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C'est l'histoire de la vie ♫

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C'est l'histoire de la vie ♫ Vide
MessageSujet: C'est l'histoire de la vie ♫ C'est l'histoire de la vie ♫ Icon_minitimeVen 9 Nov - 18:42


Satoru
Dana



Carte d'identité

Âge : 27 ans.

Sexe: Masculins.

Nationalité : Française.

Statut : Extérieur au lycée.

Logement : Appartement.

Loisirs : Fumer, s'amuser, la photographie, la mode, la musique, enfin le monde de l'art en général.
& More.

Et ton avatar, c'est qui ? Shizuo Heiwajima de Durara :3

Et le code ? Validé par le mulot ♥

Comment avez-vous trouvé le forum ? Double compte. Le retour des vieux.

Autres choses ? Miaou :3



Description Physique.
1051 mots /o/
- Comment vous décrieriez vous physiquement ?

Un peu septique je relevais les yeux vers mon interlocuteur. Cigarette à la main et mon air désabusé sur le visage je le fixe. C’était un homme, probablement plus âgés que moi d’une bonne dizaine d’année. Sur ca chemise mauve criarde qui me vrillait les yeux, un petit badge gris annonçait en grosse lettre noire « attaché de presse » d’un quelconque journal.
Je soupirai en écrasant mon mégot sur le sol avant de me rassoir sur le petit siège en bois, le plus inconfortable que j’ai eu jusqu’alors l’occasion d’essayer soit dites en passant, que j’avais quitté alors que ce monsieur (dont le nom m’avait complétement échappés) avait commencé son interrogatoire.

D’un sourire hypocrite je continuais de le fixer et faisait mine de réfléchir à sa question en pensant surtout que je maudissais profondément mon manager qui avait acceptés cette interview de malheur. Et puis c’était quoi cette question ? Comment je me décrirais ? Qu’est-ce que j’en avais à faire de ce que je pensais de moi ? Ce qui importait n’est-il pas la photographie ? Pourquoi parlait-on de mon physique ?
Mais sans rien y laisser voire je continuais de sourire et finissais par répondre d’une voie un peu rauque mais assuré :

- Je dirais que je suis dans les normes, pas de quoi affolés les femmes mais quand même suffisamment pour attirés de temps à autre un ou de regard.

Griffonnant sur un calepin vierge le journaliste que je décidais de surnommé « crochet » à cause de sa moustache étrangement similaire à ce bon vieux capitaine crochet qui me fichait une frousse monstre gamin. Rapidement me laissant pas une seconde de répits il enchaîna :

- Pourtant on raconte que beaucoup de femme vous tourne autour…enfin pas que des femmes.

J’arquais un sourcil. A Crochet s’énerve. Il cherchait le petit truc croustillant qui ferait que son patron lui donnerait pour noël une bonne liasse de billet qui ravirait ses enfants ou sa compagne vu l’anneau en argent blanc à sa main gauche. Je souriais en haussant les épaules, oui j’étais couru par les femmes et les hommes. Quoi de dérangeant me direz-vous ? Je suis photographe, dans chaque corps je trouverais quelque chose de beau et d’attirant. Bien sûr ce n’est pas le cas de tous les photographes mais bon moi je suis comme ça.

- Vos cheveux sont naturels ? Enchaîna Crochet en voyant ma main venir replacer quelque mèche rebelle de mon front.

Je ne peux cette fois m’empêcher de le regarder froidement. Sérieusement à 27 ans pense-t-il vraiment que je puisse avoir les cheveux blancs ? Bon quelque petit cheveux par si par-là pourquoi pas, cela arrive parfois mais carrément entièrement blanc ? Je soupire exaspérer mais répond calmement :

- Non c’est une teinture, naturellement mes cheveux sont blonds mais j’aime bien être différent des autres alors le blanc me paraissait une bonne idée. Cela donne un côté plus adulte peut-être ou plus remarquable dans la rue puisque vu mon jeune âge peu de gens on les cheveux blanc, expliquais-je.

