y attendais vraiment...Elle avait vraiment l'air d'être une de ces princesses que j'avais connus, peut être qu'elle l'était vraiment même. D'un air surpris je m'exclamai ;

-Pardi ! Mademoiselle, je suis sûr de ne point me tromper, êtes vous pianiste ?!

Sous la gêne, je me rendis compte que j'avais viter parler et lâchai ses mains, puis me reculais d'un pas. Plus je lui parlais plus je me faisais grotesque. Je voulu donc changer vite de sujet, et je repensai à mes reflexions sur le ballet ;

-Je pensais aussi, faites vous du ballet ?...


C'est là que quelque chose me vint à l'esprit...Reilly, mais je connaissais ce nom ! C'était des connaissances de travail à mes parents, et je me rappelle qu'ils avaient des affaires en commun. Mais, biensure, jamais une fille d'une telle beauté ne serais quelqu'un de commun ;

-Et..excusez moi, mais...Vous ne serez pas l'héritière de la noble famille "Reilly" ? Mais il se peut que je me trompe, mes parents ont beaucoup de connaissances.
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Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Vide
MessageSujet: Re: Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Icon_minitimeMar 19 Mar - 19:43

Ils disent que je suis incapable d'être une adulte raisonnable, et que je joue de tout, mais ils ne savent pas se que j'ai enduré, et ce que j'endure chaque jour.
Dans tout les cas je suis l'as qui bat le roi, car je n'est pas peur de me faire mal, de rêvé de me faire injurier, car cela arrive tout les jours, l'habitude est reine. Et, j'aimerais mettre un terme au injure et au rire qui s'élève quand je passe devant les salles de classes.. Lever la tête, bomber le torse pour paraître plus forte que je ne le suis je hais faire sa, mais la vie ne m'en laisse pas le choix, elle reste ignoble avec moi, même si je prit les étoiles je ne passerais pas inaperçu comme cela.. Les humains, sont faibles et ignorant et dire que je fait partie de cette race..


Moi quand je ne rêve pas, je suis comme prisonnière perdue dans cet univers, un peu trop grand pour moi je n'ai plus de repères, je me sens seule sur terre .
Et si rêver est un délit arrêter moi sur-le-champ, car je recommencerai ..
Je ne peut pas vivre sans mes rêveries, c'est impossible je mourrait, je n'est jamais eu les pieds sur terre et je ne compte pas les avoirs un jour, car comme je n'ai pas eu d'enfance je trouve refuge seulement dans c'est choses, qui sont des rêves..Je ne veux pas d'une vie de remords,
je veux juste rêver haut et fort.



D'ailleurs sa me rappelle mes cours de ballet, je rêvassais pendant les répétitions, et pendant le spectacle j'arrivais à enchaîner parfaitement chaque mouvement, je ne sais pas comment expliquer, parfois j'improvise et parfois c'est dans le programme, je fait du ballet depuis que je suis enfant, chaque pointe, chaque saut et chaque figure sont comme les vers d'une poésie, quand je danse c'est comme si je parler, et je me souvient d'une citation que j'aime beaucoup d'ailleurs :
"L'essence de tout art est de se faire plaisir en donnant du plaisir." Quand je danse, je me fait plaisir et je croit faire plaisir au personne qui me regarde, l'expression libre est l'une de mes parties préférer dans cette arts, je me libère complètement et apprend de nouvelle figure si je veut, je peut même inventer des pas...Une étoile, j'aimerais ressembler à c'est étoiles du ballet, et pouvoir interpréter autres choses et d'autre personnage que Odette dans le lac des cygnes, et pourquoi pas Odile ? Je ressemble plus à un cygne noir qu'à un blanc d'après moi..


Pourtant j'avais entendu Lavita s'exclamais, et se reprendre ensuite, je répondit donc ensuite à sa demande d'amitié en incluant Gabriel, car j'avais peur qu'il se sente seul..Je ne put replacé un mot ensuite..

