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Quel était son nom..?

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Luce Williams
Luce Williams
Messages : 60
Date d'inscription : 07/01/2013

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Âge: 21 ans
Orientation Sexuelle: homosexuel ♥
Petit(e) ami(e): Robynne Melkor Volgan ♥
Quel était son nom..? Vide
MessageSujet: Quel était son nom..? Quel était son nom..? Icon_minitimeVen 8 Mar - 16:41

Il y a parfois des personnes qui, jadis, marquèrent votre vie. Il arrive également que vous croisiez de nouveau ces personnes des années plus tard, sans réaliser qui elles sont réellement.


En quelle année était-ce ? Allez savoir pourquoi, ma mémoire des dates est tout à fait déplorable. Je suis bien incapable de donner l'année d'un événement de ma vie, je peux seulement dire en quelle classe j'étais à ce moment là. Peut-être ai-je trop monté ma vie autour de ma scolarité, pourtant, je suis loin d'être une personne adepte des cours.
Bref, j'étais en CM1. J'avais 8 ans, et je lisais bien pour mon âge. C'était à peu près la seule fierté que je me souviens avoir eu à cet âge. Mais il y avait une autre chose dont je me souvenais parfaitement.

Un garçon, du même âge que moi, avec une tignasse brune jamais coiffée et un aspect à la fois simple et indomptable. Moi, j'étais un mignon petit garçon aux cheveux châtains à l'époque, coupés mi-longs et encadrant mon visage. Les adultes fondaient souvent devant moi, même si je ne comprenais pas pourquoi. Je me trouvais... d'une banalité surprenante. Je ne comprenais même pas comment le regard des autres pouvait-il se poser sur moi sans me traverser tant je pensais être fondu dans la masse. Même si on me disait que j'étais à croquer, je ne comprenais pas pourquoi un pauvre gamin comme moi pouvait sortir du lot plus qu'un autre. Alors je supposais juste que les gens mentaient pour être gentils. Je ne leur en voulais pas : l'hypocrisie était la base du bon fonctionnement du monde. C'était normal, mais leur insistance me pesait. Je n'aimais pas beaucoup les mensonges.

Mais lui, il était différent. J'étais bien incapable de me souvenir du prénom de ce jeune garçon, tout ce dont je me souvenais, c'était que son deuxième prénom était Melkor. Je m'en souvenais car il était fantastique. Lui, il sortait du lot. Lui, quand je posais les yeux sur lui, mon regard ne le traversait pas. Et pourtant, les autres ne prêtaient guère attention à lui à cause de son aspect rude et sauvage. Mais moi, je l'enviais et l'admirais : Melkor, appelons-le ainsi, était un véritable modèle de liberté pour moi.

Quand on grandit dans une famille aisée, on comprend vite que les ailes ne nous pousseront pas dans le dos. Même si j'eus la chance d'avoir des parents aux mœurs assez flexibles, j'étais tout de même supposé bien me comporter, ou plus simplement, j'avais été bien élevé. En tout cas, je ne coloriais pas à la craie les manches des professeurs quand ils s'absentaient de la salle, et jamais, ô grand jamais je n'aurais été impoli envers les autorités ou mes petits camarades de classe. Mais Melkor, lui, il n'avait pas toutes ces contraintes sociales. De ce fait, probablement n'était-il pas très apprécié de tout le monde, mais moi, je voulais être ami avec lui. Il me fascinait.

Un jour, alors qu'il était assis dans un coin de la cour à embêter des fourmis, j'avais décidé de prendre mon courage à deux mains et de l'aborder. Je m'accroupis alors face à lui, et, rougissant un peu comme si j'étais entrain de rencontrer mon idole, je pris la parole.

- Bonjour... Comment tu t'appelles ?
- ...
- En fait je le sais déjà, tu es [Melkor] n'est-ce pas ?
- ...
- C'est un joli prénom. Moi c'est Luce ! Ce n'est pas aussi classe, mais j'espère que ça te plaît.
- ... m'en fiche.
- Je veux qu'on soit amis.
- ... non.
- On le sera un jour.