Le journaliste sans même m’adresser un regard griffonne à nouveau. Je n’arrive pas à lire ce qu’il écrit depuis ma place mais je m’en fiche peu m’importe si il répétera mot pour mot mes dires ou les enjolivera à son goût.
Je préfère repenser à sa première question. Comment je me décrirais ? Je ne sais toujours pas en réalité. Les gens disent souvent que j’aie un côté mauvais garçon ou trop sérieux. D’ailleurs pour moi la définition de chacun de ses termes est en totale contradiction mais bon admettons que je sois complexe rien que physiquement.
Dans ma description générale on pourrait inclure quelque autre mot que beaucoup d’autre physique pourrait avoir : maigre, grand (un bon mètre quatre-vingt-dix), musclé sans être un bodybuilder avéré, un côté hautain dans le regard, un teint plutôt pâle, un air suffisant, quelque chose de méchant parfois. A l’inverse on ne pourrait pas dire de moi quelque de souriant, à l’air paisible, ou quelque chose dans le genre de « mignon » ou « adorable ». J’ai souvent plus le droit aux appellations « sexy » ou « viril » que je préfère d’ailleurs que d’être traité tel un gamin de 18 ans.

- Vous savez on me tourne plus souvent au tour parce que je suis célèbre dans le monde de la photographie plutôt que pour mes beaux yeux bleu, soufflais-je au journaliste qui me contemplait peut-être en cherchant dans ses fameux yeux une lueur quelconque. On me surnomme le cœur de glace car tout comme ma température corporelle je n’ai rien de chaleureux, je ne séduis que parce que le plaisir du corps est important mais je ne m’engagerais jamais dans une relation sérieuse sans être certain que c’est pour moi qu’on est là et non pas pour mon portefeuille.

Un instant Crochet sembla hésitant. Sa main ne s’activa pas sur le papier. Je souris vaguement en secouant la tête en faisant retomber un peu mes cheveux que j’avais pourtant repoussés deux secondes auparavant. Si je soignais mon apparence ce n’était pas pour draguer contrairement à ce que beaucoup pensait avant de découvrir que j’étais le pire des glaçons. Mais juste parce que en tant que photographe de mode et de tout sujet par ailleurs, je me devais de respecter certain code. Dans mon armoire les vêtements trois fois trop larges faisant des formes immondes aux corps pourtant svelte, ceux n’ayant aucune coupe, ceux dont les couleurs étaient improbable et tous les bijoux de mauvais goût était bannis. Je vivais pour la mode : les vêtements sobres taillant ma silhouette de guêpe, ceux mettant en valeur mon teint blême et mes cheveux ou encore mes yeux bleu acier, ou encore ses petits détails qui faisait toujours d’un homme celui plus beau que les autres étaient eux bien présent.

Sans m’en rendre compte Crochet avait finir par noté ma magnifique tirade dont je n’étais pas peu fière après tout bien parlé était aussi un art dans les médias non ? Et au moins cela permettrait peut-être de casser l’étiquette de séducteur (pas si fausse) que l’on m’avait affublé. Et maintenant il abordait le sujet de ma personnalité…un rictus se dessina sur mes traits fins…on allait rire.



Description mentale.
1539 mots /o/
- Comment décrieriez-vous votre mentale ?

J’hausse les sourcils. Quel question varier dis donc. J’ai rarement vu mieux. La prochaine serait sûrement « comment décrieriez-vous votre histoire ? ». Je levais les yeux aux ciels et finissait par sortir un petit briquet de ma poche pour jouer avec. Doucement je faisais résonner le léger bruit métallique typique du briquet, et faisant ensuite voleté une petite flamme devant mes yeux un peu ailleurs.
Qui suis-je ? Je suis un peu comme cette flamme, éphémère et fragile. Lorsque le m’allume je brille et scintille, ce moment ce situe lorsque je me retrouve derrière le petit écran noir de l’appareille là où tout monde extérieur s’anéantis et où il n’y a plus que moi et ce que je veux prendre. Puis il y’a le moment ou la lumière s’éteint, la passion n’est plus là pour soutenir le monde dans le tremblement de terre géant qui le secoue, là il n’y a plus rien.

- Ma mère disait que j’étais fou, riais-je en soufflant sur la flamme qui disparut de mes yeux. Mais je pense plutôt que je suis bizarre.

