Aleksei est né dans une froide nuit d'hiver en Russie, plus précisément à Moscou. Ses parents, un an plus tard, décidèrent d'habiter à Versailles. C'était un long voyage pour tout le monde, mais une fois rendu, tous trouvaient cela magnifique. C'était certes, le premier voyage en France des deux parents. Le père de l'enfant avait une compagnie international et, malheureusement, il était presque toujours absent. Sa mère ne prenait pas vraiment soins de lui. Étant donner que l'argent ne manquait pas pour eux, qu'ils avaient un grande maison, ceux-ci engagèrent des gens pour entretenir la maison ainsi que de s'occuper leur enfant.

À l'âge de trois ans, lors d'une nuit pluvieuse, Aleksei tenta de dormir lorsque sa mère fit irruption dans sa chambre. Celui-ci continuait de faire semblant de dormir. Elle s'approchait avec un oreiller. Peut-être voulait-elle dormir avec Aleksei ou le mettre plus confortable. Cependant, ça ne lui ressemblait pas de montrer un geste affectif . Soudain, l'enfant n'arriva plus à respirer. L'oreiller était sur son visage et il ne pouvait pas l'enlever. Il gesticulait et tentait d'enlever les main de cette femme tandis que la peur de la mort l'envahissait. Il n'avait pas la force nécessaire pour enlever ces bras puissant qui était ceux de celle qui lui avait donner la vie. Comme c'était ironique. La mère cria « Meurt! Tu ne mérite pas de vivre enfant de Satan» Tandis qu'il ne se débattait presque plus, une femme arriva après avoir entendu ses mots et cria à la patronne de lâcher le petit et celui-ci devint inconscient.

Il se réveilla deux jours plus tard à l'hôpital en sursaut. Pourquoi sa mère avait tenté de le tuer et comment ce pouvait-il qu'il soit vivant. Son père était à côtés de lui. Il le serra dans ses bras les larmes aux yeux. Il lui dt qu'il était désolé de cet incident et de ne pas avoir été là durant, de n'avoir put empêcher ça. Cet enfant était un peu en état de choc. Il tremblait beaucoup et les larmes coulaient sur l'épaule de son père. Il avait peur de ce paternel, peur qu'il fasse la même chose, peur que celui-ci le déteste comme sa mère. Son père lui dit que sa mère avait un problème au cerveau et qu'elle ne serait plus là. Aleksei était heureux et malheureux en même temps car même si elle a essayé de le tuer, il l'aimait quand même toujours autant. C'était toujours sa mère. Il avait demander à l'homme si il allait la revoir un jour, celui-ci resta en silence quelques instant avant de dire qu'il ne le savait pas. L'homme resta une semaine avec son fils avant de retourner travailler pour une très longue période de temps.

À l'élémentaire, Aleksei était seul. Il regardait les autres avec leurs repas fait avec ''amour'' et les enviait beaucoup. Leurs parents étaient là eux et lui non. Il commença à étudier s’arrache-pied, n'ayant rien d'autre à faire. Ses notes étaient presque toujours les meilleurs de sa classe bien qu'il était jeune. Son potentiel était élever, sauf en anglais où il passait seulement par quelques points. Il n'avait jamais vraiment été bon en anglais, c'était son maillon faible comme on le dit souvent. Ses seuls amis était ses livres et ses cahiers. Car oui, depuis qu'il est apte d'écrire, il le fait.

À sa première année de collège, il eut une nouvelle mère qui était, en fait, sa professeur de sa dernière année à l'élémentaire. Elle était jeune et charmante. Enfin, il trouvait ça très bizarre mais ne dit rien à son père. Il avait droit d'épouser qui il voulait et quand il voulait car ils ne se verraient jamais ou presque. Il voyait une fois par année sa vraie mère a l'hôpital psychiatrique, mais celle-ci disait toujours que c'était un démon et qui fallait l'éradiquer. Ça lui faisait vraiment mal au cœur et cette année avait été la dernière qu'il lui a rendu visite. Les deux souffraient en se voyant.

Il y avait une salle de musique dans cet établissement et un jour après l'école alors qu'il allait dans une classe pour étudier tranquillement, il passa devant et,étant donnée qu'il passait devant cette pièce, il entendit un instrument fabuleux. Il ouvrit la porte et vit une fille jouer de cet instrument si gracieux, le violon. Elle s'arrêta et s'excusa d'être venu sans permission, seulement, elle se fit interrompre par Aleksei qui lui disait de continuer d'une façon sec, presqu'éffrayante. Celle-ci, un peu gêner, continua sa douce mélodie qui n'était nul autre que nocturne de Chopin au violon. Il sourit à la fin, ce qui était vraiment rare pour lui dans ce temps. Il lui dit qu'elle jouait bien et à la fin de la journée, il demanda à son père par téléphone s'il pouvait avoir un violon et des cours. Son paternel accepta à condition qui les suive au complet et ce même s'il n'aime plus ça. Le jeune était fou de joie d'avoir des cours ainsi qu'un violon. L'été commençait à ce moment, une nouvelle année allait commencer.

À sa deuxième année, les gens osaient lui parlé. Il interagissait avec les autres et avaient commencé à y prendre goût. Il avait maintenant quelques amis dont la fille qui jouait du violon. Il souriait beaucoup plus et devenait plus jovial. La jeune lui avait souvent demandé s'il voulait lui jouer un morceau de ce qu'il avait apprit, mais lui, ne voulait pas. Il avait peur de se tromper et de se faire ridiculisé. Cela attrista la fille mais elle s'en remit.

L'année suivante, il était populaire. Ne me demandez par quels circonstances cela c'est produit, mais cela c'est fait. Plusieurs filles lui faisaient leur déclaration cependant, il déclinait toujours. En fait, il aimait un garçon car oui, il aimait les hommes. Il savait pourtant que c'était à sens unique car il parlait souvent de sa petite-amie norvégienne. C'était son premier amour, mais il était content de pouvoir passer di temps avec celui qu'il aimait.

Le lycée était bien différent. Tous ceux qu'il connaissait n'était pas là et repartait à zéro. Il se fit quelques amis, une bande qu'il appréciait beaucoup. Seulement, son père décida de le mettre dans un lycée tout autre, Suki Gakuen comme interne car celui-ci allais déménager à Paris, mais il voulait qu'il reste à Versailles, nul ne sait vraiment pourquoi. Peut-être qu'il avait des relations avec le directeur de cet établissement. Il C'était fait en milieu d'année quelques amis et l'année c'était terminé. En début d'année il avait découvert le basket et avait adoré jouer. Il c'était donc inscrit dans le club.
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