- Bien entendu, il serait un plaisir pour moi de devenir ton.. Votre amie, Ayumi. Comment pourrais-je refuser une telle invitation?
- Selon ce que j'ai pu comprendre... Vous aimez la poésie, n'est-ce pas, Ayumi? Je suppose que vous avez ainsi lu plusieurs poèmes. Avez-vous un auteur préféré? Peut-être que je vais le connaître...



Je n'avait pas la moindre envie de parler poésie si vous voulait savoir, j'était en "Overdose" comme on dit maintenant, et encore, je n'eu pas le temps de répondre que Lavita attrapa mes mains en les regardant attentivement..

-Pardi ! Mademoiselle, je suis sûr de ne point me tromper, êtes vous pianiste ?!

Il s'était exclamais si fort que j'en était surprise, d'un geste vif il lâcha mes mains , puis se recula et reprit ..

-Je pensais aussi, faites vous du ballet ?...
-Et..excusez moi, mais...Vous ne serez pas l'héritière de la noble famille "Reilly" ? Mais il se peut que je me trompe, mes parents ont beaucoup de connaissances.


Je décidais de répondre à toute leurs questions en même temps, en gardant mon calme..

-Bien, je vais répondre à tout cela...
Je n'est pas de poète préféré Gabriel...C'est simple il y'en aurais tellement que sa donnerais une liste interminable..
Lavita, Comment avez-vous devinez que j'était pianiste et que je faisais du ballet ? Etes vous devin ? Et Oui je fait partie de la famille Reilly...


Je reprenais mon souffle et les illumina de mon sourire plus que sincére..
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Gabriel Demers
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Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Vide
MessageSujet: Re: Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Icon_minitimeJeu 21 Mar - 23:16

J'avais profondément souhaité me sentir mieux. J'avais réellement voulu oublier cette jalousie, l'enterrer dans mon fort intérieur, dans une cachette lointaine... Cette nuisance de sentiment, provoquée par la peur qu'Ayumi me vole mon nouvel ami. J'y pensais, et je ne pouvais cesser de croire que c'était bien idiot. Hélas! On ne contrôle pas ce genre de choses. Et cette sensation est revenue trop rapidement à mon goût, alors qu'un autre sentiment prenait place en moi; un profond malaise. J'avais ainsi tenté de m'intégrer à la conversation, de leur souffler subtilement « Je suis là, moi aussi! » et comme seule réponse, j'eus cette lourde impression, qui me tomba violemment au visage, que je les dérangeais. Je n'étais pas dupe, j'avais su parfaitement ressentir leur dérangement quant à ma question adressée à Ayumi. L'étreinte sur le livre collé à ma poitrine se resserra et je fronçai les sourcils. J'avais vainement tenté de me joindre à eux, je leur avait tendu ma main afin qu'ils la prennent, mais au contraire ils la délaissèrent, elle, et moi tout entier par la même occasion. C'était exactement ce que je ressentais; une trahison. Et étrangement, ça m'en donnait mal au coeur... D'ailleurs, Lavita ne laissa pas l'occasion à la demoiselle de répondre à mes piètres paroles et lui prit les mains afin de lui faire une remarque, que je ne pris pas la peine d'écouter en voyant les circonstances. J'avais dès lors pris comme décision de ne rien ajouter de plus, de les laisser papoter entre eux, et cela afin que je ne les dérange plus, ou tout du moins, je l'espérais. Ce serait évidemment mieux ainsi et tout le monde en serait content. Et c'est ce que je voulais, car ces deux personnes à mes côtés étaient, j'en était persuadé, des gens fabuleux, même en ne les connaissant que très peu au final. Je les adorais déjà, tout deux, alors que je les dérangerais et que j'en étais pleinement conscient. De toute façon, rares étaient les fois où je m'étais adonné à de la haine et de la rancune pour une personne. Dès que j'apprenais à connaître mes nouvelles rencontres, je ne pouvais que les apprécier à leur juste valeur, autant leurs défauts que leurs qualités. Mon père m'a souvent dit que je n'en souffrirait que d'autant plus ainsi, en m'attachant à ceux de mon entourage... Et il avait raison. Il avait toujours raison. Et parfois, je regrettais de ne pas l'avoir écouté.