Oui…bizarre c’est le bon mot. Je pourrais avoir des jours de bontés, ou je serais plutôt gentil même si toujours sarcastique. Dans c’est jours-là je pourrais accepter de voire un journaliste comme aujourd’hui, ou encore acceptez de me rendre dans un parc d’attraction endroit qui m’horripile le plus ou monde. Mais c’est jours se font rares, mon caractère le plus commun est celui-là : sombre et froid. Ne venez pas me chercher, je vous promets que je vous rendrais vos actions en mile fois pire. Si je ne me mets jamais en colère pour aucune raison ce n’est pas pour autant que je ne peux pas descendre quelqu’un verbalement tout en restant tout à fait posé. D’ailleurs on me dit souvent que j’ai un caractère pourrie. Cela me fait agréablement sourire.
Lorsque vous avez un caractère quelconque, tout gentil, tout mignon, on vous appréciera sur le moment mais un mois après on ne parlera plus de vous et votre nom aura peut-être même disparut des mémoires. Alors que si vous êtes différent, froid, peut-être un peu mystérieux ou même cruel vous resterez graver dans les mémoires. Peut-être est-ce ca la reste du succès ? Etre quelqu’un de totalement opposés à ce qu’on appelle la bienséance ?

- J’ai interrogé quelque personne de votre entourage, me rappela Crochet en cherchant dans un autre calepin ce que lui avait probablement dit mon « entourage ». Ah voilà…alors, votre sœur aînée vous dit calme et raisonné. Elle m’a raconté que enfant vous étiez beaucoup plus turbulent et casse-cou ce n’est donc plus le cas ?

Amélie. Ma sœur ainée. Ou la chose qui ce fait passé pour telle. Je ne pouvais pas la voir et pourtant tout le monde nous croyait étroitement lié. La magie de l’hypocrisie. Cependant j’admettais sans mal qu’elle était probablement la personne la plus à même à me d’écrire. Elle avait passé son enfance avec ce petit garçon turbulent, aimant porté les robes de sa mère, et appréciant les émissions de télé réserver normalement pour la gente féminine. Elle savait donc mes moindres travers et mes plus grandes qualités. Peut-être était-ce pour cela que la carte de l’hypocrisie marchait si bien avec elle, parce que réciproquement je connaissais ses défauts, ceux qu’elle tentait désespérément de cacher comme son adoration de la bouteille.

- Non effectivement ce n’est plus le cas, finissais-je par acquiescé. Enfant j’aimais jouer les dures probablement parce que j’étais assez peu sur de moi, aujourd’hui ce n’est plus le cas. J’ai grandi et muris, je préfère être calme, les situations n’en sont réglez que plus vite.
- Votre ex petite amie, Sophia dit aussi que sous votre apparence de quelqu’un de froid vous êtes aussi doux et chaleureux ? Etait-ce de l’ironie ou plutôt la vérité ?


Qu’est-ce que j’en sais moi ? Ce n’est pas moi qui l’aie interviewé. C’était à Crochet de percevoir ca pas moi. Bon je dois avouer que je savais la réponse à la question mais tout de même.
Sophia, mon « ex » ou plutôt dirige ma dernière conquête de quelque jour, était une modèle que j’avais engagé il y’a quelque temps pour un shooting sur le thème de la pureté. La jeune fille blonde comme les blés avait été refusé par mon agent qui supervisait habituellement le choix de ceux posant pour moi mais j’avais ordonné qu’on la face revenir en voyant une photo d’elle. J’avais l’œil pour remarquer celle et ceux qui s’épanouirais devant mon objectif. C’était un don, tout comme mon œil aiguisé pour capturer ses instants de toute beauté que les modèles et les paysages voulaient bien m’offrir. Oui j’étais passionnée par mon métier mais voilà bien la seule chose pour laquelle j’étais passionnée.

Cependant même si je ne m’intéresse qu’à la photo, j’avais une étiquette et des valeurs. Lorsque quelqu’un a besoin d’aide je viendrais à son aide si possible. Lorsqu’il y’avait besoin que je me salisse les mains je le faisais moi-même. Si j’étais devenu célèbre je ne faisais pourtant pas de grande scène de folie comme ses stars exubérante. J’étais resté quelqu’un de discret et d’humble. Froid certes mais correcte. J’avais grandis avec peu de chose, aujourd’hui j’avançais avec plus de chose mais que l’essentiel sauf évidemment pour ma garde-robe qui l’a ne pouvait allez qu’à l’excès.