Cette première approche ne fut pas fructueuse, mais, malgré ma bonne éducation, un trait de personnalité était très persistant chez moi : mon côté obstiné. Voire totalement opiniâtre. Quand j'avais une idée en tête, il était impossible de me la retirer avant que mes désirs ne se réalisent ou que je comprenne qu'il n'y avait plus aucune chance. Mais avec lui, j'avais eu raison de ne pas abandonner.

Chaque jour, en classe, je venais m'asseoir à côté de lui, et je lui parlais. Souvent, il ne me répondait pas. Pendant plusieurs semaines, les seules paroles auxquelles j'eus droit furent « lâche-moi », « M'en fiche » ou encore « tu n'as personne d'autre à embêter ? ». Mais sa fierté l'empêchait de se plaindre auprès des professeurs pour que je le laisse tranquille. D'ailleurs, ces derniers pensaient que j'exercerais une bonne influence sur le cancre de la classe.

Puis, petit à petit, grâce à une patience et une détermination qui m'étaient propres, je réussis enfin à le faire sortir un peu de sa carapace. Les semaines passèrent, et déjà il ne râlait plus en me voyant arriver. Il commença ensuite à étendre son vocabulaire en me répondant de manière à ce que nous puissions discuter amicalement, sans qu'il m'envoie paitre avec agressivité. Il finit même un jour par m'adresser la parole de lui-même. Mon sourire n'aurait pu être plus comblé de joie qu'à ce moment. Enfin, Melkor me parlait. Je crois qu'on pouvait dire que j'étais heureux.

Ainsi, nous passions le plus clair de notre temps ensemble, même si nous ne pouvions pas dire que jamais il n'essayait de se débarrasser de moi. C'était un sentiment blessant que de ne pas savoir s'il m'appréciait ou s'il supportait ma présence car il n'avait pas d'autre choix que celui-ci. Mais arriva un jour où je compris bien vite quelle était la vérité dans ce capharnaüm de faits contradictoires.

Alors que je voulais raccompagner Melkor jusqu'à chez lui, il m'arrêta tout de suite. Il s'énerva après moi, de toutes ses forces, de ton son cœur, de tout son être, et de tout son mal-être.

- Mais enfin tu comprends rien Luce ?!
- Q-quoi ?
- Lâche-moi ! Tu m'énerves ! Tu me colles tout le temps comme un chewing-gum sous la basket !
- Mais je... je croyais que nous étions amis..?
- Tu ne peux t'en prendre qu'à toi-même pour cette illusion ! Tu m'as forcé la main, maintenant laisse-moi vivre en paix !
- [Melkor]...
- Fiche moi la paix !

Et il partit, furibond, en direction de chez lui. J'étais là, devant le portail de l'école, de chaudes larmes coulant sur mes joues. Je tombais à genoux et pleurais comme le gamin que j'étais. Mes cheveux s'emmêlaient devant mon visage, trempés de mes larmes, se collant sur mon visage d'enfant. C'était étrange d'adorer quelqu'un comme j'adorais Melkor, peu importait combien il me faisait mal ou combien il me rendait la tâche de l'apprécier difficile. Et surtout cette affection mêlée à de l'admiration, et ce désir surprenant de ne pas vouloir qu'il ait d'autre ami que moi... Sans Melkor, je me sentais brisé. Il ne me restait que la consolation de pouvoir continuer à l'adorer en silence.


Les jours passèrent. Le temps s'écoulait, et je restais assez solitaire, en attendant que le vent tourne en ma faveur. C'était le moment où je réalisais que l'affection de Melkor m'était interdite, peu importe combien je la désirais et l'aurais chérie. Melkor s'asseyait au fond de la classe, et moi je n'allais plus l'y rejoindre pour discuter. J'essayais de rester discret pour ne plus l'importuner comme je l'avais fait. Et surtout je ne pleurais pas. Lui, il ne pleurait jamais, alors je devais être un homme et contenir ma tristesse. Je tenais plutôt bien le coup, même s'il m'était impossible de me sortir le cancre de la tête. J'étais persuadée qu'il avait un cœur bon et pur, contrairement à ce qu'il voulait laisser paraître.