« Ton attachement t'apportera parfois des trahisons, et je ne voudrais pas voir ton visage tordu de tristesse à cause de cela... Soit prudent. »

Une légère douleur me parcouru soudainement le long des jambes, étant fatigué de rester debout comme un piquet à ne rien faire. J'avais mal en silence, et je n'étais toujours pas remis de ce que j'avais considéré comme ''trahison''. Je m'inventais probablement des problèmes... Mais j'avais eu comme impression que le sujet abordé ne leur plaisait pas. Et moi qui avait essayé de bien paraître, de trouver un sujet qu'ils aimeraient... M'étais-je donc trompé? Il me semblait pourtant que Lavita appréciait la littérature, et la poésie qui plus est, et en écoutant Ayumi réciter avec tant d'aisance les vers qui s'assemblaient à ceux de Lavita, j'aurais pu jurer qu'elle vouait une admiration à ces oeuvres littéraires...

Mais je compris bien vite. Je compris qu'ici bas, je figurais probablement dans les seuls qui avait comme passion première et centre d'intérêt en haut de liste la littérature. Je ne doutais pas qu'ils appréciaient tous deux cet art, mais au final, ce n'était peut-être pas à la même échelle que moi.

Je me rendis compte que je n'écoutais plus du tout mes deux compagnons. Je me sentis mal d'une telle impolitesse, mais je n'arrivais pas à m'accrocher à leurs mots, j'étais déjà trop plongé dans mes pensées. Et dieu sait à quel point que lorsque j'y suis trempé, il est difficile de m'y sortir rapidement. Il n'y avait que le bruit de la trotteuse sur l'horloge accrochée au fond de la classe qui résonnait dans ma tête, de ces longs et interminables tic, tac, tic, tac... Et je savais pourtant que d'autres élèves étaient eux aussi dans la salle de classe, et qu'ils s’exclamaient bruyamment, et étrangement tout cela me paraissait lointain. Mes parents m'avaient souvent reprochés d'être trop pensifs.. Mais ils m'avaient aussi dit que j'avais l'âme d'un philosophe, à chercher toujours plus loin que je ne devrais le faire... Et soudain, ma demeure, où je me sentais divinement bien, sa chaleur et son confort, me manquait cruellement. J'aurais tant voulu m'échapper d'ici.

Mais la voix d'Ayumi s'éleva, et je ne pus entendre qu'un bribe de ses paroles, au bon moment faut-il croire car elles me concernaient.

- [...] Je n'est pas de poète préféré Gabriel...C'est simple il y'en aurais tellement que sa donnerais une liste interminable..

Je lui souris alors, doucement, et mes doigts glissèrent lentement jusqu'à mon front, feignant un mal de tête. Mon seul moyen de pouvoir m'asseoir et prendre le temps souffler était de prétendre ne pas bien aller. Et, j'aurais de plus l'opportunité de lire quelques vers de mon livre... Je me sentais honteux d'agir ainsi, mais j'en avais besoin et je ne désirais pas craquer; pas devant eux. Ils m'étaient étrangement déjà trop chers pour que j'agisse de manière si puérile.

- Je vois. Je crois que c'est le cas pour moi aussi... Bien, vous m'excuserez mais je vais vous laisser à votre conversation... J'ai mal à la tête, mentis-je finalement, et je vais aller m'asseoir à ma place. Et puis, je ne voudrais pas vous déranger.

J'appuyai sur le ''déranger'' sans m'en rendre compte, et je le regrettais amèrement. J'espérais qu'ils ne l'aillent pas remarqué. Mon sourire ne s'estompa pas de mes lèvres, et tranquillement, je reculai et pris place à ma table. Peut-être qu'au final je ne mentais pas tant que cela; après m'être pris la tête de cette façon par mes pensées, un maux de tête s'attaqua à moi et je me retins une faible lamentation. Décidément, cette journée n'était pas en ma faveur.
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Lavita Kim Iren
Lavita Kim Iren
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Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Vide
MessageSujet: Re: Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Icon_minitimeMar 2 Avr - 21:32