- Je peut-être doux, affirmais-je. Je l’ai été avec Sophia a de nombreuse reprise mais je suis aussi dur, surtout lorsqu’il s’agit du travail. Beaucoup ont dû vous le dire, je suis intraitable, lorsque quelqu’un ne s’applique pas ou ne fait pas du bon boulot il sort de mon plateau. Un point c’est tout. Cependant en dehors de la ville professionnel je suis quelqu’un de normal, je ressens des émotions et la douceur en fait partit je suppose.

Crochet hoche la tête et un peu moqueur alors qu’il écrit à nouveau je tapote sur le cadran de ma montre pour reproduire le tic-tac du réveille manger par le crocodile ennemi juré de Crochet, peut-être cela le fera-t-il fuir.
Oui, mes références sont basées sur des Disney. Et alors ? Qui n’a jamais regardé un dessin animé ? La plus part des gens connaissent les classiques la belle et le clochard, blanche neige, la belle au bois dormant, massacre à la…ah non pardon je m’égare. Certain, ou quasiment la totalité, vont utiliser le prétexte d’une petite sœur, ou voire d’un enfant pour expliquer leurs connaissance de ses dessins animés alors que probablement les regardes-t-il avec plaisir eux-mêmes. Moi j’ai des sœurs mais je n’ai pas de prétexte. J’aime les Disney, j’assume. A 27 ans il m’arrive de regarder en boucle ces bon vieux Aristochat qui m’ont toujours incroyablement plus encore plus que mon ami la bête dans la belle et la bête.

- J’ai aussi noté que certaines personnes disait prétendait que vous passiez beaucoup de temps dans les musés et à feuilletés les nouvelles sorties musicale ?

Un photographe qui n’aimerait pas l’art ne serait pas un vrai photographe. Avant que l’on invente nos appareille, ceux qui voulait immortalisés le temps étaient les peintres et leurs savoirs ils nous l’ont transmis. Si nous ne pouvions apprécier ce travail nous ne pourrions apprécier le nôtre, cette question était donc stupide je n’y répondais même pas.
Pour la musique c’était autre chose, disons que c’était l’une des choses qui me calmait avec mon métier. La musique vous emporte. Entraîne votre imagination à voguer aux grès du vent des rêves. Fermer les yeux en écoutant une chanson que vous adorez, que ressentez-vous ? Moi j’ai l’impression que tout est possible, plus de soucis juste la liberté que personne n’a réellement. Les limites du corps et de l’esprit sont trop présentes pour penser que je sois libre sans le rêve.

- La musique permet de se tenir au courant des genres et des goûts, si vous trouvez un genre en haut du top des ventes vous pouvez tout de suite savoir vers quelle variante va les goûts de la population, expliquais-je très sérieusement.

Je dis un peu n’importe quoi. La mode est tellement variante que de toute façon peu importe à ce quoi tu te fis il est quasi sûr que cela ne plaira pas à quelqu’un alors autant y’aller à l’impro non ? Si ça plaît cela fera une belle surprisse comme ça.
Heureusement mon air sérieux semblant convaincre le capitaine Crochet qui hocha la tête en faisant tomber un peu son affreux béret en laissant apparaître une très belle calvitie. Je comprenais mieux pourquoi ce truc informe avait été posé sa tête, pour au moins caché les dégâts. Mais bon quelle faute de goût de mettre un béret avec une chemise très habillés. D’accord je suis français mais tout ce que mon pays à crée n’est pas forcément de pure création de génie alors voyons Crochet fait attention.

- Bon je crois que pour ce passage ça ira, que diriez-vous de passer à la suite ? Me dit-il devant mon silence.
- Je vous écoute, dis-je en sortant une autre cigarette d’un paquet en soupirant d’avance.

Au fond je hurlais : « quand est-ce que le calvaire se terminerai ? ».



Histoire.
2123 mots /o/
- Racontez-moi votre histoire.

Aaah Crochet innove attention ! Là il préfère y’aller franco. Il demande carrément le résumé du livre ! A quoi bon des extraits quand on peut avoir l’intégralité hein ?
Mais racontez ma vie en détail sans moi. Trop de chose à dire, trop de secret à révéler, trop de détail à fournir, pour n’obtenir pas grand-chose comme récompense à partir la pitié des autres et ça très peu pour moi.
Mais à vous qui vous trouvez dans ma tête en ce moment je peux vous la racontez si vous me promettez d’être gentil avec moi. Ne me rendez pas trop fou.