Puis, peut-être une semaine après notre cessation d'amitié, quelque chose me piqua le dos. Je me retournais, et vis un avion en papier au pied de ma chaise. Je le ramassais, jetant un regard interrogateur autour de moi. Puis, je croisais le regard de Melkor : c'était lui qui l'avait envoyé. Il n'était pas du genre à ennuyer les autres, plutôt à les ignorer s'il ne les aimait pas. Alors il ne se vengeait pas. Il me fit signe de regarder l'avion. Je baissais alors les yeux vers l'objet plié entre mes doigts et y jetais un coup d'œil plus attentif. Il y avait une inscription avec une écriture maladroite et enfantine.

« On est toujours amis ? »

Un large sourire se dessina sur mes lèvres. Je regardais Melkor, et hochais vivement de la tête en signe d'approbation. S'il voulait de moi, nous serions éternellement amis. Après cet événement, notre relation fut extrêmement différente. Melkor me confia que je lui avais manqué, et qu'il n'aurait pas dû s'énerver après moi ainsi. Je m'excusais à mon tour, en justifiant que je n'aurais pas dû le forcer à me fréquenter. Mais après cela, il n'y eut plus aucun animosité dans notre relation. Parfois nous nous chamaillions, mais nous finissions toujours par nous réconcilier autour d'un petit sachet de bonbons ou en regardant la télévision chez moi.

Puis un jour, alors que nous jouions dans les bois tous les deux non loin de chez moi, nous nous perdîmes. Au départ, cela ne nous inquiéta guère. C'était un peu comme partir à l'aventure tous les deux, nous n'avions aucunement conscience du danger que cela pouvait représenter. Mais quand la nuit fut tombée, et que nous étions enfoncés dans une végétation un peu trop grande pour nous, nous commencions à avoir peur. Ou plutôt, j'avais bien plus peur que Melkor. Nous nous étions réfugiés sous une énorme racine et j'étais contre lui, tremblant de tout mon corps. Même si j'aimais l'aventure, cela s'était toujours limité à de l'accrobranche avec mes parents, certainement pas à un séjour de nuit dans un bois effrayant.

- [Melkor], j'ai peur...
- Ne t'inquiète pas Luce, on viendra vite nous chercher.
- C'était quoi ce bruit ?!
- Je sais pas...

L'environnement était terriblement angoissant. Une sorte de grognement avait retentit près de nous. Melkor mit sa main devant ma bouche pour que je ne fasse pas de bruit alors que j'étais sur le point de hurler. Il me serra contre lui pour me calmer et boucha mes oreilles pour que je n'entende plus ce bruit effrayant. Je relevais les yeux vers lui : il avait l'air terrifié, mais il savait gérer sa panique. Je l'admirais encore bien plus qu'avant à ce moment là. J'enfouis alors ma tête contre lui en attendant que la bête s'en aille. En attendant qu'il retire ses mains, car cela voudrait dire que tout danger était écarté.

Les minutes passèrent, et mon cœur battait à tout rompre. J'avais peur. J'avais peur pour ma vie. Quand on est enfant, on se croit immortel car nos parents sont toujours là pour nous protéger quand les choses vont mal. Mais quand personne n'est là à part un autre enfant, on réalise soudainement que la vie ne tient qu'à un maigre fil. On réalise à quel point nous sommes faibles et des proies faciles... Puis mon ouïe revint à mes sens. J'ouvris les yeux, et vit Melkor, un peu calmé lui aussi.

- Elle est partie.
- Comment tu peux savoir ?
- Je l'ai vue.
- D'accord...

C'était stupide, car à part m'empêcher de crier il n'avait rien fait, mais j'avais l'impression de lui devoir la vie. En y repensant aujourd'hui, jamais je n'avais demandé à Melkor quelle créature il avait vue. Dans ma tête, c'était une chose particulièrement effrayante, cauchemardesque, mais probablement n'était-ce rien de bien impressionnant au final. Ces bois étaient tranquille et vides de tout ours ou loups. Mais c'était ainsi : je devais la vie à Melkor.