    Je reposais mes paupières, découvrant un monde de mélodies et de grâce. J'implorais le son d'une petite comptine chinoise de me porter sur les vagues de ses mers. Et même si le monde s’effondra, étant en lui même éphémère. Les notes de cette mélodie présente dans ma tête, elles, ne disparaîtrons jamais. Et j'éspérais vraiment la présence d'un piano dans cette salle, tellement il m'était impossible de contrôler mes émotions. Pour moi, tout art eut été une sorte de remède magique. En effet, la musique, et l'art pour lequel j'ai le plus de connaissance et d'amour, a toujours été une manière pour moi de m'évader du monde quotidien. Ou plutôt, de ma prison. Aussi surnommée manoir, ou chateau. Il était vrai, que j'avais préféré escalader les montagnes, suivre pas à pas les rivières, à rester enfermé et entouré par de grotesques serviteurs les uns aussi neutre que les autres. Gardant cet air impassible que toute ma famille avait sur le visage. Comme un masque de glace, un masque que j'avais refusé de porter, afin d'enterrer au fond de moi même mes émotions. Et je refusais également de devenir un pantin sans aucun charme ni originalité, agissant celon leurs envies...Être le reflet de leurs influence, agir avec une certaine subtilité héritée, dire les mots qu'ils souhaiteraient que je prononce, jouer le rôles qu'ils avaient fabriqué pour moi, jouant eux même le rôle que quelqu'un d'autre avaient fabriqué pour eux. Mais je refusais, de souffrir d'un tel destin commun, qui n'était point fait pour quelqu'un pour moi. Peut être, aurait-je et avec candide, accepté étant plus jeune. Peut être, aurait-je accepté, si je n'avais pas vu le secret de l'existence ? -Autrement dit, la musique, et en grande partie, la nature ?- Mais maintenant, c'était impossible, impossible pour moi de faire ainsi, de faire comme si jamais je n'avais découvert celà, de revenir en arrière...De grarder l'honneur de ma famille et ce qu'ils ont mis tant et tant de temps à construire. D'un certain coté, j'était attristé pour eux, vus que je savais parfaitement que je ne saurais prendre le chemin qu'ils auraient souhaiter que je prenne, d'un autre, j'étais fortement soulagé de m'être débarrassé de ces chaines invisibles qui me retenaient en arrière. Ne serait ce qu'un court moment. Comment pourrais-je sourire, calmement, alors que de l'autre coté du mur, je suis en colère ?
    Et ce fut, en effet, grâce à la musique. D'ailleurs, pour moi la musique a toujours était le plus noble des arts...Pour qui les autres arts ne semblaient qu'être une préparation. La musique m'a toujours permit d'exprimer mes sentiments, mes doigts courant sur le piano créant les plus belles mélodies me permettaient de contrôler le son, je me sentais pouvoir satisfaire mes voeux narcissiques...Transmettant mes émotions les plus intenses...Les plus pures, les plus intimes. Et les plus sincère, mon piano, lui, les comprenaient.

    Cette petite comptine chinoise me porta vers une autre époque, une autre atmosphère, elle était stoquée dans ma tête depuis tellement longtemps. J'avais bon essayer à m'en rappeler, mais ce fut sans succés. Quelle est cette chanson ? Je n'en savais rien, même si elle se répétait inlassablement dans ma tête. Des fragmentes de mémoire me revinrent à l'instant. Mes doigts caressaient les touches du piano, émettant de magnifique sons. Je jouais Nocturne de chopin en Mi mineur. Et a l'instant ou mes yeux se fermèrent, je ne sentais plus la présence d'autrui. J'était comme aspiré par une force inconnue. Dans un autre monde ou je voulais rester éternellement, mais hélas, je dus ouvrir les yeux dès que la sonate pris fin. Et j'ouvris d'un geste logorrhéique mes paupières. Découvrant les personnes devant moi souriant et applaudissant, je m'inclinais légèrement partageant leurs sourires hypocrites. En effet, les yeux étaient toujours les mêmes, mais changeaient de forme et de couleur, ils avaient le même sourire, le même visage neutre, la même expression trompeuse...Expression hypocrite qui ne laissait rien paraître, que de la froideur et de la vanité...Je ne supportais plus ce masque que je devais porter, moi aussi. En effet, je me devais de le faire, lorsque j'étais âgé de douze ans. Ce jour là, n'était point un jour comme les autres. C'étais le jour ou j'avais enfin eu mon diplome de musique, et pour cette occasion on avait organisé un bal à mon honneur. Mes parents étaient fiers de moi. Tout le monde dansait ensemble, s'amusait, riait. Sauf moi, j'étais dans un coin fixant la fenêtre d'un regard perdu. Lorsque je sentis une présence derrière moi.