Acte 1, scène 1 : La naissance.

Je vous l’accorde je n’ai pas grand-chose à dire de ce moment-là. Je crois que je pleurais. Comme tous les bébés venant de naître vous me direz. Cependant je peux vous dire que je n’étais pas désiré. Ayant déjà accouchés par trois fois, ma mère commençait un peu à être lasse de se retrouver avec des bébés et des couches humant des savoureuses odeurs fécales. Cependant ayant l’incroyable travail de prostitués il n’était pas rare que par inattention la chose se produise. Et une fois l’enfant dans le ventre, ma mère n’avait jamais pu se résoudre à avorter dans son absolue fois de dieu. Mon ironie ce sens j’espère ? Non, ah, ben tant pis. Scène suivante !


Acte 1, scène 2 : Je grandis.

Pas de beaucoup hein ! Je n’ai pas pris un mètre quatre-vingt-dix en deux mois je vous rassure. Dans cette scène j’ai environ quatre ans, là où mes premiers souvenirs apparaissent et là où je reconnais un peu les visages. Mon père n’est pas là vous vous en doutez, je crois qu’il n’a jamais sus d’ailleurs l’immense honneur que ma mère lui fit en donnant naissance à un jolie petit poupon de 3kilos8. Dans un autre temps j’aurais été sont héritier en étant un garçon mais maintenant cela n’avait que très peu d’importance.
Agé de quatre ans pour moi le terme « papa » n’existait pas, alors croyez pas qu’arrivant à la l’école primaire et en entendant parler d’un autre parent je me trouve bien effaré. Déjà que ma mère me cause bien des cauchemars voilà qu’on veut m’en affubler un deuxième. Alors je nie, je dis que les papas n’existent pas, on me prend pour un fou à l’école. Tant pis, ce n’est pas bien grave j’ai déjà l’habitude.

Ma sœur aînée Mélissa tente un peu de m’aider à comprendre les choses une fois dans le salon de la minuscule maison que nous partageons à quatre. Elle me raconte que sans papa je ne peux pas naître mais que nos papas respectifs nous ont abandonné. Je demande pourquoi mais elle-même ne sait pas trop pourquoi alors je me tais et j’oublie. De toute façon ma mère me hurle après pour que j’aille nettoyer la salle de bain.


Acte 2, scène 1 : L’adolescence ce n’est pas facile.

- Sato’ fait donc attention bon sang ! Maman va encore nous assassiner si on fait ça de travers, me rouspéta la voie familière de ma sœur Mélissa.

Je soupire. Mes doigts déjà écorché reprennent cependant plus attentivement l’épluchage de la forme étrange tenue entre mes doigts. Je n’ai jamais été doué pour la cuisine et surtout pas pour éplucher ce truc que je déteste : les patates. Ma sœur elle plus habile fais tomber les peaux une par une avec une vitesse qui me sidéré.
Alors que je me coupe à nouveau le doigt en faisant prendre la couleur taupe une couleur rougeâtre j’entends le rire aquilin de ma petite sœur, Amélie. Dernière né elle est la petite chouchoute. Ayant l’immense honneur d’être née d’un bourgeois du coin, elle retire toute l’attention de ma mère qui voit en elle une source de revenu certain. Une preuve pour le chantage fait à l’homme marié. Mélissa perçoit mon soupire en l’entendant s’amuser joyeusement alors que moi depuis gamin, il n’y eu pas un jour ou je ne me fis pas réprimander, voire frapper.

- N’y pense pas, murmura ma sœur. Bientôt j’aurais ma majorité, je t’emmènerais avec moi loin d’ici.