C'est à ce moment là que je réalisais pour la première fois la nature de mon admiration profonde pour lui : il était la première personne que j'aimais de mon cœur d'enfant. Je voulais qu'il soit mon amoureux, je voulais lui tenir la main. Mais ce n'était pas une fille : n'était-ce pas étrange de vouloir un garçon pour amoureux quand nous en sommes nous-même un ? Aux yeux de tous, évidemment que ça allait l'être.

Mais là, nous étions seuls. Alors je posais ma main sur celle de Melkor et la serrais doucement. Il me regarda, un peu intrigué, mais sembla lire avec perfection dans mon regard. Il n'y avait aucune ambiguïté dans mon geste : je lui montrais que je l'aimais, et mes yeux le lui susurraient. Je savais qu'il avait compris. Et je sus bien vite ce qu'il en pensait. Timidement, il approcha son visage du mien, et nos lèvres se collèrent avec la douceur des baisers d'enfants. C'était mon tout premier baiser ; était-ce le sien ? A ce moment je m'en fichais bien. Ce baiser était à moi, et personne ne pourrait jamais le voler à ma mémoire.



Malheureusement, jamais nous n'eûmes l'occasion de reparler de cet événement. Nous avions finalement été retrouvés par la police, partie à notre recherche suite à l'appel de mes parents. Nous n'étions nullement traumatisés, et nous ne nous étions pas lâché la main. Mais les derniers mots que j'eus l'occasion de dire à Melkor furent « à demain ». Un lendemain qui malheureusement n'arriva jamais. Car le lendemain, à l'école, on nous annonça que Melkor avait déménagé, et que nous ne le reverrions pas.

Ce jour-là, j'avais voulu pleurer. Pleurer toutes les larmes de mon cœur d'enfant. Mais cela aurait signifié abandonner, et sceller mon sort. Or, tant que je ne l'avais pas décidé, jamais mon sort ne serait définitif. Le lendemain allait peut-être se faire attendre, et il allait probablement falloir énormément d'efforts pour le revoir un jour, mais je me promis de retrouver Melkor. Il était la première personne que j'avais aimé, et je voulais qu'il soit également la dernière. Alors durant toutes les années qui séparèrent cet événement jusqu'à aujourd'hui, j'avais toujours eu cette scène en tête. Elle était certainement idéalisée. M'avait-il vraiment embrassé ou bien l'avais-je simplement rêvé ? Tout était devenu flou, mais il restait une émotion tout à fait intacte de cet instant en mon cœur. Une émotion qui ne s'estompa jamais et qui, je le savais, était restée parfaitement exacte. Comme si je n'avais jamais cessé de la vivre durant tout ce temps.

Aujourd'hui, même si je n'en avais pas conscience, mon vœu fut réalisé. Par le hasard, ou parce que nous nous aimions suffisamment fort pour que treize années ne puissent nous faire oublier notre lien, malgré d'autres relations et émois ? Au fond de moi, je savais que la seconde option avait joué un rôle très important.

Robynne Melkor Volgan. C'était mon premier amour, et il serait également le dernier.
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MessageSujet: Re: Quel était son nom..? Quel était son nom..? Icon_minitimeVen 8 Mar - 19:50

....

Puis-je avoir un mouchoir ? Non ? Bon ok.

Tout d'abord, cette fic' est ultra longue. D'habitude je n'aime pas la longueur ( remballez moi ces idées perverses, merci ) d'un texte, mais ton style m'a prise (j'ai dit de les remballer !) et j'ai tout lu d'une traite.


OMG. Mais j'adore tous vos couples à vous deux ! Edna (Ed x Kana) Kiraru ( Kira x Satoru) et Robuce ( vous avez pigé). Ouais je crée des noms pourris inutilisables, mais fuck yea.