    "-すみません、あなたがピアノを弾いた男の子だ?"
    (Sumimasen, anata ga piano o hiita otoko no koda?)


    Sa petite voix résonnait dans ma tête, comme un chant présent dans ma mémoire. Gravé à jamais. Elle était surement japonaise. Et j'avais beaucoup de mal à comprendre ce qu'elle voulait dire. Vus que je ne maîtrisais pas vraiment la langue japonaise. Ses yeux étaient fixe devant, mais dans ses yeux ils y'avaient encore une quelconque tristesse perdue aux fond de ses prunelles dorées. Je me perdais un instant, contemplant ses cheveux soyeux retombant à ses fines épaules. Et sa robe dans les tons bruns mettant en valeur la paleur de sa peau laiteuse. Je fis mine de réfléchir avant de répondre le ton hésitant.

    "-はい、それは私が欠場だ.."
    (Hai, sore wa watashi ga ketsujōda.)


    La jeune fille porta une main à ses lèvres en riant d'une voix mélodieuse. Zut, je m'étais surement trompé, j'ai dus dire quelque chose de faux. Je rougis de gêne avant d'afficher un air satisfait, d'un accent fortement japonais la fille répondit de sa petite voix fluette;

    - Pas la peine de parler japonais pour vous, si vous ne pas maîtriser cette langue.

    Je voulais lui dire qu'elle ne maitrisais pas non plus le français, mais je me retins. Vus qu'il ne fallait jamais contre dire une lady. Ensuite mes souvenir furent confus. Je me rappellais juste de nous deux en salle de piano, ou elle avait jouer une petite comptine pour moi. Elle était maladroite, et celà faisait un peu son charme, après avoir finis, je la félicitais, et elle répondis simplement.

    -Non, moi pas être trop douée. Et...Je vais devoir aller, mes parents appellent.

    Je ne pouvais la retenir, à vrai dire, je ne savais que faire, je la voyais s'éloigner, sans même m'avoir dit son prénom, sans même que je ne puisse lui dire le mien. Une dernière fois, avant de quitter la salle, elle me dit ;

    -Au fait, je me nomme...

    FIN DU FLASH BACK.

    Et ce fut le trou noir ensuite. Etais ce possible ? Tout d'elle me remémorait l'autre fille de l'autre fois. Sa voix, sa grace, ses pas...Tous, et je ne savais quoi penser, ni que faire. Je devais avoir l'air imbécile à me rappeller des choses ainsi. La voix de la jeune fille me rappelant celle de la petite fille d'autre fois...Je me passai la main dans les cheveux quand elle me répondit.

    -Bien, je vais répondre à tout cela...
    Je n'est pas de poète préféré Gabriel...C'est simple il y'en aurais tellement que sa donnerais une liste interminable..
    Lavita, Comment avez-vous devinez que j'était pianiste et que je faisais du ballet ? Etes vous devin ? Et Oui je fait partie de la famille Reilly...