Je ne peux m’empêcher de sourire. Elle est ma sœur mais je crois que je suis amoureux…je sais ce n’est pas normal. Mais pourquoi devrais-je l’être après tout elle a été la seule à se pencher vers moi ? Pourquoi ne devrais-je pas l’aimé. Lorsqu’on a 13 ans et qu’on vit dans une cage salle et noire, dès qu’on voit la lumière on s’en amourache.
Tout en reprenant mon travail sous les rires de ma sœur, je rêvasse à la vie que j’aurais d’ici quelque moi au 18 ans de Mélissa. Peut-être pourrais-je avoir des amis et allez jouer avec eux ? Ce serait bien de construire une cabane, j’aimerais aussi allez à la piscine et voire la mer ! J’adorerais aussi allez au parc d’attraction. Ce serait mon plus grand rêve.


Acte 2, scène 2 : Il est temps de mûrir…

Couché à même le sol je regarde les nuages bougés lentement. Le temps est arrêté je crois. Il n’y a pas de bruit autour de moi, juste le silence. Il y’a quelque jour pour ce silence j’aurais donné beaucoup. Plus les rires d’Amélie, plus les hurlements de ma mère qui me réclamait une autre bouteille, plus les bruits étranges sortant de la chambre de ma mère le soir lorsqu’elle recevait ses clients. Plus rien. Juste le silence…
Mais dans ce silence il manquait quelque chose. Les yeux si bleu de ma sœur qui ressemblait tant aux miens. Elle n’était plus là. Elle ne le serait plus jamais.
Levant la main vers le ciel j’écartais et resserrais les doigts en faisant se rétracter ma pupille. Je n’avais pas pleuré pendant l’enterrement, pas même lorsque j’avais appris la nouvelle de sa mort. Un accident, à ce qui parait. Ma mère aurait glissé et fais tomber sur sa tête une bouteille, le choc aurait provoqué une quelconque réaction entraînant la mort. Moi à ce moment j’étais au collège. Je ne sais pas si c’est la vérité, je m’en fiche.

- Satoru ?

Je me redresse un peu pour voire Amélie venir vers moi, son pouce dans la bouche et une jolie petite peluche en forme de lapin à la main. Elle est vraiment jolie et cela ne me fait que froncer un peu plus les sourcils. Avec son air angélique et sa petite bouille de gamine mignonne qui le sait je la déteste. Elle ressemble à ma mère…

- Tu joues avec moi Satoru ? Me demanda la voie enfantine.
- Je n’aie pas envie Amélie, va-t’en, murmurais-je froidement en lui tournant le dos.

Aussitôt elle me menaça de prévenir « maman ». Je réprimais un sourire, et quoi ? Si je lui désobéissais elle me tuerait ? Pas grave, l’espoir était partit avec la lumière. Il n’y avait plus que le noir. La terre tremble sous mes pieds depuis trop longtemps, maintenant le tremblement de terre n’a plus de fin appart celle mortelle. Alors je l’entends partit encourant lorsque je lui rétorque ce fameux « hé bien Vas-y ».
Le soir même je suis à l’hôpital. Mais ce n’est pas pour moi. Ma mère a reçus un coup à la tête je ne sais pas vraiment comme. Du moins c’est ce que je dis au médecin. Ceux-ci se rendent compte de son taux d’alcool…puis de mon état physique. Tout s’enchaîne le monde change, il y’a un peu de lumière, mais le sol tremble toujours et dans le noir de la cage qu’on ouvre un peu l’oisillon pleure doucement.



Acte 3, scène 1 : Attend moi.

- Et toi Satoru qu’elle mannequin préfère tu ?

Je lève les yeux de l’ordinateur ou des photos d’homme défilent, pour regarder mon professeur. Il me fixe avec un air sévère. J’hausse les épaules, ayant écoutés distraitement la globalité de ma classe avait choisis un garçon aux teint halés correspondant tout à fait à l’idée que l’on se fait de « canon » et une fille squelettique à qui soit disant n’importe qu’elle vêtement irait. Moi je n’étais absolument pas d’accord. Le garçon en question avait le regard vide. Et la fille elle ne m’était absolument pas en valeur les atouts que pouvait apporter une femme dans un décor « sauvage » puisque le thème de départ était celui-ci.
Moi j’aurais optés pour une somptueuse rousse, à l’air espiègle, je l’imaginais parfaitement dans une tenue moulante dans les tons marron accompagnés d’un bellâtre qui m’avait tapé dans l’œil dès la première photo. Un corps musclés à tomber par terre, un regard noir presque colérique et une souplesse certaine vu les acrobaties réalisées sur certaines de ses photos. Le couple parfait.