En plus du yaoi avec des n'enfants. Fufufu. Je ne peux m'empêcher d'aimer. Et non, je ne suis pas pédophile. C'est Lulu la pédo aux sucettes /AVIONTRAINBUSHELICOPTERE/

Au plaisir de lire une autre de tes fic's !~
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Lukha Alody
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MessageSujet: Re: Quel était son nom..? Quel était son nom..? Icon_minitimeVen 8 Mar - 20:02

Premièrement: JE NE SUIS PAS PEDO, alors ferme ta jolie petite bouche Chika ♥ *mange Chika*

Deuxièmement: C'était genre, juste, je sais pas, adorable de la mort qui tue et qui crache des arc-en-ciel TuT Sérieusement, je trouve pas de mots. J'ai juste trop adoré et en plus tu écris trop bien, et en plus ils sont trop adorables, et en plus... Trooop de choses *meurt* Comme dit Chika que j'ai si bien mangé, j'adore tout vos couples, il sont trop adorabruuuuuuuuuuu!

Enfin voilà, alors à la place de divaguer je vais finir en beauté en disant que c'était trop mignon. ♥ *U*
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MessageSujet: Re: Quel était son nom..? Quel était son nom..? Icon_minitimeVen 8 Mar - 20:28

Avant que je n'oublie :

Citation :
J'avais peur. J'avais peur pour ma vie. Quand on est enfant, on se croit immortel car nos parents sont toujours là pour nous protéger quand les choses vont mal. Mais quand personne n'est là à part un autre enfant, on réalise soudainement que la vie ne tient qu'à un maigre fil. On réalise à quel point nous sommes faibles et des proies faciles...
+1000. Mais putain comment j'me suis dit que c'est trop vrai. Bref.

Tu sais déjà à quel point je suis super ad-mi-ra-tive devant tes écrits, vraiment. J'aime énormément ton style. C'est pour ça que lire tes textes, tes fics, tes rp sont juste super agréable. J'ai franchement trop aimé cette fic' du passé de Luce & Robynne, ils sont vraiment trop à croquer, j'ai adoré comment tu as décrit leur enfance. C'est trop mignon le passage où Luce tente de devenir son ami, il veut vraiment réussir et l'être. Il est déterminé, admiratif, à tel point qu'il veut faire comme lui et retenir ses larmes, c'est vraiment. trop. chou. Puis quand on est petit, on a quasiment tous voulu devenir l'ami d'une personne qu'on admirait. Alors, voilà.

Bref, tu tues, et ça tue.
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MessageSujet: Re: Quel était son nom..? Quel était son nom..? Icon_minitimeVen 8 Mar - 21:06

fzgfzgzgtegheotpgeio *o*
Tu as compris hein ? :3 xD

Bon je te l'ai déjà dit mais j'adore toujours autant des histoires entre ca et le ragondin je suis raide ;_; xD Tu transmet bien tes émotions et rend l'histoire parfaitement en nous rendant incapable de nous arrêter avant la fin de l'histoire ;_; J'adore vraiment tout ce que tu écris et je ne m'en lasse jamais ;_; xD

Et j'adore Luce ;_; Il est tellement adorable il me fait trop craqué ;_; xD Et tu as bien joué Robynne je le voie trop chiant comme ca et qui n'assume pas ses sentiments pour un autre garçon parce que ce serait le premier *o* xD

Je t'aime :3 xD
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Shin
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MessageSujet: Re: Quel était son nom..? Quel était son nom..? Icon_minitimeVen 8 Mar - 23:39

C'cool, :3 bonne continuation








Ok....*pan* c'était pas drôle.
+1 a Rob, kjhgfdghjklm *O*
C'est juste..PARFAIT quoi *O* innocent et tout mignon, mon dieu j'ai cru fondre <3 C'est juste trop beau. Ta façon si ..Souple d'écrire est kawaii à mort. Et puis...Tu transmet super bien les sentiments des persos et leurs innocence..On croirait presque (PRESQUE) que tu es si innocente que ça :3 .
ça gère trop sérieux....C'est...Doux et...innocent à la fois *O* écris en une sur MIKO ET EDWARD et je te fais des oeufs *O*
Sérieux je suis en admiration...J'en ai les larmes aux yeux ! J'adore beaucoup <3 Merci pour ce petit moment de bonheur <3
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MessageSujet: Re: Quel était son nom..? Quel était son nom..? Icon_minitime

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