    Je sentis mes joues prendre une teinte cramoisie quand je me rendis compte que j'avais posé plusieurs questions. J'avais donc vus juste, elle l'était vraiment. Il était en même temps impossible de me tromper...Etant moi même pianiste. Je pris à la rigolade sa dernière remarque et mes lèvres dessinèrent un petit sourire discret. Qui s'éfaca aussitôt lorsque je me rappella de la tragique histoire des Reilly. Je voulais m'excuser pour celà mais je m'abstint. Celà ne me regardait guère. Ce n'était pas mes affaires après tout...Et puis je voulais lui demander aussi si c'était elle...Je repris donc ;

    -Dé..solé pour mon manque de respect...envers vous. Mais, je me devais de le dire. Et peut être que je suis devin..Qui sais ! Au fait, je suis désolé pour ce qui est arrivé à votre famille. Je l'avais appris il y'a quelques semaines de mes parents.

    Mes yeux la détaillèrent de nouveau, je voyais en elle la petite fille d'autre fois, ça ne pouvait qu'être elle...Oui, c'en était sûr. Elle ne pouvait être autre qu'elle..Et j'en était presque sur à présent. Je m'apprêtais à parler, mais hésitant tout de même un moment.

    -On ne se serait pas croisé une fois...En bal par exemple ?...

    C'est la que mon attention se reporta sur Gabriel, il avait l'air vraiment mal à l'aise, comme s'il était malade, et celà commença en effet à m'inquiéter. Je m'apprétais a lui dire quelque chose mais il fut plus rapide que moi ;

    - Je vois. Je crois que c'est le cas pour moi aussi... Bien, vous m'excuserez mais je vais vous laisser à votre conversation... J'ai mal à la tête, et je vais aller m'asseoir à ma place. Et puis, je ne voudrais pas vous déranger.

    Mon regard fut remplis d'inquiétude. Je ne comprenais pas pourquoi le mal de tête le prenait d'un coup. Je m'adressai à la demoiselle à mes cotés en m'inclinant de respect ;

    -Vous m'excuserez mademoiselle, on termineras notre conversation à la fin des cours, je me retire également.

    C'est là que le professeur , une jeune dame aux longs cheveux bouclés et aux yeux bleus, typiquement habillée et semblant jeune nous ordonna de nous asseoir. Je pris ma place à coté de Gabriel en le regardant d'un air inquiét. Avait-je fait quelque chose de mal ? Je m'inquiétais alors je grifonnais quelque chose à son intention avant de lui passer le bout de papier ;

    "Tu penses que ça iras ? Je pourrais t'accompagner à l'infirmerie sinon, il me semble en avoir aperçu une."

    Mon regard insistant se posa sur lui espérant comprendre ce qui lui arrivait.
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Gabriel Demers
Gabriel Demers
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MessageSujet: Re: Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Icon_minitimeDim 21 Avr - 21:55

J'avais l'impression que ma tête était dans un étaux que l'on serrait un peu plus au fil des minutes. Pourquoi devais-je en souffrir, tout à coup? Le fait d'avoir prétendu d'avoir un mal de tête afin de pouvoir me retirer était une raison pour que j'en ai réellement un? Était-ce un genre de punition à cause de mon comportement puérile et immature? Quoique, ce n'était probablement pas ça la raison. Ce serait fou de penser ainsi, et la seule réelle raison était le hasard des choses au mauvais -ou au bon, je ne saurais dire- moment. Ces temps-ci ils semblaient être de plus en plus fréquent qu'auparavant, peut-être était-ce seulement parce que ma vision se faisait plus faible et que j'aurais besoin de lunettes. Cette idée ne m'enchantait pas plus que cela; à vrai dire, je m'imaginais mal avec deux verres devant les yeux en permanence. Certains semblaient bien les porter, mais je doute qu'ils iraient bien à moi. Si j'avais déjà l'air d'un intello, alors ce serait mille fois pire; pas que cela me préoccupe réellement, en fait. Ce n'était au fond qu'une infime question d'apparence, et s'il y avait bien une chose dont je me fichais bien de ce que les autres pouvaient bien penser, c'était cela! Après tout, si une chose si petite m'effrayait, je ne m'habillerais forcément pas ainsi!