- J’aurais choisis le numéro 4 chez les garçons et la 9 chez les filles, murmurais-je en haussant les épaules comme si c’était une évidence.

Après un court instant le professeur finit par éclater de rire sans me surprendre. Il agissait toujours ainsi. Au début méfiant il tentait de nous déstabiliser avec des regards méchants comme si nous venions de commettre la pire faute puis finalement riait de bon cœur quel que soit notre réponse.

- Bravo bravo, me félicita-t-il. Tu as toujours un œil parfait. J’aurais fait le même choix que toi.

Je souriais vaguement alors que mes cheveux longs me retombaient devant les yeux alors que des murmures se rependaient dans la salle. Je réalisais un rêve. Pas le mien. Celui de ma sœur. Elle morte, moi j’avais pu briser la cage et vivre dans une vie normale. Alors pour la remercier d’une certaine manière j’accomplissais son rêve d’être dans la mode. Je n’avais pas les capacités pour être styliste contrairement à elle mais j’avais du talent dans le monde de la photographie alors elle devra m’attendre et ce contenter de ce rêve-là.


Acte 3, scène 2 : j’aime ça.

Il était tard. Je ne sais pas vraiment quelle heure, peut-être trois heures. J’étais trop épuisé pour essayer d’allumer un réveil. Je me vautre sur mon lit en ne prenant même pas la peine d’enlever mon costar payé plus que ma mère a du gagné dans toute sa vie. Je soupire vaguement. Les galas et c’est autre truc m’exaspéré. D’accord j’étais devenu célèbre grâce à mes photos et tous me réclamaient, c’était une réussite donc je n’étais pas peu fière, mais de là à m’inviter à des soirées mondaines où je n’avais absolument pas ma place c’était quelque chose.

Cependant je ne me plaignais pas. Finalement aux furent des années, des jours et des heures ma passion pour la photo avait éclaté. Ce n’était plus le rêve de ma sœur que je réalisais mais le nôtre. Même le mien. Chaque découvrir de nouvelle mode, de nouveau corps, de nouvelle technique de photographie, de nouveau lieux, voyager, découvrir mille et une merveille…c’était plus qu’un rêve désormais…c’était ma réalité.
J’avais progressés petit à petit, à mon rythme, mon vite que les génies mais aujourd’hui mon travail et ma persévérance m’avait poussé en haut du podium. J’étais le meilleur, celui qui ne ratait jamais une séance photo.

En souriant je me retournais sur le dos et regardais le plafond. Es-tu fière de moi Mélissa ? Tu me regarde n’est-ce pas ? J’ai vaincu mes peurs, j’ai vaincu nos peurs. Nous qui avions en réalité si peur de partir de la cage et de nous envoler alors que nous avions des ailes. Je suis seul ici mais nous l’avons fait ensemble.
Nourrir de douce pensés et avec l’étrange impression que ma sœur m’avait souris je m’endormais. Mes rêves furent tournés vers un étrange monde ou la photographie permettait d’enfermer l’âme et le temps. Ce fut magique…mais le lendemain en me réveillant le rêve était encore un peu là car la magie m’entourait encore car si je ne capturais pas l’âme je capturais le temps et le rendait à jamais visible.



Voilà. Mon histoire. Enfin dans les grands actes. Mieux que Lorenzaccio n’est-ce pas ? (Quoi ça n’a rien à voir, oui je sais mais c’est ce que je lis en ce moment alors laissez-moi tranquille voulez-vous.). Enfin bon je sais, ce n’est qu’une vie parmi des millions. Mais c’est la mienne alors n’est-elle pas exceptionnelle ?

- Mon histoire, finis-je par dire aux journalistes restés silencieux. Eh bien je dois avouer que je n’en aie pas, je suis né hier et je vivrais demain.