Je m'étais donc retiré afin de prendre place à ma table, et en profitant pour déposer le livre entre mes mains. Je baissai la tête en soupirant, et je fus surpris d'entendre Lavita dire à Ayumi qu'il disposait aussi, avant qu'il ne vienne s'asseoir à côté de moi. J'avais lu dans son regard quelques instants plus tôt -lorsque je les avais avisés que je me retirais, entre autres- une certaine inquiétude, et j'étais touché du fait qu'il soit inquiet de mon état. Or, d'un autre côté, j'aurais préféré qu'il n'y fasse pas attention. Je me sentais mal qu'il ait quitté Ayumi à cause de cela, si réellement c'en était la raison. Je levai les yeux et vis la jeune fille reprendre sa place, silencieuse. J'aurais voulu lui faire un dernier sourire avant que le cours ne commence, comme pour m'excuser de mon comportement idiot que j'espérais avoir été subtil, mais avec le mal qui me martelait la tête, c'était chose impossible. Je sursautai lorsque le professeur pénétra dans la classe et ordonna aux élèves de s'asseoir. Ses longs cheveux platines et bien coiffés suivaient le moindre de ses mouvements et je me demandais parfois si elle venait au lycée pour enseigner, ou simplement pour attirer tous les regards sur elle. C'était une femme fort sympathique mais particulièrement imbue d'elle-même.

Je sentis une énième fois le regard doré de Lavita sur moi, emplis d'inquiétude que je n'aurais jamais souhaité voir chez lui. Je le vis s'emparer d'un bout de papier et il se mit à écrire dessus, avant de me le passer discrètement. Intrigué, je le pris et en lu le contenu;

"Tu penses que ça iras ? Je pourrais t'accompagner à l'infirmerie sinon, il me semble en avoir aperçu une."

Un mince sourire réussi à tracer son chemin jusqu'à mes lèvres, malgré la forte douleur. Il était beaucoup trop gentil et trop attentionné à mon égard; je ne méritais tout bonnement pas tant d'attention. Ce n'était à première vu qu'une simple inquiétude, mais qui pour moi était déjà trop grande. Je n'ai jamais aimé inquiété les gens de mon entourage, et encore moins Lavita à vrai dire. Il aurait simplement pu faire comme si de rien n'était, comme s'il n'avait pas su que j'avais mal, et le voilà plutôt à me proposer de m'accompagner à l'infirmerie. Quoique, j'aurais probablement agis de la même façon si lui-même aurait souffert d'un mal de tête. Il était vraiment adorable et je ressentais le besoin de le protéger contre les autres élèves du lycée. Pas ceux comme Ayumi, mais ceux qui sont plein de préjugés inutiles et de mauvaises intentions. Ceux qui s'amusent de la ''différence'', aussi futile soit-elle. De toute façon, peut-on vraiment définir la différence? C'est une idée illusoire et complètement idiote. J'aurais été prêt à utiliser les poings contre n'importe qui pour protéger Lavita. Malgré le peu de temps qu'on se connaissait, il figurait déjà pour moi un ami très cher. Le genre de personnes qu'on ne croise qu'une fois tous les siècles. Je portai mon regard vers Lavita en souriant, comme pour le rassurer, avant de sortir un crayon et d'ajouter sur le papier, avant de lui passer en retour;

'' Non, ça va aller. Je suis plus tenace que ça en a l'air! Ne te préoccupe pas de ça. Tout va bien. ''

Je reportai ensuite mon attention vers l'avant de la classe, au tableau. Je ne voulais pas que le professeur se rende compte qu'on s'était passé un message par papier, ne voulant pas que Lavita se fasse avertir dès son premier jour ici. Lui procurer des problèmes était bien la chose que je désirais le plus éviter! S'il se faisait réprimander par ma faute, je me sentirais beaucoup trop mal.

Je lançai une dernier regard à Lavita en souriant, et en songeant que j'étais vraiment chanceux de le connaître. J'aurai une motivation de plus tous les jours pour venir au lycée. Ce sera tellement plus intéressant, maintenant que Lavita est là.


FIN~
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MessageSujet: Re: Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Un c'est bien, deux c'est mieux; Qu'en est-il de trois? [PV Ayumi&Lavita] FINI Icon_minitime

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