Aujourd’hui commence une nouvelle vie dans un nouvel endroit. Je m’envole aujourd’hui pour une nouvelle ville. Nous verrons bien si là-bas je trouvais de nouvelle personne à libérer d’une cage. Je l’espère.
Sur ces mots, laissant mon ami crochet un peu pantois, je m’éclipse un large sourire sur les lèvres. Finalement cette journée allait être bien. Je le sentais déjà…



Dernière édition par Satoru Dana le Sam 10 Nov - 1:11, édité 5 fois
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Shin
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MessageSujet: Re: C'est l'histoire de la vie ♫ C'est l'histoire de la vie ♫ Icon_minitimeVen 9 Nov - 19:02

MOOON SHIZUOOOO <3 /BUS/

Qui es tu, jeune vieux ? XD
Bref je me ferai un plaisir de t'envoyer voir dans mon lit owo
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MessageSujet: Re: C'est l'histoire de la vie ♫ C'est l'histoire de la vie ♫ Icon_minitimeVen 9 Nov - 21:08

OH MON DIEU, CET HOMME DANS CET AVATAR ~o~

*Faint*
"Retour des vieux" ? o: Donc je ne te connais pas ? 8D
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MessageSujet: Re: C'est l'histoire de la vie ♫ C'est l'histoire de la vie ♫ Icon_minitimeVen 9 Nov - 23:52

Haan Shin-sama m'a pas reconnu ToT xD
Pourtant tu m'as déjà couché dans ton lit '-' xD


Yuri-chan je crois pas que je te connais 'o' xD
Mais peut-être j'ai un peu une mémoire de poisson rouge '-' xD
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MessageSujet: Re: C'est l'histoire de la vie ♫ C'est l'histoire de la vie ♫ Icon_minitimeSam 10 Nov - 6:24

Je t'ai reconnu, Robynne, '-' xD
XDDDDDDD qui dis Miaou a part toi hein ? XD
(en plus tu ponctue de xD et tu met des '-' ) xD
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Edward Lunster
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Edward Lunster
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Nous voulons en savoir plus~
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MessageSujet: Re: C'est l'histoire de la vie ♫ C'est l'histoire de la vie ♫ Icon_minitimeSam 10 Nov - 11:15

Bonjour et (re)bienvenue ~♥

Je vois que tu ne m'as pas épargné sur la taille du texte /o/ Je relève le défi èoé

Quelle bonne idée de faire une interview, vraiment, je ne m'y attendais pas =o (xD) Plus sérieusement, tu l'as bien gérée, c'est tout marrant à lire (pour le moment j'ai lu que le physique parce que je fais partie par partie '-' Et je devrais pas étaler cette explication inutile sur deux lignes \o/). En tout cas c'est amusant parce qu'au final dans son physique on parle assez peu de son physique, mais on se le représente très bien quand même. Finalement ses traits de caractère principaux s'accordent parfaitement à son apparence donc je vois bien comment est Satoru ♥

Notre inventivité dans les questions de la présentation t'encacatent très cher ♥ xD
J'adore ta réflexion sur le fait qu'il serait plus important de marquer les mémoires que d'être agréable à vivre *_* C'est un peu vrai quand même ~
J'aime aussi son caractère, et son adoration pour les Disney (mais de qui tient-il ça ? =D) qui contraste tellement avec son mode de vie et son côté froid et sarcastique =)

OMG il aime pas les pommes de terre ! *O* C'est mon ami *.* ♥
Sinon l'histoire de Satoru est captivante, je suis encore une fois impressionnée par ton imagination et ta capacité à mettre les bons mots sur ce que tu veux transmettre. Sa relation avec Mélissa, sa façon de vouloir réaliser son rêve après sa mort, sa marginalité assumée. Bref j'adore, toutes mes félicitations ! \o/


A ta grande surprise tu es donc validé, bon RP sur Suki ♥


Je mets des petits coeurs partout mais c'est pas grave \o/
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MessageSujet: Re: C'est l'histoire de la vie ♫ C'est l'histoire de la vie ♫ Icon_minitimeSam 10 Nov - 13:54

Shin-sama, je te félicite, tu as percé mon lourd secret '-' xD Moi aussi je me trouve dure à reconnaître :x xD



Ed-sama je t'aime 'o' xD tu peu mettre plein de coeur ca me gêne pas :x xD Et merci pour ce commentaire détaille '-' xD Et merci pour la surprisse finale :o xD ( je te donnerais ta récompense plus tard :o xD ) :3 xD

Ps : le côté Disney il l'a hérité de moi et j'en suis fière éoé xD
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MessageSujet: Re: C'est l'histoire de la vie ♫ C'est l'histoire de la vie ♫ Icon_minitime

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